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- le 21/01/2013 à 14:46
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Discussions
salut desoler jai pas etais tres presente ses dernier temps chui la maintenant
à 22:27 le 08/05/2013
"Bisclavret.
Puisque j'entreprends de faire des lais, je ne veux pas oublier Bisclavret. En breton son nom et Bisclavret mais les normands l'appelle Garou. Autrefois on pouvait entendre raconter et il arrivait souvent que beaucoup d'homme devenait loups-garous et habitaient dans les bois. Un loup-garou est une bête sauvage. Aussi longtemps qu'il se trouve dans cet état de rage, il dévore les gens, fait beaucoup de mal et hante les bois profonds. Mais je laisse cette question car je veux vous conter l'histoire de Bisclavret.
En Bretagne habitait un seigneur. J'ai entendu à son sujet de prodigieuses louanges. C'était un beau et bon chevalier d'une condition irréprochable. Il était l'ami intime de son seigneur et tout ses voisins l'aimaient. Il avait épousé une femme de grande valeur au visage très affable. Il l'aimait autant qu'elle l'aimait.
Mais une chose tourmentait fort son épouse : chaque semaines durant trois jours, il disparaissait et elle ne savais ni ce qu'il devenait ni où il allait. Aucun des siens ne le savait non plus. Un jour, après qu'il fut rentré tout joyeux et gai à la maison, elle le questionna :
-Seigneur, mon doux ami, il y a une chose que je vous demanderais bien volontiers, si je l'osais. Mais je crains tellement votre colère que je ne redoute rien de plus au monde.
A ces mots, il la prit dans ses bras, l'attira vers lui et l'embrassa.
-Dame, dit-il, demandez donc ! A toutes questions que vous me poserez, j'apporterai une réponse, si du moins je la connais.
-Par ma foi, dit-elle, alors je suis sauvée. Seigneur, je suis dans un tel effroi les jours où vous me quittez, et j'ai dans le cœur une si grande douleur ainsi qu'une telle crainte de vous perdre, que si vous ne m'apportez pas un prompt réconfort, il se pourrait que je meure très bientôt. Dites-moi donc où vous aller, où vous êtes, où vous demeurez. A mon avis, vous aimez une autre femme, mais s'il en est ainsi, vous commettez une faute.
-Dame, fait-il, pitié, au nom de Dieu ! Il m'arrivera malheur si je vous le dis car cela vous dissuadera de m'aimer et causera ma propre perte.
Fin de la première partie.............
Puisque j'entreprends de faire des lais, je ne veux pas oublier Bisclavret. En breton son nom et Bisclavret mais les normands l'appelle Garou. Autrefois on pouvait entendre raconter et il arrivait souvent que beaucoup d'homme devenait loups-garous et habitaient dans les bois. Un loup-garou est une bête sauvage. Aussi longtemps qu'il se trouve dans cet état de rage, il dévore les gens, fait beaucoup de mal et hante les bois profonds. Mais je laisse cette question car je veux vous conter l'histoire de Bisclavret.
En Bretagne habitait un seigneur. J'ai entendu à son sujet de prodigieuses louanges. C'était un beau et bon chevalier d'une condition irréprochable. Il était l'ami intime de son seigneur et tout ses voisins l'aimaient. Il avait épousé une femme de grande valeur au visage très affable. Il l'aimait autant qu'elle l'aimait.
Mais une chose tourmentait fort son épouse : chaque semaines durant trois jours, il disparaissait et elle ne savais ni ce qu'il devenait ni où il allait. Aucun des siens ne le savait non plus. Un jour, après qu'il fut rentré tout joyeux et gai à la maison, elle le questionna :
-Seigneur, mon doux ami, il y a une chose que je vous demanderais bien volontiers, si je l'osais. Mais je crains tellement votre colère que je ne redoute rien de plus au monde.
A ces mots, il la prit dans ses bras, l'attira vers lui et l'embrassa.
-Dame, dit-il, demandez donc ! A toutes questions que vous me poserez, j'apporterai une réponse, si du moins je la connais.
-Par ma foi, dit-elle, alors je suis sauvée. Seigneur, je suis dans un tel effroi les jours où vous me quittez, et j'ai dans le cœur une si grande douleur ainsi qu'une telle crainte de vous perdre, que si vous ne m'apportez pas un prompt réconfort, il se pourrait que je meure très bientôt. Dites-moi donc où vous aller, où vous êtes, où vous demeurez. A mon avis, vous aimez une autre femme, mais s'il en est ainsi, vous commettez une faute.
-Dame, fait-il, pitié, au nom de Dieu ! Il m'arrivera malheur si je vous le dis car cela vous dissuadera de m'aimer et causera ma propre perte.
Fin de la première partie.............
à 20:01 le 18/03/2013
merci et pour l'histoire c'est presque pareille sauf que la femme n'a pas de sœur et profite de la disparition de son mari pour être avec un autre homme je vais vous l'écrire se sera plus claire
à 13:24 le 10/03/2013