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- Date de création :
- le 21/09/2017 à 21:33
Présentation
Club principal.
Anges Déchus.
Uso
Ohriel, dit Ange de la Patience.
Avant : Ohriel a toujours été du genre à garder son calme, voir même à rester silencieuse. Un Ange, toujours derrière les autres, à réconforter les plus faibles lorsqu'ils tombaient.. Elle prenait son temps pour peser le pour et le contre de chacune de ses actions. Jamais elle ne faisait quelque chose d'irréfléchi.. Sauf quand elle tomba amoureuse. Un sentiment si nouveau, si intense, et si perturbant pour elle. Elle qui semblait toujours douce, sans jamais aucune action brusque, d'une finesse et d'une grâce incomparable, se sentait comme un enfant maladroit devant cette personne. Cette personne si hypnotisante pour elle. Elle ne pouvait pas en détacher le regard. Et ils s'aimèrent tous les deux. Si fort. Elle avait l'impression de perdre pied. Son coeur s'accélérait à sa vue, ses joues chauffaient. Elle n'avait jamais connu ça. Les Anges n'étaient pas sensé connaître ça. Mais elle se sentait emplie de bonheur. Elle aimait toujours autant conseiller les autres, les écouter parler pendant des heures et leur parler, de sa voix douce est envoûtante. Elle était devenue dépendante de l'amour qu'elle ressentait. Elle se sentait si paisible, si calme. Elle avait l'impression d'avoir été plus sereine qu'elle ne l'avait jamais été. Son coeur était comme comblé, par une douce chaleur, un doux sentiment, qui la faisait s'endormir avec un sourire aux lèvres. Tout était si beau, tout était si parfait, jusqu'à ce que l'on découvrit leur histoire. Tout bascula. Tout changea. Et Ohriel ne sera plus jamais la même.
Après : Ohriel a passé une certaine limite qu'elle n'avait franchi. Un caractère calme comme le sien aurait pu passer jusqu'à la froideur et le mépris mais ce n'était jamais, ô grand jamais.. Sauf quand cette personne est partie. Ohriel a pleuré, crié, supplié, après s'être longtemps contenue, en se disant que tout se passerait bien, qu'il fallait attendre, attendre que les choses s'améliorent. Mais il n'en en fut rien. Rien. Cette personne aimée alla sur Terre, condamnée à tout oublier.. à oublier Ohriel, et vivre éternellement les tournants des humains, loin de la paisible vie d'Ange. Ohriel ne supporta rien de tout ça, elle détruit tout autour d'elle, criant, s'agitant, pleurant, suppliant, loin de l'image si pure et si belle de l'Ange, elle avait été corrompue, corrompue par cet amour si fort, qui la consummait. Elle fut envoyée comme tous dans la 'Décharge' des Anges. Ses ailes furent déchiquetées et noircirent. Son pouvoir, si pur, si beau, visant à soigner les blessures physiques et mentales des autres se transforma en un don destructeur. A la moindre contrariété, elle blessait tout le monde, criait en tenant sa tête entre ses mains. Puis, elle a pu entrer dans sa tête. Dans la tête de cette personne qui occupait ses pensées matin et soir, qu'elle voulait tellement revoir, serrer dans ses bras, sans qui elle ne pouvait même pas envisager l'éternité, son amour éternel, la moitié de son âme. Simplement, cette personne avait tout oublié. S'était refait une vie. Plus aucun souvenir de Ohriel, plus aucun sentiment envers elle. Tout cela ne fit que faire grandir la haine qui dormait quelque part au fond d'elle et qu'elle tentait tellement de contenir, effrayée par sa propre force et par son propre désespoir. Mais elle laissa tout éclater. Elle se ferma totalement et chaque nuit passée dans ses rêves ne faisait que faire grandir sa haine et ce sentiment d'injustice qui lacerait son coeur. Elle n'arrivait plus à pleurer, pas plus qu'elle n'avait assez de voix pour crier. Elle pouvait simplement regarder cette personne de loin, s'infiltrer dans ses rêves en causant sa peur, envers Ohriel, Ohriel qui s'était retrouvée détruite petit à petit pour ne laisser qu'un être brisé qui n'avançait que grâce à sa rage.. et à l'espoir que son amour se souviendrait un jour d'elle et qu'il irait la sortir d'ici, l'enlacer, lui dire que tout était fini et qu'ils partiraient ensemble, loin, et enfin sourire. Mais rien ne se passa. Alors elle économisa ses forces et la fit venir.. cette personne.. si chère à son coeur.. elle ne croyait même pas pouvoir réussir ça.. mais elle réussit.. elle réussit.. Elle était là, devant elle.. mais elle ne ressentit qu'une tristesse immense en voyant ses grands yeux effrayés la regarder, elle.. la passion avait été remplacée par une expression qu'elle ne lui avait jamais vu. Son coeur se serra tellement, et, comme elle le faisait chaque jour, elle transforma sa peine en colère pour ne pas s'effondrer.
