SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    cleopatre69
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    le 28/01/2015 à 21:17

    Présentation
    Modifié le 29/01/2015


                              
       

                                            
     
     


     Synopsis



    Eileen, orpheline depuis son plus jeune âge, a désormais 19 ans. Elle débute une nouvelle année dans une nouvelle université ainsi qu'une nouvelle ville…envoyée par son orphelinat dans une famille d’accueil qui habite à Cursed Town, elle va découvrir des mystères bien étranges, entre meurtres, conflits, secrets, amitiés et amours. Comment pourra t- elle se départager surtout qu’on continu de lui mentir, de la trahir et de la faire souffrir ? Ce ne sera qu’un soir, où elle se retrouvera dans la forêt, qu’elle découvrira la veritable identitée de certaine de ses connaissances et ce qui se passe dans cette ville.










     
     



    Chapitre 1:
    Solitaire :

    Vivre seule ne me déplait pas. Vivre seule est un avantage, et puis je suis jeune et je peux profiter de ma jeunesse. Vivre seule…ne m’apporte que souffrance et tristesse. Une famille ? Je n’en ai jamais eu, on dit que ma mère est morte dans un accident de voiture, et mon père ne connait certainement pas mon existence. J’ai essayé de le retrouver mais en vain…que d’inutiles informations. La bonne sœur me dit qu’habiter dans une nouvelle ville me ferait changer d’air…c’est plutôt pour s’éloigner de moi qu’elle dit ça. On me fuit, si souvent, que je ne suis plus apte à tenir une conversation…je dessine tellement de choses étranges que les filles de l’académie ne supportent ma personne, qui plus est, est effrayante enfin c’est ce qu’elles disent derrière mon dos. Pourtant les seules choses que je dessine sont les images que mes rêves me donnent…Tellement que mon bloc-note se remplit chaque jour. Mais me voici à Cursed Town. On dit qu’elle est maudite c’est pour ça qu’on l’appelle ainsi...Mais je ne vois pas comment elle le serait. Regardez les habitants, on les voit tous souriant. Même la famille dans laquelle je viens d’emménager me sourit et me montre une extrême gentillesse derrière des airs mystérieux. Tout simplement effrayant. Mes bagages sur le sol près d’une armoire en chêne qui devait couter cher, vu le soin qu’avait pris le menuisier pour le faire, ainsi que le genre de bois qu’on avait utilisé. Le lit était tout simplement…magnifique ? Ou plutôt, une manière d’exhiber ouvertement à leur invité, leur richesse. Oui, il m’avait montré la « chambre d’ami », non la suite royale, à ce que je sache. Je me demande comment sont les autres chambres. J’ai entendu dire que les enfants étaient composés de deux filles et d’un garçon…Les filles étaient au collège, fin collège, alors que le garçon était à sa dernière année du lycée. J’étais allongée sur le lit, fermant mes yeux pour m’imaginer m’évader dans un monde fictif. Mon monde à moi…celui que personne ne pourrait trouver, celui qui m’aidait à survivre dans ce monde. Lorsque soudainement, j’entendis frapper, je me redressai brusquement et m’assit au bord du lit alors que l’une des personnes de la maison rentrait. -Salut…Me soufflaient des voix timides. Moi qui croyais que c’était une personne, en fait non. C’étaient les jumelles de la famille, deux blondes avec un caractère commun. Mais on arrivait à les différencier par leurs yeux, l’une d’un vert naturel alors que l’autre d’un vert émeraude. Tiffany et Kate. Leur parent m’avait informé que c’était des filles timides et chaleureuses mais très malignes aussi. Je me levai pour aller défaire mes valises sans leur prêter une attention particulière. A quoi bon ? Elles n’ont pas mon âge, ni ma mentalité et ont surement du me trouver étrange. Elles avancèrent vers moi de petits pas timides avant de m’aider. Je m’arrêtai pour les regarder, je détestais qu’on touche mes affaires, non seulement parce qu’il pouvait y avoir des armes dangereuses ce qui me valait le surnom de« l’ŒIL noir », au début je n’avais pas compris pourquoi on me nommait comme une partie de mon organisme mais j’ai eu l’explication lorsque je fus à moitié endormis dans l’infirmerie de mon lycée. O, de obsession et L pour lames…une obsession pour les lames alors qu’ « Ei » n’étaient que les deux lettres de mon prénom. Bien trouvé, mais assez débile de leur part, j’aime aussi les flingues. Donc pour conclure, O-L-EI, retranscrit en ŒIL pour une prononciation rapide avec la couleur noir...Comme si je portais la poisse. Puis la deuxième raison était que, j’ai des objets qui sont précieux et qui doivent rester un mystère pour autrui. Comme mon pendentif ou bien ma breloque. Bref, tout ça pour dire que je déteste qu’on me dérange dans ma chambre. Oui, malgré que cela fasse à peine dix minutes que j’y étais, c’était désormais la mienne.

