Lissez avec sa : http://www.youtube.com/watch?v=4BAccox7-NM&feature=share
Je décrocha en essayant de prendre la voix la plus normale possible :
Nourdine : Salut mon amour !
Moi : Nourdine !
Nourdine : Tu me manque, mais j'ai pas compris hier . Pourquoi es-tu partie comme sa ?
Moi : Ho non pour rien ne t'inquiète pas . Bon j'ai plein de trucs à faire je te laisse mon coeur .
Nourdine : D'accord je t'a...
Je raccrocha sans même le laisser terminer . En réalité les " trucs à faire " étaient mes valises ... Je partie chercher des cartons dans le garage et j'y mit tout se qui me tombais sous la main . Oui tout . Livres, sacs, boites, peluches, trousses, feuilles, classeurs, stylos, fringues en bordel, cosmétiques, posters, coussins, photos, tirelire ... En faîte je ne faisais pas attention à se que je faisais . Pas du tout même . Je ne voulais pas partir, je ne pouvais pas tout quitter comme ça .
Des larmes coulaient de douleur . J'en avais tellement marre . Je dois vous avouer que à un moment j'ai pensée à fuguer . Oui à fuguer . Mais j'y est vite renoncée, sachant très bien que ça n'aurais servit à rien . J'ai passée un long moment, assise au milieu de ma chambre avec plein de choses à traîner par terre . Je ne bougeais plus, j'était comme figée, le regard vide . La tête baissée sur mon portable . Mon portable était mouillé à cause des larmes qui tombaient dessus . Je réfléchissais à des solutions pour ne pas partir mais je savais très bien que je devais m'y faire .
La journée passée, je me coucha le coeur déchiré .
A présent, il ne me restait plus que 3 jours avant mon départ . Pendant les 2 jours précèdents j'ai continuée mes cartons, en essayant de me faire à l'idée que je devais partir . Je ne pleurais plus, je m'étais ressaisie . En me disant que je devais prendre ça comme un nouveau départ, même si ça serait surement difficile . Aujourd'hui ma mère avais décidée d'organiser une virée shopping pour me faire oublier tout ça .
- 14h00 -
Ma mère : Victoiiiiiiiire !
Moi : Oui j'arriiiiiive !
Ma mère était surprise de l'enthousiasme avec lequel je descendis les escaliers . Le sourire jusqu'aux oreilles, elle savais très bien que j'adorai les virées shopping, et qu'elle avait réussie à me faire oublier ce foutu déménagement . L'après midi se passa merveilleusement bien ! J'acheta quelques vêtements et quelques paires de chaussures . On alla manger des glaces, boire des cocktails, bref un après-midi de fous, pendant lequel j'ai tout oublier, tout sa grâce à ma maman .♥ Elle est vraiment exceptionnelle, ma mère .
Voilà, un jour de plus d'écoulé . Il ne me restais plus que 2 jours pour annoncer mon départ à Nourdine . Mais je ne savais toujours pas comment le lui dire . Une idée me vint alors à l'esprit, subitement . C'est décider demain, je met mon idée à exécution .
Le lendemain, je me leva d'un bond comme à mon habitude . 1 heure après mettre lever j'était enfin prête, je me décida à envoyer un SMS à Nourdine : Je t'attend après la fontaine vers chez toi .
J'attendais à présent qu'il me donne le " feux vert " .
C'est se qui fit quelque minutes après l'envoie de mon message .
J'était en route pour la fontaine . Je ne savais pas exactement se que j'allais lui dire . Je ne savais pas non plus si j'aurais le courage de lui le dire . J'ignorais également sa réaction si il apprenais mon départ . C'était sans doute la dernière fois que je mettrais les pied dans cette rue . Sans doute la dernière fois que je verrais ses magnifiques yeux noisette, ses dents parfaite, sa peau si douce, ses cheveux bruns . La dernier fois aussi que je sentirais sont parfum . La dernier fois que j'entendrais sa voix . Je marchait de plus en plus vite, sans regarder vraiment ou j'allais . Je percuta quelqu'un quand je levis la tête je reconnue Nourdine . Je l'embrassa avec un telle passion il ne du pas comprendre . Ensuite je le serra très fort contre moi . Je sentais son souffle dans mon cou . Je le serrais tellement fort, comme si je voulais m'imprenniez de lui, de son odeur . Il ne disais rien, il se contentais de ma regarder, sans un mot . En baissant la tête je remarqua qu'il avait perdu quelque chose mais je n'arrivai pas à voir quoi . Ma vu était brouiller par les larmes qui montaient . Je leva la tête, le regarda dans les yeux et lui dit :
- Nous deux ses fini .
