Informations
- Présidente :
- Laura39357
- Activité :
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- 6 membres
- 40 messages postés
- Date de création :
- le 01/05/2014 à 17:42
Présentation
Personnage principal:
Nom : Lendry
Prénom : Léa
Age : 17 ans
Originaire de : Paris
Rêve : Avoir une vie heureuse
Statut : Lycéenne
Description:
Elle a une cheveulure blond vénitien qui avec le soleil semble être une cheveulure d'or et de magnifique yeux noire en amande. Elle est de taille moyenne mais parâit plus âgée que les autres. Elle a la peau légèrement mate.
Son histoire:
A l'âge de quatre ans elle s'est fait kidnapper et ses parents ont dû payer une rançon qui les à ruiné. Son père a dû revendre son entreprise, sa mère à dû prendre un deuxième travaille et il ont emprunter de l'argent un peu partout ce qui les a énormément endetter. Trois mois plus tard, sa mère se pend dans le garage. Son père suite à sa fais une dépression et fini par être suivi par un psychologue 2 semaines après. Depuis il frappe sa fille quand il est énerver ou quand elle ne fais pas correctement quelques choses.
Chapitre 1 : Mauvais accueil mais nouvelle rencontre
POUR LE LIRE DEMANDER EN COMMENTAIRE!
Chapitre 2: Des licornes ? Des cochons qui volent ? Le monde des Bisousnourses ?
POUR LE LIRE DEMANDER EN COMMENTAIRE!
Chapitre 3 : Découverte d'un monde nouveau
Ensuite il releva sa main pleine de sang et m'étrangla la gorge puis rapprocha son visage le plus près du mien sans le toucher. Il força tellement que je vis ses veines recouvrir son visage et ses bras. Il avait un regard noir de tueur en série, impitoyable, sans remord et près à tout pour avoir se qu'il veux. Puis il ouvrit la bouche si difficilement qu'on imaginais très bien à quel point il se retenait de me tuer avant de me dire doucement mais avec énormément d’insistance dans la voix :
« Et maintenant tu le connais ! »
J'avais atrocement mal et je m'étais mordu les lèvres pour ne pas criée pendant toute cette séance de torture. Je me retenais de ne pas criée en ouvrant la bouche. Son étranglement m'empêchais de respirer alors je prononça d'une voix si baisse que l'on entendait à peine :
« Je ne le connais pas ! »
Il me regarda droit dans les yeux pendant quelques secondes avant de me lâcher violemment. Je toussa puis repris ma respiration. J'en avais marre et je voulais vraiment en finir mais ses hommes, je ne leur faisaient vraiment pas confiance.
De toute manière ce n'est pas la première fois que je suis si prêt de la mort. J'ai tenté quatre fois de me suicidé avant d'abandonner et d'assumer ma vie.
La première fois j'avais six ans, j'étais en cours et on faisait du coloriage. J'ai pris mon crayon et j'ai essayer de me l'enfoncer dans l'abdomen mais la prof ma vue et me la tout de suite enlever.
La deuxième fois j'avais neuf ans, mes camarades se moquais de moi sans cesse. C'était l'une des pires périodes de ma vie. Il neigeait et mon père était partie au travail. J'ai été au lac à coter et je me suis jeter dans l'eau glacé alors que je ne savais pas nager. Heureusement un homme n'était pas loin et ma vue sauter. Il ma sauver et ma emmener à l’hôpital. Je suis ressortie le soir même car mon père ne voulais pas que je reste.
La troisième fois j'avais encore neuf ans, mon père avait trop bu car c'était son anniversaire et il avait laisser la cheminé allumé. J'ai pris un bâton solide et j'ai sortie les bûche qui y était et les est déposées sur le tapis puis je me suis assise à coté à attendre que le feu me brûle sauf que les voisins ont appeler les pompier avant. Tous le salon à brûler.
Enfin la quatrième tentative, j'avais treize ans et je venais de me faire battre par mon père, j'étais en colère et un homme d'au moins quarante ans ma bousculé. Je me suis retourné et l'ai engueuler puis j'ai essayer de le frapper mais lui ma frapper presque à mort. Les passants avaient appeler la police. Il à été emprisonner depuis et nous nous avons déménager … encore.
