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Mes amies
Présentation
Maison de Lusignan
- 1192-1194 : Guy de Lusignan (1160 † 1194), roi en Chypre, fils de Hugues VIII le Vieux, seigneur de Lusignan et comte de la Marche, et de Bourgogne de Rançon.
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- marié en 1180 à Sybille d'Anjou-Jérusalem, reine de Jérusalem (1159 † 1190)
- 1194-1205 : Amaury Ier de Lusignan (1145 † 1205), seigneur de Chypre, puis roi de Chypre en 1195, et roi de Jérusalem (1197-1205), frère du précédent.
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- marié en premières noces avant 1175 à Echive d'Ibelin († 1196)
- marié en secondes noces en 1198 à Isabelle Ire d'Anjou-Jérusalem, reine de Jérusalem (1171 † 1206)
- 1205-1218 : Hugues Ier de Lusignan (1195 † 1218), roi de Chypre, fils d'Amaury Ier et d'Echive d'Ibelin.
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- marié en 1210 à Alix de Champagne (1195 † 1246), régente titulaire de Jérusalem, fille d'Henri de Champagne et d'Isabelle Ire de Jérusalem
- 1205-1210 : régence de Gautier de Montbéliard
- 1218-1254 : Henri Ier de Lusignan (1217 † 1254), roi de Chypre et régent titulaire de Jérusalem, fils d'Hugues Ier et d'Alix de Champagne.
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- marié en premières noces en 1229 à Alix de Montferrat (vers 1210 † 1233)
- marié en secondes noces en 1237 à Stéphanie de Barbaron (vers 1220 † 1249)
- marié en troisièmes noces en 1250 à Plaisance d'Antioche (vers 1235 † 1261)
- 1218-1228 : régence de Philippe d'Ibelin († 1217)
- 1228-1232 : régence de Jean d'Ibelin († 1236)
- 1254-1267 : Hugues II de Lusignan (1252 † 1267), roi de Chypre, fils d'Henri Ier et de Plaisance d'Antioche.
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- marié en 1264 à Isabelle d'Ibelin (1252-1282)
- 1253-1261 : régence de Plaisance d'Antioche, sa mère
- 1261-1264 : régence d'Isabelle de Lusignan, fille d'Hugues Ier
- 1264-1267 : régence de Hugues de Poitiers-Lusignan, fils d'Henri de Poitiers et d'Isabelle de Chypre qui lui succède sous le nom d'Hugues III.
Chapelle funéraire Montour-Malhiot
La chapelle funéraire Montour-Malhiot est un monument funéraire situé dans le cimetière adjacent à l'église la Visitation-de-la-Sainte-Vierge de Pointe-du-Lac, à Trois-Rivières au Québec (Canada). Construite entre 1865 et 1870, elle a été bâti comme lieu d'inhumation pour les seigneurs Nicholas Montour (1756-1808) et Charles-Christophe Malhiot (1808-1874). Elle a été citée Immeuble patrimonial par la Ville de Trois-Rivières en 2007.
Selon les études disponibles sur le contenu du tractus digestif de cet animal, H. diversicolor est un généraliste relativement opportuniste, capable d'adapter saisonnièrement son alimentation aux ressources disponibles de son environnement ; différemment selon la taille de l'individu concerné.
Aucune différence ou préférence alimentaire n'ont été observées dans le contenu digestif des mâles et femelles.
Il mange du plancton (du microplancton au macrozoobenthos), des diatomées, de la matière organique fragmentée, y compris provenant de la nécromasse ou d'excréments d'autres espèces. À titre d'exemple, les restes les plus fréquemment trouvés dans le tractus digestif lors d'une étude faite au Portugal sur une trentaine de stations étaient des restes de mucus (56,3 %), des grains de sable (17,6 %), de fins débris de végétaux (10,7 %), de néereididae (7,7 %) et d'espèces de Corophium (1,8 %). Le comportement de filtreur est largement dominant, mais des cas des preuves de comportement carnivore existent (par exemple légèrement plus fréquentes dans les lagunes et zones estuariennes de Carrapateira que sur les sites d'Odeceixe et d'Aljezur étudiés au Portugal). La substance mucilagineuse trouvée dans l'intestin principal est un complexe alimentaire associant essentiellement du mucus et diverses matières organiques dont bactériennes, fongiques et phytoplanctonniques).
H. diversicolor dispose de deux stratégies principales de recherche et captation de nourriture:
- Il mange dans les matières sédimentées, en surface des sédiments et autour de sa galerie,
- Il fait circuler dans sa galerie consolidée de mucus de l'eau riche en matières et organismes en suspension ; Par des mouvements dorso-ventral et de ses soies, il génère un courant continu d'eau dans laquelle il prélève une partie du phytoplancton ou de petits animalcules. Il choisit cette stratégie d'alimentation quand la colonne d'eau est riche en phytoplancton;
- herbivorie : il peut ingérer des morceaux d'algues planctoniques et macrophytes aquatiques (Olivier et al 1996, Hughes et al 2000)..
- carnivorie : Fréquente dans les écosystèmes d'eau saumâtre, où il joue un rôle important de filtreur-prédateur de petites espèces de faune, dont par exemple Cirripedia, Cyprideis sp., Ostracoda sp., Copepoda sp., Cyathura carinata, Sphaeroma hookeri, Anthuridae sp., Isopoda sp., Corophium sp., Gammarus sp., Amphipoda sp. ... On a aussi trouvé dans son intestin des restes de foraminifères, Hydrobiidae et autres gastéropodes sp. de larves de bivalves, d'acariens, ainisi que de chironomidés et d'autres insectes non indentifiés.
Il sait adapter ces stratégies à la disponibilité et la qualité alimentaires, à la pression de prédation qui pèse sur lui, à la hauteur et au rythme des marées et de saisons.
Sur 3000 vers observés lors d'une étude portugaise, 907 (30 %) avaient un intestin vide (naturellement ? ou suite à une vidange de l'intestin induite par le stress du prélèvement ?)
Hommes portant le sarong
Le sarong (du malais sarung, "étui") est une pièce de tissu rectangulaire d'au moins un mètre de large dont on a cousu ensemble les deux petits côtés de façon à former un étui cylindrique. C'est un vêtement simple, et mixte, porté par les femmes, les hommes ou les enfants. Il peut être noué sur le côté, devant, ou simplement enroulé sur lui-même à la ceinture. Le sarong est couramment et traditionnellement porté en Asie du Sud-Est.
Il en existe sans couture, tissées d'une seule pièce de manière tubulaire. Le sarong peut être fait de différentes matières : coton, soie ou polyester. Le sarong peut également être fait en tissu ikat, ou dans d'autres types de tissus, par exemple songket et tapis en Indonésie. En Indonésie, les motifs les plus classiques du sarong sont constitués, soit de lignes croisées, soit de carreaux.
Son utilisation est très large, allant du vêtement que l'on porte chez soi pour être à l'aise, à une tenue de cérémonie. Il peut aussi servir à porter des objets ou un bébé ou jeune enfant, en bandoulière.
Hors de l'Asie du Sud-Est, le mot "sarong" a pris simplement le sens d'une pièce de tissu rectangulaire que l'on enroule autour du bas du corps et que l'on noue à la hauteur des hanches. En Indonésie et en Malaisie, une telle pièce rectangulaire, non cousue, est appelée kain.