SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Pinkou
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    Date de création :
    le 29/11/2013 à 21:12

    Présentation
    Modifié le 11/05/2014

    On ne garde pas toujours les gens qu’on aime près de soit, il faut savoir accepter les départs, mettre sa peine de côté et respecter le choix de ceux qu’on a chéri ; c’est aussi ça aimer.

    Le lendemain comme d'habitude elle a les yeux gonflé et rouges. Ses larmes deviennent acides et l'a bouffent de l'intérieur. Elle les cache derrière son maquillage, un peu de fond de teint et du mascara et ça passe inaperçue. Et tout recommence, une journée de mensonge, une journée à sourire alors qu'en réalité tout vas mal...


    "Cette chose, ce moment quand on embrasse quelqu'un et que tout devient flou autour de toi, sauf toi et cette personne. Tu t'aperçois alors que cette personne est la seule que tu es censée embrasser pour le reste de la ta vie et pendant un instant, tu reçois ce cadeau magnifique et tu veux rire et pleurer parce que tu es tellement chanceuse de l'avoir trouvée mais tu as tellement peur qu'elle disparaisse."

     

    Viens on se met ensemble , viens on est un couple sérieux . Ouais , viens on se pose un instant . On surmonte les rumeurs , et on écoute pas les autres . Viens on s'aime vraiment , on se tape des barres , on s'embrouille parce qu'on est jaloux l'un de l'autre  et qu'on a peur de se perdre . Viens tu me prends dans tes bras , tu m'embrasses et tu me relâches plus jamais . Viens on se fait confiance , on se dit tout , il y a plus de secrets entre nous . Viens on fait tout pour que notre couple dure . Ouai viens et ça marchera . J'en suis sûre . 


    Dans la vie , je suis parfois déprimée , triste , seule , fauché , d'humeur massacrante , a bout du rouleau . Mais face à vous , je garde toujours mon sourire . Pour rassurer ceux qui m'aiment et pour emmerder ceux qui me détestent .


    “J'ai lu cette phrase un jour quand j'étais petit: “on vit seul, on meurt seul,... tout le reste n'est qu'illusion”. Ça m'a empêché de dormir la nuit. Chacun de nous meurt seul. Alors, pourquoi j'devrais passer ma vie à travailler, à en baver, à galérer ? Pour une illusion ? Alors qu'il n'y a pas d'amis, ni de fille, pas d'exercices de conjugaison au plus-que-parfait, ni de détermination de racine carrée de l'hypoténuse, qui me permettra d'échapper a mon destin. J'ai mieux a faire de mon temps.”

     

    "Je sais que tu vas mal. Je vois bien que tu as parfois les larmes aux yeux. Que ton sourire est faux. Que tu as envie de partir en courant pour aller pleurer. Je vois que tu n'est pas heureux malgré ce que tu veux nous faire croire. Mais qu'est ce que tu as? Pourquoi tu ne me dis rien? Tu prétend que je suis ta meilleure amie, alors pourquoi tu ne me dis rien? Tu es la plus belle chose qui me sois arrivée. Je ne veux pas que tu me laisses pour rejoindre le ciel. J'ai besoin de toi. Parles moi bordel. J'en ai marre de ne pas pouvoir t'aider, de te voir détruit de plus en plus chaque minutes qui passe. Tu sais que tu peux tout me dire. Que je ne répèterais rien à personne. Tu peux me faire confiance à moi. Je suis là pour toi. J'en peux plus de te voir dans cet état là. Tu comprend ça? Bouges, vie, rigole bordel! J'aime pas te voir dans comme ça. Je veux te retrouver comme à notre rencontre, tu étais heureux. S'il te plaît reviens. J'en ai marre de parler à un fantôme."

