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- le 07/04/2014 à 16:43
Présentation
Modifié le 12/09/2014
Ma vie : amour, amitié et secrets.
Accueil Et voilà la chronique ré-ouverte avec du HTML ! :D ENFIN ! ENFIN ! :') Ahhh.. depuis longtemps que j'attends ça ! Champaaagne !! :3 |
Prologue Les yeux fermés, couchée sur ma serviette de plage, le vent qui frôle mes joues, les pieds dans le sable et l'eau qui m'éclabousse... Ahhh, les vacances ! Moi, à la plage avec mes amis, quel bonheur ! Il reste encore beaucoup de temps avant la rentrée... j'en profite un max. Émily est à côté de moi, tandis que Matthew, mon meilleur ami est en train de nager. Je m'appelle Elena et j'ai 16 ans. J'ai une vie parfaitement comme les autres et des amis en or. - Salut les filles. On peut s'installer avec vous ? Je sursaute. Puis je lève la tête et deux garçons nous regarde. Émily avait l'air aussi surprise que moi. - B..bien sûr ! s'exclame ma meilleure amie. Puis elle m'a regardée en ouvrant ses yeux comme je ne les ai jamais vus. On a fait connaissance d'un français et d'un espagnol. Enzo et Andy. Enzo nous a raconté que ses parents aimaient bien le prénom "Enzo" même s'ils étaient français. On a fait connaissance, et au bout d'un moment, on s'est échangés les numéros. Mais je n'aurai jamais cru que je reverrai Enzo tous les jours, mais pas parce qu'il serait dans notre collège, autrement. D'une façon que je n'aime pas vraiment. |
Chapitres Chapitre 1 - Si on allait se baigner ? proposais-je enfin. - Pourquoi pas, me répond Enzo en me regardant avec ses yeux bleus-verts brillants qui m'ont fait un frisson dans le dos. On a couru vers l'eau claire et puis on plonge, Émily et moi crions de froid et les garçons ont l'air plutôt... habitués au fait. Je sautille dans l'eau en riant et en balançant des litres d'eau sur les garçons et Émily. On me dit souvent que je suis "trop gamine" mais ça ne me dérange pas car je suis comme je suis. Après quelques heures, Émily me prend par la main droite ( assez brutalement, j'ai même une marque sur mon poignet ) en me tirant loin des garçons en m'avouant qu'elle a un faible pour Andy. Puis je lui dis qu'ils vont bien ensemble et ça ne me dérange pas, mais je ne lui ai pas raconté le frisson et les yeux qui brillaient. Et Émily s'allonge sur sa serviette de plage en me disant qu'elle va bronzer. Je lui fait un "oui" avec la tête et rejoins les garçons. - Qu'est-ce qu'elle fait ? me demande Andy. - Elle bronze. Tu peux aller la voir, si tu veux. À ces mots, il court vers Émily et je vois de loin un visage d'émerveillement dans celui de ma meilleure amie... - Sinon, parle-moi un peu de toi, dit Enzo. - Moi ? Euh... je m'appelle Elena, j'ai 16 ans, j'ai une petite soeur de 10 ans et des parents divorcés. Mais je reste que chez ma maman. Et toi ? - Je m'appelle Enzo, j'ai 17 ans, j'ai une petite soeur de 12 ans et père. Ma maman est décédée quand j'avais 5 ans. Son visage s'assombrit. - Je suis désolée... lui murmurais-je. - J'ai toujours du mal à m'en remettre. C'est toujours difficile de perdre quelqu'un de très précieux... - Je... je te comprends, dis-je. J'ai été vraiment... triste et choquée. Il m'a regardée et a souri d'une manière très gentille. Je pense que j'ai rougi. Je pense. Puis il est sorti de l'eau, et je l'ai suivi. On a rejoint le " petit couple ". Andy avait plutôt l'air impressionné par Émily... je la connais depuis la maternelle et elle est extravagante, et adore faire la fiesta de 20h à 08h00 du matin. Mais ça arrive qu'elle devienne sensible, comme quand Ryan l'avait