~¤~ Histoires en cours ~¤~
J'ai quelques débuts d'histoire, mais c'est à vous de chosir quelle histoire vous aimerez lire ! Je mttrez ici, le titre et le prologue de chaque histoire et après vous me direz celle qui vous avais envie le plus de lire !
Histoire 1 : L'histoire d'Emmie.
Prologue :
Il fait noir, et j'avance lentement. Je tremble et j'ai peur de ne plus tenir sur mes jambes. Pourquoi moi ?
Qu'ai - je fait pour qu'il est toute cette haine sur moi ?
Des larmes coulent le long de ma joue. Mais je sais très bien qu'il n'aura aucune pitié, aucune.
Je ne comprends plus. Dois- je abandonner ? Me recroqueviller dans un coin et attendre le dernier souffle pour être enfin en paix ?
Je m'appuie un instant contre le mur et réfléchis aux derniers jours. Puis je repense au début , au tout début , là ou tout a commencer
Chapitre 1 :
« Dimanche vingt-et-un janvier. »
Assise dans un petit fauteuil marron, je bois mon chocolat chaud et me lève pour attraper des tartines. Je m'arrête et fixe le calendrier. C'est aujourd'hui. Un ans que mon père est mort.
Je tourne mon regard vers une vielle photo, ou mon père et ma mère sont tous deux souriant. Je suis assise près d'eux une peluche dans les bras. C'était le temps du bonheur, le temps insouciant de la petite enfance.
Des larmes roulent le long de mes joues mais je les essuies furtivement. Derrière moi j'entends des bruits de pas. Ma mère arrive, ses cheveux blonds clairs en bataille.
Je respire un grand coups et me force à sourire. Mais elle le sait bien, que c'est n'est qu'illusions, que ce petit brin de joie est juste un éphémère mensonge.
-C'est aujourd'hui...murmura t-elle.
-Je sais, répondis-je la gorge nouée.
J'aimerais tellement l'a réconforter mais aucun mots ne sort de ma bouches et nous restâmes donc silencieuse pendant un instant qui me parut une éternité. Enfin elle se força à casser ce lourd silence.
-Tu... Tu veux qu'on en parle ?
Oui, oui, je veux qu'on en parle, qu'elle me raconte encore les histoires du passé, qu'elle me prenne dans ses bras en me disant que tout va bien, qu'elle me rassure, qu'elle me dise que la vie continue. Mais je restais muette. J'avais peur de replonger dans le gouffre du chagrin, dans la sombre tristesse qui menait ma vie depuis près d'un an.
- Non, ça ira. Je monte dans ma chambre.
Je commence à grimper les escaliers, quand je sens une main se poser sur mon épaule. Je me retourne et vois ma mère au bords des larmes.
-Emmie... Je suis désolée de ne pas avoir était une bonne mère, de t'avoir laisser seule dans ta souffrance, pendant que je me perdais dans le bouleau pour oublier. Pardonne-moi...
Je retint mon souffle, puis je courus vers elles , l'a serrant aussi fort que je pouvais, pleurant toutes les larmes que j'avais retenue depuis si longtemps, qu'il me semblait des siècles.
-Je t'aime, Maman.
-Moi aussi, je t'aime Emmie.
La journée passa, maussade et sombre, ma mère et moi étions aller déposer des fleurs au cimetière, pour mon père, puis nous étions rentrer.
J'attrape un vieux album photo et le dépose sur mon lit. Je feuillette vaguement les images, me rappelant parfois les anecdotes d'autrefois.
Le sommeil me rattrape lentement, et je m'écroule de fatigue, la photo de mon père près de mon cœur.
Histoire 2 : Perdu la vie, jusqu'à la raison.
Je pourrais dire que jusqu’ici j'avais vécu dans une libre insouciance. Les années s'écoulaient, telle une rivière qui coule vers l'océan. Jusqu'au jour où les pierres que j'avais soigneusement entrepris de construire, s'écroulèrent dans un fracas qui brusqua toute mon existence. J'avais dix ans, et j'étais à une goutte d'eau de tout perdre.
Chapitre 1 :
Tic-tac, tic-tac, tic-tac...Les aiguilles de l'horloge avancent trop lentement à mon goût. Depuis combien de temps somme-nous dans cette sombre pièce ? Je ne compte plus les minutes du temps passé dans ce lieu. Pourtant ce n'est pas la première fois que je viens ici, avec mes parents. Mais cette fois-ci j'ai pris mes valises. Pas celles de mes parents, juste les miennes.