     

    C'est grâce à toi que je tiens, tu sais ça? Et tu vois, quand on se dit au revoir, j'ai toujours un pincement au coeur. J'ai peur. Peur de ne pas te revoir le lendemain, j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose. J'ai peur de ne plus revoir ton sourire de Bn. Ouai, t'sais ton petit sourire trop mignon. Ma vie se résume à toi désormais, et pas à un autre. Tu es la plus belle chose qui me soit arrivée. Ne me laisse jamais, tu es ma seule force, ma seule lueur d'espoir désormais.


    Tu veux te suicider ? Imagine ça. Tu rentres des cours un soir, après une horrible journée, encore. Tu es prêt à tout abandonner cette fois. Tu vas dans ta chambre, tu fermes la porte, tu reprends ce morceau de papier, cette lettre de suicide, que tu as écrit maintes et maintes fois, encore et encore. Tu prends cette lame de rasoir, et t'ouvres les veines pour la dernière fois. Tu prends cette boite de pilules, et les avales toutes. Tu t'allonges patiemment, tenant cette lettre sur ta poitrine, tu fermes les yeux pour la dernière fois. Une heure plus tard, ton petit frère toque à ta porte pour te dire que le diner est prêt. Tu ne réponds pas alors il entre, il voit seulement que tu es allongé sur ton lit, alors il pense que tu dois dormir. Il redescend et dit ça à ta mère. Elle monte dans ta chambre pour te réveiller, mais remarque que quelque chose ne va pas. Elle prend la feuille que tu as dans les mains, et la lis. Sanglotant, elle te secoue, crie ton nom, mais tu ne bouges pas. Ton frère, désorienté, cours dire à ton père que ta mère n'arrive pas à te réveiller. Ton père mon les escaliers affolé, voit ta mère en train de pleurer, tenant fermement cette lettre contre sa poitrine, près de ton corps sans vie. Il comprend rapidement, et se met à crier, jetant un objet à travers la pièce. Puis, il tombe à genoux, et se met à pleurer. Ta mère s'approche difficilement de lui, ils se prennent dans les bras, et pleurent. Le lendemain à ton lycée, la principal annonce ton suicide à la classe. Cela prend quelque seconde avant que chacun se rendent compte, puis, tout le monde devient silencieux. Ils se blâment tous eux-même. Tes professeurs pensent qu'ils ont été trop durs avec toi. Ces élèves populaires repensent à tout ce qu'ils t'ont dit de méchant, bêtement. Cette personne qui avait l'habitude de t'ennuyer et de t'insulter, ne peut pas s'empêcher de se haïr pour n'avoir jamais osé te dire à quel point elle te trouvait extraordinaire en vérité. Ton ex petite copine, celle à qui tu disais tout, celle qui t'a largué, pourtant elle ne peut pas supporter d'entendre cette nouvelle, elle s'effondre, se met à pleurer puis quitte la classe. Tes amis? Ils sanglotent aussi, se demandent comment ils ont fait pour ne pas se rendre compte que quelque chose n'allait pas, ils auraient aimé pouvoir t'aider avant qu'ils ne soit trop tard. Et ton meilleur ami? Il est en état de choque, Il ne peut pas y croire. Il savait ce que tu traversais, mais il ne pensait pas que ça pouvait aller si mal... au point d'en finir. Il ne peut pas pleurer, il ne sait rien ressentir. Il se lève, et sort de la classe. Dans le couloir, il s'effondre par terre, tremblante, se met à crier, mais aucune larme ne sort.
    Quelques jours plus tard, à ton enterrement. Il y a foule, beaucoup te connaissaient, et appréciaient ce garçon pétillant. Celui qui était toujours là pour les autres, l'épaule sur laquelle on pouvait pleurer. Ils parlent tous des bons souvenirs qu'ils ont eu avec toi. A tous, on peut voir des larmes couler de leurs yeux. Ton petit frère ne sait toujours pas que tu t'es suicidé, il est trop jeune. Tes parents lui ont seulement dit que tu étais décédé. Ça le blesse, énormément. Tu étais son grand frère, tu étais supposé être toujours là pour lui. Ton meilleur ami, il essaye de rester fort durant toute la cérémonie, mais au moment où ton cercueil est mis en terre, il perd tout moyen, et se met à pleurer comme il n'a jamais pleurer. Et il continuera, pendant des jours, et des jours. Deux ans plus tard. Tes amis, pour la plupart tombés dans la dépression, parlent toujours à un conseiller/thérapeute une fois par semaine. Certains de tes professeurs ont tout simplement quittés leur job. Ces élèves populaires ont maintenant des troubles alimentaires. Cette personne qui t'insultait, s'ouvre les veines. Ton ex petite amie ne sait plus comment aimer et n'a jamais pu avoir une relation stable à nouveau. Ton meilleur ami? Il a essayé de se suicider, il n'a pas réussi comme toi, mais il a essayé, plusieurs fois. Ton frère? Il a finalement découvert la vérité sur ta mort. Il se coupent, s'ouvre les veines, pleure le soir. Il fait tout ce que tu as fait pendant des années, et qui t'a conduit au suicide. Tes parents? Leur mariage est tombé à l'eau. Ton père est devenu alcoolique, pour le distraire du mal que lui a causé ton décès. Ta mère est tombée dans une profonde dépression qui la tue à petit feu et reste clouée au lit toute la journée. Les gens ne s'en fichent pas. Tu ne le remarque peut-être pas, mais ils ne s'en fichent pas. Tes choix ne t'affectent pas seulement toi, ils affectent tout le monde autour de toi. Ne mets pas fin à tes jours, il te reste tellement à vivre. Les choses ne peuvent pas s'améliorer si tu abandonnes. Je suis là pour quiconque a besoin de parler, ou autre, peu importe qui vous êtes, vous pouvez me contactez en aimant cette photo en dessous et en m'envoyant un message. Même si nous n'avons jamais parlé avant, je suis là pour vous. Alors s'il vous plaît, trop de gens partent trop vite alors qu'il ne le voulait pas. La vie est faite pour qu'on ce batte, y'a toujours pire que nous ailleurs. Si ça ne va pas, défoulez vous, hurler, parlez.. Mais ne baissez jamais les bras .

