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Akaba (Ange de la récolte)

Avant : Avant, Akaba était de nature joyeuse et souriante, croquant la vie à pleine dent. Toujours prompte à danser et chanter à tout va. Bon vivant, elle aimait boire (un peu) et faire la fête mais n’était pas pour autant totalement dévergondée. Elle avait tout de même un certain sens des responsabilités et était dotée d’une grande sagesse malgré son caractère impulsif. Nul besoin de préciser qu’elle aimait la flore par-dessus tout. Du moins jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse d’une autre sorte de plante verte plus… angélique. « Sa petite fleur / Son petit arbuste » qu’elle l’appelait pour le taquiner. Oui, Akaba était joueuse, un peu trop même. Si elle l’avais moins été peut-être ne se seraient-il pas fait brûler les ailes… Après un moment qui passa selon elle bien trop vite, leur amour fut découvert et ce qui devait arriver arriva. Puis… Puis plus rien. Qui était-ce déjà ?

Après : Eilidh est devenue une personne assez effacée, complexée, frustrée, perdue. Ayant toujours éprouvé un manque… Un manque de quoi au juste ? Peut-on éprouver un manque de quelqu’un ou quelque chose qui n’existe pas ? Eilidh est peureuse, sujette à de maintes angoisses. Elle a peur de s’attacher, peur de perdre un être cher, peur des maladies, peur de conduire, peur de l’extérieur, peur de la foule, peur du noir, des insectes, des cactus, des poignées de porte, des chiffres impairs… Toutes ces angoisses ont encouragées chez elle le développement de nombreux troubles obsessionnels compulsifs. Eilidh aime écrire. C’est une activité peu demandeuse de sortir de chez soi, pour peu qu’on ait de l’imagination et un clavier propre, elle est d’ailleurs devenue douée et plutôt connue dans ce domaine, derrière son pseudonyme bien-sûr. Ses principales source d’inspiration sont les rêves étranges qu’elle fait parfois. 

Akaba était capable de contrôler la terre et sa végétation.

?? (Je modifierais des détails si jamais)

Son physique est très semblable à celui qu’elle avait avant. Une peau claire, presque diaphane, de longs cheveux cuivrés, des yeux bleu ouragan qui vous transpercent par leur aspect orageux. Une petite taille de guêpe dynamique d’environ 1m65, un poids plume, mais elle n’est pas frêle pour autant. Elle a des mains fines et délicates, toujours fraiches.

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enilix

Anciennement Déjanire, ange de la pureté
A présent, il se nomme Anderson Cillan

Avant : Regard épuré. Courbes voluptés. Tout le monde ne regardait que toi, que c’est bon de se sentir chez soi. Qu’on aimait tes gestes maternels, qu’on désirait te voir déployer tes ailes. Femme voluptueuse, ce regard clair de tueuse. Tu les faisait tomber un par un, Cupidon devait être heureux que tu sois des siens. Que tu sers les pauvres contre ton sein, que la joie ils en soient plein. Que de générosité qui respirait pourtant la naïveté. Mais on te voulait, désirait quand même. Car c’était ton air stupide qui montrait que tu étais au antipode de cupide. Ton visage glacé, des traits respectés. Déjanire qu’on aimait tant dire. Tien nous fort contre toi, car ton coeur bat si bien. Unique en ton genre, tu étais l’attention du centre tant on t’aimait, tant on en voulait à l’air que tu respirais. Tu n’étais jamais seul, les autres idolâtrent ta chaleur.
« Si influençable, imaginé si le courant l’emportait. Protégez la, elle est si fragile. Aimez la, jusqu’au dernier battement de cil. Mais et si l’amour lui détruisait la vie ? Obsessive, amoureuse pour trois, on ne l’arrête pas, elle fera de son hôte un roi, et c’est des bouffés importantes d’airs qu’elle le priva. »
Tu t’appelais Déjanire, et c’est de lui dont tu es tombé ivre. Que faisait-il de ne plus vouloir le lâcher d’une semelle ? Tu ne l’aimais que trop. Excessive, jalouse, possessive, tu étais la seule à porter sa blouse. Femme parfaite, c’est ce qu’on disait. Mais qui aurait pensé que le monstre sous le lit attendait de vous entendre jouir ? Ce sont tes démons, tes craintes et tes peines. Elles t’effraient ? Mais ce sont elles qui te t’on fait fauté. Oui, c’était de ta faute si le jugement était tombé. A trop montré qu’il était à toi, on te la retirer. Aujourd’hui, inconscient, tu le cherches dans une boite qu’on appelle souvenir. Mais consciemment, tu étais bloqué dans le stade amnésique. Elixir d’amour. Nuit et Jour. Couple sourd.

