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- Date de création :
- le 09/06/2012 à 12:10
Présentation
Le Repère des textes de la vie. †
« Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé. »
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Bienvenue sur le club "Wide Awake". Ici seront répertoriés des textes sur plusieurs thèmes. Libre à vous de les prendre, ils ne sont pas de moi, je les expose juste. *Précision : dans chaque thème, je mettrais un texte écrit par moi, et pour le différencier il sera de cette couleur.
*Pourquoi ce nom ?
Car j'écoutais la chanson Wide Awake de Katy Perry, qui est très poétique, et l'idée de crée un club avec des textes "poétiques" m'est venue, et ne sachant pas trouver de nom j'ai opté pour "Wide Awake", qui signifie "Je suis éveillé".
#ffcc99
J'avais oublié. J'avais oublié a quel point sa faisait du bien d'être heureuse. A quel point sa fait du bien de ce sentir bien, d'avoir l'impression de ne plus toucher le sol. De sourire sans s'en rendre compte, de rire même pas quand c'est pas drôle et d'avoir le regard ailleurs. J'avais oublié. Je pensais que je ne revivrai plus un tel bonheur. Je pensais que mon sourire était définitivement abîmé pour ne laissé place qu'a un pauvre sourire amer. J'ai trop pensé. Je me suis trop dite que je ne n'avais pas de chance, que l'espoir était mort. J'avais oublié. Je pensais que plus jamais je ne pourrai l'entendre murmurer un "Je t'aime" a mon oreille, ni même de me prendre au creux de ses bras sans que je ne lui demande, ni de coller ses lèvres au mienne. J'avais oublié. Enfin non, je pensais avoir oublié, tout oublié. Je pensais t'avoir oublié. Mais non, je me mentais.
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Viens on part, nous deux, rien que toi et moi. Partons loin d'ici, loin de cette pauvre vie.Emmène moi loin, très loin, a l'autre bout du monde si tu veux. Je veux tout oublier, oublier toutes ces galères, toutes ces peines, tous ces chagrins... Allons-y, restons y longtemps, très longtemps. Ne revenons plus jamais si il le faut, moi je m'en fou, tant que je suis avec toi. Je veux retrouver le bonheur que j'ai perdu, je veux le retrouver auprès de toi.
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Rire a en avoir mal au ventre. S’exploser le bide en mangeant des cochonneries. Passer du temps avec ses copines. Aller dévaliser les boutiques. Pleurer pour libérer se qui a en nous. Regarder un film en mangeant du nutella. Sentir les flocons de neige tomber sur son visage. Manger un Mrs Freeze quand il fais chaud. Pleurer devant un film quand le personnage meurt. Aller au cinéma, pour voir un film qu'on attendait. Avoir se pincement au coeur quand tu le vois. Se moquer des profs. Parler avec sa maman. Ecouter "Egomaniaque" de Joeystarr avec son papa. Se raconter des ragots au téléphone pendant des heures. Pouvoir dire BONNES VACANCES toutes les six semaines. Se balader dans Paris un appareil photo a la main. Ecouter sa musique en se remémorant des évènements marquants. Rester au lit en buvant un chocolat chaud.
Pour moi c'est ça le bonheur.
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La vie est trop courte pour ne pas etre heureux. Ris, chante, cris, danse, amuse toi et profite de chaque instant de ta vie. Va au bout de tes reves, ne laisse personne te rendre malheureux, pardonne les erreurs, sans les oublier, apprend a vivre ta propre vie. Fais tout ce que tu veux mais surtout, sois heureux.
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Je n'ai jamais compris la signification du mot bonheur. Je pensais que les gens le disaient mais qu'en réalité ils mentaient, car je pensais que personne ne pouvait connaitre le bonheur, le vrai. Je me trompais. Je n'ai jamais vécu le bonheur, jusqu'à ce que je te rencontre. Tu as ajouté un nouveau mot à mon language. Cette fois je pouvais le dire, je nageais dans le bonheur. Tu m'as rendu plus heureuse que je ne l'ai jamais été de toute ma vie. Tu m'as fais comprendre que le bonheur est vrai, qu'il existe vraiment, que tout le monde doit pouvoir le ressentir au moins une fois dans sa vie.
Tu me manques, c'est un fait. Je n'aurais jamais voulu te rencontrer si j'avais su que ça me ferait si mal. Donc chaque jour je te revois, en fermant les yeux je t'imagines devant moi, écoutant mes paroles. Mais je sais que c'est impossible, car tu n'es plus là, tu ne seras plus jamais là. Je pense à toi, en espérant que tu m'attendes, pour qu'enfin je puisse t'apprendre tout ce qui s'est passé pendant que tu n'étais pas là.
