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- Présidente :
- oihan
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- Date de création :
- le 01/12/2013 à 17:15
Présentation
[Cette chronique n'est pas tirée d'une histoire vraie.]
"...La mort n'est que le début d'une rude bataille..."
Kassidy Woderkante, s'il fallait la décrire on ne peut pas.
On se ne sait rien d'elle, rien de ses parents, rien de son entourage, rien de sa vie, encore moins de son existence, jusqu’à maintenant.Sa famille a un terrible secret que personne n'a jamais déceler.Même pas Kassidy, elle ignore tout de sa vraie nature, elle ignore que ces amis vont lui changer complétement la vie...
Eden-Holly-Jasper-Blaise
Des noms qu'elle ne connait pas,...Mais qui va changer, tout changer.
I.
Mon début, le mien n'est pas aussi simple a décrire, ma mère a toujours refusé de parler de mon vrai père.Je ne sais pas où il est, son prénom, a quoi il ressemble, si il est mort ou pas.J'ai qu'une simple mère remarier a le père de la pire des filles qu'il puissent avoir dans mon collège.Je n'ai jamais vraiment aimer l'endroit ou je suis.Une campagne, un simple village de morts, des agriculteurs partout, des vieux mourants tout les jours.La pluie le vent les orages les tempêtes j'en ai par dessus la casquette.Je ne suis peut être pas dans une ville, pas dans un collège ou il y a des populaires ni rien.Mais les vacances de Noël arrive et je vais déménager, je partirais d'ici pour aller dans un collège en Angleterre.Je profite de cette neige qui bloque les routes, je profite de cette vie pendant que ma mère se démerde a s'occuper de ces papiers de mariage. Plus les jours passent, plus cette poudre blanche apparait sous nos pieds.Je suis totalement normale je fait un bonhomme de neige pendant l'hiver, je fais une bataille d'eau pendant l'été, je rentre pour faire mes devoirs, je suis amoureuse... Alors je courra vers ma cuisine pour prendre une carotte, j'arrache des boutons d'une vieille chemise, je prends deux petits cailloux, et deux petites branches.Tendit que je commença a rouler la neige je remarqua alors que dans la tête du bonhomme de neige prénommé "Gorge" se trouvait quelque chose de dur et brillant.Je pris mon courage et poussa a grand coup de pieds sa tête qui explosa au contacte de la neige.L'objet était redevenus visible. Un collier, simple, en argent.Le médaillon était une belle horloge coincé a 2h30. Il n'y a rien pour le régler, j'enleva le peu de flocons rester pour remarqué alors que ce n'étais pas des chiffres mais des lettres.Il n'était pas 2h30, le 2 c'est trans er en A. et le 30 en BL.A quoi ça rime ? Je décida de le passer derrière mon cou, il m’arrivait a hauteur des côtes, je rentra chez moi décourager d'avoir perdu la tête de "Gorge".En rentrant je me prépara un bon gros chocolat chaud pour mes doigts tout rouge, m'installant dehors sur les marches en bois en bas de la porte je regarda mon médaillon.Il était tout rouillé, mais comment trouver un collier suite a une chute de neige, il n'a pas pu atterrie comme ça par pure magie.La veille personne n'es venu, et il y avait très peu de neige on aurait pu voir ce médaillon.
II.
Mourir, n'est pas si terrible que ça après tout.Il suffit juste de ne pas se débattre, car quand notre heure est venue on ne peut pas la décalée.Voila mon point de vue.Enfin, changeons de sujet... Des cris perçaient dans la brume, une jeune fille aux cheveux extrêmement rouges courait dans une foret.Il faisait froid et l'orage y mis son grain de sel.On pouvait voir que cette fille avait peur, elle criait a tout bouts de champs. Cette scène ressemble étrangement a mes cauchemars, tout les jours, toujours le même.Et c'est comme ça depuis les premiers flocons de neige, plus exactement ce collier. Quand je partis faire a manger, je décida d’aérée de cette fumée que les haricots sortaient de cette cocotte.En ouvrant la porte, un homme, pale comme un linge grelottant et regardant la neige sous ses pieds, un grillage nous séparaient. "Monsieur, je peut vous aidez ?" Pas de réponse, c'était tellement flippant que je referma la porte.Je regardais le plancher a coté de la fenêtre, puis passa ma tête, il avait passer le grillage.Il n'y a pas d'ouverture pourtant, la neige ne montrait aucune traces de pas dans la neige, il avait la même position qu'a 10 mètres plus loin. "Kimberlyyyyy, y a quelqu’un de louche !!!!" Kimberly est un prénom rare, pour ma demi-sœur qui doit être sur sa musique...Plus l'homme s'avance a petits pas plus je m'approche des tiroirs.Je fouillais les mains tremblantes, je trouva un enorme couteau avec une lame tranchante, je cours a la porte la matient de tout ces grand coups "KIMBERLYYYYYYYYYYYYYYYYYY" Il frappait avec une force terifiante que la porte en bois se cassa.Je courru de l'autre côté de la piece, l'homme était rentré "Kassidy, rend moi ce que tu m'a volé..."