Déchires le. Ce n’est ton genre. Abîmes le. Tu finiras en cendre.

Après : La nuit, c’est ton foyer. Le petit 2 pièces dans un hlm pourrit. Le mascara posé sur non loin de la télé. On entendait d’ici la voisine et son abrutit. Aboyaient-ils, Hurlaient-ils, Et que grince le parquet, fatigué de supporter. Papier peint décollé, décoloré, finalement assorti à ses tapis couleur pisse. Un lit pour deux, un sommier miteux. Une table pour trois, une assiette dans le lave-vaisselle. Il ne fonctionne plus. Le réparateur dit qu’il viendra dans une heure. Mais c’est le temps qu’il prendra pour décoller son cul de son sofa. Un ventre de bière c’est si lourd à porter, le pauvre, il doit être épuisé. Le débouche wc plus utile que la chasse d’eau, une douche accueillante pour les moisissures. Un miroir qui ne reflète que la poussière.

C’est un appel à l’aide. Un ange perdu sur terre.

Cauchemarder de poings. Cillan n’est qu’une catin. Collection de fonds de teint. Ce n’est pas humain. C’est la voix de l’animateur qui dissipait son regard, c’est sa possessivité qui allait briser chacune de ses veines. Tu l’entends, t’attrapant avec haine te dire lascivement je t’aime avant de toucher ce corps doucement. Tu vis dans l’obscurité, tu y as toujours vécu. La peur te domine, le regard fuyant la remise. Et il te dira de mettre ta chemise, retire cette jupe, assume ta mise, tu n’es pas dupe. Tu as bien compris que tu étais sa cible comme sa chienne. Cillan, ta vie n’est qu’une merde. Mais tu positive malgré que ton pessimisme te dévore la chair. Toujours plus belle. Toujours plus de haine. Sensuelle malformation. Malsaine perversion. Que les vers dévorent ton fléau. Tu es si mal dans ta peau. Accro à la drogue, accro à la bite. La vie est rude, et tu l’avais compris. On mâche ses mots, pas ses pensées. On restreint son champ de vision, baisse les yeux, t’es une victime de la vie. A-tu honte, femme humiliée, battu car tu pourrais être père. Elle essaye de fuir ce corps, et ce sont dans tes rêves que tu l’as retrouvé. Non, tu n’es pas Cillan, non tu n’es pas né pour être un frère.

Pouvoir : Autrefois, les pouvoirs de Dejanire était un total contrôle sur la lumière aussi bien de manière propre ou figuré. Car oui, elle maniait aussi la conscience des gens, les éclairant et les portant à faire plus facilement les bons choix. On disait que c’était le destin, mais c’est plutôt un ange qui nous éclaire..

Description physique : Quand tu passes dans la rue, on admire ce regard bleu clair si apaisant. Mais, quelle séductrice ! Jolie postérieur, jolie bouche pulpeuse, petite taille, tout ce qu’on aime chez une femme. Quel peau de porcelaine qu’est la tienne. Cillan, que tu es belle. Démarche féminine, mais les yeux sur le sol, c’est la crainte qui te possède. Les bras replié, tu te caches derrière des traits tendres. Montre nous ta chair. On veut tâter la viande que tu n’oses plus dévoiler. Oui Cillan, tu te caches car tu sais que derrière ce jolie visage, ses yeux bien maquillés, ton nez fin, tes joues rosées. Oui, derrière ça, sous la couche de maquillage et les 10cm de talon. Mets toi nu et on comprendra que tu es loin d’être comme les autres. Salope couvertes de bleu, tu es dominé. Mais tu es un homme, n’as-tu donc pas encore plus honte ? Bien sûr que si, tu n’aimes pas ton corps, tu n’aimes pas sa domination pourtant c’était lui que tu avais choisi. Car drogué accro au sexe, il était le seul à te toucher autant.

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