Elle a le pouvoir de guérir les gens. Enfin l'avait. Maintenant.. Elle arrive juste à les blesser en laissant sortir sa colère.
?
Ohriel a des cheveux coupés courts, lui arrivant au niveau de la mâchoire. Ses cils sont de la même couleur, de même que ses sourcils, assez discrets. Elle a un long nez, de grands yeux d'un bleu profond et des lèvres pâles, à peine rosée. Son apparence lui donnerait une allure complètement irréelle. Elle est grande et fine, bien qu'ayant des formes aux bons endroits. Ohriel avait une apparence très pure avant. Sa peau est désormais injectée d'encre noires, le blanc de sa peau contrastant étrangement avec les tatouages très noires qui parcourent cette dernière. Ses tatouages représentent diverses choses mais la plupart du temps, l'encre se déplace lentement sur sa peau. Ses ailes blanches, immenses, d'un blanc si pur, dont elle était si fière, ont disparu pour laisser place a des ailes noires, abîmées, déchiquetées par endroits, douloureuses, faisant écho à tant de mauvais souvenirs. Ses cheveux, normalement d'un blanc pur aussi aveuglement que l'était celui de ses ailes, ont légèrement grisé, pour prendre une teinte plus triste. Sa voix, avant très calme, claire et apaisante, s'est cassée, et a laisser place à une voix plus brute, légèrement tremblante par moments, cassante. A vrai dire, c'était comme si toute la douceur de Ohriel s'était transformée en froideur cassante. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Ohriel qui avait toujours eu une température corporelle très élevée, s'est refroidie, à mesure que le temps avançait dans cette prison où elle était obligée de rester. Elle est donc souvent repliée sur elle-même, tremblant légèrement, à cause du froid. Les oreilles de Ohriel sont percées a de très nombreux endroits. C'est à chaque fois qu'elle a blessé quelqu'un à cause de son pouvoir. C'est un peu comme pour se punir, ou se souvenir de ce qu'elle a fait. Parfois ça l'aide à se calmer avant de faire n'importe quoi. Parfois non.
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maggi
Élouan
Avant : Élouan était fier. Fier de ce qu'il était, de ce qu'il dégageait et surtout le fait d'être un ange. C'était un être haut en couleur et toujours heureux. Il n'était jamais triste ou quoi que ce soit, préférant voir les choses du bons côtés. Élouan était toujours positif même lorsque c'était un peu inutile. C'était un moulin à parole qui avait toujours des sujets de conversations. On pouvait discuter sur tout avec lui, allant du sujet le plus débile à une discussion sérieuse et peut-être même philosophie. Les questions existentielles -un peu insignifiante, dans son cas- il les posait sans gènes.
Élouan ne fesait pas que parler, heureusement. Il s'intéressait aussi aux autres et il était très attentif quand on lui racontait quelque chose. Seulement, il se mit à s'intéresser un peu trop à un ange en particulier. Cette personne qu'il commençait à de plus en plus apprécier et même à aimer, Élouan ne l'a lâchait plus. Même si son esprit lui disait d'oublier cet ange, que c'était mal, il préférait enterré cette petite voix en lui et vivre le moment présent. Il y avait un risque, mais l'amour que Élouan éprouvait le rendait complètement aveugle. C'était comme une drogue qui enveloppait son esprit et qui retenait absolument toute son attention.