     

     

    « Tu ne peux pas comprendre ce sentiment de malaise, t’as une vie facile, sans accroc, sans cruauté, ni rejet. »
    Est-ce que tu sais ce que c’est d’être dégouté de sa proprepersonne ? De ne plus se comprendre, de ne plus s’accepter, de se détester. Non bien sure excuse moi, toi tu es née bien comme il faut, t'as une gueule qui passe bien, tu parles bien, tu n’as pas la culpabilité du dégout, la peur de l’inconnu, le teint pale, livide les traits tirés par le passé, tu n’a pas de travers, non rien de tout ça, les insomnies tu ne connais pas ? Tu t’es jamais demandé si tu avais ta place dans ce monde de fou, où tout le monde se cache derrière la routine éperdue de la vie ? Non toi tu as la vie parfaite, tu n’es pas mal à l’aise en public, ta voix ne tremble pas, tu ne faiblis pas. Alors de quoi tu te plains ? Tu ne peux pas comprendre ce sentiment de malaise, t’a une vie facile, sans accroc, sans cruauté, ni rejet. Tu ne traines pas ce corps meurtri,tu ne supportes plus ces muscles inexistants effacés au fil du temps.
    Tu ne peux pas te rendre compte, je me déteste tellement, ça en devient affolant. Je repousse ce corps blanc, terne, sans réel entrain de toutes mes forces, mais rien n’y fait. Il me hante m’empêche de vivre, mon cœur le refuse, mon esprit lutte mais c’est un combat perdu d’avance, non toi tu n’as pas ce problème- là. Beaucoup pensent que je suis malade, dépressive, ils se demandent ce qui déconne chez moi, ne comprennent pas, tu sais tu fais partie de ces gens qui pensent que je pourrai être heureuse, que le bonheur est là sous mes yeux à quelques pas. Tu n’es pas dans ce monde sombre, abimé et désœuvré. J’aurais pu te faire un roman seulement si tu avais compris. Mais non ça n’a pas été le cas, mes pensées crédules n’ont pas effleuré ton esprit, car machinalement à la question tu vas bien ? Je t’ai regardé nerveusement et je t’ai répondu avec un sourire forcé je vais bien te t’en fais pas..

