SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    le 30/10/2013 à 16:32

    Présentation
    Modifié le 24/11/2013



    Bonjour ! J'ai vu quelques clubs d'écriture, avec certaines sailor qui postaient leurs histoires, ou leurs poèmes. Alors, pourquoi pas moi ?

    J'écris depuis longtemps, mais quand j'étais petite ça se limitait à des histoires que j'inventais dans ma tête. J'ai commencé à écrire des textes, puis des poèmes. :3

    Si vous écrivez aussi des textes, poèmes ou nouvelles, je serais contente que vous les partagiez ici, en commentaires !


    ~¤~ Textes ~¤~

    Texte 1 :

    Et je me suis mise à attendre. Attendre indéfiniment. J'aurais pu m'enfuir, j'aurais pu courir, m'évader mais je suis resté seule dans la rue, et j'ai attendu. Quoi ? Qui ? Je ne savais même pas. J'étais déboussolée, sans repères, sans rien. Et j'attendais bêtement. Qu'il revienne ? Qu'il m’appelle ? Mais pourquoi ici ? Pourquoi à cet endroit précis? Je posais ma tête sur mes genoux, et je tournais la tête aux alentours. Je voyais sans voir, et j'écoutais sans entendre. J'attendais un signe, un basculement, un geste qui m'aurait arraché à ma lassitude. J'attends, j'attends, sans penser aux conséquences. Sans penser à mes pieds endoloris par le froid, mes mains crispées, mes lèvres gercées, et mon cœur qui tambourine d'un rythme irrégulier dans ma poitrine. J'attends les gens, j'attends personne, j'attends tout et rien. Je reste paralysée devant les obstacles que je n'arrive pas à traverser. Je ressasse les souvenirs, des larmes coulent, et puis je souris. Le temps filent, coulent entre mes doigts, et je le laisse glisser sur mon corps comme du sable fin. Je perds tout, mais plus rien n'a d'importance. J'aurais pu, j'aurais dû attendre ici, seule et ne croyant plus à la vie. Mais la lueur dans mes yeux s'est réveillée, et j'ai couru, couru vers la lune, couru vers le soleil, les étoiles et le ciel, et plus jamais je n'ai attendu que ma vie prennent un tournant différent, puisque j'étais seule à décider de ma destinée.

    Texte 2 :


     Je suis, je ne suis pas. Quelque chose comme ça. Je crois que ça se passe aisi, n'est-ce pas ? Bonjour, Aurevoir ? Même pas. T'es parti, sans rien dire. Sans une lettre, sans un bruit, même un bout de papier griffonés m'aurait suffit. J'aurais pu pleurer, en relisant les syllabes, et puis un jour je l'aurais déchier et jeter à la poubelle pour t'oublier. Oublier, oublier... M'as tu oublié ? J'ai l'impression que je n'existes plus pour toi. Et ce silence, sans toi, ça m'opresse, me combats. Je suis seule sans toi. Aucune vie sociale, sans toi. Aucune vie sans toi. 

    C'est inimaginable. Comment peut-on partir comme ça ? Réponds-moi, je t'en prie. Me laisses pas dans mes gribouillis. T'as pas un peu de pitié ? Même pas ? Et puis quoi, je parle toute seule là, et alors ? T'avais pas qu'à m'abandonner à mon sort ! Tu me dégoûtes.

    Je t'aime, moi non plus, tu m'aimes plus, tu me fuis, je restes seule dans mon lit, et toi, que-ce que tu fous ?

    Adieu, Adieu, je le dis deux fois puisque tu ne me le diras jamais. Je ne t'aime plus. Mais mon coeur t'aimeras des siècles.



    ~¤~ Poèmes ~¤~
    Poème 1:

    Je tends mes mains vers le ciel. C'est un jour au temps nuageux. Les oiseaux s'envolent vers le haut. Ils forment une ronde au rythme du vent. Un souffle de liberté qui m'emporte loin, très loin. Un ailleurs libre où les rêveurs se rejoignent. Où je n'ai plus peur de vivre.




    ~¤~ Histoires en cours ~¤~

    J'ai quelques débuts d'histoire, mais c'est à vous de chosir quelle histoire vous aimerez lire ! Je mttrez ici, le titre et le prologue de chaque histoire et après vous me direz celle qui vous avais envie le plus de lire !

    Histoire 1 : L'histoire d'Emmie.
    Prologue :


    Il fait noir, et j'avance lentement. Je tremble et j'ai peur de ne plus tenir sur mes jambes. Pourquoi moi ?
    Qu'ai - je fait pour qu'il est toute cette haine sur moi ?
    Des larmes coulent le long de ma joue. Mais je sais très bien qu'il n'aura aucune pitié, aucune.