Tous ces souvenirs revins en moi comme si ma vie défilais sous mes yeux mais bizarrement je n'arriva pas à me souvenir de la période ou ma mère était morte sauf les passage que mon père et des amies à mes parents m'avais raconter. Pourtant je l'avais vécu mais impossible de m'en souvenir. C'était comme si je créais moi-même les souvenirs à partir de se qu'on m'avais raconter.
Je sortie de mes pensées en entendant l'homme partir subitement. Il avais l'air très presser. Je rassembla alors toutes mes forces et tira se qui libéra mon bras droit. Je détacha alors les autres liens puis me leva.
Je marchai doucement pour ne pas faire de bruit, pris un couteau qui était à coter de la porte et sortie.
Je rasais les murs pour ne pas me faire remarquer mais il y avait de l'agitation. Des hommes couraient dans tous les sens très presser et sur leurs gardes je ne sais pourquoi. Je profitais de l'agitation pour me mêler à la foule et attéri dans une grande pièce. Il y avait un grand lit en bois avec des draps blancs, un miroir à droite et une armoire à gauche. Un tapis était au milieu de la pièce. Je me rapprocha et aperçu une chaussure qui dépassais de sous le lit.
Je me baissa et vis un corps baignant dans une marre de sang. Je recula d'un bon, les mains sur ma bouche. J'étais choquée. Cet homme était mort. Ne pouvant plus le voir je sortie le plus vite possible de la salle refermant la porte violemment derrière moi. J'avançais doucement car j'étais faible et me dirigeais tout droit en espérant qu'il y aurai une sortie.
D'un coup je senti quelqu'un m'attraper et me tirer vers lui. Il bloqua ma bouche avec sa main puis j'entendis des gens passer dans le couloir à ma recherche. Quand ils partirent l'homme qui m'avais attraper me lâcha. Je me tourna alors vers lui et vis Théo avec une espèce de cape manteau qui cachait tous son corps et une capuche qui assombrissait son visage.
Il portais aussi une épée dans son dos. Elle étais magnifique avec des couleurs sombre, de l'argenté et un espèce de diamant rouge qui scintillait sur le pommeau. Elle faisait plus d'un mètre.
Il regarda des deux cotés avant de sortir en m'attrapant le bras.
Je courrai derrière Théo qui se battais contre tous les hommes qui nous barrai le chemin. Je les voyais tomber un par un comme des mouches mais j'avais du mal à croire que c’était Théo qui en était à l'origine. Il lançait des coup d'épée comme on manie un stylo, rapide et efficace. Des fois je ne voyais même pas le coup partir qu'un homme était déjà à terre. C'était impressionnant.
Enfin, nous avons fini par trouver une porte qui donnais directement dans la ville. Nous avons couru et traversé plusieurs rues avant d'arriver devant une vieille maison en plein bourg. Une vieille maison avec des poutres en bois.
Nous sommes rentré part la porte de derrière arrivés dans une petite pièce vide qui faisait penser à une arrière cuisine. Nous avons pris la porte en face et sommes arrivés dans une grande pièce sans escalier. La maison était déserte mais elle donnait l'impression d'être habité. Il n'y avait que les meubles les plus importants : un canapé trouer recouvert d'une housse grise, trois chaise à l'opposé l'une de l'autre et toutes près d'une fenêtre, une table en bois à coté de l'une des chaises , une cuisine basique et propre en bois, une armoire en bois assortie au lit qui se trouvais au fond de la pièce. Les murs était tapisser de cartes et de papier avec des notes, des adresses, des numéros, des lettres qui ne veulent rien dire, des dessins de plusieurs personnes... C'était vraiment flippant.
Ensuite Théo m'a soigner vite fait comme il pouvait puis nous nous sommes assient sur le canapé. Théo avait l'air préoccuper par quelques choses.
« Comment es-tu venue ici demanda Théo ?
-Je t'es suivi après les cours ne me demande pas pourquoi et je t'es vue rentré de ce « vortex » ou je n'sais quoi !
