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- le 03/07/2013 à 21:11
Présentation
ceci est une fiction de ma soeur dont la sailor s'appelle liliywhite, comme elle est trop bas niveau pour avoir un club, elle m'a supplié pendant 2 JOURS par sms pour me supplier ( je rappelle qu'actuellement c'est moi qui m'occupe de sa sailor car elle est chez mémé). Alors lisez bien et évitez de briser le coeur de cette casse-pied de lilas, elle risque de me le faire payer.
Attention : cette fiction contient vocabulaire imagé et pensée légèrement perverse !!! ne dite pas que vous n'avez pas été prévenue !!!
résumé : Millianna et Gabriel sont amis d'enfance, ils vont tout les deux à une fac d'art et ils étudient le dessin et la musique. Mais comme à l'école, ils appartiennent à "deux monde différents" (celui des "populaires" pour lui et celui des parfait inconnu pour elle ils ne peuvent se voir qu'une seule fois par semaine. Millianna, se rendant compte qu'elle est tombée éperdument amoureuse de son meilleur amis d'enfance, qui souffre énormément de la distances qui les sépares, commence à rêver de lui toutes les nuits (souvent des rêves pas très catholiques). Elle fini par décider de rompre le minuscules liens qui les relies l'un à l'autre pour ne pas souffrir davantage. Mais lorsqu'on lui annonce que son travail de fin d'année consiste à dessiner un homme, soit nu, soit torse nu, Gabriel se propose volontaire pour être son modèle et grâce à ça, ils vont pouvoir se voir tous les jours. Ils vont se rapprocher énormément, et plus si affinités (si vous voyez ce que je veux dire ^^)
Prologue : Rêverie
Nous étions en plein mois de décembre et une pluie torrentielle venait de S’abattre sur la ville. Les gouttes de pluie se mêlaient aux flocons de neiges et ensembles, ils commencèrent leur danse sensuelle pour enfin atteindre le sol. Pour beaucoup, un temps pareil aurait suffit à les barricader chez eux jusqu'a ce que le soleil daigne montrer le bout de son nez. Pourtant, nous étions dehors, l'un en face de l'autre depuis plus de 10 minutes. Nos yeux ne pouvaient plus se quitter, j'étais trempé jusqu'au os,
Pourtant, je mourrais de chaud. En même temps, avec le regard qu'il dardait, il aurait pu faire fondre l’acier le plus tremper. Je pouvais lire dans ses yeux un désir totalement inassouvi, un désir tellement puissant que si jamais il perdait le peu de raison qui lui reste, il ferait une grosse connerie. Car pour lui, je ne suis qu'une amie, comme une petite soeur, un boulet qu'il doit traîner depuis des années. Alors, pourquoi me Regardait il comme ça? Mon regard se concentra a nouveau sur le sien et je vis que le désir avait Gagner sur la raison. Il fondit sur moi et m'enlaça, je pouvais sentir nos coeur à l'unissons: BOM, BOM
- Gabriel? Demandais je le coeur battant
BOM
- Miliana, tu veux,...
BOM
- oui?
BOM
-tu veux bien m'acheter une glace? Demanda t’il avec un air des plus innocent
BOM, je venais de lui foutre une baffe.
-attends, tu te fous de ma gueule, tu m'appelle au milieu de la nuit juste parce que tu veut une glace?
-bas oui, pourquoi d'autre?
-BAKA
Je commençait à marcher jusque chez moi, puis j'entendis à nouveau ce BOM et quelqu'un crier: "glacé". D'un coup, je revins à la réalité, j'étais dans ma chambre, tout ce que je venais de vivre n'était certainement qu'un rêve de plus. Dehors, il pleuvait et un abruti frappait à ma porte, à coup sur, c'était Gabriel.
Chapitre 1 : une journée qui commençait mal LES phrase derrière les * sont les pensée de l’héroïne.