    Je ne comprends plus. Dois- je abandonner ? Me recroqueviller dans un coin et attendre le dernier souffle pour être enfin en paix ?

    Je m'appuie un instant contre le mur et réfléchis aux derniers jours. Puis je repense au début , au tout début , là ou tout a commencer

    Chapitre 1 : 

    « Dimanche vingt-et-un janvier. »

    Assise dans un petit fauteuil marron, je bois mon chocolat chaud et me lève pour attraper des tartines. Je m'arrête et fixe le calendrier. C'est aujourd'hui. Un ans que mon père est mort.

    Je tourne mon regard vers une vielle photo, ou mon père et ma mère sont tous deux souriant. Je suis assise près d'eux une peluche dans les bras. C'était le temps du bonheur, le temps insouciant de la petite enfance.

    Des larmes roulent le long de mes joues mais je les essuies furtivement. Derrière moi j'entends des bruits de pas. Ma mère arrive, ses cheveux blonds clairs en bataille.

    Je respire un grand coups et me force à sourire. Mais elle le sait bien, que c'est n'est qu'illusions, que ce petit brin de joie est juste un éphémère mensonge.

    -C'est aujourd'hui...murmura t-elle.
    -Je sais, répondis-je la gorge nouée.

    J'aimerais tellement l'a réconforter mais aucun mots ne sort de ma bouches et nous restâmes donc silencieuse pendant un instant qui me parut une éternité. Enfin elle se força à casser ce lourd silence.

    -Tu... Tu veux qu'on en parle ?

    Oui, oui, je veux qu'on en parle, qu'elle me raconte encore les histoires du passé, qu'elle me prenne dans ses bras en me disant que tout va bien, qu'elle me rassure, qu'elle me dise que la vie continue. Mais je restais muette. J'avais peur de replonger dans le gouffre du chagrin, dans la sombre tristesse qui menait ma vie depuis près d'un an.

    - Non, ça ira. Je monte dans ma chambre.

    Je commence à grimper les escaliers, quand je sens une main se poser sur mon épaule. Je me retourne et vois ma mère au bords des larmes.

    -Emmie... Je suis désolée de ne pas avoir était une bonne mère, de t'avoir laisser seule dans ta souffrance, pendant que je me perdais dans le bouleau pour oublier. Pardonne-moi...

    Je retint mon souffle, puis je courus vers elles , l'a serrant aussi fort que je pouvais, pleurant toutes les larmes que j'avais retenue depuis si longtemps, qu'il me semblait des siècles.

    -Je t'aime, Maman.
    -Moi aussi, je t'aime Emmie.

    La journée passa, maussade et sombre, ma mère et moi étions aller déposer des fleurs au cimetière, pour mon père, puis nous étions rentrer.

    J'attrape un vieux album photo et le dépose sur mon lit. Je feuillette vaguement les images, me rappelant parfois les anecdotes d'autrefois.

    Le sommeil me rattrape lentement, et je m'écroule de fatigue, la photo de mon père près de mon cœur.

    Histoire 2 : Perdu la vie, jusqu'à la raison.

    Je pourrais dire que jusqu’ici j'avais vécu dans une libre insouciance. Les années s'écoulaient, telle une rivière qui coule vers l'océan. Jusqu'au jour où les pierres que j'avais soigneusement entrepris de construire, s'écroulèrent dans un fracas qui brusqua toute mon existence. J'avais dix ans, et j'étais à une goutte d'eau de tout perdre.

    Chapitre 1 :

     Tic-tac, tic-tac, tic-tac...Les aiguilles de l'horloge avancent trop lentement à mon goût. Depuis combien de temps somme-nous dans cette sombre pièce ? Je ne compte plus les minutes du temps passé dans ce lieu. Pourtant ce n'est pas la première fois que je viens ici, avec mes parents. Mais cette fois-ci j'ai pris mes valises. Pas celles de mes parents, juste les miennes.


    - C'est bientôt ? demandais-je à ma mère.

    Elle pose sur moi un tendre regard, mais j'y lis de l’inquiétude. Dans ses pupilles je vois encore plus d'angoisse que d'habitude.

    - Non, pas encore, Annie.

    Attendre. Toujours attendre. Pour ne pas m'ennuyer, j'observe les alentours.
    Des infirmiers vêtus de blanc transportent des personnes dans de grands lits avec des roues.
    Des brancards, je crois. Apparemment, c'est une journée calme.