Je vit son sourire tomber puis il s'exclama :
- Dis moi que tu plaisante, Victoire .
Je le serrais de moins en moins fort, jusqu'à la lâcher et finir par lui dire :
- Je t'est tromper .
Sont regarde devient noir, la colère et la tristesse venais de le gagner . Il me gifla . Je partit en courant avant de ramasser la chose qu'il avait laisser par terre . Je venais de lui mentir, je ne l'avais jamais tromper . J'avais fait sa pour qu'il m'oublie plus vite et qu'il se fasse une raison . A présent il m'en voulais je le savais . Mais je me dit que en lui disant sa, il sera moins triste . Qu'il ne pourra rien regretter puisque la faute était sur moi . Je courus jusqu'à chez moi . Je n'avais plus de maquillage tout avais couler . Je monta dans ma chambre, essuya mes larmes, et fouilla dans ma poche pour retrouver l'objet que Nourdine avait laisser tomber . Je découvrit que c'était un bracelet . Un bracelet tresser d'un façon que je ne serai vous décrire . Je peux juste vous dire qu'il était de couleur grise, et que sont parfum était encore dessus . Je continua mes valises et mit le bracelet avec tout mes autres souvenirs de Nourdine . Photos, tickets de cinéma, bouts de papiers avec marquer " Je t'aime ", ou encore peluche de la fête foraine ...
Une nuit plus tard, il était tant dis aller . J'avais terminer mes valises et mes cartons, et j'aida mais parents à tout rentrer dans la voiture . Je me rendis une dernière fois dans ma chambre, admirant la vu sur la rue, et à l'autre fenêtre sur notre grand terrain . Je ferma la porte une dernière fois, descendit les escaliers et me rendis dans la voiture ou ma mère Timéa m'attendait, il ne manquait plus que ma mère . Elle se dépêcha de fermer la porter d'entre à clef, et nous rejoignis . La voiture démarra . Au bout d'une heure et demi de route je demanda ou on allait habiter à présent . On me répondis : - Dans une grande maison à quelque kilomètre d'une plage . La ville s'appelle Eraïblese . Drôle de nom ... Je me demande à quoi elle ressemble . De toute façon je verrais bien .
- 16h00 -
Timéa dore encore, qu'es qu'elle est mignonne quand elle dort . La voiture s'arrête . Je lève les yeux et je reste scotcher . Devant mes yeux se dressais une magnifique demeure, gigantesque . Magnifiquement belle, devant la maison se trouvait toute sorte de parterre de fleures et d'arbustes fleurie . Quand à l'intérieur, il était propre et lumineux . Je me dirigeais vers la baie du salon, je l'ouvrit et vu un grand terrain . Il fessait un magnifique soleil . Je me projetais déjà dans cette maison . J'était impatiente de voir le reste . Je pris Timéa avec moi, pendant que mes parents aidais les déménageur et installer les meubles, je me dépêcha de monter à l'étage . Je peux vous dire qu'il fois de plus j'était bouche-bée . L'escalier donnait sur une mezzanine, il y avait également deux grandes salles de bains, deux chambres et une autre petite salle . Je ne savais pas à quoi elle pouvais servir . Après réflexion, je pensa qu'elle pourrait servir de salle de jeux pour ma petite soeur . Je monta au deuxième étage . Une chambre et une salle de bain . Surement le futur étage de mes parents . Après le départ des déménageur et les meubles en place, ma mère me proposa de choisir ma chambre . Je choisie bien sur le deuxième étage à moi toute seule . Le rêve . Pour l'instant c'était plus pratique pour mes parents d'être non loin de ma soeur . Mais je ne comptais pas déménager ma chambre, même un fois Timéa grandit .
-20h00-
- Ma mère : Victoire, à table !
Je descendit aussitôt . Tout le monde était déjà à table, Timéa sur sa chaise haute, et mes parents sur leurs chaises habituelle . Ils m'attendaient . Je me dépêcha donc de les rejoindre .
Nous mangions tranquillement, quand la sonnette nous coupa . Je partit ouvrir sans me poser de question . Quand j'ouvrir la porte je vit une grande dame brune au yeux bleus qui se tenais sur le seuil de la porte, un plat remplie de biscuit encore chaud . Elle avait l'air sympathique et chaleureuse . Elle lâcha avec une joie que je ne serai vous décrire : Bonjours ! Bienvenue dans le quartier . Je suis votre voisine de droite, la grande maison au volet bordeaux . Je viens vous voir pour vous apporter ses biscuit que je viens de faire en guises de bienvenue . Je pris la plat qu'elle me tendis . Je m'apprêtais à la faire entrer quand une petite fille blonde, tout mimi, arriva en courant . Elle lui lançais des " Maman ! Maman ! On y va ! " En lui tirant sur le bras . Sa mère ma regarda puis s'exclama : Je doit partir . Bonne soirée et bonne appétit . Je la remercia et ferma la porte . J'entendais la mère dire à sa fille : Voyons Alice tu aurais pue attendre un peu . Il n'est pas encore l'heure ! .... Elle continuais à parler mais elle était trop loin, je n'entendais plus . Je rejoignis mes parents à table, et posa le plat .
