Citation/ Texte :

Le temps file à la vitesse de tes pensées plus besoin de regarder l'heure.Tu laisses paraître ta tritesse que  lorsque le ciel perd ses lueurs t'as signé un contrat avec le bonheur durant vingt quatre heures.

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Pourtant on est pareil.

Pile ou face soit je t'aide soit je t'enfonce, je suis pas une princesse j'ai plus la gentillesse de Raiponce.

Ne soit pas bête ne fais pas confiance facilement je peux te le dire ça défonce. La plu part n'hesiterai pas à te jetter dans les ronces.

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Et puis personne n'est vraiment libre même les oiseux sont prisonniers du ciel.

J'ai commencé par oublier le son de ta voix.

Cela m'a déstabilisé, j'ai pensé à tappeller mais tu n'allais pas répondre.

Puis j'ai oublié les traits de ton visage, ton sourire et la couleur de tes yeux. 

La photographie que j'avais memorisée au plus profond de ma mémoire s'est vu floutée. 

Tu es en train de disparaître, ton fantôme disparaît...

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La vie est une p*te les Hommes en sont les clients

Il y'avais ce bâtiment prestigieux, si haut que les nuages le chatouillait.
À vrai dire il était sublime, tellement beau que tout les architectes  aurait voulu être son créateur.
Dans ce somptueux bâtiment se trouvait un ascenseur si simple au premier regard mais à la fois fascinant une fois qu'on avait compris son réel fonctionnement.
Cet étroit assenceur nous fesait monter à divers étages, chaque étage vous ouvrez les portes à de nouveaux sentiments. Les plus tristes acouraient au 1er en vu du bonheur éternel.
Les personnes rongeaient par la solitude allez au 2e.
Les âmes perdu et délaisser par Hera se retrouver au 3e à la recherche de l'Amour (...). À ce stade je pense que vous avez compris l'expression être un ascenseur émotionnel.
Plus le temps passez plus cet endroit devenu populaire, on entendait parler de lui à chaque coin de rue.
Un beau jour voulant tenter l'expérience je m'y rendais, marchais timidement. J'appuyait alors sur le bouton lorsqu'il s'ouvrit, j'appuyais alors sur le bouton correspondant à la joie constante.
À mon plus grand malheur il resta bloquer sur le mauvais palier, coupure, secousse, devastement.
Je n'avais pas compris au début je n'avais pas compris où j'avais mis les pieds, avant de voir la petite pancarte indiquant tristesse, solitude.
Et d'un coup tout s'ecroula, absolument tout et je me réveilla, un mauvais rêve ? Non je ne pense pas parce que si tout ça n'était pas réel pourquoi ses sentiments sont là.
Dites moi, qu'un jour l'assenceur redémarrera je ne veux pas, je ne veux pas, restez là..