SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Ada_Diana
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    Date de création :
    le 24/02/2011 à 17:55

    Présentation
    Modifié le 10/04/2011

     Bonjour (^^) ! Oui, comme tout le monde on arrive au niveau 10 et là: créer un club. Bon un club, il y en existe déjà tellement! Alors voilà, j'ai décidé de former un club d'écriture.

    Le principe est simple, chacun peut poster une petite  histoire qu'il invente ou alors : je vais poster le début d'une histoire et grâce aux commentaires, chacuns et chacunes pourra écrire la suite!

     

    Voici le début d'une histoire:

     

                   CHAPITRE 1 ____________________________________ !!

    "Le vent soufflait sur la colline. La lune était ronde et éclairait les environs. Il y avait un village entouré de ces collines, il se nommait Mahomyr et tout le monde a Mahomyr vivait dans la peur. La peur d'être tué, traqué. En effet, les loups garroux rodaient autour et transformaient des villageois si bien que même un père ne faisait pas confiance a sa prope fille. Je m'apelle Chéria et c'est dans ce village que je suis née.

    Les loups garous était terrifiants. Imposant. Lorsqu'un de ses monstres se trouvaient derrière toi le temps passé au ralentis. L'air devenait froid. En cet instant tu sais pertinemment que personne ne te viendras en aide. Tu es seul avec la mort. Avec la fin. Tu adresse une dernière prière en tend qu'humain. Les larmes coules. La plupart du temps tu pense à tout ce que tu as manqué, tout ce que tu regrète. Les larmes redoublent d'intensité. Tu te tourne lentement, tu fais face, tu affirme. 
    Je vous raconte cela parce que j'ai vaincu. Oui, j'ai vaincu la mort. J'ai vaincu la fin. 
    Je vous raconte cela pour vous prouvez que rien n'est jamais fini. La vie n'est qu'un éternel commencement.

    Ca s'est passé il y a 4 ans, je n'avais alors que 13 ans. Je me rappelle très bien de chaque seconde passées dans ce village. J'étais encore si innocente et pure; mes cheveux blonds brillaient au soleil, mes yeux si noirs semblaient, on m'a dit, lire et soulager les gens de leurs peines. J'étais aimée, on m'appelai "petit rayon de soleil".
    Maintenant, a 17 ans, mes cheveux sont devenus foncés et termes, mes yeux tristes et les personnes qui m'aimaient tant et que j'aimais sont mortes. Mon village a été rayé de la carte.
    Salir son âme, cela vieillit et fait mourir.
    Mais maintenant, occupons nous du passé, je vais vous raconter mon histoire et ce qui s'est passé cette année la.

    Il faisait chaud, très chaud. Nous avons eut une très mauvaise récolte cette année là. Nous vivions ma famille et tout le village dans des conditions très difficiles. De plus notre entourages se faisait dévorer les une après les autres. Je ne sais pas exactement ce que je ressentait pendant cette période. Sans doute de la peur. Ou bien peut être de la tristesse. Je ne me rappelle plus exactement de cette période de ma vie. Tout est ci flou dans mes souvenirs. Un matin, ma mère une femme aigre et hautaine m'avais demandé d'allé chercher d l'eau au puit et de faire cuire du pain dans le four commun. Elle avait glissé un écu dans ma main pour payé l'usage du four. Je m’étais écorcher les pieds sur des cailloux à plusieurs reprises. Je m’étais brûlé la main dans le four. C'était une période bien triste.

    Ma plus belle joie était Pete, mon meilleur ami.
    Je me rappelle très bien de lui, il était brun foncé avec des yeux verts qui riraient ou pleuraient toujours. Nous nous sommes connus quand j'avais 6 ans, je pleurais la mort de ma grand mère tuée par un loup garous. Je m'étais réfugiée dans mon endroit préféré et sacré, sur un grand arbre près d'un lac. Seulement quelqu'un; un garçon pêchait. J'étais si surprise! Personne ne venait jamais... Il m'apprit à pêcher et il me consola de mes peines. Je ne me suis jamais séparée de lui. Plus tard, quand il grandit, les filles se pamaient devant lui. Je ne m'en étais jamais aperçue mais il étais devenu beau garçon, seulement pour moi ca n'avais aucune importance, la seule chose qui m'énervait était ces filles qui le collaient sans cesse.