Donc, je venais de me réveiller dans ma chambre, en sueur et je venais de me rendre compte que tout ce qui s'étais passé auparavant n’était qu'un rêve, un de plus (même si habituellement, ils sont beaucoup plus sensuels et moins catholique). La pluie ruisselait sur mes fenêtres (dans la réalité, nous étions en été) et un abruti tambourinait à ma porte en gueulant: "j'ai froid" ou "glacé" à tout bout de champs. Celui qui a eu l'idée de me réveiller si tôt le matin (Bon il était midi et demi) allait le sentir passer. J'ouvrit la porte et me rendit compte que c'était Gab. De l'autre coté.
-bordel Mill, combien de temps comptait tu me faire attendre sous la pluie! Gueula t’il visiblement énervé
-ne te plain pas, tu viens de me réveiller, je te signale!
-il est midi et demi ! Me signale t’il gentiment
-ouais, ouais, je sais, Au fait, pourquoi est tu ici ?
-achète toi un calendrier, ronchon a t’il, on est dimanche et comme la tradition l'exige, j'ai apporter les croissants.
Bon, je fais les présentations, je m’appelle Millianna Fills et lui c'est Gabriel Lynch, nous traînons ensemble depuis le jardin d'enfant. Nous allons tout les deux à une fac Spécialisé dans les arts. Et comme monsieur et l a coqueluche de l’école, et moi, une parfaite inconnue, on ne peut se voir qu'une seule fois par semaine (du moins si je ne veut pas me faire tuer par son fan Club). Donc, comme on ne peut se voir que le dimanche: il amener le petit Déj et on passe la journée ensemble. Je sais très bien qu'il fait que parce que mon père lui à demander de prendre soin De moi (et mon père est plutôt du genre effrayant). Pour lui, je ne Suis qu'un fardeau qu'il droit traîner plus par obligation que par choix. Mais malgré tout, le voir chaque dimanche poirauter une demi heure devant Ma porte me donne chaud au coeur. Et me donne aussi le minuscule espoir qu'il tienne à moi. Il y'a environ un an, a peu près a notre entrée À la fac, il a commencer à hanter mes nuits: chaque nuit, je rêve qu'il me prenne dans ses bras, qu'il me susurre des mots doux et qu'il me fasse l'amour jusqu'au matin. C'est à ce moment là que j'ai compris que j'étais tombé amoureuse de lui.
-eh, oh Mill, tu comptes me faire entrer quand?
-AH, pardon, entre ! Dis je surprise.
-tu es sure que ça va? Tu as fait un blocage de 10 minutes et en plus tu bavais. A quoi tu pensais? Demanda t’il avec un regard suspicieux,
*putain la honte, il doit penser que je suis une perverse maintenant!*
-qu'est ce que tu vas imaginer toi?
-moi rien ! dit il avec un air innocent
-ouais c'est ça!
- bon, au lieu de râler, tu ne viendras pas manger?
- go to cuisine!!
On commençait à marcher vers la cuisine quand il s'arrêta net, le regard fuyant
-je rêve ou tu veux me faire mourir de faim! Le grondais je sévèrement.
-Millianna,...avant d'aller manger, change toi....s'il te plait!
Mes yeux se posèrent sur ma tenue: Je portait qu'un mini short et un débardeur très décolleté et à moitié transparent.
*Super, maintenant, en plus d'une perverse, il va penser que je suis une allumeuse, la journée commençait bien.*
-c'est bon, je suis comme une soeur pour toi, tu m'as déjà vu dans des situations pires que celle-ci !
-... je lui avais visiblement cloué le bec.
-et puis toi, t'es pas mieux: on dirait que tu a fais un concours de T-shirt mouillé. ! Ajoutais je avec mesquinerie
Vu qu'il portait une chemise blanche, avec la pluie, elle avait fini par devenir transparente.
-EH QU’EST CE QUE TU FAIS!! Gueulais je
Il venait de retirer sa chemise.
-tu ne vas quand même pas me laisser mourir de froid ?
