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- Présidente :
- KilariHinamori
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- Date de création :
- le 04/03/2014 à 18:06
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Une vie Transparente.
Bienvenue sur le club de ma chronique, transparente.
C'est une chronique fantastique, sans aucun romance et assez triste.
Je ne suis pas encore sûre de ma fin et l'inspiration me viendra en écrivant mais le début sera peut-être dur à comprendre.
J'essayerais de mettre une partie par semaine mais ce ne sera certainement pas régulier.
Bonne lecture ^^
Désolée pour les fautes d'orthographe, j'essaie d'en faire le moins possible mais je VRAIMENT nulle en conjugaison >.<
Partie 1
Bip-bip-bip. J'ouvris un oeil et je vis une petite tête blonde émerger de l'océan de couvertures. Je me leva. Je m'approcha de ma petite soeur qui ne voulait visiblement pas sortir de lit, et m'assis sur le bord. Je tourna vers la tête vers l'endroit où j'avais passé la nuit, un petit fauteuil abandonné qui était là. Je soupira et vis ma soeur se lever et descendre les marches qui menaient au deuxième étage. Sa chambre était une partie du grenier. Elle était composée de deux micros-pièces, une où elle avait son lit et une autre pièce par laquelle on accédait en descendant deux petites marches dans laquelle elle avait son bureau et son dressing. Cette deuxième pièce avait un balcon qui donnait sur un salon toujours désert du deuxième étage. Je sortis de la première pièce et la regardais descendre jusqu'au salon. Je me retourna vers son bureau soigneusement rangé, ses affaires de l'après-midi déjà prêtes et alignées en une pile parfaite et ses affaires du matin déjà dans son sac. Je passa un doigt sur le premier cahier de la pile, son cahier d'anglais. Je voulus regarder à l'intérieur et pouvoir lire son écriture si belle, mais lorsque je tenta de l'attraper, ma main passa à travers le cahier. Pour la énième fois je soupira. Comme je m'ennuyais, je descendit et à la cuisine et je la regarda manger. Elle s'était préparé un bol de lait et le buvait . Je regarda le sofa, il était jonché de bouteilles vides. Lorsqu'elle ouvrit la poubelle pour jeter la bouteille de lait vide, je vit plein de canettes et cartons de pizzas vides. Je vis son regard s'assombrir. Hier Layla (notre mère, que je ne considère pas comme telle) avait encore donné une de ses fêtes bien arrosées. Je savais que le bruit avait empêché Nina de dormir, mais elle n'avait rien dit. Elle se serait certainement prit une canette dans la tête. Nina remonta dans sa chambre et je la suivis. Je la vis prendre une pile d'habit déjà prête et soigneusement pliée sur une chaise. Je la suivis jusque dans la salle de bain et je l'attendis dehors. J'aimais ma petite soeur. Je l'aimais beaucoup. Quelques minutes plus tard elle sortit, habillée et les cheveux mouillés. Elle monta mais cette fois-ci je ne la suivis pas. J'entendis le sèche-cheveux et en déduisit qu'elle se séchait les cheveux. Elle redescendit les cheveux tressés, son sac sur le dos et avec une pile d'habits dans sa main, certainement les habits pour le lave-linge. Je la vis se diriger vers la chambre de Layla mais je ne la suivis pas. Ça faisait longtemps que je n'étais pas entrée dans sa et je ne voulais même pas voir ça. Elle en sortit avec une autre pile d'habit et elle descendit, mit les habits dans le lave-linge. Elle prit son manteau et sortit. Je la suivis.
Je savais que Nina devait tout faire à la maison. Layla était une alcoolique qui avait toujours profité de nous. Elle nous avait jamais parlé de notre père. Nous vivions dans une grande maison assez riche car nous étions sustentés par notre grand-mère qui était assez riche. Elle était à la retraite et elle nous adorait, elle nous envoyait mensuellement une somme d'argent telle que Layla n'avait pas besoin de travailler. Mais elle ignorait ce que nous faisais subir Layla. Elle nous forçait à nous occuper de la maison, de faire les courses, de nettoyer et tout ça, pendant qu'elle faisait la fête avec ses amis. Elle nous menaçait de nous mettre en internat. Cette menace marchait bien sur nous. On avait tellement peur d'être séparées qu'on faisait tout ce qu'elle nous demandait. Ma soeur était ma seule raison de vivre et j'étais la sienne. Nous vivions toutes les deux ensemble, on mangeait ensemble, on dormait ensemble, on allait au collège ensemble. Nous avions 2 ans de différence. Mais une chose nous a toujours troublé. Elle était blonde aux yeux verts, j'était brune aux yeux bleus et nous ne nous ressemblions pas du tout. Et puis si nous étions vraiment soeur, notre père aurait vécu avec nous au moins jusqu'à la naissance de Nina, c'est à dire quand j'avais deux ans. J'aurais forcément des souvenirs de lui. Nous pensions que nous avions étés adoptées ou que sont père était un inconnu… Layla nous frappait si elle entendait cette question. Une chose était sûre, nous n'avions pas le même sang. Mais on s'en fichait, on était soeur pour autant. Tout allait bien et on était heureuses malgré la pression de Layla. Tout allais bien jusqu'à ce jour...
Une vie Transparente.
