Bonjour, je me présente je suis Ellea. J'ai eu vingt et trois ans le 8 Août et je suis québécoise, ce qui explique les heures où je suis sur le jeu et les moments où je réponds. Je me suis inscrite le 23 Juillet 2010 et je ne le regrette pas du tout. Ici j'ai fait de merveilleuses rencontres, je me suis faite de formidables amies.

J'aime lire des livres ou des fanfictions, faire de l'équitation (Western), écouter des films, des séries, de la musique. J'aime aussi écouté des animés, des dramas et de la k-pop. Je n'en connais pas beaucoup, mais j'adore ceux que je connais. Pour la k-pop, j'en suis devenue fan grâce à Exo que j'adore... *-*

Je n'aime pas les mensonges ou l'hypocrisie. Ainsi que la discrimination que je trouve stupide. On est tous humain, peu importe qui on est, ou d'où on vient...

Je suis quelqu'un de gênée, mais j'aime parler avec les autres et rencontrer de nouvelles personnes, donc si vous voulez me parler, n'hésitez pas ! =)

Amour Sucré - Ellea04 ♥  •°•°•  Ma-Bimbo - Ellea92 ♥

Booknode - Ellea ♥  •°•°•  Dogaru - Ellea

Poudlard.org - Ellea •°•°•  Pottermore - SpellLune11231

Lady Popular (Fashion Arena) - Ellea 

Pour m'y rejoindre, voici un lien :

http://v3.g.lady-popular.fr/public_profile.php?game=lfr&id=270702

MSN - J'ai un mal pour SF, si vous le voulez, demandez-le moi.

Une petite pensée pour tout ceux qui luttent contre le cancer, qui ont lutté contre, ou qui en sont décédé. Tout comme à ceux qui voit leur proche en souffrir, ou qui ont perdu des êtres chers à cause de cette maladie...

Courage à tous !

Non, je ne suis pas homosexuelle, mais ce n'est pas une raison pour rester les bras croisés ! J'affiche clairement que je suis contre l'homophobie, et ce sans aucune honte, bien au contraire ! Si vous êtes contre l'homophobie, faites suivre !

Je sais qu’on le dit souvent, mais profiter de chaque moment. Profiter de la vie pour ne pas la regretter plus tard, regardant sans cesse vers l’arrière et vous dire que vous auriez dû faire ça, ou cela. Profiter des gens que vous aimez, parce qu’on ne sait jamais ce qui peut arriver, faites-vous plein de souvenirs avec eux, et pensez bien à ne pas devoir regretter de ne pas en avoir assez. Prenez pleins de photos et de vidéos, pour immortaliser chaque moment et ne pas devoir regretter de ne pas en avoir assez. Faites en sorte de bien vous souvenir de votre vie, des moments heureux comme des malheureux, parce que même les malheureux veulent la peine de se souvenir, surtout quand ils sont partagés avec des gens que vous aimez. Porter bien attention à ceux que vous aimez, n’hésitez pas à leur dire chaque jour ! Croyez-moi, la vie est courte et on ne sait jamais ce qui peut arriver. Souvenez-vous bien de leur voix. Enregistrer la si vous pouvez ! Parce que c’est une des premières choses qu’on oublie. Et quand on essaie de retrouver ce souvenir, il nous donne l’impression de nous filez entre les doigts, comme un poisson dans l’eau. Présent mais si dur à attraper, pratiquement impossible à mains nues… N’oubliez pas, n’ayez pas honte de dire aux gens que vous les aimez, vous pourriez amèrement le regretter sinon. Et puis, ça fait tellement de bien de se le faire dire !