Après : Élouan ne pouvait le supporter. Son amour, sa drogue, lui a été arraché. On lui enlevait sa moitié, tout ça à cause qu'il ne l'aimait pas également au autre. C'était horrible de lui enlever une personne qui lui était si cher. Élouan ne comprenait pas pourquoi on le lui enlevait et encore aujourd'hui il se le demande. Le vent doux qu'il provoquait autrefois se transforma rapidement en tornade, détruisant tout sur son passage. On peut le sentir venir avant même qu'il soit dans les parages, l'air ambiant changeant subitement à cause de sa tristesse. Mais c'est très rare, sachant que la plupart du temps il reste enfermé dans sa chambre, évitant le vent comme la peste. Il ne veut faire de mal à personne.
Depuis, son âme sœur lui manque. Sa vie d'avant aussi. Aimer une personne aussi intensément était une erreur, même si Élouan n'a jamais connu un bonheur pareil. Si seulement il aurait été capable de se contrôler, la douleur et la colère qu'il ressent aujourd'hui ne serait pas là. La colère est là depuis qu'il a réussit à entrer dans les rêves de son amour. Il croyait sincèrement qu'au fil du temps il finirait par le reconnaître. Mais voyant que cette personne l'avait oublié, Élouan se mit à le haïr. Il est sans cesse en colère, mais désespérément amoureux. Il a sans cesse ce sentiment de confusion et ça le rend fou de ne pas savoir ce qu'il ressent.
Élouan contrôle le vent. La petite brise matinale il peut la faire changer radicalement en une tornade, surtout avec les émotions qu'il vit présentement. Son pouvoir est plus destructeur qu'autre chose en ce moment, même si il essaye le plus possible de se contrôler.
?
Depuis qu'il est devenu un ange déchu, Élouan à énormément changé. Pas seulement mentalement, mais aussi physiquement. Ses couleurs se sont rapidement dégradé, sa peau devenant blanchâtre et ses yeux autrefois bleus sont devenu noir. La fierté qu'il possédait dans sa démarche a aussi disparu. Il a toujours le dos recourbé ce qui lui donne presque un air plus vieux.
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Paphilionne
Thrusiel (Un des anges de l’arc-en-ciel, Ange de ceux que le péché a rendu muets).
Avant : Si on aurait pu décrire Thrusiel avec un seul mot, cela aurait probablement été « douceur ». Toujours désireux d’aider les autres, patient, calme et compréhensif. Il excellait dans l’art d’accorder le pardon et de rassurer ceux qui s’étaient écartés du droit chemin. Thrusiel ne parlait jamais beaucoup, il n’ouvrait jamais la bouche pour rien. Quand il parlait, tout le monde se taisait pour ne manquer aucun mot de sa sagesse. Mais cela ne le handicapait pas, il arrivait généralement à se faire comprendre sans parler. Il vouait à tous un amour inconditionnel et n’aurait jamais imaginé un jour pouvoir ressentir quelque chose de plus fort pour une personne en particulier, plus que pour tous les autres.
Et pourtant, quand cette personne était venue le voir, quelque chose en lui avait été touché de manière un peu plus intense qu’il ne l’aurait jamais espéré. Peu à peu et avant qu’il n’ait le temps de s’en apercevoir réellement, cette personne devint sa raison de vivre et il se découvrit un nouvel aspect de sa propre personnalité. Lui qui était plutôt effacé et humble se sentait fort et assuré en sa présence ; lui qui était d’ordinaire si posé et droit commençait à découvrir la signification de la passion, chose qui ne convenait tellement pas à sa fonction ; lui qui était si sérieux, commençait peu à peu à délaisser son devoir.
C’est peut-être cela qui les a trahi d’ailleurs, oui, c’était sûrement de sa faute. On les découvrit, et l’Idylle prit fin. Son amour lui fut enlevé et expédié dans le monde des humains, lui fut exilé tel un déchet. On lui arracha une aile, et l’autre se couvrit d’une atroce couleur noire qui jurait tellement avec ce qu’était Thrusiel.