     

     

     

    « Tu le sais au fond de toi tu es différente tu aimerais crier, pour te soulager, hurler la tristesse de ton âme et les souffrances de ton esprit. »
    Tu es là, seule, impuissante, la vie défile devant toi, et c’est comme si tu n’y pouvais rien, tu deviens transparentes, insignifiante : alors tu te poses la question mais qu’est-ce qui ne vas pas chez moi ? C’est comme si la vie défilait à la vitesse d’un train et que tu restais sur le quai de gare. Chaque étape de la vie représente les wagons dans lesquelles tu ne monteras jamais. Tu le sais au fond de toi tu es différente tu aimerais crier, pour te soulager, hurler la tristesse de ton âme et les souffrances de ton esprit. Tu n’es pas et tu ne seras jamais ce genre de fille sûre d’elle qui traverse la cour du lycée à l’allure affirmé, oh non toi tu es la fille sympa que beaucoup ne remarque pas. 
    Mais un jour tout va changer, au coin d’une rue, dans le brouillard du crépuscule tu croiseras un regard vif et profond qui te transpercera et à ce moment précis tu auras compris que la simplicité des mots que l’on n’ose pas prononcer se trouve dans la puissance et la douceur d’un regard, dans la lueur d’un espoir. Alors évidemment on sait jamais, on ne sait pas de quoi demain sera fait. Mais ta vie reprendras des couleurs comme si ta propre férocité commençait à guérir peu à peu. Le sourire aux lèvres tu reprendra ta vie mais plus comme tu l’aurais espéré auparavant. Tu as le pouvoir de changer ton destin, laisse tes sentiments reprendre le dessus, tu n’es pas si différente tu sais, tu fais simplement partie de ces gens qui regardent le paysage défilé en espérant que la beauté du monde se réveille au plus profond de la nuit.. 

     

     

     

    « Tu as fait de mes larmes des perles de nacres, tu étais l’infini quand j’étais le néant. »
    Je revois ton visage doux me regarder fixement avec tes yeux pétillants, ta silhouette flotte au-dessus de mon lit d’effet comme si l’humidité naissante du petit matin ne suffisait pas à refroidir la pièce. Je m’abandonne à tous ces moments passés avec toi, quand l’innocence de la souffrance existait encore. Je me souviens de la pureté de ton corps et de la douceur de tes cheveux. Je nous revois allongé l’un contre l’autre j’effleure du bout des doigts le grain de ta peau. Tu étais la lumière qui me permettait de briller quand l’ombre venait me hanter. Tu aimais déposer au creux de mon oreille des mots enjoués, le souffle chaud de ta bouche accentuait la fébrilité de mon cœur. Tu sais c’est comme si l’on était dans l’un de ces films à l’eau de rose qui terminent toujours bien. 
    Mon amour s’il te plait ne m’en veut pas, je vais certainement faire n’importe quoi mais c’est parce que je suis en mal de toi, je t’en supplie ne regarde pas. Je sais que tu es là dans le souffle du vent, dans le regard des gens. Tu es là je le sais, je le sens. Tu as quitté se monde matériel, mais tu es toujours auprès de moi, à l’intérieur de mes poumons ,aux murmures de mes sentiments. 05H42 je suis là périssant dans la douleur profonde de ne plus te revoir, je suis là au bord de mon lit, le cœur battant de désespoir, tu as fait de mes larmes des perles de nacre, tu étais l’infini quand j’étais le néant. Je ne t’oublie pas, je t’oublierai jamais tu es toujours dans chacune de mes pensées. Mon amour, c’était toi, c’était moi c’était nous, seuls contre le monde, c’était si fou..