-t'es pas obliger de jouer les nudistes, non plus!
-ta faute, fallait pas me faire attendre sous la pluie et puis, tu m'as déjà vu torse nu!
*oui, à chaque fois, j'avais fini par saigner du nez. Heureusement qu'il y'avait du soleil: j'ai pu faire passer ça pour une insolation*.
-grr, allons manger avant que tu n'ait ma mort sur la conscience ! Boudais je comme une gamine
*bon Mill concentre toi, ne louche pas sur ses abdos trempé et étonnement sexy! NON, NON, NON, reprends toi avant d'ajouter voyeuse à ton palmarès.*
Mais bien sur comme une bourde ne vient pas seule, il a fallu, qu'a force d'éviter de regarder, que je me prenne un mur. Mon dieu, la journée allait être longue.
Chapitre 2 : Jalousie ? Dispute
Après avoir repris mes esprit (parce que foncer la tête le première dans un mur, ça fait mal). Et après avoir manger (enfin), le soleil revint enfin. Ne voulant pas rester chez moi, (parce que si je reste une minute de plus seule avec lui, j'aurait fini par soit me vider de mon sang, soit lui sauter dessus), on a fini par décider de sortir. Donc, j'avait été me changer, mais bien sur, monsieur est difficile !
-Retourne te changer ! Gueula t’il de l’autre bout de la pièce
-QUOI, qu'est ce qu'elle a ma tenue ?
- tu n’es pas plus habillé qu'avant, je te signale !
*Si, j'ai mis un pull*
-et alors, je m'habille comme je veux !
-en plus d'être une perverse, une allumeuse et une voyeuse, il faut que tu te mettes à l’hexibitionisme ?
*Oh non !*
-Quand bien même, qu'est ce que ça peut te foutre ?
D'un coup, il me plaqua violement contre le mur.
-Tu es a moi et je refuse que quelqu'un d'autre que moi te vois dans cette tenue ! Me susurra t’il au creux de l’oreille.
*Je rêve, serait-il jaloux ?* Impossible !
Plusieurs minutes passèrent sans qu'aucun son ne veuille sortir de notre bouche, trop gêné par la situation. Jusqu'a ce que monsieur lâche !
-car après tout, continua t’il, tu es mon petit toutou et puis je suis sur que ton père me tuerait si je te laisse sortir habillé comme une prostitué !
*Non mais je rêve, ce mec a le don de m’énerver, que se soit en rêve ou en réel, il me rend folle. Comment ai-je pu tomber amoureuse d'un mec qui me prends pour son chien.*
-Si ça ne te dérange pas, "le toutou" aimerait sortir, alors bouge ton cul, avant que je m’énerve !
-Oh, je t'ai vexé ?
*non, a peine !*
-ne t’inquiète pas, tout ce qui est petit est Mignon ! Affirma t’il en essayant tant bien que mal de me rassurer
-ouais, et tout ce qui est grand est con !
Je sortis en claquant la porte derrière moi. Enfin Derrière la porte, ma poitrine se serra et j'eu du mal de retenir mes sanglots.
-Bordel, j'en ai marre ! Sanglotais je avec désespoir
*Marre de chialer pour un mec pareil, marre d'être considéré comme un moins que rien, marre d'espérer qu'il m'aime alors que ça n'arrivera jamais, marre de lui ! Pourquoi je ne peux pas me résoudre à couper les ponts avec lui ?*
Presque une heure passa, sans que Gab. Me rejoigne, mes larmes n'avaient pas quitter mes joues et la porte se fissurait au fur et a mesure que mon poing la heurtait. Je m'assied sur une marche et pris ma tête dans mes mains, sans me rendre compte que quelqu'un s'était installé à coté de moi. Il essuya mes larmes du revers de la main, avant de dire.
-Dit moi qui ? demanda t’il le visage crispé.
-qui ?
-Dit moi qui te fait souffrir autant ! Il était visiblement hors de lui.