III.
Tous mes membres tremblent, il n’avait que faire de mon couteau. Il s’aventurait vers moi.Je tenais mon arme a deux mains, des fourmis me les traversaient. Ce drôle de sensation que m’offrait ma gorge.Allais-je vomir, ou bien l’adrénaline ?
Je renversai un vase dans mon élan. Ma bouche refusait de bouger, mon cœur allait m’arracher la poitrine. Plus ses pieds se rapprochaient de moi, plus les miens se dérobaient sous mon corps.
Je ne m’étais jamais rendue dans une telle situation. Mais j’avais comme l’impression de savoir quoi faire. En commençant par ne pas fuir devant l’ennemi.
« Kassidy, toi et ta sœur… »
Il n’avait pas poursuivis sa phrase, qu’un bruit lourd raisonnait dans nos oreilles. Ce qui le fait se retourné, moi y compris.Etonament quelqu’un à l’entrée de la porte-fracassé- était tombé sur le verglas. L’intrus n°1, se dirigea vers le bruit. Etonnée je lança :
« Joshua ?Pars va-t-en d’ici, vite ! »
Il prit du temps a relevé la tête. Josh est un ami. Enfin pour l’instant. Il n’a pas de père, très peu d’amis et surtout presque pas de sous. Il cherche toujours confort vers moi. Surtout en ce moment, secrètement il veut sortir avec Kimberly, mais, il ne se doute pas que je le sais. Pourtant quand, je lui raconte tout ce qu’elle me fait subir, je me demande comment il fait pour rester autant admiratif.
«- Qu’est ce qui ce passe ?
-Je t’ai dis va-t-en ! »
Quand il a vu mon arme, et entendue ma voix cassé, il a reculé. Nous nous sommes regardé un instant. Mon agresseur ne me regardait plus. Alors je prit la fuite par la porte arrière. J’ai laissé seul Joshua avec ce psychopathe. Je tiens toujours mon couteau et me dirige vers le fond du jardin où un grillage nous stoppait d’une forêt et d’un lac. Je l’escaladai sans trop de mal.
VI.
Le vent se faisait rare, la neige faisait son retour, a gros flocons cette fois, que je ne voyais plus où je mettais les pieds. Je courrai a grandes enjambées. A ma droite la foret profonde. A ma gauche le jardin de mon voisin. Et en face le lac complètement gelé. J’avais pris a ma gauche. Leur volets étaient clos, pas un bruit. Je me retrouvais sur la route désertée par les automobilistes. La vieille épicerie abandonnée, les vieux bâtiments autour de la chaussée. Et quelques enfants faisaient des bonhommes de neiges, sur la place du village. Mon couteau me glissait de la main. Comment se balader dans la rue en tenant un couteau dans la main ?
« Kassi’ ?! »
Je tourna la tête de tout les côtés, Joshua était dans son 4X4 à me prendre en passant.
« Qui c’était ? »
Je ne redonda pas et n’ausa monter. Il me regarda d’un drole d’œil, scrutant le moindre de mes faits et gestes, même qu’il me redoutait.
« Kassidy Woderkante, je t’oblige à repondre ! »
C’est là que dans ma tête ca a fait tilt. J’abaissas ma tête sur le collier encore autour de mon cou. Je le retira et lui tendu.
« Qu’est ce que tu veut que j’en fasse ? »
J’amenai la lame contre la chaine et elle cassa net. J’ai laissé glisser le collier pour qu’il atterrisse au sol. Il y avait les cloches de l’église qui sonnait 13h.
Je ferma les yeux et mon esprit se laissa guider a cette mélodie sinistre. Tenant fermement mon arme je rouvris les yeux pour découvrir un Josh qui était hypnotisé et qui reprit ça route, étonnamment vite. Une voix derrière surgis. Kimberly.
«- Kassidy, qu’est ce qui se passe ?
-Je l’ignore ! Mais tu l’a laissé seul ?
-Oui ! Maman à essayer de t’appeler mais t’avais pas ton portable ?
-Qu’a-t-elle voulu dire ?
-Elle voulait qu’a son arrivé on soit là et « pas paniqué » !
-C’est de plus en plus flippant ! "
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Merci à ceux qui s'inscrive, qui me complimente. Merci beaucoup ! ^^