     

     

     

    Ressentir le souffle du vent, les embruns sur ton visage, l’odeur du sable mouillé c’est ça le pur bonheur. On n’oublie pas tout, on se ressource, on rêve, on vit. Regarder l’horizon, se laisser caresser par la houle, respirer cet air si frais.
    Le clapotis de l’eau t’apaise comme une douce mélodie, elle est présente pour te rappeler à tout moment la beauté de la vie quand tu commences à l’oublier. Quand le soleil t’accompagne dans chacun de tes mouvements alors là tout est différent, tu te sens partir doucement vers l’euphorie. Tu te laisses porter par la pureté de l’eau, par le mouvement des vagues. Il ne suffit pas de dompter la mer, il faut aussi réussi à se mettre à sa hauteur pour ne former plus qu’un et s’abandonner ensemble vers la même direction..

     

     

     

    Je suis désolée, j'ai craqué. C'est vrai, j'ai essayé de les contenir mais c'est trop tard, je n'y arrive plus. C'est dur vous savez, de sourire toute la journée alors qu'on a juste envie de pleurer et de laisser son mal être s'exprimer. Mais on se cache derrière nos pseudos sourires, nos excuses bidons et tout le monde mord à l'hameçon. Je suis désolée, je ne peux plus être forte pour l'instant, j'ai trop encaissé pour rester debout. Laissez moi m'écrouler, je ne peux plus rire, sourire ou même chanter. C'est déjà tellement dure de sourire, j'ai l'impression de souffrir le martyr.
    Mais je vous promets que je ne retomberai pas dans ce petit jeu, j'vous promets que tout ça ne va pas durer. Ouais, j'vais me relever quand j'aurai repris assez de force pour à nouveau faire face à la vie et à ses diverses facettes. Quand j'aurai le courage de vivre, j'reviendrai avec un putain de sourire aux lèvres qui vous fera oublier tout ça. Il effacera mes larmes et laissera place à ma joie, je retendrai la main à tous ceux qui croiseront mon chemin en les aidant à remonter la pente. 
    Seulement, en ce moment je n'en suis plus capable, j'ai juste envie de fuir le monde et ses noirceurs. C'est comme si j'étais emprisonnée dans une cage de papier qu'il suffisait de déchirer, ça à l'air si simple et pourtant, je n'ai plus le courage d'aller de l'avant et d'en sortir. Au plus bas, tu ne peux plus tomber et c'est ce qui est rassurant dans ma réalité. Alors tel un combattant, j'attends de remonter sur le front, telle une comédienne j'attends de remonter sur la scène. J'vous promets, tout ça n'est que passager. Ça va durer peut être des mois ou des années, mais peu importe, j'ai la volonté de me relever, alors je resterai pas à terre. Non, bientôt on oubliera tout ça, et on pourra revoir ma joie, mon bonheur. J'redeviendrai celle que j'étais pour vous, pour tout ceux qui me font tenir debout, pour tout ceux qui sont là, pour tout ceux que j'aime.
    Je m'excuse, je ne suis pas faible c'est juste que j'ai été forte trop longtemps. Et puis, pleurer est humain, alors personne ne peut me blâmer d'avoir besoin qu'on me tende la main...