J'aurais voulu lui répondre toi abruti, mais bon !
-personne ne fait souffrir, réfléchis abruti ! Affirmais je Avec un sourire forcer
- ne te fous pas de ma gueule ! répliqua t’il d’un ton sec.
-mais, je ne me fous pas de toi ! Affirmais je Avec une voix qui se voulait douce.
-TU ME PRENDS VRAIMENT POUR UN CON !
-et sur quelle preuve tue affirme ça ?
-ça fait presque 2 mois, que tu ne dors quasi plus, que tu ne réagis plus à mes piques, que tu ne parait moins joyeuse, deux mois que chaque dimanche soir, je t'entend pleurer derrière ta porte sans que je ne puisse rien faire. Et tu oses me dire que rien, ni personne ne te fait du mal ?
*deux mois, donc environ quand j'ai arrêté de me faire des illusions.*
-alors s'il te plait, continua t’il, dit moi qui que je lui péte les dents !
-TOI, abruti. Tu m’obsèdes, tu hantes mes nuits. À cause de toi, je ne dors plus, chaque dimanche, je pleure parce que je ne pourrais plus te voir avant le dimanche suivant...
*Du moins, c'est ce que je rêve de lui dire. Mais si jamais je lui dit, je suis sure qu'il prendra ses jambes à son cou en m'insultant de folle à tout va,* alors,
-Arrête de dire des conneries et grouille ton cul, on y va !
Je me levai d'un bond et essuyai ma jupe. Gab. Lui, semblait pensif, comme si mes paroles avaient un sens caché qu'il devait à tout prix découvrir.
-Tu es amoureuse, c'est ça ? demanda t’il complètement figé
BOM BOM, ...BOM, mon coeur manqua un battement.
Je le regardais, les yeux écarquillés, le regard vide. J'aurais bien voulu nier tout en bloc, mais aucun mot ne sortait de ma bouche.
-J'ai raison, n'est ce pas, tu aimes cette personne.
Cette phrase résonnait dans ma tête comme une bombe à retardement qui n’attendait plus qu’à exploser, ce qu'elle fit.
-Gab., suppliais je d’une voix étranglé si il te plait, arrête de dire des conneries !
J'agitais la main, juste en dessous de ses yeux, comme pour dire arrêtent tes conneries, c'est impossible (Même si ma voix me trahissait).
Il soupira, ne déniant même pas m'adresser un regard, il soupira une deuxième fois et dit
-Je vois,...
Il m'adressa un bref cou d'oeil, a peine son regard levé, j'aperçu une tristesse infinie au fond de son regard. Puis son regard se posa sur mes mains que je secouais encore avec frénésie. Je le vis se crisper et la colère monter en lui.
-C'EST QUOI CA ?
Il désigna mes mains, et je vis qu’elles étaient en sang.
*Bordel, la porte, à cause de lui, j'ai complètement oublié que je m'en étais servie comme punching-ball !*
-QUI A OSER TE FAIRE CA, C'EST CE TYPE ?
Je lui désignai la porte d'un faible mouvement de la main
-MAIS T'ES FOLLE OU QUOI ?
*Oui, folle de toi*
-faut bien que je me défoule ! Expliquais je avec nonchalance
-si tu veut te défouler, défoule toi Sur moi au lieu de t'exploser le poignet contre une porte, ça fera moins mal !
-c'est pas le fait d'enfoncer mon poing dans ta jolie face de rat qui me dérangerait mais j'ai pas envie de me faire pourchasser dans toute l'école par des folles hystériques gueulant :"rendez nous le visage du prince» tout
-T'as pas tord ! dit il Avec un sourire las
-ne me dit pas qu'être pourchassé par des centaines de filles en rut te dérange tant que ça ?
Je l'entendis soupirer et vaguement dire "tu serai surprise"
Le temps passait encore plus, il devait être 16h30.
-allez, viens, je vais te soigner. Dit il gentiment.