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Je veux que tu me déteste, que tu m'insultes de tout les noms, que je sois la plus mauvaise personne que tu connaisses, que tu me trouves laide, que tu me trouves inintéressante et bête, que si tu avais eu le choix tu n'aurais pas voulu me connaitre. Je veux que tu regrette tout ce que tu as pu me dire, que tu regrette aussi de m'avoir aimé, que tu t'en foute de ce que je peux faire avec d'autres garçons, que ce ne sois plus à moi que tu penses quand tu es malade ou mal, je veux que tu me supprime de tes contacts et de facebook. Je veux que tu arrête de parler de moi en bien à tes potes, je veux être à tes yeux une personne inutile dans ta vie. Mais ce que je veux par dessus tout c'est que tu m'oublie. Que tu m'oublie complêtement, je ne veux même pas être un souvenir pour toi. Tu vois, si tu fais pas tout ce que j'ai dis je vais souffrir. Souffrir que tu sois loin de moi, car tout simplement, je t'aime.
*
Tu me manques. Tu me manques comme la neige manque aux skieurs en hiver. Tu me manques comme les cadeaux manquent aux enfants à Noël. Tu me manques comme des tours manquent à un magicien. Tu me manques comme la souffrance manque à l’être desespéré. Tu me manques comme un briquet manque à une bougie. Tu me manques comme des acteurs manquent à un film. Tu me manques comme la musique manque à un danseur. Tu me manques comme la plage manque en été. Tu me manques comme un parapluie manque quand il se met à pleuvoir. Tu me manques comme un lit manque quand tu as envie de dormir. Tu me manques comme l’eau manque dans le desert. Tu me manques comme le nutella manque à une tranche de pain. Tu me manques comme internet manque à un ordinateur. Tu me manques comme un «il était une fois» manque à un Walt Disney. Tu me manques comme l’encre manque à l’imprimante quand le bouton rouge s’allume. Tu me manques comme un ciseau manque quand on s’est accroché un ongle. Tu me manques comme la vie manque aux morts. Tu me manques comme la lune manque à la nuit. Tu me manques comme des lunettes manquent à un myope. Tu me manques comme un ami peut manquer. Tu me manques.
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Je n'ai pas besoin que tu me dises que tu m'aimes plus que tout, que je suis la plus belle et la plus parfaite. Je n'ai pas besoin que tu me dises que pour moi tu donnerais tout, que je te manque inlassablement. J'ai juste besoin que tu me dises que tu m'aimes bien, qu'avec moi tu t'sens bien, que maquillée j'suis pas si moche que ça, que quand je fais pas la chieuse, tu m'supportes assez bien, que quand j'suis pas la, il te manque un petit quelque chose. Et tu pourrais me faire sous entendre que, peut être, ou peut être pas, ce petit quelque chose -et je dis petit pour pas dire minuscule- ça pourrait être, par instant, par moment, juste de temps en temps, pas tout le temps, ce tout petit minuscule manque pourrait être le poids de mon absence qui marquerai la fin de ton indifférence.
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Il faut l'avouer, tu me manques énormément. Je n'ai jamais cessé de penser à toi depuis que tu es parti. Tu as pris le large, tu as choisi une autre voie. C'est vrai que depuis que tu n'est plus là, je ressens un gros vide dans ma vie, je me sens si seule sans toi. Je n'aurais jamais pensé que tu m'aurais laisser comme ça, mais tu l'as fais et je comprends ta décision. Aujourd'hui je suis rayée de ta vie, et toi tu crois que tu es rayé de la mienne. C'est faux, car en vérité je pense plus à toi que tu ne le penses, j'ai désespérement un énorme vide dans ma vie. Mais c'est comme ça, tu es parti et je ne peux rien y faire, mais malgrès tout tu me manques.
On a peur, oui peur car même si notre passé est derrière chacun d'entre nous il reste tout de même dans notre présent certains souvenirs, certaines paroles, certains faits dont on se rappelle et qu'on ne voudrais pour rien au monde revivre .. Les sentiments font peur, le temps passe, on s'attache, on espère, on a peur mais malgré tout on avance, chacun a son rythme chacun à son pas au risque de tomber encore une fois. On se dit qu'au pire on se relèveras mais ce pire là une fois de plus nous effraie. Il y a toujours passé qui laisse au coeur des cicatrices imparfaite puis il y a futur qui les fait disparaitres et qui les réouvriras surement. Ne soyons pas dupes .. Nous somme jeunes. Une page vierge ou tout encore reste à écrire. La vie nous endurciras, on apprendras à vivres avec nos peurs, en attendant vivons car aucune de nos peurs doit empêcher nos coeurs de parler. Aucune peur doit empêcher nos coeur de dire je t'aime.
