- Eluviel
- Niveau 1
- Non-scolarisée
- Vendeuse chez H&W
- $ 3
- 34 jours de jeu
- A remporté 3 trophées
mon Look
du jour
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Mes amies
Présentation
"Vis ta vie". C'était ses mots. Les deniers mots en lesquels j'ai crut avant de découvrir toute cette belle masquerade
GRRRR.
« Je voudrais vivre dans une bulle pour toujours,
Parmi les gens qui hurlent et qui n'entendent rien. »
Folie, n.f. : trouble de l'esprit, dérèglement mental.
C'est grave docteur ?
.Il était une fois,toutes les belles histoires commencent comme ça.
Alors, il était une fois une vie, un regard sur le monde.
Aveuglée par les larmes je n'croyais n'rien voir mais la musique m'a donné un langage sans parole.
On n'voit bien qu'avec le cœur, le cœur.
Mais parce qu'à force de vivre, les peines, les joies et les désillusions s'amassent comme l'écume.
Alors un disque.
Animée par la foi d'un idéal, choisir de n'pas s'taire, chanter jusqu'à ce qu'amour s'en suive.
[Home ! Let me go home !]
Alors, non, j'ai rien d'exc.ptionnel. J'ai pas sauté de classes, j'ai pas quarante milles admirateurs, et j'ai pas une voix extraordinaire comme Blanche-Neige. Je ne serais jamais danseuse professionnelle, ni actrice. Je suis pas amie avec la moitié du lycée et, non, je suis pas en couple avec mon-bestoun-chéri-que-je-kiffe-grave. Moi, je fais partie des filles qui rêvent leur vie et qui ne vivent pas leur rêve. J'suis une sacrée perverse, et comme si ça suffisait pas, je suis franche. Parfois même provocatrice, à ce qu'il paraît. Je suis susceptible, et je supporte pas qu'on me dise "tu fais pitié" ou "t'es cxnne". Je m'énerve pour un rien, j'angoisse tout le temps. J'affiche toujours un sourire, même quand je suis sur le point de pleurer. J'attends que quelqu'un me prenne dans ses bras, qu'une personne voit d'elle-même ce que je ressens. Je déteste abandonner quoi que ce soit .
Voilà, je vous présente moi. Moi, c'est rien d'incroyable, rien de fantastique. Mais c'est moi, et je peux rien y faire. Je fais avec. Autant assumer et en être fière, non ?
“ . Tout à ton sujet reste comme un rêve . . [...] ”
Memo :