À cet instant précis, un millier d'image cochonne m'apparurent en tête.
Bon, il me restait plus qu’à profiter des quelques heures qu'il me reste dans cette journée qui avait si mal commencé
Chapitre 3 : séparation
Après qu'il m'ait bandé la main, on était sorti prendre l'air. Plus pour éviter de parler de cette histoire qu'autre chose. Evidement, j'ai été me changer avant qu'il me pété un autre scandale. Durant quasi toute la totalité de notre ballade aucun de nous n'emetait de son pour la énième fois de la journée. Il fallait mieux ne pas se relancer dans des sujet fâcheux, déjà qu'on s'était disputer la moitié de la journée. Autant profiter des dernières heures qu'il nous reste, car après tout, je ne pourrai pas le revoir avant dimanche prochain. Surtout avec ces pétasses qui n'arrêtais pas de le coller, elle ont de la chance que je me retienne de les frapper celles là. Heureusement pour elle que j'essaie de ne pas être connu, même si ces derniers temps je ne suis plus si inconnue que ça. Tout ça à cause de mon tempérament "agressif". Déjà au lycée, j'avais tendance à répondre au prof ou à frapper si on me faisait chier. Arrivé à la fac, j'ai essayé de me calmer mais à cause d'un certain incident, je suis catalogué comme une fille sauvage. Je n'ai rien fait moi, y'avais juste une pétasse qui me pétait un scandale parce que je reluquait Gab. Sans m'en rendre compte, je l'ai empoigner par les cheveux et lui ai fracassé la tête contre une table, rien de bien méchant quoi ! Donc, à la fac, je suis évité et détester.
*Heureusement que j'ai ma meilleure amie*.
Encore une fois, je divaguais. De toute façon, j'avais rien d'autre à faire : il ne m'adressait ni regard, ni parole. Comme si je n’étais même pas là. Plus j'essaie de me rapprocher de lui, plus j'ai l'impression d'aller droit dans un mur. Comme le dit ma meilleure amie : "Oublie le, il va finir par te détruire à petit feu !"
Je rêvassais, je rêvassais, du moins jusqu'à ce qu'il me sorte de ma torpeur.
-Mill, Mill, MILL ! Cria t’il de plus en plus fort.
-c'est bon, je t'entends, t'es pas obliger de crier !
-ouais, mais t'était encore dans tes pensée,... Il laissa passer un long silence avant de continuer sa phrase ...Tu pense à lui ?
*je rêve ou ça sonne comme un reproche !*
-Qu'est ce que ça peut te foutre ? Demandais je sur la défensive.
Il lâcha un long soupir bien audible pour être sur que je l'ai entendu.
-tu...l’aimes...tant que ça ? demanda t’il timidement
*C'EST TROP MIGNON LA TETE QU'IL FAIT!!!*
-...euh,...ouais...
-...je...vois... !
Il soupira encore, puis encore un silence.
*Si ça continue comme ça, dans quelque temps, on aura plus rien à se dire ! *
On marchait, on marchait, on marchait, sans pour autant s'adresser un seul regard.
*s'il te plait Gab. Regarde moi, parle moi, mais ne te met en colère contre moi, je ne pourrai pas survivre sans toi. Je me fiche que tu fasse semblant de m'aimer, je veut juste que tu reste près de moi. Alors, s'il te plait ne me déteste pas !*
Alors que mes pensée de folle obsessionnelle risquait de me faire pleurer, j'ai été bousculer violement et interpellé par deux pétasse blonde dont je préfère taire le nom. (Sherry et certain)
-Tiens, tiens, regarde qui voila certain !
-ce ne serait pas la grognasse brune que personne ne peut supporter ?