    Tous les dimanches,le seul jour où l'on pouvait se reposer au lieu de trimer dans les champs,Pete et moi partions nous promener dans la forêt,mais jamais trop loin: dès que le soleil baissait,les loups-garous accouraient. Mais ce jour-là,nous n'avons pas fait attention. Nous nous étions disputés: j'étais jalouse malgré-moi de toutes ces filles qui l'adulaient. Je lui ai crié dessus,je me souviens. Oh,mon dieu,si seulement j'avais été moins égoïste... Pete,furieux,a marché d'un pas vif et s'est enfoncé dans la forêt. Furieuse,j'ai tourné les talons. Qu'il se débrouille,après tout! J'ai marché pendant cinq bonnes minutes,puis est frissonné. L'air se rafraîchissait. Puis j'ai soudain réalisé,et une angoisse terrible s'est logée dans mon ventre: le soleil était en train de se coucher! Je fait volte-face,et pique un sprint dans la direction où je crois l'avoir vu disparaître. Une seule pensée occupe mon esprit...
    Peete,reviens! Les loups-garous! Les loups! REVIENS!

    Je courrais à en perdre haleine j'avis tellement peur une fumée menaçente monté en spirale d'un point trop loin pour être vu. La chasse commença le village allumait des feu sur la place pour ce protéger des loups. Des hurlement retentirent. Cela voulait dire que les monstres étaient au village et non pas dans la forêt. Je pris mon courage à deux mains. Ramassa un grand bâton pointu et couru vers la forêt retrouver Pete. Malgré tous ce que j'avais pu lui dire. La simple idée de le perdre me mettait hors de moi. Mes pieds encore en une fois en sang martelait la boue qui tapissait le sol. Soudain à mes je perçu dans la forêt quelqu'un courir ce n'était pas un homme, ce n'était pas un animal, c'était une de ces créatures que tout le monde redoute. Je n'appellerais pas sa des "Loups-garous". Pour moi c'étais plus une sorte de réincarnation de la mort. Mais à ce moment je ne pensais pas à sa. Je pensais plutôt aux multitudes d'yeux jaunes qui formaient un cercle autour de moi.

    Tétanisée,je m'arrêtais aussitôt: mon corps refusait de m'obéir. L'un des loups s'approchât de moi: il était hideux,on voyait un peu de peau sous sa fourrure noire. De la bave lui coulait de la gueule,et on pouvait apercevoir de longues rangées de crocs acérés. Crocs qui bientôt s'enfonceraient dans ma gorge... Cette pensée m'envoya une dose d'adrénaline,et je me plaquais à terre. Il était temps! Le loup sauta à l'endroit où j'était une fraction de seconde plus tôt. Ses crocs claquèrent dans le vide,et il retomba derrière moi en grognant. Je devais agir vite: rester immobile,c'était mourir. Je me suis relevée rapidement et est pris mes jambes à mon cou,en direction du village. Les branches me fouettaient de toutes parts,m'écorchant et m'aveuglant. Une ombre noire passa sur ma gauche,une autre sur ma droite,puis un loup plongea et se retrouva devant moi. J'étais de nouveau encerclée. Essoufflée,les poumons en feu,je ne pouvais plus faire avancer mon corps. Il ne m'obéissait plus. Je vis alors avec terreur un loup sauter,sa gueule grande ouverte... Je vis un éclair de cheveux bruns du coin de l'oeil,puis je me sentis poussée en arrière,tandis qu'un homme se plaçait devant moi,son corps comme bouclier. Ma tête se cogna contre un rocher,et ce fut le noir.


              CHAPITRE 2 ________________________________________!!