Après : Perdu, seul et triste à en crever, il n’a pas parlé depuis et ne sais même pas s’il en sera de nouveau capable un jour. Enfermé dans son mutisme, les seules choses qui lui permettent de ne pas totalement sombrer sont sa capacité à rendre visite à sa moitié dans ses rêves, ainsi que les petits animaux de la forêt qu’il apprivoise sans effort. Son doux rayonnement s’est transformé autour de lui en aura sombre, pesante et qui a quelque chose de.. « sale ». Toujours à l’écart et prostré sur lui-même, parfois même dans sa bulle (au sens propre comme au sens figuré) il ne fait plus confiance à personne et préfère la compagnie de ses petites bêtes. Il n’est pas en colère, à part contre lui-même peut-être, il se sent juste vide et rongé par la culpabilité. Il n’est pourtant pas hostile. Juste… Absent.
Il peut contrôler l’eau.
? (Un homme ? ;v;) (J'ajouterai des modifs si nécessaire)
Thrusiel a une apparence assez androgyne, avec sa silhouette délicate et élancée. Ses cheveux platine, presque blancs sont d’une légèreté et d’une finesse incomparable. Il est très pâle, a de grands yeux gris clairs ornés par de longs cils blancs. Ce qui faisait de lui auparavant une beauté lunaire s’est peu à peu transformé en une allure fantomatique. Lui qui était déjà très fin est devenu maigre à l’extrême. De grands cernes gris entourent dorénavant ses yeux qui se sont creusés, transformant peu à peu son regard bienveillant en quelque chose de vide, d’absent. Son visage qui était la douceur incarnée est devenu plus anguleux. De ses deux ailes duveteuses autrefois d’un blanc éclatant, il n’en reste plus qu’une, noire comme de l’encre, qui traîne toujours mollement derrière lui.
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enilix
Jonas dit autrefois comme ange de la miséricorde.
Avant : Auparavant, dans un temps qui te semble bien trop lointain, tu étais un ange qu’on ne respectait que trop bien. Ton sourire nous manque, tes yeux se planquent. La bague au doigt, qu’elle tourne à la mesure de tes pensées et que cette cigarette trop vite parti en fumée sache le faire revenir à toi. Mais non, dans le silence qui t’as accaparé, c’est la mort que tu cherches pauvre demeuré.Assonante vision du vide, que ton regard mélancolique. Te souviens tu de ses yeux qui cherchaient les cieux ? Tu étais si heureux, jamais tu aurais penser te prendre un pieu. Ta pensée était digne d’une balance, tu as toujours réfléchit avec du sens. Des paroles jamais mâché, droit et juste c’est ce que tu es. Que jamais celui qui a craché sur ton nom se dévoue si c’est arrivé, mais pourtant c’est toi, ton charmant sourire, tes atouts de fiabilité qu’on a toujours aimé. Tu pardonnais. Tu chérissais. Tu protégeais. Jonas, c’était toi et tes valeurs qui leur a fait oublié les heures. N’a-t-on jamais compté sur toi comme un enfant compte sur ses doigts ? N’a-t-on jamais volontairement fauté pour chercher du regard ta volonté d’aider ? N’a-t-on toujours pas dit que tu es le bijoutier de la vie ?
Cette apparence qui nous faisait croire à un présomptueux, tu l’as brisé au moment où ton nom montrait que tu étais avec eux. Toujours bien coiffé, toujours bien apprêté, toujours bien accompagné. Pourtant ta chaleur n’a jamais été dévoilé. Cette tendance à être un homme distant, tout l’avait vu avec le temps. Tu n’étais pas fait pour rentrer dans un groupe, si tu avais été humain tu ne serais jamais rentré dans le moule. Parfois tu te questionnais, « Ai-je réellement l’étoffe d’un ange, un vrai ? »
Ange de miséricorde, ton grade c’était ton sort. Aurais-tu aimer une corde pour pendre ce si jolie corps ? Penser aux autres ne re réussissait pas, tu oubliais alors que toi aussi tu avais le droit à ça. De gentillesse. De compliments. De caresses. De sentiments. Le manque de confiance t’a toujours rongé, autant que ta recherche d’identité. Mais c’est dans ses yeux que tu t’es retrouvé. Toi qui n’a jamais plus détourné le regard. Qui regardais-tu comme ça, lui ou le toi qu’il aimait tant décrire ? Amoureux ou Narcissique ? Quoiqu’il arrive, tu as perdu la mise. L’as tu entendu dire qu’il était heureux de partir ? L’as-tu entendu dire qu’il était celui qui avait demandé à te quitter ?
