Informations
- Présidente :
- lapin0044
- Activité :
- 0 connectée(s)
- 1 membres
- 0 messages postés
- Date de création :
- le 18/10/2013 à 19:39
Présentation
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ANECDOTE
« Les feuilles sèches préparent la tisane de l'automne. »     |
INSCRIPTION
Bienvenue dans le club ! Le titre du club n'est pas très évoquateur, précisons donc le but de ce club. Vous aimez les activités diverses, la bonne humeur, apprendre des bricoles ? Vous cherchiez un club qui pourrez vous faire des profils HTML suivant vos goûts ? Ou vous cherchez juste un club sympathique où vous pourrez discuter ? Vous êtes dans le bon club ! Il vous suffit juste de mettre la carte du club sur votre profil, avec un lien retour.  » Faite par Ramda.    |
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ACTIVITÉS
C'est l'automne, ces belles couleurs dans les arbres, la pluie sur les vitres, etc... Enfin bon, il faut changer sa garde-robe. Et là est le but du concours ! Faites un petit montage de 3 tenues "Spécial Automne" que vous m'enverrez par MP avant le 10 Novembre. INSCRIPTION Envoyez par commentaire "Je participe au concours de l'Automne."    |
COMMANDES
Les commandes de profils se font par commentaires, si elles sont ouvertes. Il faut que le formulaire soit rempli correctement, sinon votre commande ne sera pas prise. COMMANDES OUVERTES • Thème : • Texture de fond : • Images : • Couleurs principales : • Texte : • Rubriques : • Autre :    |
AU NOM DE L'AMOUR !
CHAPITRE PREMIER : La rencontre avec Killroy (partie 1)
Je ne comprenais pas encore ce qu'il m'arrivait à ce moment là. J'étais chez moi, d'un coup, des officiers de police avait débarqué et m'avait emmené.
Puis j'avais attendu une heure et demi sur un fauteuil en cuir, sans avoir d'explication sur la situation, ni même la possibilité de voir mes parents.
Maintenant, un certain monsieur Letif m'emmène dans une salle d'interrogation. Une fois sur place, il m'invita à m'asseoir (ce que je fis).
« Parlez-moi de ce monsieur Killroy que vous fréquentez » m'ordonna-t-il de sa voix grave.
Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. « Killroy ? Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? » me demandais-je.
-Écoutez mademoiselle Thaïs, dites-moi simplement la vérité. Il ne vous arrivera rien, m'assura le policier.
Je ne me suis pas faite prier, je n'ai posé aucune question.
Alors que Letif se promenait autour de moi, d'un pas lent en prenant bien soin de faire résonner son talon de 2 centimètres, je lança simplement :
-Vous devriez vous asseoir, ça risque d'être long.
-Je n'ai pas besoin du récit de votre vie d'adolescente, dites-moi seulement ce que j'ai besoin d'entendre. Nous n'avons pas tout le temps.
Je ne l'ai pas écouté.
-Il y a environs deux ans, j'avais 14 ans. Durant la fin du printemps, j'avais fais une légère dépression. Légère ? Qu'est-ce que je raconte ! J'avais carrément un air de zombie. Si vous saviez ! Je ne parlais plus, je me douchais plus, je ne mangeais plus. Je n'avais le moral à rien. Et aucune envie autre que pleurer. C'en était même devenu une occupation totalement normal pour moi. Je m'étais coupé du monde. J'avais coupé le cordon avec ma famille et ce lien magique avec mes amis. Je ne pensais plus qu'à ma petite personne. Enfin, bref. C'était une horrible période de ma vie.
Je m'étais même mit à sécher ! Pour la première fois de ma vie. Et aujourd'hui j'en suis contente. [J'ignorais la réplique de Letif à ce moment-là. Le fameux « Vous ne devriez pas vous réjouir de ça. Vous savez comme c'est important les études ! » . Je continuais :]
Vous voulez savoir. C'était dans ce bois, près de chez moi où je passais mes journées. Très loin des sentiers utilisé par les piétions. Juste sous un arbre, entouré d’ortie. La planque idéal ! Personne ne savait que j'étais là et d'ailleurs personne ne passait par là. Sauf lui.
Letif s'affala sur la chaise en face de la mienne. Je voyais dans ses yeux qu'il se disait : « Ça va être looooooooong. » avec un regard blasé. Je n'ai pus m’émécher de rire.
» Écrite par Fibre.
CHAPITRE PREMIER : La rencontre avec Killroy (partie 1)
Je ne comprenais pas encore ce qu'il m'arrivait à ce moment là. J'étais chez moi, d'un coup, des officiers de police avait débarqué et m'avait emmené.
Puis j'avais attendu une heure et demi sur un fauteuil en cuir, sans avoir d'explication sur la situation, ni même la possibilité de voir mes parents.
Maintenant, un certain monsieur Letif m'emmène dans une salle d'interrogation. Une fois sur place, il m'invita à m'asseoir (ce que je fis).
« Parlez-moi de ce monsieur Killroy que vous fréquentez » m'ordonna-t-il de sa voix grave.
Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. « Killroy ? Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? » me demandais-je.
-Écoutez mademoiselle Thaïs, dites-moi simplement la vérité. Il ne vous arrivera rien, m'assura le policier.
Je ne me suis pas faite prier, je n'ai posé aucune question.
Alors que Letif se promenait autour de moi, d'un pas lent en prenant bien soin de faire résonner son talon de 2 centimètres, je lança simplement :
-Vous devriez vous asseoir, ça risque d'être long.
-Je n'ai pas besoin du récit de votre vie d'adolescente, dites-moi seulement ce que j'ai besoin d'entendre. Nous n'avons pas tout le temps.
Je ne l'ai pas écouté.
-Il y a environs deux ans, j'avais 14 ans. Durant la fin du printemps, j'avais fais une légère dépression. Légère ? Qu'est-ce que je raconte ! J'avais carrément un air de zombie. Si vous saviez ! Je ne parlais plus, je me douchais plus, je ne mangeais plus. Je n'avais le moral à rien. Et aucune envie autre que pleurer. C'en était même devenu une occupation totalement normal pour moi. Je m'étais coupé du monde. J'avais coupé le cordon avec ma famille et ce lien magique avec mes amis. Je ne pensais plus qu'à ma petite personne. Enfin, bref. C'était une horrible période de ma vie.
Je m'étais même mit à sécher ! Pour la première fois de ma vie. Et aujourd'hui j'en suis contente. [J'ignorais la réplique de Letif à ce moment-là. Le fameux « Vous ne devriez pas vous réjouir de ça. Vous savez comme c'est important les études ! » . Je continuais :]
Vous voulez savoir. C'était dans ce bois, près de chez moi où je passais mes journées. Très loin des sentiers utilisé par les piétions. Juste sous un arbre, entouré d’ortie. La planque idéal ! Personne ne savait que j'étais là et d'ailleurs personne ne passait par là. Sauf lui.
Letif s'affala sur la chaise en face de la mienne. Je voyais dans ses yeux qu'il se disait : « Ça va être looooooooong. » avec un regard blasé. Je n'ai pus m’émécher de rire.
» Écrite par Fibre.