    J'ouvris un oeil, puis l'autre, un instant je fus aveuglé pas le soleil. Quel jour étions nous? Que faisais-je donc là? Tant de questions et pourtant... Si peut de réponses. Les souvenirs me revinrent les uns après les autres. Et le panique m'envahit. Le loups! Qui était venus me sauver l'autre soir? Je devais le découvrir et, si je le pouvais, le sauvé. Grâce au longues heures passés en compagnie de l’érudit du village. J'avais appris qu'une personne mordue par un loup mettait de soirs avant de se transformé pour de bon. J'avais une chance, mince certes. Mais une chance quand même. Dans la boue dans laquelle je patogeais, je pouvais encore distingué des traces de pas. Partant vers le sud, enfin, ce que je croyais être le sud. Je les suivis. Etant donné que les loups ne supportaient pas la lumière du jour. Je ne risquais rien. Mais j'ignorais quelle heure il était, le soleil pouvait se couché autant bientôt autant pas maintenant. Une pensée me vint à l’esprit. Et si c'était Pete? Cette pensée me fit allé encore plus vite pour m’enfoncer dans les méandres de la vaste forêt.

    Le soleil était haut dans le ciel,il tapait dur sur ma nuque. Ma gourde était désespérément vide... Bientôt,ma langue fut sèche et j'eus mal au crâne: je n'avais même pas put boire,ce matin! Je décidais alors de relayer le bien-être de Pete au second plan. Il me fallait de l'eau,et vite! Je partis donc en quête d'une rivière,un lac,n'importe quoi! J'aperçut un lapin déguerpir dans les fourrés: c'était bon signe,de l'eau devait couler pas très loin,afin qu'il puisse boire. Après avoir écarté quelques branchages,je découvris enfin une source. Je plongeai aussitôt mes mains dedans,l'eau fraîche faisant des miracles sur mes paumes. Puis je bus à souhait,presque à m'en étouffer! Ma gourde remplie,je partis à la recherche des traces que je suivait tout à l'heure. Au bout d'une demi-heure de marche,je sentis de la sueur me couler dans le dos: où étaient ces traces? Je ne me rappelais pas d'être passé à cet endroit là. Tétanisée,je compris alors que j'étais perdue.
    Seule.
    En pleine forêt.
    Et avec le soleil qui se coucherait dans seulement quatre heures.

    Pendant plus de deux heures, je marcha dans cette forêt verdoyante et obscure. Les arbres, créaient des ombres et tout était silencieux. A chacun de mes pas, je sursautait quand une branche craquait, j'étais terrifiée. Puis, la tête me tourna. Un peu d'abord. Puis en peu plus. Et encore, si bien que je dût m'appuyer contre un arbre. Je voyais trouble à présent et tout mon corps me réclamait de l'eau. Ma gourde était trouée . L'horreur s'empara de moi Mes muscles se mirent à trembler quand je commenca a me rappeller, malgrès un mal de tête comme un crissement de craie continu ou une note trop aigu qui chamboulait toute ma tête, mes leçons de chasse avec Pete. "Si tu as besoin d'eau, regarde où tu te trouve. Si tu es entouré d'êtres vivants, tout va bien, ils sont source d'eau ou savent ou en trouver. J'avais tout de suite demandé: et si il n'y en a pas ? Et il m'avait répondu: tu meurt."
    Seulement, aucun bruit ne parvenait de cette foutue forêt depuis que j'avais pénêtrait à l'interieur. Allais je mourir? Non, il y avait sans doute une solution... Des êtres vivants... A présent, je cherchais autour de moi quelque chose ayant comme moi besoin d'eau pour vivre mais rien. Puis je m'écroula, ne pouvant plus tenir debout. Serais la fin? Je me rendit compte alors, avec stupéfaction, que mon dos était humide. Cela ne pouvait pas être la transpiration. Non, cela provenait de derrière moi. L'arbre. Je me mit contre lui, recherchant de l'eau dans la mousse qui l'entourait. Oui, j'allais déjà mieux mais j'avais besoin de plus. Je prit mon couteau, resté accroché dans ma ceinture et ouvrit l'arbre, pour atteindre la seive. Ce n'étais surement pas la meilleure solution mais je me suis mise à boire ce liquide coulument, autant ces force à cet pauvre arbre. Je prit son essence de vie, comme un vampire, Après cela, j'étais en forme, me sentant étrange, sauvage. La foret ne m'éffrayait plus. Que le plus fort gagne. 