« C’est un égoïste. Un menteur. Un hypocrite. »
Ce que tu aimais t’avais détruit. Toi qui avait grâce à lui, cet ange miroitant ton âme, avait retrouvé un calme. Il te donnait de la valeur. Il te donnait envie de vivre. Pervert à l’heure, il ta proclamé le nuir. Lui qui hantait tes journées, qu’arriverait-il si tu hantait ses nuits ? Oeil pour oeil, dent pour dent. Il n’y aura plus d’échéance ni de redondance. La vengeance est un plat qui se mange froid, mais qu’arriverait-il si séduire était un choix ?
Pleurs de ton âme. Lâme dans ton coeur.
Toi qui finalement, compris ce qui te manquait dans ta vie. Toi qui grâce à la lumière avait compris que ce sont les ténèbres qui t’inspirent.
Après : Et maintenant, les choses ont bien changé. Égoïste, oui, finalement compris que c’est ce que tu étais. Tu es attiré par la solitude, pourtant manipulateur, tu t’es très vite rendu compte que tu avais besoin des autres pour vivre. Oui, tu es dépendant de leur amour, de leur regard, de leur attention. Tu as besoin de leur sourire ou de les faire souffrir. Tu as compris que tu ne pouvais plus pardonner. Rancunier, tu désirais la vengeance; Que l’on paye le prix. Ne dit-on pas que la vengeance apaise la haine ? Oui, et ta haine dégoulinant, parfois elle te prend aux tripes jusqu’à ce que tu en dégobille ta joie. Qu’est-ce que c’est finalement l’amour quand même un ange est capable de trahison ? Mais grâce à lui, il avait compris où était sa vraie place. Dans les ténèbres. Il n’avait plus besoin de se sentir mal car ici, c’était lui qui rongeait son mal. Pourtant, ta colère ne ressort pas. Tu sembles être une tombe, ton corps vagabondant sans cesse. Ton visage livide possède des très porté au passé, ton regard fuyant semble te donne un air blessé. Finalement, enlacer par l’obscurité, chercherais-tu à te creuser une place comme un suicidaire cherche à se creuser une tombe ? Oui, peut-être que tu n’aimes pas la vie. Mais cruel, tu avais décidé de pourrir celle des autres. Pourquoi pouvait-il être heureux et pas toi ? Tu leur en voulais. Tu les enviais. Donnes lui plus, à cet homme aux airs taciturne et présomptueux. Cet impression de distance qui finalement ne l’a jamais quitté, c’était un malheureux souvenir d’un passé qu’il n’aimait pas reconnecté à ses pensées. Oublié, il aimerait tant le faire. Mais non, il cauchemarde en silence, rapportant tout au temps qui ne passe pas assez vite;
« Vite que les heures défilent, que la vieillesse me brisent. Que le temps me marquent mais efface mes cicatrices, que mon dos qui se voutera catapulte au plus loin mes souvenirs les plus assommant. Et que si dieu aime vraiment, qu’il apprenne à pardonner à quelqu’un qui ne sait jamais réellement aimer. Mais j’avais oublié, on ne prie pas en enfer. »
Tu te tais. Tu observes. Tu reste mesuré, tu sais te faire respecter. Intimidant c’est tout nouveau pour toi, mais tu es un voyou, les gens ont peur de toi. Calculateur comme tu l’as jamais été, as-tu sûrement déjà compris que tu n’étais pas normal, mais qui serait capable de l’admettre si il l’apprenait ? Tu n’ouvriras plus les yeux, tu cherchais que trop ta liberté dans le sombre de tes pensées biaisés.