Mais explique-moi tout sa, ce monde et tout et pourquoi ces gens te cherchaient et comment connais-tu ce monde et c'est quoi ce bracelet je suis perdu j'ai l'impression de faire un cauchemar !
-Je vais tout t'expliquer :
Ce monde s’appelle « Le monde de Théros », je l'es découvert il y a 2 ans par mon père. Il allais souvent dans la pièce que tu à vue, il s'enfermait et allait dans ce monde.
Le bracelet sert de passe-port en quelques sorte. Il faut prendre le bracelet et réciter une formule.
Un jour je l'ai suivie car il disparaissait souvent et je l'ai entendu la réciter puis déposer le bracelet, j'ai pris ma respiration et j'ai sauter dans ce « vortex » sans réfléchir. Depuis j'y vais toutes les semaines quand j'ai beaucoup de temps.
Comme t'as vue ce monde est moins évoluer et ressemble au Moyen Age mais il est vraiment super et il y a plein de chose à découvrir comme les boutiques, les gens qui ont une autre mentalité que ceux de notre monde qui sont tordus et mesquin et même la nourriture qui est délicieuse.
En plus ce monde est complètement différents. Pour t'expliquer, là nous sommes dans le centre, l'une des cinq îles de ce monde. Les cinq îles sont à l'opposer l'un de l'autre et sont relié les unes au autres par des couloirs murai en pierre tellement haut qu'ont ne voit même pas le fond.
Il n'y a pas de mers ou d'océans, juste des fleuves et des rivières. Bref moi je trouve se monde cent fois mieux que le notre et ont s'éclate beaucoup plus !
-Waouh c'est incroyable !!
Mais pourquoi ces hommes te cherchaient et pourquoi il m'ont torturer ?
-Et bien … c'est compliquer mais j'ai pas trop envie d'en parler tu vois… »
Son visage avait changer pour devenir plus sombre et mystérieux comme quand nous avions parler de son père. Je préférais donc me taire à se sujet.
Ensuite il s'est diriger vers une carte qui était au mur, à pris un papier à coté et c'est retourner vers moi.
« On dois partir! »
Chapitre 4 : C'est parti pour l'aventure !
« Vite Léa dépêche-toi ils vont fermer les portes !
-Oui, oui j'arrive … »
Je lançai des coup d'épée dans tout les sens pour arrêter les hommes qui m'attaquais car je devais avancer le plus vite possible vers les portes qui se trouvaient au bout de la murai.
Pour vous expliquer je me trouve en se moment sur la murai Ouest qui, en passant les portes mène à l'île Almena qui est l'île scolaire. Pleins d'hommes essai de nous retenir pour nous empêcher de passer mais Théo ma appris pendants les trois jours de voyage à me défendre avec une épée. Bien-sûr je ne connaît que les base mais c'est déjà sa je trouve nan ?!
Théo avait réussit à passer et m'attendais derrière les portes. Moi, je continuais à courir aussi vite que je pouvais mais les portes était déjà presque refermées. Je misa alors sur les force qu'il me restait et sauta d'un bon puis glissa sur le sol juste à temps pour passer.
Théo ne me laissa même pas le temps de souffler qu'il me pris la main, me releva et se remis à courir. Je pris une grande bouffer d'air puis me remis à courir derrière lui. J'avais beau être essoufflé je n'avais pas le choix, c'était soit le suivre soit rester planter là comme un légume à attendre qu'on m'attrape !
Puis quelques kilomètres plus loin je vis enfin la ''ville'' d'Almena.
Elle était magnifique avec des bâtiments scolaires qui couvrait toute la ville. Il y avait aussi des dortoirs et des parcs.
Se qui était étrange c'est que les bâtiments ne semblaient pas vieux du tout et même plutôt moderne du genre de lycées dans les mangas. En tout cas ils étaient plus classe que mon lycée pourrit !
Aussi je remarqua très vite que toutes les écoles était séparées en fonction de leurs niveaux : d'un coté les lycées, d'un autre les collèges et d'un autre les primaires. Tous les bâtiments avaient un drapeau différents qui devait sans doute définir leur école.
Plus loin je vis un homme en costume crié sur une fille qui devait avoir mon âge avec un uniforme scolaire noir et blanc.