    Je me remis en route, droit au sud, décidée a trouver celui qui m'a sauvée la vie. J'avançais tres rapidement, sans m'arretter, balaillant d'un geste les branches qui me bloquaient le passage. Il ne me restait que 1 heure avant la tombée de la nuit, mes pieds étaient en compote, je n'avais plus d'eau et j'étais perdue, mais je n'étais pas très afollée, je ne comprenas pas pourquoi. En réalité, une soif sauvage de meurtre traversait tout mon corps. Je me lécha les lèvres, vivement que ces loups garrou soit là. Ma vitesse ainsi que mes forces avaient augmentés depuis que j'avais bu la seine de cet arbre. Etait il special ? enfin cela importé peut, plus rien ne pourrait m'arrêter maintenant. Plus rien.

    Me sentant revivre et pleine de vigueur après avoir bu cette mystérieuse sève,je continuais mon périple en pleine forêt. Voilà longtemps que j'étais partie du village... Deux jours? Trois jours? Les autres devaient s'inquiéter. Puis je m'ébrouait: non personne,personne ne devait se soucier de moi. A la limite,peut-être les parents de Pete qui m'aiment bien. "Chéria,la meilleure amie de Pete"... Mais je suis sûre que je ne suis rien d'autre que ça,là-bas. Quand à mes parents... Ma mère ne voit sans doute rien d'autre en moi qu'une source de soucis et de désagréments. Et mon père,il n'est plus que l'ombre de lui-même,écrasée par la tyrannie de mam....de sa femme. Amère,je m'arrêtais et regardait les nuages défiler au-dessus de ma tête. Je ne peux pas penser à tous ceux là-bas comme "ma famille". Non,il n'y avait décidément que Pete. 
    Je me redressais,et la tête haute,franchit un gros buissons de fougères. Je sauverais mon ami! Quoi qu'il m'en coûte... Puis je m'arrêtais,stupéfaite.
    Une clairière verdoyante trouait la forêt en un cercle. De jolis fleurs multicolores poussaient là. Et devant moi,se dressait la haute stature d'une maisonnette.

    D'abord prudente, je resta cachée dans les ombres des arbres. Puis, j'observa la maison devant laquelle je me trouvais plus en détails.
    Elle était assez petite et biscornue. En pierre, elle était néammoins plutôt de couleur claire, orangée . Le toit était plus grand que la maison et il était étrange qu'elle ne s'écroule pas sous son poid. Elle possédait de grandes fenêtres, les vitres étaient très sales et ca les rendait grises. Elles étaient entourées d'une stature en fer tout comme la stature de la porte d'entrée. Celle ci était imposante: noire avec des piques de métal. Mais ce qui faisait froid dans le dos était qu'elle était comme griffée de long en large, créant des sillages très profonds. En regardant plus précisemment, je poussa un cri d'effroi : la porte était tachée de sang !

    J'étais totalement effrayée par cette marque écarlate,qui s'accordait d'une étrange façon avec le noir de la porte. Je m'apprêtais à rebrousser chemin,tétanisée de frayeur,puis le souvenir du visage souriant de Pete me cingla au visage. Non,je ne pouvais tout de même pas baisser les bras pour une ridicule flaque de sang,après avoir fait tout ce chemin! Respirant à fond,je revins sur mes pas,et toquait à la porte. On aurait put entendre une mouche voler. Remarquant soudain que la porte ne possédait pas de poignée,je m'armais de courage et la poussait. 
    L'intérieur était lugubre,tout était plongé dans la poussière,et quand mes yeux s'accoutumèrent à l'obscurité,je remarquai que les meubles se résumaient à une table et des chaises enpilées dans un coin. Avançant prudemment,l'odeur m'assaillit soudain. Un odeur putride,mélange de sang,de sueur,de saleté... Des nausées me soulevèrent l'estomac,mais je me retins de vomir. Un bruit sur ma droite me fit alors sursauter. Me retournant vivement,je vis alors avec horreur une masse informe bouger dans le noir...."

    X"

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