Pouvoirs : Il possédait auparavant le pouvoir de solliciter la chance chez un individu, soulevant relevant chez lui des choses qui relèvent du miracle, parfois redonnant même vie à certaines personnes. A présent, son don est synonyme de destructions et de mésaventure. Croiser son regard est sûrement bien pire que briser un miroir, et son touché sera vous infecter des petites au pires maladies. Et si il le voulait vraiment, peut-être que la mort lui serait à portée de main.
Descriptions physiques : Jonas est un homme d’une taille plutôt moyenne, un peu musclé sans pour autant être sculpté. Un visage fin, des mèches droites, des yeux plutôt ronds et cernées. Son teint est pâle. Autrefois, son apparence ne semblait pas aussi maladive, mais aujourd’hui, c’est son nouveau lui qui lui dézingue la santé. Cet homme est fatigué, et ça se ressent dans sa contenances. Sa manière de s’habillé est entre le chic et le dépravé. Il adore les chemises autrefois il aimait aussi sa cravate qu’il n’arrivait pas à attacher, mais il faut croire qu’il l’a perdu en cours de route. Jonas semble posséder de la tristesse au fond de ses yeux verts qui finiront toujours après avoir longuement observer se poser sur la montre qu’il aura toujours au poignet, l'air frustré -Serait-ce que l'impatience ?-. Une démarche plutôt droite et élancé, il en émane pourtant une certaine antipathie qui lui donne un aspect effrayant et intimidant. Les épaules droites, ouvertes, ne semblent plus vouloir se refermer ce qui autrefois était le cas. Cet homme c’est découvert, il a confiance en lui et on le remarque à ce petit rictus qui parfois montre à quel point en un temps indéfinissable, il a évolué et pris en charisme.
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Rêveurs.
Uso
Elijah
Knox
Sorel, dit l'ange qui possède le Don de la force d’âme
Avant : Il s'appelait à l'époque Sorel. Sorel était.. tellement différent. Et c'était bien pour ça qu'il était respecté par tout le monde. Et surtout apprécié. Il était tellement différent. Libre et Sauvage. Il pouvait tenir tête à n'importe qui. Il disait tout ce qu'il pensait sans se retenir. Il était tellement énergique, vivant. Blesser les gens ne lui faisait absolument pas peur. Il préférait l'honnêteté au mensonge. D'après lui, de toute façon, un mensonge finissait toujours par blesser plus que la vérité. Alors il disait tout ce qu'il pensait, que ça plaise ou non. Il était malin, moqueur, énergique. Il avait beau ressentir de réelles émotions, il ne les montrait pas. Enfin, surtout la joie et la tristesse. Jamais il n'aurait pleuré devant quelqu'un, jamais. Il était surement la personne la plus fière que vous auriez pu croiser. Il aurait préféré milles tortures que de se montrer aussi faible. Il avait d'ailleurs tendance à s'isoler et fumer - oui, pour un ange, disons qu'il était toujours à deux doigt d'être déchu, mais tout le monde avait besoin de lui - quand il était triste ou que quelque chose le contrariait. Il avait du répondant et les insultes, les mauvaises pensées envers sa personne, le faisaient plus rire qu'autre chose. Il était fort, mentalement surtout. Il s'énervait aussi très vite. Il partait, comme ça, dans des crises. Il était vif et s'exprimait librement, sans penser si ce qu'il pouvait dire allait blesser son interlocuteur ou non. Sorel était aussi un Ange fainéant qui n'hésitait pas à dire clairement non si une personne l'importunait.Vous pensez bien qu'il n'avait pas prévu, de tomber aussi amoureux. De tomber amoureux tout court. Comme d'habitude, il était passionné, follement amoureux et n'avait peu de rien, ni des représailles en cas de découverte de leur histoire, ni du regard que pourrait porter les autres sur eux. Tout ce qui importait, c'est cette personne. Seulement cette personne, et rien d'autre. Il l'aimait comme un fou, sans bien savoir pourquoi. Mais ça lu était tombé dessus comme ça. Et il n'aurait jamais cru que cet amour puisse être réciproque. Bien sûr, il y était allé en mode bourrin et n'avait pas eu peur de lui avouer clairement ses sentiments, même si il n'arrivait pas à mettre les mots dessus. Il lui dit qu'il ne pouvait simplement pas contrôler son coeur en sa présence, que l'avenir était impossible à envisager sans sa présence à sa ses côtés et que peu importe ce qu'il arriverait, il l'aura toujours quelque part, encré en lui, pour toujours. Il était si.. heureux. Simplement heureux. Et leur amour fut découvert. Et ils furent séparés. Il cria si fort qu'on lui rende son amour, qu'ils n'avaient rien fait de mal. Il fut alors envoyé sur Terre et oublia tout. Il tenta tellement de choses pour qu'ils ne soient pas séparer.. Il avait toujours été fort, à se dire que rien d'aussi terrible n'arriverait, et que jamais il n'oublierait, mais il sentit avec panique ses souvenirs disparaitre sans pouvoir y faire quoi que ce soit..