     

     

     

    Je suis convaincue, j'en ai besoin. J'ai juste besoin de serrer ta main, de sentir ton cœur battre en cœur avec le mien. J'ai besoin d'un « nous », d'un espoir, d'une histoire. J'ai besoin que ça dure, que ça se consolide au fur et à mesure parce que c'est vrai, j'ai tout simplement l'envie de t'aimer. Encore et toujours, ma vie se fait rythmer par « amour », « amour », « amour » encore et toujours. 
    Aimer, souffrir, pleurer et recommencer. Encore et encore, à chaque fois un peu plus fort. Je t'aime moi non plus, on se courre après, on est foutu. Mais ça fait partie de la vie tout ça, jouer à chat, à celui qui aime le plus et puis voilà. Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. Je t'aime un jour, deux mois ou pour la vie. Attirance, déchéance, enivrance. On ne s'en lasse jamais parce qu'à chaque fois on se laisse aller.
    Interdiction, consolation, privation d'aimer. Mais on ne tient jamais parole parce qu'on aime trop ce qui nous console. L'amour, c'est comme l'air, c'est partout, c'est everywhere . C'est un échange constant, cause et conséquence, mais on ne peut s’empêcher de vouloir à nouveau essayer parce qu'on espère que ça sera l'exception à la règle, que nos sentiments n'ont pas de limite et donc aucune frontière. Autrement dit qu'ils ne soient pas éphémère.
    Je t'aime à m'en exploser le cœur, je t'aime à succomber sous la douleur. Peu importe, notre histoire est à nous, elle est notre récit comportant un début, un milieu mais une fin n'est pas quelque chose d'heureux. Promesse d'un jour, promesse toujours. Ça durera sûrement ou peut être pas, mais c'est qu'en essayant qu'on le saura.

     

     

    Si les gens s'attachent aux souvenirs, c'est seulement parce que ce sont les seules choses qui ne pourront jamais changer .

     

    Je n'arrive plus à me relever depuis que je suis tombée amoureuse de toi

     

    Ne regarde pas en arrière, ça sert à rien, crie, saute, réussis, envole toi. A quoi bon se pourrir la vie alors que tu peux avoir tout les bonheurs à tes pieds, avec juste un peu de volonté ?

     

    Je cracherais sur ton bonheur, jusqu'à que j'en sois satisfaite. Tu t'écrouleras de rêves inachevés et je me relèverais de bonheur complet. 

     

    Faudrait-il qu'ils sachent la vérité pour m'emprisonner ? 
    Je sais déjà que mon coeur est condamné, je voudrais juste leur montrer qu'avec de la volonté, je peux faire en sorte qu'il soit libéré.

     

     

    Perdre la fille qui t'as compris dès le début, qui t'as dit que tu seras plus perdue, perdre la personne que tu considérais comme ta soeur, oui, ça bousille le coeur.


    Citations de la série "Pretty Little Liars" - KaaKooK

     

    Chère Maman,

    Je t’écris cette lettre pour te donner de mes nouvelles. Tu me manques énormément. Cela fait déjà 2 ans jour pour jour que tu nous as quitté , 2 ans que tu n'es plus de ce monde. Pourquoi la mort t'a prise toi et pas une autre ? Pourquoi n'a t-il pas pris papa ? De plus il est au commissariat parce qu'il a été trop violent , les policiers ont dit qu'il risque même la prison. Il ne me manque pas du tout , sans lui mes bleus guérissent plus vite. En conclusion vu qu'il n'est pas à la maison , c'est moi qui me charge de Margot. En parlant d'elle , elle se porte plutôt bien même si elle est dans un fauteuil. Elle aurait bientôt ses 6 ans dans quelques jours mais je pense que tu le sais déjà. Tu sais ? Il s'est passé beaucoup de choses pendant ton absence.

    L'année dernière j'ai été harcelé par un groupe de fille dirigé par Jennyfer , une blonde aux yeux gris assez populaire. Elles disaient beaucoup de mal de moi. A chaque fois que je passais devant elles , elles me dévisageaient , me regardant de haut en bas comme si j'étais une bête de foire puis elles riaient très fort en me pointant du doigt. J'ai essayé de les ignorer mais j'ai pas réussi , je n'ai fais que de me goinfrer de sucrerie jusqu'à devenir un gros tas de graisse.