Je m'arrêta de courir et les fixaient attentivement en essayant d'entendre se qu'ils disaient. Je me rapprocha pas à pas, centimètre par centimètre. Je n'étais plus très loin, contre le mur d'un bâtiment.
D'un coup je sentie une main sur mon épaule. Je me retourna et vis Théo qui me regarder avec des yeux interrogateur. Je lui fit signe que tout allait bien et me remis à avancer tout en les regardant du coin de l’œil.
Ensuite nous nous somme arrêter devant un dortoir lycéen. En haut il y avait un drapeau blanc et gris avec un dégradé d'étoiles jaune que je trouva très jolie. Nous sommes entrée discrètement par la porte de derrière.
Le bâtiment était désert et les chambres étaient en désordre. Au fond du couloir il y avait un bureau. Nous y sommes rentrés et il y avait une femme en taillEur et chignon genre super strict.
Théo s'est assis, j'en est fait de même puis la femme à commencé à parler :
« Ah Théo, tu es enfin là ! J'ai reçu ton message mais je ne comprend pas dans quel but.
-C'est un peu compliqué et j'ai pas vraiment envi d'en parler maintenant si vous voulez bien.
-Bien sûr, bien sûr !
Et qui est-elle ? Tu ne m'avais pas dit que tu serais accompagner !
-Oui excuse moi Nitone je n'avait pas prévu sa !
Sinon nous allons sans doute rester quelques jours ici donc si tu pouvais nous inscrire...
-Et bien … oui je vais le faire. Donc demain 8h, comportez-vous normalement et ne vous faites pas remarquer. Le dortoir des hommes est à l'étage, chambre 13 et pour toi jeune fille habillé étrangement, chambre 6. Voilà vos uniformes. »
Elle nous tendis une tenue chacun, noir avec de petits détails blanc. Il y avait pour moi une jupe noir, une veste noir et blanche et une chemise blanche. Ensuite je me leva de ma chaise et sortie du bureau puis attendis Théo à la porte. Il arriva deux minutes après et me fixa bizarrement. Je pris la parole :
« Pourquoi on est là ?
-Je dois trouver quelqu'un qui est inscrit dans ce lycée. C'est une personne très importante mais je ne peux pas t'en dire plus pour l'instant.
-Et comment tu compte la trouvé, elle ressemble à quoi?
-Je sais pas mais t'inquiète pas, elle se montrera d'elle-même !
-Pourquoi ?
-Bon écoute c'est hyper important et tu as dis que tu voulais m'aider alors fais-moi confiance et pose pas de questions !
-Ok, ok j'me tait ! »
Je soupira puis me dirigea vers la chambre 6 qui était maintenant la mienne.
J'ouvris la porte et vis une chambre vide, sombre avec seulement un lit, un bureau et une commode. C'était triste et petit et ne me donnais vraiment pas envie de m'y installée. Mais bizarrement elle me semblait comme familière, comme si j'avais déjà été dans une chambre comme sa... Pourtant ma chambre, elle, était plutôt grande, avec pleins de meubles et de babioles inutiles que j'adore. De posters et de dessins. Une chambre de fille quoi, le contraire de celle-ci !
Je posa mes affaires par terre et m'assis sur le lit, toujours plonger dans mes pensées. Tout m'était flou, cette impression, ce semblant de souvenirs. Pourtant je cherchais des réponses, n'importe lesquels mais rien ne me vint. Comme si un mur bloquait une partie de mes souvenirs. Et en y repensant la mort de ma mère m'était tout aussi flou et vague.
Je sortie de mes pensées d'un coup en entendant le bruit de plusieurs lycéens.
J'entrouvris ma porte et vis pleins de personnes se promener, rigoler, parler, faire n'importe quoi. Je me mis alors a soupirer et referma ma porte. Je continua donc à installer tranquillement mes affaires quand j'entendis toquer à ma porte. J'ouvris et vis trois filles qui me passaient au rayon x en examinant chaque détails ce qui me donna un léger frisson. Elle étaient toutes les trois blondes, avec pleins d’accessoire et des vêtement qui paraissaient à la mode de ce monde. L'une d'elle pris la parole :
« Salut, on m'a dit qu'il y allait avoir une nouvelle alors j'ai fait le tour des chambre et me voilà, enfin nous voilà plutôt. Bref on voulaient savoir si tu pouvais sortir un peu pour ….je sais pas ….faire connaissance tu vois quoi. Alors c'est oui ???