Bienvenue sur le club de ma chronique, transparente.
C'est une chronique fantastique, sans aucun romance et assez triste.
Je ne suis pas encore sûre de ma fin et l'inspiration me viendra en écrivant mais le début sera peut-être dur à comprendre.
J'essayerais de mettre une partie par semaine mais ce ne sera certainement pas régulier.
Bonne lecture ^^
Désolée pour les fautes d'orthographe, j'essaie d'en faire le moins possible mais je VRAIMENT nulle en conjugaison >.<
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Abonnées : Si vous voulez être prévenues de l'ajout ils suffit de le demander et je vous ajourterais aux abbonées ^^ LeftWay |
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Partie 1
Bip-bip-bip. J'ouvris un oeil et je vis une petite tête blonde émerger de l'océan de couvertures. Je me leva. Je m'approcha de ma petite soeur qui ne voulait visiblement pas sortir de lit, et m'assis sur le bord. Je tourna vers la tête vers l'endroit où j'avais passé la nuit, un petit fauteuil abandonné qui était là. Je soupira et vis ma soeur se lever et descendre les marches qui menaient au deuxième étage. Sa chambre était une partie du grenier. Elle était composée de deux micros-pièces, une où elle avait son lit et une autre pièce par laquelle on accédait en descendant deux petites marches dans laquelle elle avait son bureau et son dressing. Cette deuxième pièce avait un balcon qui donnait sur un salon toujours désert du deuxième étage. Je sortis de la première pièce et la regardais descendre jusqu'au salon. Je me retourna vers son bureau soigneusement rangé, ses affaires de l'après-midi déjà prêtes et alignées en une pile parfaite et ses affaires du matin déjà dans son sac. Je passa un doigt sur le premier cahier de la pile, son cahier d'anglais. Je voulus regarder à l'intérieur et pouvoir lire son écriture si belle, mais lorsque je tenta de l'attraper, ma main passa à travers le cahier. Pour la énième fois je soupira. Comme je m'ennuyais, je descendit et à la cuisine et je la regarda manger. Elle s'était préparé un bol de lait et le buvait . Je regarda le sofa, il était jonché de bouteilles vides. Lorsqu'elle ouvrit la poubelle pour jeter la bouteille de lait vide, je vit plein de canettes et cartons de pizzas vides. Je vis son regard s'assombrir. Hier Layla (notre mère, que je ne considère pas comme telle) avait encore donné une de ses fêtes bien arrosées. Je savais que le bruit avait empêché Nina de dormir, mais elle n'avait rien dit. Elle se serait certainement prit une canette dans la tête. Nina remonta dans sa chambre et je la suivis. Je la vis prendre une pile d'habit déjà prête et soigneusement pliée sur une chaise. Je la suivis jusque dans la salle de bain et je l'attendis dehors. J'aimais ma petite soeur. Je l'aimais beaucoup. Quelques minutes plus tard elle sortit, habillée et les cheveux mouillés. Elle monta mais cette fois-ci je ne la suivis pas. J'entendis le sèche-cheveux et en déduisit qu'elle se séchait les cheveux. Elle redescendit les cheveux tressés, son sac sur le dos et avec une pile d'habits dans sa main, certainement les habits pour le lave-linge. Je la vis se diriger vers la chambre de Layla mais je ne la suivis pas. Ça faisait longtemps que je n'étais pas entrée dans sa et je ne voulais même pas voir ça. Elle en sortit avec une autre pile d'habit et elle descendit, mit les habits dans le lave-linge. Elle prit son manteau et sortit. Je la suivis.
Je savais que Nina devait tout faire à la maison. Layla était une alcoolique qui avait toujours profité de nous. Elle nous avait jamais parlé de notre père. Nous vivions dans une grande maison assez riche car nous étions sustentés par notre grand-mère qui était assez riche. Elle était à la retraite et elle nous adorait, elle nous envoyait mensuellement une somme d'argent telle que Layla n'avait pas besoin de travailler. Mais elle ignorait ce que nous faisais subir Layla. Elle nous forçait à nous occuper de la maison, de faire les courses, de nettoyer et tout ça, pendant qu'elle faisait la fête avec ses amis. Elle nous menaçait de nous mettre en internat. Cette menace marchait bien sur nous. On avait tellement peur d'être séparées qu'on faisait tout ce qu'elle nous demandait. Ma soeur était ma seule raison de vivre et j'étais la sienne. Nous vivions toutes les deux ensemble, on mangeait ensemble, on dormait ensemble, on allait au collège ensemble. Nous avions 2 ans de différence. Mais une chose nous a toujours troublé. Elle était blonde aux yeux verts, j'était brune aux yeux bleus et nous ne nous ressemblions pas du tout. Et puis si nous étions vraiment soeur, notre père aurait vécu avec nous au moins jusqu'à la naissance de Nina, c'est à dire quand j'avais deux ans. J'aurais forcément des souvenirs de lui. Nous pensions que nous avions étés adoptées ou que sont père était un inconnu… Layla nous frappait si elle entendait cette question. Une chose était sûre, nous n'avions pas le même sang. Mais on s'en fichait, on était soeur pour autant. Tout allait bien et on était heureuses malgré la pression de Layla. Tout allais bien jusqu'à ce jour...