    Un soir , Margot s'est fait percuter par une voiture et papa l'a emmené à l’hôpital. Donc j'étais seule à la maison. J'étais seule et désespérée. J'avais peur qu'elle aussi te rejoigne au paradis. Alors j’eus recoure au couteau qui se trouvait à la cuisine. Je l'ai posé délicatement sur mon bras , je l'ai retiré , beaucoup de sang en est sorti. Ces petits picotements me faisaient du bien , ils me libéraient et me soulageaient et depuis j'ai su que j'aimais me faire du mal. Après ça , je me suis faufilée dans mon lit en pleure. De ma chambre j'ai entendu la porte claquer , c'était papa qui rentrait. Lui aussi pleurait , je voulais le voir pour le prendre dans mes bras même après ce qu'il m'a fait mais je n'ai pas pu , j'étais trop paralysée. Le lendemain matin , avec papa nous sommes allés voir Margot , voir si elle allait mieux. Le médecin nous a dit qu'il lui faudrait un fauteuil. Cela m'a redonné la joie de vivre. Savoir qu'elle sera toujours au près de moi. Pendant qu'elle dormait paisiblement. Je lui ai prise la main , la serrant très fort , je lui ai promise de ne jamais recommencer. Les jours passèrent , je me faisais toujours tiraillé par ses abominables filles mais je me fichais bien de leur avis sur mon poids , mon corps et autre.

    Puis une jour , j'ai rencontré Tayron. Un beau brun aux yeux couleur émeraude et assez musclé. Son prénom sonnais tellement bien. Le directeur m'a proposé de lui faire la visite du collège , j'ai accepté avec joie. Jennyfer en était tellement jalouse. Plus les jours passent plus je me sentais heureuse. Nous nous sommes énormément rapprochés. Puis vint le jour de notre tout premier baiser , c'était un beau jour de printemps sous un cerisier en fleur. Un moment que je n’oublierais jamais. Tayron avait pris beaucoup de place dans mon cœur , il était mon toute ma vie. Puis un beau jour d’automne , je l'ai vu embrassé une autre. Je m'étais essuyée les yeux espérant que ce n'était qu'une illusion. Non , c'était bien réel. Il était là , assis sur ce banc avec cette fille qui n'était qu'autre que Jennyfer. Puis tout devint noir autour de moi. Une boule de rage s'était instauré dans mon ventre. Alors c'est ça l'amour ? On te prend le cœur puis on le brise d'un grand coup de marteau. Tayron était bel et bien comme tout les autres , un bon à rien de la vie. En rentrant , je me suis mise à pleurer. Il n'y avait personne à la maison et j'avais besoin de me libérer de cette souffrance , et tu connais la suite. Depuis , je me suis enfermée dans ma chambre n'écoutant que des musiques tristes et toutes les nuits je me coupe et je pleure. Je n'ai pas réussi à tenir ma promesse envers Margot. J'aimerais en finir de ma vie. Je sais que je suis égoïste mais comprends moi Maman. J'ai déjà essayé maintes et maintes fois mais en vint. Je reste dans ce monde pour Margot mais Maman laisse moi te rejoindre là où il n'y a pas de problème , là où je ne souffrirais plus. Maman laisse moi gouter un fois à la mort. Maman aide moi , libère moi...

    Ta fille sous l'emprise de Cat.