plaquée il y a 2 ans et qu'elle n'est pas sortie de sa chambre pendant 2 jours. Elle est aussi dépensière, voire très dépensière. Elle dépense pas moins de 2000€ par jour, elle est pleine aux as. C'est aussi une fashion victim. Depuis... qu'elle avait 12 ans. Bref, je continue de parler du présent. Je vois Émily rougir quand elle voit Andy et je pense que Andy est un peu amoureux d'elle. - On va vous laisser. - Non vous pouvez rester les p'tits jeunes ! s'exclame Émily. - Jeunes ? demande Andy. Ils ont le même âge que toi, non ? Je ne pense pas que Émily a dit à Andy qu'elle avait 18 ans. Au fait, elle a doublé 2 fois son année. - Non, j'ai 18 ans dit Émily. Et toi, 19, c'est ça ? - Yeah. - Et toi, t'as quel âge Enzo ? - 17. Puis on s'est installés avec eux. Après des papotis papotas, je devais retourner chez moi. - Excusez-moi, les gars, ma mère m'appelle parce que je dois rentrer chez moi pour l'aider à préparer la fête d'anniversaire de ma soeur pour demain. - Déjà ? me demande Enzo, l'air tout triste. - Oui... Ém' va m'accompagner. - On peut aussi vous accompagner ? Hein Andy, tu veux ? Andy fait signe de la tête, qui signifie " oui " puis nous partons en route. Après le bus et la rue traversée, nous arrivons devant ma villa. Les garçons ont eu les yeux écarquillés. - C'est ta maison ? me demande l'aimé de ma Best, les yeux brillants. - Oui ! lui répondais-je en souriant. Nous traversonss le petit jardin qui mène à la porte d'entrée, puis je sonne d'un geste élégant. La porte s'ouvre, puis une magnifique femme vêtue d'un chemier à carreau et un jeans skinny, avec ses longs cheveux châtains détachés me sourit et regarda les autres attentivement. - Bonjour Émily, Elena ! Et... euh... ? - C'est Enzo et Andy. Ém' et moi les avons rencontrés aujourd'hui et ils sont très sympas. - D'accord chérie. Et bien, enchantée ! Elle serra la main des deux garçons, puis les fait signe d'entrer dans la maison. Les deux acceptent avec joie. La porte franchie, les garçons ont eu les yeux tellement brillants que Émily me prend par le poignet gauche ( oui, je lui ai montré ma marque ) et pouffe de rire ( si fort que mon chat s'est réveillé ). - Kawaïenne ! riais-je en la remettant dans son petit coussin. ( oui, elle s'appelle Kawaïenne. Contraction de Kawaii et Hawaïenne. Ingénieux, non ? ) Ém' et moi somme entrées dans ma chambre. - Oh purée darling j'veux pas être à la rentrée ! - T'inquiètes Ém', c'est dans looongtemps. Parles-moi un peu de Andy ! - C'EST UN BEAU GOSSE ! Hooo je parie qu'il est super intelligent ! En plus il parle trop bien ! Et toi... comment ça va avec Enzooo ? - Ca va, il est très gentil. J'avoue qu'il est quand même beau. Hihi ! - Tu l'aimes, hein ! Avoueee. - Quoi ? Non ! Bien sûr que non ! Pourquoi ? Moi je n'avoue pas souvent que j'aime quelqu'un. Je n'arrive pas à le dire, mais seulement le penser. Bien sûr que oui il me plaît. Pour l'instant. Émily prend un CD de son sac et l'insère dans mon lecteur et met le volume À FOND. - Waaake to seeeeee... your true emancipation is a faaaantasy... Pooooliciiies have risen up and overcome the braaaave... Puis je me mit à chanter avec elle. Chapitre 2,partie 1 Après des heures de chants ( oui, des heures ! ) Émily et moi sommes descendues au rez-de-chaussée pour aller voir ma maman et les garçons. Les garçons prenaient un Coca et ma maman slurpait son petit thé à la menthe. Soudain j'entends un bruit bruyant ( bah oui, le bruit c'est bruyant ) derrière moi. Je me retourne, vois ma meilleure amie allongée sur le carrelage du hall. - Émily ! Ca va ? Pas