    On attend les résultats. C'est tout ce que m'a répondu ma mère. Mais les résultats de quoi ? Je ne comprends pas pourquoi je dois rester ici. Je ne comprends pas non plus pourquoi j'ai pris mes valises.

    Une infirmière se dirige vers nous et appelle mon nom.

    « Annie Scott ? Suivez-nous je vous prie. »

    Mes parents se relèvent précipitamment. Je prends la main de ma mère. Nous nous dirigeons dans un couloir et arrivons dans une petite salle sans fenêtre. Je vois des affaires de médecins éparpillés un peu partout. Sur le bureau sont posés plusieurs piles de papiers. Le médecin nous invite a nous asseoir.

    - Bonjour, je suis Dr. Grey, commença t-il. Je suis médecin spécialisé. C'est moi qui vais m'occuper de Camille. Bon, j'ai vu ses dossiers et ses anciens médecins. J'ai aussi les résultats.

    Ma mère et mon père se tiennent la main, le regard fuyant. Mais enfin, va-t'on me dire ce qui se passe ?

    -Je suis désolée, c'est une tumeur...

    Ma mère étouffe un petit cri de douleur, et je sens mon père tressaillir.

    -Toutefois, j'aimerais confirmer cela avec des tests que Camille pourra faire dans les prochains jours. Bien, vous devez remplir ces papiers et les signer.

    Sur ces mots, il sort d'un tiroir un dossier et le donne à mes parents. Ensuite, le médecin prend mes valises et nous demande de le suivre. Nous prenons l'ascenseur et arrivons au 5ème étage. Puis nous nous dirigeons vers les chambres. Le médecin s'arrête devant la chambre « 207 ».Il ouvre la porte et nous le suivons en silence.

    -Voilà ta chambre, Annie. Elle est un peu terne mais il y a la télé et quelques magazines.

    Je jette un regard circulaire à la pièce. Les murs sont d'un blanc cassé, et pour tout meuble, il se trouve seulement deux lits, et deux commodes.

    -Mais monsieur, j'ai déjà une chambre, balbutiais-je.

    Le médecin fronce les sourcils et interroge mes parents.

    - Vous ne l'avez donc pas prévenu, les tança-t-il.

    Je ne supporte pas cet homme. Je le trouve froid et distant, et je ne comprends toujours pas pourquoi je suis ici.

    - Nous n'avons pas eus le courage, murmure ma mère, en baissant les yeux, et d'une si petite voix, que je l'entendis à peine.

    Je sens que mon père se crispe. Ma mère s'agenouille près de moi, et me regarde d'un air las.

    -Écoute moi ma puce, tu vas restait quelques jours ici, pour que les médecins vérifient que tu es en bonne santé, d'accord ? Pour l'instant, il ne faut pas que tu t'inquiète, on se charge de tout ! Ton père et moi, passerons te voir presque tous le temps, tu comprends ?
    -Mais... pourquoi, maman ? Je n'ai pas de fièvre et je ne suis as enrhumée...
    - Parfois les microbes attaquent de l’intérieur... soupir ma mère.

    Des sanglots d’appréhensions me rendent la vue un peu flou, et je m'essuie les yeux d'un geste de la main. J'aurais voulu rentrer chez moi, et comme tous les soirs préparer mon cartable, manger avec mes parents, et me coucher en pensant au lendemain, où je verrais mes amis. Je comprends que ce ne serait pas le cas pendant un moment.

    Le médecin hausse les épaules, et toussent légèrement pour signifier qu'il n'a pas de temps à perdre. Je le déteste. Lui, qui m'arrache à mon foyer, lui qui fais croire à mes parents que je suis malade.

    En mon for intérieur, je me promets de ne pas lui faire confiance.

    - Je crois qu'il est temps pour vous de l'aider à s'installer. Je vous passe les horaires des visites, ne les perdez pas. Vous remplirez d'autres papiers demain matin.
    - Merci Docteur Grey, articule difficilement mon père.
    - Je dois vous laisser. À demain Annie.

    Et il s'échappe sans un mots.

     

    Histoire 3 : En cours d'écriture...