-Euh, bin oui pourquoi pas...
-Super ! Alors on y va ? »
Je pris ma veste et sortie de la chambre.
Je les suivirent en observant le paysage qui était à la fois beau et bizarre. Il faisait pratiquement nuit et les lumières illuminait le ciel. Il y avait toutes sortes d'étudiants qui se promenaient dans des uniformes tous différents. L'endroit changeait petit-à-petit pour se transformer en une ville lumineuse et bruyantes. On aurait dit une grande ville en fête lors d'un festival.
Quelques instants plus tard elles s'arrêtèrent devant un café rempli de monde. Elles s'installèrent tranquillement au bout de la terrasse comme des habituées et appela un serveur.
« Bon, alors comment tu t'appelle ??
-Léa et vous ?
-Moi c'est Tamiko, à gauche c'est Nina et à droite, Rina dis la blonde qui se trouvait en face de moi.
-Rina et moi nous sommes jumelles, expliqua celle de gauche.
-Ah d'accord, c'est vraie que vous vous ressembler beaucoup ! Sinon vous pourriez m'expliquer se que c'est que tous sa ?
-Tous sa ??? de quoi tu veux parlé ? Répondis Tamiko.
-Bah la ville enfin je veux dire on dirai que tous le monde fait la fête.
-Ah c'est normal, c'est tous le temps comme sa. Les cours son vraiment lourd alors le soir tous le monde sort pour se détendre à sa manière répondis Rina en souriant.
-Mais dit, c'est bizarre tu n'a jamais été dans une école avant? Demanda Tamiko.
-Euh si …. si pourquoi ??
-Bah les seules écoles se trouvent ici donc on se demande toutes !
-C'est normal j-je, j'ai arrêter les cours pendant deux ans pour aidé mes parents voilà ! Bafouillais-je
-Ah... c'est bizarre quand même répliqua Nina. Enfin bon c'est pas un interrogatoire hein ?! Affirma Tamiko. »
-Eh les filles, regarder qui on a trouver ! »
Deux garçons se dirigeaient vers nous avec Théo à leurs cotés. Un brun avec les cheveux en bataille et un châtains clair avec une mèche plus foncée qui me fixai bizarrement.
« Tiens ya aussi une nouvelle ! Deux d'un coup c'est pas une coïncidence hein ?! Vous vous connaissez ? Interrogea le brun.
-Oui nous sommes amis ! Répondis Théo.
-Et comment tu t'appelle pe-ti-te nouvelle ?
-Léa !
-Moi c'est Hiro, dit le brun et le mec bizarre à coté c'est Shino.
-Tu viens d’où demanda Shino avec un regard insistant.
-Euh j-
-Du centre bien sûr ! S'écria Théo en me coupant directe. »
Les garçons s'assirent avec nous et Théo se mis à coté de moi. Shino garda son regard interrogateur sur moi plusieurs minutes sans me lâcher une seule fois. Je fis semblant de n'avoir rien remarquer et participa à la conversation.
Au final j'étais rentrée dans ma chambre exténuer par la soirée qui venait de se déroulé mais j'avais appris pas mal de choses sur ce monde. Par exemple il n'y a ni mer, ni plage, ni océan ou encore il ne connaissent pas l'alcool et aussi les pâtisseries. Leur repas ici est donner dans une boite qui tiens dans la main. Ils n'ont pas le droit de sortir de l'île sans permission et seulement à la fin de l'année scolaire. Ils n'ont qu'un seul mois de vacances à la fin de l'année. On pourrait presque dire que c'est une prison.
Maintenant je comprend mieux pourquoi ils font la fête le soir, ils ont besoin de se détendre un peu et c'est normal surtout que quasiment tous les élèves qui sont ici sont là depuis la primaire. J’allais donc me coucher presser de vivre ma première journée en tant qu'élève du lycée Vetino.
Chapitre 5: La vérité!