blessée... ? - Non, ça va... Les garçons et maman étaient venus voir ce qu'il se passait. Andy tend sa main vers Émily pour l'aider à se lever mais Émily n'arrivait pas à se lever. Paniquées, maman et moi aidons Andy à tirer Émily debout tandis que Enzo court vers la valisette d'urgence. Aucun succès. Enzo appelle l'ambulance et quelques minutes plus tard, l'ambulance était arrivée. Ils emmènent Émily avec eux. Puis maman, les garçons et moi sommes revenus à la maison. - La pauvre... disais-je. - Bah c'est pas trop grave, je pense qu'elle s'est juste cassée un truc dans la colonne vertébrale, toute façon elle avait qu'à faire attention, dit Andy. J'étais choquée par ce qu'il avait dit. Il se prend pour qui pour dire ça ? Je suis impatiente d'aller voir Émily et lui raconter ce qui vient de se passer, même si elle s'est attachée à ce type. Après quelques heures de discussions, les garçons ont décidé de partir. Il est 20h00. Ils sortent de la maison, font au revoir avec la main et partent. - Dis, chérie, Enzo est plutôt sympa, non ? me demandait ma maman. - Oui... - Tu l'aimes bien ? - Bah... euh.. - En tout cas, sache qu'il m'a beaucoup parlé de toi ! Il n'a dit que des trucs bien. - Ah oui ? Oh, c'est plutôt gentil... Puis maman me sourit et part dans la cuisine pour préparer le souper. - Eh ! Maman ! Elle est où au fait, Clara ? - Chez son amie. Mais... on a oublié d'organiser la fête ! Oh non ! On court vers le jardin, maman abandonne la cuisine pour aller gonfler les ballons, installer les tables,... tandis que je reçois un SMS. J'allume mon tél : -------------------iPhone---------------- Hey ! C'est Enzo :) ------------------iPhone---------------- Je lui envoie alors : -------------------iPhone---------------- Eh, coucou ! C: -------------------iPhone---------------- Puis je pars aider maman. Je prends la nappe verte avec des licornes, la place bien au milieu des tables, installe le château gonflable,... à cet instant, 20h45, je sens une odeur de fumée. - La cuisine ! criais-je. Nous courrons dans la cuisine, heureusement, c'était juste la nourriture qui était crâmée. Maman pousse un soupir, me demande d'aller continuer de préparer la fête en attendant qu'elle re-prépare la nourriture. 22h04. On a terminé de manger, terminé la préparation. Tant mieux ! Je me blottis dans le canapé, me sers un chocolat chaud et regarde la télé. 00h29. Le film est terminé. Je dis au revoir à maman et lui fait un petit bisou sur la joue. Je me dirige dans la salle de bain, me brosse les dents, prends la douche, enfile mon pyjama et attaque ma chambre. Je glisse sur un gilet éparpillé sur le sol, manque de tomber et saute sur mon lit. J'attrape ma peluche fétiche puis j'éteins la lumière et m'endors. Chapitre 2, partie 2 Je me réveille sur une chaise. Je me demande pourquoi Émily est en face de moi, sur un lit d'hopitâl. - Elena, c'est important... Et ensuite je n'ai pas compris la suite. C'était une langue bizarre. - Oui je sais, ai-je dit. Puis Émily se lève d'un bond sur le lit, saute à terre. Puis elle me tire, ouvre la fenêtre de sa chambre d'hopitâl. - Viens, Elena. On s'enfuit. Je ne comprends pas mais je la suit sans savoir pourquoi. On arrive alors dans un endroit spécial : on était au ciel. Le ciel était bleu, il y avait plein de nuages tout blancs et des arc-en-ciels. Exactement comme dans les films. C'est alors que je me retourne, et aperçoit que Émily n'est plus là. Mais je ne suis pas effrayée. Puis au loin, je remarque une silouette, qui s'approche peu à peu vers moi. Et c'est là que je reconnais cette