    ~¤~  Vos écrits ~¤~


    Postez vos écrits en commentaires, et je mettrais vos poèmes ici, avec votre pseudo indiquée ! :3

    ~¤~ Autre ~¤~



    Merci beaucoup à Tara 21 pour cette magnifique présentation ! :3



    ¤©Tara21 ¤

    Discussions

    Désolée de ne pas t'avoir répondu plus tôt ...
    Oui le mec est bien James. Quand Nilal est sortie du Coma, elle n'avait presque plus de sentiments pour lui. Elle était toujours très triste, avait toujours un peu de culpabilité. Mais elle s'est dit qu'il était mort, qu'elle devait vivre sa vie... Elle ne l'oubliera jamais ( enfin je pense :) )
    à 13:40 le 29/06/2014
    Il est super beau ton texte! J'aime beaucoup ** L'histoire est très touchante! Le seul problème c'est que, le mec qui est mort c'est bien James? Pasque du coup, Nilal, après être sortie de son coma, elle a pas l'air vraiment affectée par sa mort donc je trouve ça un peu bizarre. Mais après ça choque pas plus que ça~~ Bref, j'ai beaucoup aimé ^-^
    à 17:15 le 15/06/2014
    Voici un de mes textes ! Dites moi ce que vous en pensez ! Par contre je n'ai pas mis les guillemets pour les dialogues !


    Il n'est plus là … 1 ... Il ne reviendra plus... 2 … Il était encore là hier, avec moi … 3 … Bourré, certes, mais encore là … 4 … J'aurais dû refuser de le laisser partir seul … 5 … J'aurais dû le raccompagner, dans son état . Mais où avais-je la tête ?! … 6 … J'aurais dû lui dire que je l'aimée un million de fois … 7 … J'aurais dû l'enlacer une dernière fois … 8 … J'aurais dû....

    Mais tu fous quoi là ??!!

    Ce que je fais ? Je ne le sais pas moi-même... À part le fait que je suis dans ma baignoire, un rasoir dans les mains, le poignet droit dégoulinant de sang sortant par mes huit entailles et que mon meilleur ami me regarde. Il était à la porte, maintenant il se trouve devant l'endroit où je suis actuellement en train de perdre mon sang.
    Nilal qu'est-ce que tu as foutus !?? Merde Nilal, tu peux pas faire ça ! Tu peux pas partir, tu peux pas nous laisser ! Tu peux pas laisser ta famille , tes amis ! Tu peux pas ME laisser !
    Nic ? Ma voix s'est très affaiblit , mais je peux encore parler. Ça veut dire quoi ?
    Tu n'as jamais compris ? Je t'aime Merde! Je t'aime comme un dingue. Je t'aime, Je t'ai me, je t'aime ! Je t'aime depuis que tu m'as aidé ce jour là. Tu te souviens ? Ce jour où tout ces mecs sont venus pour me tabasser et que TOI tu es venue pour m'aider. Ce jour-là où nous sommes devenus amis pour devenir ensuite meilleurs amis ! Depuis ce jour je t'aime comme un dingue. J'aime tout chez toi. Tes cheveux, ta voix, ton sourire, tes bras, ton corps, tes yeux ! J'aime tout ! Quand tu as commencée à sortir avec James, j'ai été très jaloux, trop même. Je suis désolé de t'avoir parler comme une merde ! Désolé que cela t'ai blessée , se n'était pas mon intention ! Je t'en pris , Nilal , ne pars pas ! Ne me laisse pas seul ! Je ne pourrais pas être bien si tu n'es plus là !
    C'est moi ou sa voix s'affaiblit ? Moi ou je sens ses lèvres sur les miennes ? Moi ou ce baiser me procure des frissons ? Moi ou je ne ressens presque plus cette douleur qui était présente quelques minutes plus tôt ? Moi ou j'ai envie de me battre pour rester dans ce monde ?

    Nilal , je t'aime ….
    Mes paupières s'alourdissent, mais je peux encore voir Nicolas se tourner vers la porte pour appeler mes parents et le voir sortir son téléphone pour le porter à son oreille.
    Après plus rien....

    2 MOIS PLUS TARD

    Voila, je vous ai tout raconté.
    Eh bien ! Nous avons bien avancée. Je crois que se sera la fin de nos rendez-vous. Si vous avez besoin de quoique se soit, appelez-moi.
    Merci Docteur.

