Informations
- Présidente :
- lyljane
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- 2 messages postés
- Date de création :
- le 25/04/2015 à 21:38
Présentation
Moi
Mes règles
Accepte Refuse La sanction est simple et sans appel; je bloque la(ou le) sailor conscerné(e)
Jeu 1 Votre date d'anniversaire: Jour Mois Première lettre de votre prénom
Jeu 2: Le héros de votre propre histoire: La maison de la mort. Les règles sont simples. Suivez l'histoire à la lettre, les liens vous emmèneront à la partie qui vous concerne. S'ils vous plaît, n'essayez pas de tricher. Et amusez-vous :3 /!\ Ce jeu n'est pas sorti d'un esprit parfaitement sain. C'est même tout le contraire. Je suis une sadique qui aime la mort fictive surtout si elle est cruelle. Vous êtes prévenus. Et e décline toute responsabilité à une éventuelle folie suite à la pratique – intensive ou non – de ce jeu /!\
Vous venez de vous réveiller, sans souvenir de ce qu'il s'est passé. Sur vous, vous remarquez une panoplie semblable à celle d'un agent secret du dimanche. Une chemise noire sous une veste de tailleur noire, un slim noir, des boots noire. En regardant autour de vous, tout est noir... Certains objets de la pièce, une chambre sûrement vu le lit et le bureau, semblent teintés. Et vous retirez enfi vos lunettes, toutes aussi noires que votre panoplie. Le lit sur lequel vous êtes assis est drapé de bleu nuit, les murs sont recouverts d'un papier peint rouge à arabesques blanches, le sol est recouvert d'une moquette en velours rouge, le bureau est noir. Vous voyez aussi un coffre à jouet vert et une armoire rose... Et une partie de la grande chambre, si s'en est une, semble volontairement rester dans l'ombre. Comme s'il ne fallait pas s'en approcher. Vous vous levez. Après tout, pourquoi voudriez-vous rester ici ? Vous regardez tous les murs, mais aucune porte n'est visible. Alors vous collez vos mains à l'un des murs et le longez. Au fur et à mesure, vous vous approchez du coin sombre sans rien discerner. Deux choix s'offrent à vous. Continuer, ou rebrousser chemin.
Vous avez choisi de continuer. Plus vous avancez, plus vous vous plongez dans le noir. Tout d'un coup, plus rien. Le mur à vos côtés se dérobe. Alors vous vous arrêtez. Mais vous ne voulez pas rester là éternellement. Alors vous vous mettez à quatre pattes et avancez doucement. Mais vos mains se font vite écorcher. Il semblerait qu'il y ait des piques aiguisés devant vous. In extremis, vous vous levez, et cherchez un mur de l'autre côté. Rien. Alors vous vous asseyez, et cherchez une solution. Vous n'en voyez qu'une seule, car pour vous, inutile de retourner au point de départ. Sauter. Mais sauter où ? Sur votre gauche ? Sur votre droite ? Ou devant vous ?
Vous décidez de ne pas continuer, et retournez au lit. Plus le temps passe, et plus vous vous demandez si vous avez fait le bon choix. Vous vous sentez bête. Et pas bien. Jusqu'à ce que... Jusqu'à ce que vous remarquiez une écorchure dans le papier peint. Vous vous sautez dessus et arrachez le papier avec virulence. Et voilà. Vous avez trouver une porte. Mais vous avez beau tenter de l'ouvrir, impossible. Elle est verrouillée. Alors vous décidez de chercher quoi que ce soit pour l'ouvrir. Mais procédons correctement. L'armoire ou le coffre ?
Vous avez faim. Alors vous mangez. Ou plutôt, vous vous jetez sur la nourriture. Il faut dire que le tout a l'air bien appétissant. Et que ça l'est. Mais plus vous mangez, plus vous avez faim. Encore. Encore. Toujours plus. Faim. Faim. Faim... Plus faim... Gour...man...dise... Man...ger... Bon... Juste... bon... Manger... En...core... Tou...jours...
Vous vous décidez à sauter devant vous. Vous prenez de l'élan et sautez sans vous soucier de rien. Par miracle, vous atterrissez quelque part. Alors vous suivez le chemin. Vous avancez, encore et encore, et le chemin tourne, encore et encore, sans vous donner la possibilité d'en changer. Jusqu'à ce que vous soyez dans une salle plus qu'illuminée. Vous en êtes aveuglé. Et le temps que vous puissiez récupérer pour distinguer quoi que ce soit, il est trop tard. On vous a poignardé. - Bonne nuit, Camille. Camille ?! Mais ce n'est pas votre nom!!!!
Merci d'avoir joué. Pour recommencer la partie, c'est ici: @start
Pas très à l'aise, vous vous approchez du coffre à jouets. Sa couleur verte vous intrigue, il faut l'admettre. Et, sans plus de cérémonies, vous l'ouvrez. Mais il est vide. Vide. Vide... Ce mot semble sortir d'outre-tombe. Ce n'est pas vous. Quelqu'un d'autre a parlé, vous en êtes convaincu. Vous vous mettez à regarde autour de vous, et juste au moment où vous faites dos au coffre, une main vous happe par le col de votre veste pour vous y précipiter. Vous vous évanouissez sur le coup. Sans le savoir, vous allez mourir de la main. Merci d'avoir jouer, si vous souhaitez recommencer, c'est ici: @start
Fébrilement, vous vous approchez de l'armoire. Vos doigts tremblent. Votre souffle se fait hacher. Mais n'écoutant qu'un courage éphémère, l'adrénaline, sûrement, vous ouvrez l'armoire. Et en découvrez une hache. Un bon objet pour ouvrir une porte. Vous la prenez et retournez face à la porte. La hache semble obéir d'elle même. Et vous voilà à défoncer la porte à coups de hache avant de vous créer une ouverture. Et vous voilà sortis de ma pièce pour découvrir... Une salle de musique. Il y a un piano, une harpe, un violon, un saxophone, une guitare acoustique, une guitare électrique, une basse, une batterie... De quoi faire un bœuf du tonnerre! Mais vous êtes seul. Cependant, vous qui jouez de la batterie. Résisterez-vous ? Ou succomberez-vous à son appel ?
Vous vous décidez à sauter à gauche. Vous prenez de l'élan et sautez sans vous soucier de rien. Par miracle, vous atterrissez quelque part. Alors vous suivez le chemin. Vous avancez, encore et encore, et le chemin tourne, encore et encore, sans vous donner la possibilité d'en changer. Jusqu'à ce que vous soyez dans une salle à manger. Il y a une cheminée, au fond. Et un portrait, dessus. On aurait dit une princesse qui se trouvait devant vous. Et juste à côté d'elle, un prince. Un prince aussi beau que la princesse. Il y avait une table, aussi. Grande. Accueillante. Pleine de victuailles. Cependant, vous ne savez pas si vous avez le droit. Mangez, ou ne mangez pas.
Vous vous décidez à sauter à droite. Vous prenez de l'élan et sautez sans vous soucier de rien. Et là, durant une fraction de secondes, vous vous dites que cette idée était mauvaise. Fin du jeu. Vous n'auriez jamais pu atteindre le sol en sautant par là. Vous perdez déjà votre sang. Vous avez beau crier, hurler, seul votre écho vous répond. Vous. Ne. Vivez. Plus.
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