    -Excusez-moi. Vous n’avez pas à faire cela. Leur dis-je froidement.

    Elles se regardèrent avant d’afficher une mine triste et de s’excuser. Les jumelles sortirent de la chambre et c’est là que je les entendis médire :

    -Tu vois ?

    -Elle est méchante, froide, arrogante mais belle.

    -Juste parce que ses yeux sont bleus nuit ne lui donnent pas le droit de jouer les filles hautaines.

    Je n’entendis plus rien mis à part des bruits de pas s’éloigner de ma chambre.

    Des heures passèrent, et je sentais déjà le diner prêt. Au moment où je sortis mon nez de la pièce, je vis un torse me barrerla route. Relevant mes yeux avec lenteur, un sourire m’apparut puis un nez fin ensuite des yeux verts, assez sombres de loin, à mon avis, et enfin des cheveux bruns. Je claquai ma porte au nez de celui-ci avant d’y avoir rentré ma tête dans ma chambre, surprise, puis je soupirai avant de rouvrir et de le regarder dans les yeux. Il en rit un peu avant se présenter :

    -Marc, enchanté. Ma mère te demande de descendre pour manger.

    J’hochai de la tête sans lui répondre quoi que ce soit, avant de venir près de lui pour le coller ainsi je pus refermer la porte derrière moi et reculer contre celle-ci pour prendre le chemin de l’escalier.

    Les descendant, j'admirai l'extravagance de la pièce, le salon était immense et avait des tableaux qui illustraient de fortes émotions. Alors même les riches ont quelque chose dans la tête à part leur soif de pouvoir et d'enrichissment ?


    Assez rapidement, je gagnai la salle à manger pour poser mes fesses sur l'une des chaises aussi cher que les couverts et peut-être même les serviettes, et le pécu ? Je continuai de me taire, ils me trouveraient trop arrogante, ou même vulgaire, alors que je n'essayerai que de partager mon opinion.


    La soirée se passa dans un silence pesant. On dirait que j'avais sappée le morale de tout le monde, les jumelles se chamaillaient parfois mais quand je les regardai elles s'arrêtaient. Quant à l'homme brun, il ne faisiat que me jeter de rapide coup d'oeil, ensuite le père me regardait d'un air sévère jusuq'à ce que je le regarde et qu'il l'adoucisse. Et enfin la mère ne faisait qu'un sourire angélique et terriblement inquiètant, comment arrivait-elle à le garder ? Au moment où je voulais débarasser, elle l'arrêta, posant une main sur mon poignet et me souffla alors:


    -Laisse-ça, les servantes s'en occuperont. Alors nous étions toujours à la même époque des privilèges, de la hierarchie et tout le tralala ? Vraiment ? Haussant un sourcil, je déposai alors mon assiette pour partir.

    -Je n'aurais besoin qu'une carte pour aller à l'université. Lui rétorquai-je alors qu'elle demandai à son fils de me faire le tour de la ville demain matin, ainsi que de m'accompagner à l'université. Je n'avais pas besoin d'un chaperon. Cela venait pourtant de sa gentillesse que de me proposer cela, ou d'une comédie très bien jouer, mais je préfèrai me débrouiller seule. Je l'ai toujours fait malgré les nombreux efforts de la bonne soeur Martha pour contribuer à mon avenir.

    En fait, j'étais tout simplement froide car je n'aimais pas cette maison,  ni cette ville et  ni cette famille...

    Cette vie que je mène, quoi.



     
     


    Chapitre 2:


     
     

    Chapitre 3:




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