* Bordel, sur toutes les personnes de la fac pourquoi a t'il fallu que je tombe sur ces deux là, quelle journée de merde !*
-Oh tiens Mademoiselle la face de rat et mademoiselle je me prends une table en pleine tronche ! Dis je ironiquement. (NDA : ça vole bas)
-À qui la faute, tu m'as défiguré salope ! Dis Sherry hors d’elle
-t'inquiète, tu pourra jamais être pire qu'avant. Je laissai passer un tant avant de continuer, Alors, vous avez décider d'enfin aller acheter un cerveau pour combler le vide dans vos crâne que vous traîner si tard dans la rue.
-MILLIANNA ! M’engueula Gabriel.
*Pourquoi, il me réprimande à chaque fois que je m'amuse celui là, pff le seul moment marrant de la journée ! *
-Tu as vu avec qui elle traîne Sherry ? fit remarquer certain au bord de la crise cardiaque.
- Gab.,...Gab.,...Gabriel, mais qu'est ce qui fous avec une fille pareille ?
*Fait chier !*
-on est des amis d'enfance ! Affirma Gabriel sereinement
Un ange passa, puis un autre, avant qu'elle ne percute enfin.
-non, là, vous vous fouter de ma gueule ! Commença certain
*Y'a même pas trente seconde, elle tombait à la renverse et maintenant elle se foutent de ma gueule, qu'est ce qui me retient de les tuer ces deux là ? Ah ouais, Gab.*
-est qu'est ce qu'il y'a de marrant là dedans ? Demandais je avec une aura meurtrière
-attends, le gars le plus beau ami avec la fille la plus hais, il y'a de quoi rire, c'est tellement absurde ! Commença l’une.
-En plus pour des amis, vous n'avez pas du tout l'air proche, loin de là ! Continua l’autre.
-c'est vrai qu'un ami se tient à un mètre et ignore sa meilleure amie à la fac, comme si vous étiez de parfait inconnu l'un par rapport à l'autre ! Ajouta l’une.
-et vu la tête qu'il faisait, ça doit clairement le faire chier d'être avec toi. Rajouta l’autre
-amis ou pas, je ne vois pas l'intérêt d'être avec une fille comme toi ! Termina l’une
*FERMEZ LA !*
-comme je ne vois pas l'intérêt d'être avec des filles qui ont été cherché un cerveau en solde, et qui ne savent ni chanter, ni dessiner, alors qu’elles sont à la meilleure école d'art du continent. Dis je au bord de la crise de nerfs
*Dans tes dents*
-ce n’est pas parce que t'es la fille la plus talentueuse de l'école que tu peux te foutre de nous !
-ouais certain à raison !
- ça a 19 ans et même pas un gramme d'intelligence, pff désepèrant. Soupirais je de lassitude.
- MILLIANNA ! M’engueula gabriel.
-Qu'est ce que j'ai encore fait !
- tu agresses ces pauvres filles !
* C’sont elles qui ont commencé et c'est moi qu'il réprimande. Il est censé être mon ami, me protéger, pas défendre ces pétasse blonde.
-POURQUOI CE SERAIT MA FAUTE, C'EST ELLE QU'ONT COMMENCE
Tout d'un coup, son visage se crispa.
-Millianna arrête de faire l'enfant maintenant ! Dit il sèchement
-t'es pas obliger d'employer un ton si sec, je n'ai rien fait moi, c'est elles qui...
-Millianna, ça suffit !
-mais,...
-CA SUFFIT, J'AI DIT !
-C'EST BON, J'AI COMPRIS, PAS BESOIN D'HURLER J'AI COMPRIS, TU NE VEUX PAS QUE JE TOUCHE A TES PETASSE BLONDE, AUCUN PROBLEME !
Il m'ignora royalement et se tourna vers les clones.
-excusez la, je ne sais pas ce qui lui arrive en ce moment ! Supplia t’il gentiment.
*ne leur parle pas avec un ton aussi jovial, ne leur adresse plus un sourire, je t'en prie, donne les moi, je les veux rien que pour moi*
-puisque c'est toi qui le demandes aussi gentiment, on accepte ses excuses. Faute avouer, à moitié pardonner ! Dit certain en mode faux-cul
-AH, ça me rassure ! dit il serein
-on allait justement boire un coup, tu veut te joindre a nous ? Proposa Sherry, Elle peut venir avec toi si tu veut, mais te sent pas obliger de l’emmener !