Et il devint alors Elijah Knox, un simple humain.
Après : Elijah est un jeune homme qui n'a.. strictement aucune force d'esprit. Il fera ce que vous lui dites de faire, ne dira jamais non ou très rarement non. Il estime simplement que c'est parce qu'il est bien élevé.. ou qu'il ne veut blesser personne. C'est surement son plus gros problème d'ailleurs, ne vouloir blesser personne. C'est d'ailleurs pour ça qu'il se retrouve souvent dans des situations délicates ou chacun des partis s'aperçoit que le jeune homme a menti, à tout le monde. Mais il a quelque part au fond de son coeur, cette phobie de blesser quelqu'un.. comme si il avait déjà l'erreur avant.. pourtant ce n'est pas le cas. Dans cette vie. C'est une personne très émotive qui pleure facilement même si il ne s'énerve que très rarement, aussi rarement qu'il ne s'exprime clairement et affiche son avis, dit ce qu'il pense. Il essaie sans cesse de se faire discret, se referme sur lui-même à la moindre réplique blessante. Il a tendance a sourire même si ça ne va pas, même si ses larmes coulent sur ses joues. Il a un gros bloquage qui l'empêche de se faire des amis.. de se lier vraiment avec quelqu'un. Il n'a jamais eu de copine, de copain, ni rien de tout ça. Il ne peut pas. Il a trop peur de blesser, d'être blessé, de mal se comporter sans s'en rendre compte. Pour ce fait, il est assez habitué à la solitude. Elijah n'ira jamais clairement provoquer quelqu'un ni blesser quelqu'un consciemment. Elijah fume quand il est contrarié, ça le 'calme'.. il ne sait plus trop bien d'où il tient cette habitude, surtout que ce n'est pas trop son 'genre'..
Sorel contrôlait l'eau.
?
Sorel n'a pas spécialement eu de changement physique en se retrouvant sur Terre. Seul son caractère a été impacté. Il a toujours eu ces cheveux noir de jais, ses yeux tout aussi noirs, si profonds, cette peau blanche, cette silhouette longiline. Seul changement, il s'est fait percé les oreilles, il voyait plusieurs personnes faire ça autour de lui alors il l'a fait. Sorel n'est pas très grand mais il arrive à la taille correcte de 1m72. Sorel s'habillait toujours en noir, en gris, ou blanc. Disons que sa palette de couleur n'était pas très large. Elijah a plus tendance à s'habiller comme on lui conseille. Il porte généralement des vêtements très simple qui lui donne parfois un petit air de premier de la classe. Si Sorel passait beaucoup de temps dehors, Elijah non. Etant plutôt du genre à s'isoler, il passé de nombreuses heures sur son ordinateur à lire des choses, écrire, notamment, et a donc besoin de lunettes, pour lire notamment, ou parfois quand ses yeux sont trop fatigués, notamment le soir. Il pourrait parfaitement être qualifié de ' beau garçon ' mais il n'a jamais vraiment cherché à plaire, disons donc qu'il n'a pas conscience de ses capacités - en tant que Elijah, Sorel ne se gênait pas pour profiter de sa belle gueule -, il se tient souvent les mains dans les poches, les épaules rentrées, le regard pointé vers ses chaussures, ce qui lui donne un aire un peu maladroit. Ses lèvres sont très abîmées car il a tendance à les mordre quand il stresse ou qu'il ne comprend pas quelque chose, chose qu'il n'a jamais fait, Sorel ne connaissait pas le manque de confiance en lui la plupart du temps. N'étant qu'un simple humain dans son esprit, il n'a bien sûr plus ses ailes mais si on observe bien, on peut parfaitement voir une petite cicatrices dans son dos, à l'endroit où elles sont sensées apparaître.