- C'est bientôt ? demandais-je à ma mère.
Elle pose sur moi un tendre regard, mais j'y lis de l’inquiétude. Dans ses pupilles je vois encore plus d'angoisse que d'habitude.
- Non, pas encore, Annie.
Attendre. Toujours attendre. Pour ne pas m'ennuyer, j'observe les alentours.
Des infirmiers vêtus de blanc transportent des personnes dans de grands lits avec des roues.
Des brancards, je crois. Apparemment, c'est une journée calme.
On attend les résultats. C'est tout ce que m'a répondu ma mère. Mais les résultats de quoi ? Je ne comprends pas pourquoi je dois rester ici. Je ne comprends pas non plus pourquoi j'ai pris mes valises.
Une infirmière se dirige vers nous et appelle mon nom.
« Annie Scott ? Suivez-nous je vous prie. »
Mes parents se relèvent précipitamment. Je prends la main de ma mère. Nous nous dirigeons dans un couloir et arrivons dans une petite salle sans fenêtre. Je vois des affaires de médecins éparpillés un peu partout. Sur le bureau sont posés plusieurs piles de papiers. Le médecin nous invite a nous asseoir.
- Bonjour, je suis Dr. Grey, commença t-il. Je suis médecin spécialisé. C'est moi qui vais m'occuper de Camille. Bon, j'ai vu ses dossiers et ses anciens médecins. J'ai aussi les résultats.
Ma mère et mon père se tiennent la main, le regard fuyant. Mais enfin, va-t'on me dire ce qui se passe ?
-Je suis désolée, c'est une tumeur...
Ma mère étouffe un petit cri de douleur, et je sens mon père tressaillir.
-Toutefois, j'aimerais confirmer cela avec des tests que Camille pourra faire dans les prochains jours. Bien, vous devez remplir ces papiers et les signer.
Sur ces mots, il sort d'un tiroir un dossier et le donne à mes parents. Ensuite, le médecin prend mes valises et nous demande de le suivre. Nous prenons l'ascenseur et arrivons au 5ème étage. Puis nous nous dirigeons vers les chambres. Le médecin s'arrête devant la chambre « 207 ».Il ouvre la porte et nous le suivons en silence.
-Voilà ta chambre, Annie. Elle est un peu terne mais il y a la télé et quelques magazines.
Je jette un regard circulaire à la pièce. Les murs sont d'un blanc cassé, et pour tout meuble, il se trouve seulement deux lits, et deux commodes.
-Mais monsieur, j'ai déjà une chambre, balbutiais-je.
Le médecin fronce les sourcils et interroge mes parents.
- Vous ne l'avez donc pas prévenu, les tança-t-il.
Je ne supporte pas cet homme. Je le trouve froid et distant, et je ne comprends toujours pas pourquoi je suis ici.
- Nous n'avons pas eus le courage, murmure ma mère, en baissant les yeux, et d'une si petite voix, que je l'entendis à peine.
Je sens que mon père se crispe. Ma mère s'agenouille près de moi, et me regarde d'un air las.
-Écoute moi ma puce, tu vas restait quelques jours ici, pour que les médecins vérifient que tu es en bonne santé, d'accord ? Pour l'instant, il ne faut pas que tu t'inquiète, on se charge de tout ! Ton père et moi, passerons te voir presque tous le temps, tu comprends ?
-Mais... pourquoi, maman ? Je n'ai pas de fièvre et je ne suis as enrhumée...
- Parfois les microbes attaquent de l’intérieur... soupir ma mère.
Des sanglots d’appréhensions me rendent la vue un peu flou, et je m'essuie les yeux d'un geste de la main. J'aurais voulu rentrer chez moi, et comme tous les soirs préparer mon cartable, manger avec mes parents, et me coucher en pensant au lendemain, où je verrais mes amis. Je comprends que ce ne serait pas le cas pendant un moment.
Le médecin hausse les épaules, et toussent légèrement pour signifier qu'il n'a pas de temps à perdre. Je le déteste. Lui, qui m'arrache à mon foyer, lui qui fais croire à mes parents que je suis malade.
En mon for intérieur, je me promets de ne pas lui faire confiance.
- Je crois qu'il est temps pour vous de l'aider à s'installer. Je vous passe les horaires des visites, ne les perdez pas. Vous remplirez d'autres papiers demain matin.
- Merci Docteur Grey, articule difficilement mon père.
- Je dois vous laisser. À demain Annie.
Et il s'échappe sans un mots.
Histoire 3 : En cours d'écriture...