    Je me lève de mon siège pour serrer la main du psychologue qui m'était attitrait depuis ma sortie du coma, il y a 1 mois.
    Je sors d'entre ses murs gris qui m'ont toujours fait extrêmement peur.
    Dehors, le vent souffle légèrement, faisant lever ma robe blanche imprimés fleurs. Mon bouquin entre les mains, je cherche du regard mes parents.
    Je vois la voiture familiale. Pourtant se ne sont pas eux qui sortent , mais.... Nicolas. Je réajuste mon sac sur mon épaule et me dirige vers lui.
    Arrivée à sa hauteur, je souris. Un sourire qu'il me rend.
    Comment-va-tu ?me demande-t-il
    Bien et toi ? Comment se fait-il que tu ais la voiture de mes parents et que tu viennes me chercher ?
    Je vais bien merci , dit-il en me souriant. J'ai demandé à tes parents si je pouvais te prendre . Ils ont acceptés et ton père m'a passer la clef de la voiture pour e faire la surprise . Cool , non ?
    Cool. Mais pourquoi es-tu venu me chercher ?
    Je voulais t'emmener dans un endroit. Tu veux venir ?
    Avec plaisir
    Je monte dans la voiture avec Nicolas.
    Pendant qu'il roule, personne ne parle. Je regarde par la fenêtre pour passer le temps. C'est là que j'entends le début d'une chanson qui me berce depuis mon plus jeune âge. Where I Live de Woodkid. Je regarde Nicolas, surprise qu'il s'en souvienne. Il se retourne vers moi et me sourit.
    Elle repasse en boucle jusqu'à ce que la voiture s'arrête et que m'ont meilleur ami coupe le moteur. Il sort rapidement pour pouvoir m'ouvrir la portière de mon côté.
    Merci. Où sommes-n...
    Viens.
    Il attrape ma main et se met à courir. Je le laisse me guider, en regardant ma main dans la sienne. Je repense à tout se qu'il m'a dit avant que.... avant que...
    Je souffle... Encore trop douloureux... Bref je ne fais que penser à ses paroles. Ses mots...Ses phrases qui m'ont tellement touchées.... .
    Il s'arrête brusquement se qui fait que je me cogne contre son dos.
    Oh, excuse-moi. Nous sommes arrivés.
    Waouh !
    Je reste sans voix. Un magnifique lac s'étend sur mon champ de vision.

    C'est … Magnifique !
    Allez-viens
    Sans me laisser le temps le temps de comprendre, il enlève son tee-shirt puis son bas. Je me retourne, les joues rouges. SPLASH.
    Nilal, viens ! Elle est bonne !
    Mais je n'ai pas de maillot de bain , dit-je, toujours dos à lui.
    Roh ! Je t'ai déjà vu en sous-vêtements ! Allez !
    Je...Bon d'accord. Mais s'il te plaît retourne-toi.
    Toujours de dos, je me mis à enlever mes chaussures. Je jete un coup d’œil derrière mon épaule pour voir ce qu'il fait. Il est de dos, comme je lui ai demandée. Cette attention me fait rougir.
    J’enlève ma robe et me dirige vers le lac. Je m'introduis doucement dans l'eau. Nicolas m'entend. Il se retourne et me sourit. Il me fait signe d'approcher. Ce que je fais. Arrivée vers lui, il commence à me sourire , pour ensuite me prendre dans ses bras. Je reste statique quelques secondes avant de répondre à son étreinte. Puis tout d'un coup, je me retrouve sous l'eau. Je vois que Nicolas me regarde et s'approche de mon visage. Il mets ses mains sur mon visage. Ne contrôlant plus mon corps ( ou peut-être que si ) je pose mes mains sur sa nuque. S’ensuivit un long baiser aquatique.
    à 01:03 le 15/06/2014
    xDD
    à 12:59 le 23/12/2013
    De rien, c'était un accueil, euh, un accueil ! x)
    à 17:14 le 02/12/2013
    Merci pour ton accueille , si amical et si doux
    à 20:51 le 01/12/2013
    Nouveau chapitre !!! Oui !!! :D
    Bienvenue Seognie :)
    à 17:40 le 01/12/2013
    Nouvelle !!
    Poème: Je suis née dans l'ombre
    vécu dans l'ignorance
    le noir est ma passions
    J'essaye de me faire comprendre par mes propres gestes
    Un jour une personne a su ouvrir mon coeur
    Une lumière si belle , si vif , qu'elle m'aveuglée
    Cette personne ma accueilli chaleureusement vers la lumière
    Cette personne reparti , le noir revin me prendre
    Je me suis senti si seule , comme avant
    à 20:17 le 30/11/2013
    Oui *^* et si tu prends du temps c'est pas grave ;)
    à 18:19 le 30/11/2013
    Je continue d'écrire la deuxième, en plus, en ce moment ! Mais je suis hyper exigeante, alors c'est pour ça que je prends du temps...

    hazukalude : Je ne sais pas si ça serait possible de poster une histoire... C'est plus un club sur mes histoires, et du coups je sais pas... A moins que je le change en club juste pour l'écriture. Mais j'ai vu d'autres clubs comme ça....

    Un nouveau chapitre, ça vous tente ? :3
    à 16:40 le 30/11/2013