Mon frère est décédé le 14 Février 2013. Il était encore jeune, à peine plus vieux que moi, et la maladie l’a fauché. Elle lui tournait déjà autour depuis tout petit, comme une vieille ombre qui s’accroche, mais pas de cette manière. Et mon frère, si lumineux, chaleureux, la chassait sans même si attarder, malgré toutes les difficultés qu’elle lui apportait. Il vivait, simplement et librement, malgré les entraves de sa vie. Je l’admirais en secret, et l’admire encore d’avoir fait face à tant de chose en étant si fort. Mais malgré sa force les épreuves et coups durs se sont amassé, encore et encore, sans jamais disparaitre. Il a fini par être submergé, même s’il continuait à se battre. La maladie gagnait toujours du terrain. Il restait fort, malgré ses envies d’abandonner, pour nous il restait fort. Mais peu avant sa mort, la pneumonie a frappé, en mois d’une journée elle a envahi le corps de mon frère, et l’emporté. Il a décidé de partir, heureusement sa fin fut paisible, les médicaments emportant loin la douleur qui fut sienne. Il s’est endormit contre ma mère, pour ne plus jamais se réveiller… Il me manque infiniment et je regrette tellement de choses ! Ne pas lui avoir dit assez souvent que je l’aimais. Que je l’aimais malgré nos engueulades, et qu’il était une des trois personnes les plus importantes pour moi. Que peu importe ce que l’on pouvait se dire, ou le nombre de fois qu’on se disputait, rien ne changerait à ça. Il était mon frère, plus vieux que moi, mais pour nous, il était mon petit frère. Celui que j’ai toujours protégé du mieux que je le pouvais. Celui qui me faisait me sentir tellement impuissante quand il souffrait et que je n’y pouvais rien. Celui avec qui je me sentais libre d’être moi-même, avec qui je riais si souvent. Mais je me souviens aussi de ses mauvais côtés, ils étaient une partie de lui, et même si je voulais que certaines choses changent, je ne l’aurais remplacé pour rien au monde. J’aurais aimé avoir plus que quelques photos de lui, éparpillés au fil des années. On n’était pas très appareil photo, ou caméra, et je le regrette aujourd’hui. J’aimerais avoir des tas de photos que nous tous ensemble, j’aimerais avoir des vidéos des moments passés ensemble. J’aimerais pouvoir réentendre sa voix, même si ce n’est que pour une dispute, pouvoir me souvenir du son de sa voix. Mais quand j’essaie de me la rappeler, le souvenir me fuit, sa voix prenant peu à peu le son de la mienne dans mes pensées, malgré mes efforts pour m’en souvenir. J’aimais mon frère, et l’aimerais toujours, et j’aurais aimé le lui dire plus souvent. Mon frère n'était pas une étoile, mais un soleil. Parfois insoutenable et tenace, parfois même blessant, mais parfois réconfortant, lumineux, et incroyablement chaleureux. Une étoile n'est pas morte. Non, c'est un soleil dans ma vie qui s'est éteint.

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Je t'aime mon frère ! On s'est disputé souvent, mais j'espère que tu sais que je t'aime de tout cœur. Je ne te l'ai pas assez dit, ou montré, du moins pas assez à mon goût, mais sache que c'est le cas. Tu me manques affreusement, ces moments où on taquinait notre mère ensemble, où tu me disais tes secrets voulant parler avec quelqu'un autre que notre mère mais qui garderait tes secrets. Tu pensais tellement que rien ne pouvais t'arriver tant que j'étais là ! Que j'ai un peu l'impression d'avoir échouée. Que je n'ai pas réussi à te protéger, alors que tu avais toute confiance en moi. Je me sens coupable de ta mort, malgré que je ne doive pas d'après les autres. Ton rire me manque. Tes piques qui se retournaient toujours contre toi me manquent. Que je retournais toujours contre toi, en taquinerie bien sûr... Tu me manques petit frère, tu as emmené une partie de moi avec toi, une partie de mon cœur. N'oublie pas de nous garder une place près de toi pour quand ça sera notre tour ! Je t'aime gros comme les étoiles, le soleil et même toute la galaxie ! ♥

Ça c'est pour toi mon frère, en espérant que tu ris d'en haut. ♥