personne. Andy. Il s'approche de moi dangereusement avant de me ragarder, soulever brusquement mon menton et poser ses lèvres sur les miennes. Puis je me réveille. En vrai. Le coeur qui bat à cent à l'heure, j'attrape mon tél qui est juste en dessous de ma couette. À ma grande surprise, il n'est que 2h51 du matin. Mais hors de question de redormir. Je n'ai pas du tout envie de continuer ce "rêve"-là. Vous savez, quand vous faites un rêve bizarre puis que vous vous réveillez, vous vous rendormez et continuez ce truc. Bah j'ai pas envie, quoi. Les rêves, il sont tout le temps bizarres. Genre quand j'ai rêvé que j'étais Christiano Ronaldo quoi ( n'empêche, j'ai bien aimé quand même ). Et là, je repense à ce truc-là. Andy, m'embrasser ? Ahah. Trop drôle. Nul. Pourri. Franchement, Andy ? Ce type ? Pfouaaah. Hilarant. C'est théoriquement impossible : un pauv' gars bizarre et... moi. Perso, je préfère Enzo. Enfin, Enzo, c'est juste un pote. Et déjà, pourquoi je parle de... ça ? C'est juste un rêve, comme les autres. Comme je n'ai rien à faire, jevais faire ce que je fais d'habitude : me promener dans le jardin en pleine nuit. Je sais, c'est fou, non ? Mais bien sûr, je me changes. Donc je fonces dans mon armoire, attrape un pull fuschia et un jean noir. Je descends dans hall, essayant de faire le moins de bruit possible ( et en plus, ma maman ne sait même pas que je descends souvent dans le jardin pendant la nuit. Si elle le savait, elle me tuerait ) et mets mes chaussures fétiches, Converse blanches. Je prends les clés et ouvre doucement la porte d'entrée. Je sors, ferme la porte à clé et les mets dans ma poche. Je regarde le ciel : il est bleu nuit, on pourrait le confondre avec mon nail-art bleu nuit avec des autocollants pour les ongles, la tête de Mickey sur chaques ongles. D'ailleurs, ça me rappelle le... vous savez, le truc-dont-je-n'-ai-pas-envie-de-parler. Avec le ciel. Où, Truc m'a embrasssé. Beuark. Puis je regarde la route. Il n'y a aucune voitures. C'est... tout vide. Trop bizarre. C'est alors que je vois une silouette au loin, comme dans mon rêve. Et la panique commence. Je me jette derrière mon cerisier. Je jette un oeil vers la silouette, qui est maintenant DEVANT MOI. - ENZO ! Ah mon Dieu, tu m'as fais de ces trouilles ! criais-je, la voix tremblante de peur. - Excuse-moi, Elena, me dit-il tout souriant. Je ne savais même pas que tu étais là. Et je l'invite dans mon jardin; je tremble de froid et claque des dents. Enzo, lui, est avec une veste en cuir. Puis moi, en petit pull. Je croyais que si on est en été, bah il ferait chaud... en été. Pendant la nuit. - Dit, Elena, pourquoi tu te promènes pendant la nuit ? me demande Enzo, en me regardant. - Pourquoi toi tu te promènes pendant la nuit, en passant par ma rue, m'exclamais-je, toute souriante malgré mes dent qui font des claquettes. - Je n'arrivait pas à dormir. Donc je me promènes. Et toi ? - Pareil. - Cool. L'ambiance était bizarre. D'habitude, on discute, rigole et trouve tout le temps des sujets de discussion. Et là, on est à court de discussions à cause de nos rougissements, j'imagine. Parce que lui, Enzo, rougissait autant que moi. Et les seuls trucs qu'on pouvait dire c'était : « Ca va ? », « Bien et toi ? », « Oui, merci. » ou encore « J'aime bien ta veste/ton pull. Il est cool. » Chapitre 3, partie 1 3h28. Enzo est toujours dans le jardin, moi à ses côtés. On ne parle toujours pas. Puis, enfin, il décide de partir. On se dit au revoir avant qu'il parte, et là je remonte dans ma chambre. J'ouvre la porte doucement, et là, je me retient de