- Mon père : Qui s'était ?
- Moi : Ho, une voisine qui venais nous souhaiter la bienvenue . Elle nous à offert des biscuit aussi .
- Ma mère : Ho ! Tu la remercier j'espère .
- Moi : Oui, oui ne t'inquiète pas .
On termina de manger, et je passa la première nuit dans ma nouvelle maison . Bien que je me sentais bien dans cette ville pour l'instant, je n'arrivais pas à oublier Nourdine . Avant de ma coucher, je pris la boite qui contenais nos souvenirs . Je fouilla et après de l'acharnement parmi tout le bordel, je retrouva enfin son bracelet . Je venais de remarquer qu'un prénom y était graver . Mais j'avais du mal à voir lequel, se n'était pas clair . Je l'enfila, et me coucha .
Je me réveilla enfin après une longue nuit de sommeil . Je passa dans la salle de bain, et prit une douche histoire de me réveiller un peu . Un coup de mascara et de liner, j'en sortit . Je jeta un coup d'oeil par la grande fenêtre de ma chambre, et je vit un beau ciel bleu, avec un grand soleil . J'enfila donc un sort en jean, une marinière et des converse basse . Avant de descendre manger mon petit déjeuner je passa dans la chambre de Timéa . Elle dormais, je lui fit un bisous, et lui caressa la joue . Quand je fus dans la cuisine ou se trouvait ma mère je lui demanda si je pouvait promener Timéa, elle me donna son accord mais à la condition que je ramènerait le plat à notre voisine . J'accepta .
Timéa était souriante et gazouillait dans mes bras . Elle était adorable . Je sonna à la porte de nos voisin, j'attendis . J'attendis encore et encore . Je décida de mettre Timéa dans sa poussette quand quelqu'un m'ouvrir enfin . C'était une fille, grande mince, belle . Elle passa sa main dans ses cheveux blond et lâcha un " Bonjour " . Je lui répondit et lui expliqua que je venais leur rendre leur plat . Elle me fit entrer et me proposa un coca que j'accepta . Je ne sais pas vraiment combien de temps je suis rester à parler avec elle, mais suffisamment longtemps pour que je savais qu'il fallait que je rentre, ma petit soeur s'agittais dans sa poussette et s'impatientais . Je partit donc .
Arriver chez moi je me précipita dans ma chambre et je rendit sur Facebook . Quelqu'un venais de me parler, j'ouvrir la fenêtre de conversation instantanée sans trop regarder qui était-ce cette personne .
" Je voulait te parler, je me rendit donc chez toi . Mais quand je frappa personne ne répondit, j'attendit encore et encore . Quand je me décida à regarder par la baie de ton salon, il n'y avait plus rien . Je te chercha partout et compris que tu était partit après de longues heures d'attente devant la porte de t'a maison . Tu ne m'a pas tromper . Je ne te crois pas . Tu n'aurais pas fait sa . Victoire je t'aime . Je t'en supplie dit moi pourquoi tu est partit . Dit moi que tu m'aime, que nous deux se n'est pas terminer . Dis moi ou tu est . Victoire s'il te plait ... "
Je lui répondit par un simple :
" Oublie moi . Oublie moi je ne reviendrais pas . Je t'aime, mais nous deux c'est fini . Crois-moi je ne peux pas faire autrement . "
Comment pouvais-je lui dire sa ? J'était un monstre . Je sais à quelque point je lui fait du mal, j'en n'est conscience mais je n'est pas le choix . Je devais l'oublier . Je pris donc un grand sac poubelle et y mit tout les souvenirs que j'avais de lui . Je sortit dehors pied nu, sans veste alors qu'il pleuvait à torrent . Je me mit à courir dans la rue avec mon sac poubelle à la main . Je m'arrêta, épuiser au pied d'un petit sentier border d'arbres . Mes cheveux châtain claire, presque blond était mouiller, je n'avais plus de make up, et ne parlons pas de mes vêtements . Il était d'un un salle état . J'était là . Debout pommé au pied de ce foutu chemin, je pleurait, quand je sentit une main se poser sur mon épaule .