*Tiens, la voila la chance de me venger *
-oh, excellente idée, je sens que je vais bien m'amuser ! Affirmais je avec un sourire sadique.
-pff, si tu y tiens !
On marchait tous en direction du bar, à mi-chemin, Gab. S’arrêta, attendit que les 2 autres soit plus loin et se retourna violement vers moi.
-T'as intérêt à te tenir tranquille !
Il avait un regard glacial, remplit de haine. Il me regardait MOI avec ces yeux.
Il tourna les talons et parti rejoindre ses blondes préféré.
*BORDEL, j'ai envie de pleurer maintenant*
Comme je n’allais pas laisser ces deux salopes gagner, je suis quand même aller au bar.
À peine la soirée avait commencé, qu'il m'ignorait déjà. Trop occupé à se trémousser avec Sherry et certain
Dans ces cas là, il ne me reste qu'un seul ami : l'alcool. Ce qui est une mauvaise idée, puisque je ne le tiens pas. Les heures passèrent et les bouteilles s'accumulèrent sur le bar et Gab. Ne m'a pas regarder de la soirée. Toujours occupé à se trémousser. Au bout d'un moment, à force d'attendre (et surtout aidée par l'alcool), j'en ai eu marre. Je me suis levé, non sans tituber, et je suis parti les rejoindre. En voyant Gab. Rire de bon coeur avec les clones, mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai prit la tête de certain et de Sherry et je les ai fracassés l'une contre l'autre et je suis partie en courant. Je courait vers chez moi, tout en espèrent à la fois qu'il ne poursuive pas et qu'il ne soit pas resté auprès de Sherry et certain
En réalité, il me courait après tout en me gueulant de m'arrêter. Arriver sur le pas de la porte, il me plaque violement contre celle ci.
-AIE, TU POURRAI FAIRE ATTENTION ! Criais je de douleur.
-LA FERME !
*oh non, il est hors de lui, c'est mauvais signe !*
-DIS MOI, C'EST SI DUR QUE CA DE TENIR UNE PROMESSE. TU M'AVAIS PROMIS DE NE PAS LES TOUCHER !
-SI ELLES SONT SI IMPORTANTE POUR TOI, VA LES REJOINDRE
*mauvaise réponse, il encore plus en colère*
Dans un accès de colère, je vis son poing se lever au dessus de ma tête.
*non, il ne va pas oser*
Je n'eu même pas le temps de fermer les yeux que son poing s'abattis sur la porte à quelque millimètre de ma tête. Généralement, Gab. Et d'un naturel calme, il lui en faut beaucoup pour le mettre en rogne. Mais une fois ce seuil passer, il devient extrêmement violent et impulsif.
-Millianna, ce n’est pas parce que tu souffres que tu dois tout te permettre. Ce n’est pas parce que tu es amoureuse que tu dois agir égoïstement. Me gronda t’il durement.
*Comprend moi, comprend moi*
-tu peut parler toi et ta foutue jalousie. De plus, celui qui me fait le plus souffrir, c'est toi !
Il manqua de tomber à la renverse.
-ATT...attend, que soit ce que tu dis ? demanda t’il sous le choc.
*Argh, voila que je re-pleure maintenant *
-depuis quand me déteste tu autant ?
-je t'en prie ne pleure pas, je ne veut pas te voir pleure, je ne te de....
-LA FERME, DEGAGE ! Le coupais je dan son élan
-attend, Mill,...
-DEGAGE, JE NE VEUX PLUS TE VOIR ICI OU DE ME PARLER, JE NE VEUX PLUS TE VOIR JAMAIS !
Je parti chez moi en claquant la porte derri7re moi. Adossé contre la porte, je senti des larmes couler sur mes joues