hurler et de m'évanouir. - Ma.. maman ?!? Son regard me jetait des éclairs. C'est rare que je la voit comme ça. J'ai juste une envie de m'enfouir pour échapper l'étranglement à mains nues de maman. Elle me dévisageait, les sourcils légèrements froncés. Elle ouvrait la bouche pour parler, mais la refermait aussitôt. - Maman, hum... - Chérie. Pourquoi...? - Je vais tout t'expliquer... - Pas la peine. Depuis quand fais-tu cela ? - Je... je ne sais plus. Évidemment, je mens. Encore. Je sais exactement quand est-ce que je suis sortie en pleine nuit. Le 8 juin 2010. Très précis. J'avais à ce moment 12 ans. - Je ne veux plus te voir sortir en pleine nuit dans le jardin. Avec Enzo. Je manque d'avaler de travers ma salive. En fait non, je l'ai vraiment avalée. - Comment tu... enfin bref, je suis désolée, maman. - Ne refais plus jamais ça. - C'est promis. Et c'est dans ces cas-là où j'ai envie de me gifler moi-même. Je déteste parler à 3 heures du matin parce qu'il m'arrive très souvent de dire des choses que je n'ai pas envie de dire. J'ai toujours l'habitude de sortir quand je n'arrive pas à dormir. Et là, bah adieu la sortie en pleine nuit. Qu'est-ce que je vais faire ? Si seulement quelqu'un pouvait créer une machine à remonter le temps... je demanderai ça à Julie, l'intellote suprême. Elle m'a déjà dit qu'un jour elle remonterait le temps pour se marier... avec Albert Einstein. Oui, c'est vrai, ils font un beau couple. En tout cas, elle ne vas pas trop me manquer, celle-là. Chapitre 3, partie 2 - Chérie, va dormir, maintenant. N'oublie pas que demain on va rendre visite à tes grands-parents à 10h30. - J'suis obligée d'y aller, maman ? disais-je d'une voix fatiguée et tremblante, toujours par le froid et la peur. - Obligée. - Mais maman, demain j'ai une sortie ent... - Ne me contredis pas. Un point c'est tout. Je soupire et me jette vers mon lit, encore toute habillée. Ma maman sors de ma chambre et ferme la porte assez bruyamment. Je n'arrive pas à dormir, et soudain, à ma grande frayeur, mon tél se met à vibrer comme un taré sous ma couette. - Zut, j'ai oublié de le mettre en silencieux, me disais-je. Je décroche ou pas ? Puis je décroche. -Allô ? - Allô Elena ? C'est moi. Enzo. - Ah... okey. Quoi encore ? Et voici encore une fois où j'ai envie de me gifler moi-même. J'ai des humeurs particulières à 3h du mat'. - Euh... c'est pour te dire que je suis privé de sorties pendant une semaine. Mon père m'a vu sortir en pleine nuit. Donc demain, j'pourrais pas aller au ciné avec vous. - T'es sérieux ? - Bah ouais... - Cool alors... enfin non ! Oublie ce que j'ai dit, je suis désolée ! C'est juste que demain je suis obligée d'aller chez mes grands-parents et j'ai cru que vous iriez sans moi... - Non, me coupe-t-il. Si tu ne venait pas, de toute façon on aurait annulé la sortie. Je souris. - C'est sympa, je dis, en souriant. - Y a pas de quoi. Bah voilà, c'est tout ce que j'avais à dire. T'as quelque chose à me dire ? - Hmm... non, ça va. - Donc... je peux raccrocher ? -Oui. - Bonne nuit, Elena. - Bonne nuit. Et je remets mon téléphone sous ma couette, et je me rendors. |
Remerciements/sources Merci à Fashiiiiion d'être la Correctrice d'Orthographe de ma Chronique. :p Chambre (1) : http://www.photodeco.fr/wp-content/uploads/2014/03/photo-decoration-id%C3%A9es-d%C3%A9co-chambre-ado-design-9.jpg CD (2) : « The 2nd Law » de MUSE. « Waaake to seeeeee [...] (3) » : « Supremacy » de MUSE, début du 1er couplet. Le lien de la vidéo était le clip officiel de « Supremacy ». |
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