SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    BlackWidow
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    Date de création :
    le 08/03/2015 à 14:27

    Présentation
    Modifié le 27/11/2020



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    - DOUCE DÉCADENCE QUI M'EMPORTE -
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    Hahahah



    Monstre. Monstre. Ce mot se jouait en boucle dans son esprit, comme un rythme angoissant intarissable. Un rythme que l’on voudrait oublier, sans jamais pouvoir s’en débarrasser. Un rythme si infernal que l’on irait jusqu’à se donner la mort pour le faire taire. “Monstre, monstre”. Et elle espère encore pouvoir s’en sortir. Mais pas cette fois. Cette angoisse, mêlée à la terreur et à la souffrance, elle aurait à la subir jusqu’à la fin. Peut-être même au delà. Une fin qui la ferait s’évanouir dans un dernier cri de douleur. Une fin magnifique, dans les cris et les pleurs face à une épreuve trop grande pour son corps si fragile… Et, malgré l’espoir de pouvoir s’échapper de ce cauchemar, elle savait qu’aujourd’hui, tout s'écroulerai. À cette idée, la terreur l’avait envahi, déchaînant alors dans tous ses membres, des tremblements inarrêtables. C’était si jouissif, cette envie de vivre, cette peur de mourir. J’avais plongé mon regard malade dans le sien. Si pur. Si innocent. Et elle pleurait. Ces belles perles d’eau au léger goût salé qui roulaient sur ses belles joues étaient l’une des plus belles choses que j’avais pu voir aujourd’hui. Elle était l’une de ces douces beautés que tout le monde aimait… Et j’allais la détruire. Comme je l’avais fait avant. Et comme je le ferais toujours. “Monstre, monstre tu es un monstre!”

    Ces mots résonnaient dans mon esprit. Mes réactions l’avaient toujours effrayé. Elle souffrait, je jubilais. Elle pleurait, je souriais. Et encore aujourd’hui, c’était ainsi. J’avais sa vie entre mes mains. Un pouvoir qui m'excitait. Un pouvoir peut-être trop grand pour moi, qui me faisait délirer dans une folie que je n’arrivais à contrôler. C’était parce qu’elle savait de quoi j’étais capable qu’elle me craignait tant. Une crainte qui m’exultait, jusqu’au plus profond de mon âme. Cette joie descendait dans mes entrailles, et m’animait d’une frénésie inarrêtable. Un état dans lequel j’adorais m’abandonner. Un état tellement réjouissant, mais si dangereux. Surtout pour elle. Et c’était peut-être la dernière fois qu’elle serait témoin de cet état.

     “Tu n’as pas de sentiments”. Un phrase qu’elle avait trop souvent dite. Une phrase qu’elle affirmait, avec la certitude de tenir des propos d’une véracité parfaite. Mais c’était faux. Je le savais. J’avais peut-être même plus de sentiments qu’elle. Parce que je suis capable de ressentir de la joie, là où les autres y trouverait de la tristesse, de la terreur, du dégoût. Sa souffrance fait mon bonheur. Son angoisse m’apaise. Sa douleur physique me rend euphorique. Et aujourd’hui, mon euphorie atteindra son apogée. Elle allait mourir, torturée comme jamais elle ne l’avait été. Sa douleur serait telle qu’elle allait prier pour que je l’achève. Et plus elle priera, plus sa mort sera lente et douloureuse. Parce que la voir souffrir me fait jubiler. C’est là que je trouve mon bonheur, dans la souffrance des autres. Est-ce immoral? Est-ce immoral que de vouloir être heureux, au détriment des autres? Égoïste, je le conçois. Mais l’égoïsme est-il un manque de moralité? Si
    c’est le cas, alors j’ai hérité de tous les vices que le monde porte dans ses entrailles. Et je l’accepte. Je l’accepte parce que tout ce que je veux, c’est goûter au bonheur. Le bien être absolu. Une joie que je ne trouve plus dans ma routine. Que je n’ai jamais trouvé dans la routine. Alors, je la ferai souffrir jusqu’à ce qu’elle lâche son dernier souffle. Un dernier souffle débordant de douleur, de détresse et de souffrance. Un dernier souffle qui restera gravé dans ma mémoire, rejoignant la dizaine d’autre souvenirs semblables à la scène que je créerai. Cette collection de meurtres sanglants dont je suis si fière, qui constitue jusque là mon plus grand bonheur. Ces souvenirs dont le ressassement ne fait que grandir une joie intense en moi. Alors, même si elle part pour un autre monde, elle ne sera jamais oubliée. Elle restera dans mon coeur à tout jamais. “Tu n’es pas la première, mais tu ne seras pas la dernière. Merci pour tout le bonheur que tu m’as donné. Maintenant, admire. Admire et ressens ce que tu ne ressentiras plus jamais.”



    Peut-être les règles who knows


     

    Jsais pas moi


    Jsais pas secondo  



    Le changement c compliqué




     






     















               
             

    LES AFFRES DE LA
    NOSTALGIE



     
    J'avais un truc à dire,
    mais j'ai oublié.


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