ladidu77

Je compose en prose les questions que tu te poses...

humeur envoyée le 08 mai 2013 à 23:15

Style :

719

Déco :

Popularité :

2331

ladidu77
Niveau 16 ( 35/700)
Non-scolarisée
Dessinatrice de fanzines

699
241 jours de jeu
A remporté 15 trophées

mon Look
du jour

Rare

Changée le 07 juin 2020 à 13:00
17 votes reçus avec cette tenue

Mes amies

lovelessa

Squicky

raveene

michiko66

Voir les 95 amies

Présentation
Modifié le 08/05/2013

lafraise.com

Tow'ya B. † 17 ans † Dream † Draw † Music

J'avais besoin envie de changement. Alors j'ai supprimé l'ancienne présentation, pour la recommencer. C'est comme ça...

La chanson du moment : ~ In This River - Black Label Society & Clint Eastwood - Gorillaz. [J'ai pas réussi à me décider, faire un choix... En tout cas, merci bébé et merci Skell'.]

Je ne suis pas bonne pour raconter les histoires, je ne dois pas connaitre beaucoup d'histoires drôles. Je ne suis qu'une vulgaire personificatrice des mots, banal dans l'apparence et peu efficace aux certitudes. Je ne crois qu'a la destruction de l'homme. Je n'écris pas dans un but, j'attends juste. Je commentes mes propres mots, du suivant. Je me trompes souvent dans l'ordre établit de la grammaire française. Je vais, je viens, tel un objet entre ces délicates mains. Pourquoi ne pas crier? Courir et vibrer. Je ne sais moi-même. Je compatis a toutes personnes souffrants sur Terre, mais je penses souvent a moi en premier. Pardonnez mon égoïsme. Je tournes avec impatience mes entrailles Auprès d'une danse égocentrique yonique.

J'serais toujours ta fille, ta fille unique. Merde.

"Tu peux arrêter tes mots avec ton frère car ça va directement à la poubelle. Tu comprends le français ? Je ne veux plus entendre parler de vous !"

Ce soir-là, j'ai remis ma vie entre tes mains. Pendant que je faisais mon sac en pleurant, je n'imaginais pas tout ce que cela créerait. J'allais déménager pour de bon, ça j'en étais consciente... Mais pas que j'allais revenir un an et demi plus tard. Ni que tu souhaiterais couper les ponts. Ni que tu cesserais de me considérer comme ta fille. Ni que j'en souffrirais autant. Je suis comme au bord d'un énorme gouffre. Mais tu sais quoi ? Je m'accrocherais pour pas tomber. J'ai peur de la mort. J'ai pas les couilles de partir. Je resterais pour mes frères. Je resterais pour ma mère. Je resterais pour te prouver que je vaux mieux que ça. Que je suis une femme forte, maintenant.

Peu importe ce que tu dis, ce que tu penses. Ce caractère de cochon, cette légère attirance pour la clope, cet humour débile, je ne les tiens pas de n'importe qui, Papa.

Ton sang restera le mien quoi que l'on fasse.