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maggi
Anciennement Hyacinthe,
Désormais Mia Michaelson.
Avant : Avant, Hyacinthe était tellement... différente. Différente de ce qu'elle est à présent en tant que simple humaine, à cause d'un amour considéré comme interdit. Cet amour qui lui provoquait autrefois un bonheur qu'elle n'aura plus jamais, c'est effondré sous ses yeux en un claquement de doigts. Hyacinthe croyait que rien ne serait découvert et refusait de croire qu'elle serait peut-être un jour arrachée subitement à cette vie. Hyacinthe possédait un calme impressionnant face à toute situation. L'unique fois où elle perdit le contrôle fut lorsqu'on lui arracha son bien aimé, celui qu'elle aimait tant. Pour elle, perdre le contrôle signifiait verser quelques larmes et faire de son mieux pour ne pas hurler. Pourtant c'était le contraire de ce qu'elle voulait démontrée, c'est-à-dire son opposition totale contre le fait que l'amour qu'elle éprouvait était impossible. Elle devait absolument rester forte, pour ne pas inquiéter son âme sœur. Rassurer les gens, c'est ce qu'elle aimait. Un simple sourire venant de quelqu'un d'autre après des heures à pleurer rendait Hyacinthe heureuse, simplement à cause qu'elle avait ce sentiment d'accomplissement. Son bonheur elle l'avait avec les choses simples.
Après : Hyacinthe est devenue Mia. Cette Mia dévergondée et excentrique qui connait tout sur tout le monde en un simple regard. La honte, elle ne connait pas. Le jugement que les autres portent sur elle l'importe peu, tellement qu'on a l'impression que son mental est recouvert d'une armure. Elle ne laisse passer aucune insulte, peu importe si elle lui est adressé ou non. Le petit garçon qu'on insulte, ses amis, son voisin ou même une demoiselle dans un magasin, les insultes et le sarcasme ne passe pas avec elle. Ce côté protecteur et mère poule, Mia le possède avec tout le monde peu importe l'âge ou l'apparence de la personne. Mia a encore une petite partie d'Hyacinthe en elle. Pas quelque chose de grand, non, mais juste le fait de rassurer les gens l'enchante toujours. Elle n'a aucun souvenirs des autres personnes qu'elle aurait pu rassurer auparavant, mais dans le monde des humains Mia se souvient de tout le monde. Sa mémoire est incroyable, tout comme son don de remonter le moral.
Mia à une vie banale. Elle vit seule dans son petit appartement avec un chat à moitié aveugle. Son chat elle le déteste et ce sentiment semble réciproque. Elle a tenté de le vendre une fois, mais la famille qui l'avait adopté se son rapidement rendu compte du caractère agressif du chat. Mia est donc condamné à vivre avec ce chat, à la vie à la mort.
Elle n'a pas vraiment de famille, si on ne compte pas sa voisine de palier d'une soixantaine d'années qui semble l'avoir prit sous son aile. La grande ville, c'est un labyrinthe pour elle. Mia à donc eu pour seule amie pendant longtemps cette charmante dame, qui lui offrait -et lui offre toujours- des plats fait maison.
Hyacinthe pouvait lire dans les pensées. C'est comme ça qu'elle c'est rapidement attaché à un autre ange, voyant que son sentiment semblait réciproque au fil du temps.
?
Hyacinthe à un peu changé depuis qu'on lui a enlevé ses souvenirs, mais rien qui ferait qu'on ne la reconnaîtrai pas. Sa peau est devenue légèrement plus foncée, sachant qu'elle avait une couleur légèrement plus caramel avant. Des tâches de rousseurs sont apparus un peu partout sur son corps ainsi que sur son visage, lui donnant un air légèrement plus jeune. Elle a sa même silhouette qu'avant, avec des courbes et une grandeur un peu haut dessus de la moyenne.
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Club Personnage 2