    © Yuna

     

    J'ai énormément de choses à dire sur cet écrit, j'espère que ce sera constructif...^^
    ~j'ai eu recours*
    Je te conseillerais d'éviter l'emploi du passé simple. D'abord; il vieillit le texte, ensuite peu de personnes n'arrivent à le conjuguer correctemen
    t, et surtout la concordance des temps est compliquée avec lui.
    en pleurs*
    ~certains de tes passages sont mal formulés, je t'ai réécris certains. (pour qu'ils aient un peu plus de sens)
    "Pendant qu'elle dormait paisiblement, je lui ai pris la main, et la serrant très fort, lui ai promis de ne jamais recommencer."
    "Les jours se sont écoulés, mais je me faisais toujours tirailler par ces abominables filles. Cependant, leur avis sur mon poids, ma taille et mon corps m'était bien égal. "
    ~C'est ou "un jour", ou "une journée", mais pas une jour. ^^'
    ~son prénom sonnait* plus les jours passaient*
    ==> soit c'est tout au temps du passé, soit c'est tout(ou presque tout) à ceux du présent.
    ~Tu mélanges parfois le futur et le conditionnel.
    Donc petit rappel, il y a un "s" au conditionnel et non au futur, donc c'est "oublierai jamais"
    il était devenu toute ma vie*
    embrasser une autre*
    ~ "j'avais essuyé mes yeux en espérant que...."*
    ~ Il y a plusieurs répétitions, dont celle de "beau jour" par exemple :'))
    ~Ton passage "Depuis , je me suis enfermée dans ma chambre n'écoutant que des musiques tristes et toutes les nuits je me coupe et je pleure. " Je le trouve trop simple. Il y a trop de "," et de "et". Je ne sais pas, je trouve cette phrase extrêmement maladroite..
    ~j'aimerais en finir avec la vie* mais en vain* souffrirai*

    Ensuite vient la partie, un peu plus "sévère" de mon avis. Je trouve ton flashback un peu étrange, parce que finalement ce n'en est pas un.
    Tu commences par "Chère Maman" mais tu termines ton écrit comme si c'était un simple texte, et non une lettre (même s'il y a "Ta fille sous l'emprise de Cat." . Donc ta structure... n'en est pas vraiment une.. :// Parce que tout au ong, elle ne parle pas vraiment à sa mère, c'est comme si tu faisais "lettre, texte, lettre" et c'est navrant.
    Donc logiquement ce serait un flashback pour raconter tout ce qu'elle a vécu. Je le trouve un peu "niais". Elle évoque ses problèmes, mais avec détachement. Elle parle de son amour, mais il n'y a pas vraiment de sentiments. Elle se coupe, elle l'aime, elle devrait avoir mal, et on devrait le sentir dans ton écrit.. Pourtant, il n'y a presque aucun sentiment de partagé, c'est dommage. 
    Tu écris beaucoup moins bien qu'habituellement, c'est un peu simpliste, pas très original..
    Aussi, tu dis qu'elle est au collège, mais elle réfléchit un peu comme une gamine de 6 ans. Je sais que certaines personnes ont cette mentalité, mais n'hésite pas à rendre "intelligents" tes personnages, leur donner plus de réfléchit. 
    Ensuite, pour la fin. Je ne suis pas d'un avis objectif, parce que je n'apprécie pas l'emploie de petits noms pour les maladies. Ca donne l'impression que ce sont des amies, alors que ça n'en sont pas. Bref, elle dénote totalement du reste de ton écrit, c'est étrange.

    J'avais autre chose à dire, et puis j'ai oublié x)
    Ne prends pas mal mon avis :'))
    Essaye de le réécrire un peu, ça pourrait être bénéfique. 

     

     

    Tu vas dans "Edit" puis tu selectionnes une photo. Une fois qu'elle s est ouverte, tu vas dans l'onglet en forme de papillon. Puis tu cliques en haut sur "Your own" puis tu selectionnes une autre photo. (Elle va s'ouvrir sur la 1ere photo deja ouverte.) Puis, a droite tu peux la modifier,, tu as notamment une barre "Fade" que tu peux bouger eet ca va plus ou moins rendre ta photo transparente et creer un fondu. Tu peux aller dans "Eraser" et ainsi rendre plus flou grace au "rond" les bordures trop rectilignes qui ne font pas fondu. Bref tu va tres bien te debrouiller 

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