~~~~~~~
Je me retourna et reconnu, Kim . La fille avec lequel j'ai sympathisé ce matin, chez elle. Elle était aussi mouillée que moi . Sur son visage un sourire se dessinait . Je baissa la tête et retira le bracelet de Nourdine . Kim me prit dans ses bras. Je lui chuchota :
- Pourquoi tu fait sa ?
- Pourquoi je fait quoi ?
- Pourquoi, tu m'aide comme sa.
- Chute, ne dit plus rien. Je sais se que sais, et je veux t'aider.
- Mais
- Chute ...
Ensemble ont pris le chemin pour rentrer, j'ignorai comment elle était au courant . Je l'aimais cette fille, même avant de la connaitre je l'aimais . Je ne savais pas pourquoi mais je le savais s'est tout . Le soir même elle dormis chez moi . J'avais besoin d'oublier, de tout oublier, de prendre un nouveau départ . Et au fond de moi je savais que cette fille m'aiderait à tourner la page . Kim était d'origine canadien, blonde au yeux vert comme sont frère, elle était magnifique . Je ne savais pas grand chose sur elle mais je m'attachais petit à petit à son caractère . On n'a parler de tout et de rien une bonne partie de la soirée, pour finir de s'endormir rattrapées par la fatigue vers 2 heures du matin . Je me réveilla la première, je jouais avec Chaussette en attendant que Kim se réveille . J'en avait marre d'attendre, je pris donc la chaussette que mon chat avait dans la gueule et la balança à la figure de Kim . Elle prit l'oreiller sur lequel sa tête était poser et me le balança . Je rit . Je crois que c'était la première fois depuis que j'habitais ici que je riait de bon coeur .
- 2 semaines plus tard -
Je frappa à la porte de chez Kim . C'est son frère jumeaux qui vint m'ouvrir, il était en boxer . Comme à son habitude il n'ouvrit pas la bouche . Il était toujours comme ça . Je le trouvait assez étrange comme garçon . Mais aujourd'hui il ne réagit pas comme à son habitude . Il lâcha d'abord : Kim n'est pas là .
Puis il m'inspecta de la tête au pied pour s'arrêter au niveau de mon visage . Je resta un long moment planter là, je ne comprenais pas pour il me regardais comme sa . Je décida de briser la silence :
- Bon je vais y aller alors ...
- Nan .
Attend, suis moi . Il me prit par la main et m'entraîna avec lui . Surprise je me laissa faire . Il n'emmena dans sa chambre et me dit de l'attendre . Contrairement à se que je m'attendais sa chambre était à peu près bien ranger . A part une paire de chaussure, 2 ou 3 tee-shirts et quelques cahiers, tout était en ordre . Je me leva de son lit ou j'était assise pour aller voire de plus près son bureau . Je fouillai sans savoir quoi chercher, quand je tombis sur un photo qui m'intrigua . Sur cette photo un garçon et une fille fessaient une bataille d'eau . Je posa la photo et en trouva d'autres avec les même personnes dessus . Un coup il s'embrassais puis après rigolait à plein ventre, écrouler par terre . Et sur l'une d'entre elle il n'y avait pas seulement ce garçon et cette fille mais ce garçon cette fille et une autre fille .
Je fit surprise par le frère de Kim qui revint, un plateau de cocktail à la main . On le voyant j'eu comme un flach-back . Des tonnes images défilaient dans ma tête . Je n'en pouvait plus, je revoyais les trois personnes de la photo partout . Ma tête me faisais terriblement mal . J'entendis un bruit de verre se fracassant contre la sol, et ensuite le troue noir ...
Narrateur Téo ( Frère de Kim ) .
Quand je fus arriver sur le seuil de ma chambre, Victoire avait la tête pencher au dessus de mon bureau, dans sa main elle tenais les photos . Elle ne se rendit pas compte aussitôt que j'était là . Quand elle tournit la tête et me vu, elle resta figer avant de s'écrouler sur le sol . Je l'achat aussitôt le plateau que je tenais et courus vers elle . Je passa ma main dans ses magnifiques cheveux châtains clairs . Elle n'avait pas changée . Elle avait toujours la même odeur, les mêmes cheveux, les mêmes yeux . Elle était tellement belle . J'en n'étais, sur c'était elle . Je pris sa main et lui souffla :
- Victoire ... Victoire !
Elle ne me répondit pas . Quelques minutes après elle était sur le brancard dans un camion de pompiers . J'était avec elle . La tête entre les mains, les larmes coulaient . Mais quel idiot ! C'était de ma faute, je m'en voulait tellement . Je savais qu'elle était fragile, j'aurais du ranger ses photos ... Mais il était trop tard à présent .