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Et si tu me demandes de rester, je resterai. Peu importe que tu sois quelqu'un de mauvais, maintenant je suis attachée à toi. Et saches que je serai toujours de ton côté, pour t'aider, te défendre face aux autres, même si je sais que tu as tord et qu'ils ont raison. Quoi que tu fasses et quelques soient tes choix, quoi que tu dises je serai avec toi. Et si un jour tu as besoin de moi, de quoi que ce soit, je ferai tout pour t'aider, même si je sais que je me fais avoir. Tu pourras me mentir, me trahir, je ferai semblant de te croire, de ne rien remarquer, juste pour que tu me gardes à tes côtés. Je suis naïve, c'est vrai, mais au fond je crois que je t'aime. Et je suis presque sure que ce n'est pas ce qu'il y a de mieux pour moi. Mais ce n'est pas grave, si pour toi tout va bien! Je pourrais donner ma vie pour sauver la tienne. Je donnerais tout, à n'importe quel prix, pour que tu sois heureux. Car c'est ce qu'il y a de plus important pour moi: ton bonheur. Il passera toujours avant le miens. Un jour, peut être tu me demanderas de partir, de t'oublier, je crois alors que je me tuerai. Car plus jamais je ne pourrais vivre sans toi. Tu as donc ma vie entre tes mains. Fais en ce que tu veux.
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Marcher près de toi, sans te parler, juste sentir ta présence, ton regard se poser sur moi, entendre le son de ta voix, même si tes paroles ne sont pas pour moi. Te voir te rapprocher quand tu m'apperçois, tout en discretion, tout du moins en essayant de l'être. Sentir ton regard me suivre quand je m'en vais, ne détourner le regard qu'à la dernière minute.
J'avoue j'aime ça, mais j'aimerais plus si tu venais me voir, que tu me parlais et que tu m'aimais sans que chacun se cache de son côté, sans qu'aucun de nous ne renie ses sentiments.
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J'ai rêvé de toi, non, j'ai rêvé de nous, oui j'ai rêvé qu'on été ensemble, qu'on se tenait la main dans la rue, qu'on parlait de tout, de rien, de la vie, du temps qui défilait, tout étais bon, c'était magique, c'était fabuleux, on s'embrassais, tu me susurer des mots doux au creu de mon oreille, ton souffle chaud dans mon cou à chaque mots que tu pronnonçais, et le plus merveilleux je crois, c'est quand tu me prenais dans tes bras, j'arrivais a sentir ton corps contre le mien, je sentais chaque battement de ton coeur, le mien résonnait comme un marteau sur une casserole, c'était magique, oui c'était un rêve.
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Qui n’a jamais rêvé des princesses Disney ? De leur incroyable beauté ? Suis je dans un rêve ou bien au paradis ? Non c’est bien la réalité mais j’ai trouvé ma perle rare que je cherchais depuis si longtemps. Mon bonheur dure depuis que je suis avec toi. Ma princesse, mon ange ; si tu savais à quel point tu es tout pour moi. Toi seule contribue à mon bonheur, tu es mon bonheur. Chaque jour, je me lève en pensant à toi et je me couche en pensant à toi. Il n’y a pas une seule seconde où tu n’occupes pas mon esprit. Tu as réussie à entrer dans ma tête et mon cœur, et je compte bien que tu
n’en sortes jamais. Le simple fait d’être avec toi contribue à mon bonheur et ma joie de vivre, le simple fait de te voir me rend tout bizarre et mon cœur palpite. Rien que d’imaginer ton souffle chaud effleurer ma peau, mes lèvres rencontrant les tiennes pour un baiser passionné et un éternel amour à partager. Mon bras s’enroule autour de toi, et je te murmure tout bas :
« Je n’aime que toi ».
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Je croyais désespérement que l'amour, tout le monde pouvait le vivre, Que tout le monde avait le droit de tomber amoureux au moins une fois. Que personne ne pouvait souffrir de l'amour. Je ne sais pas si j'avais raison. Ce que je sais juste, c'est que depuis ce jour où nos regards se sont croisés, où nos lèvres ont esquissé un sourire charné, où nous avons été liés en un instant, je ne pensais plus à l'amour mais au coup de foudre. La première fois que l'on s'est vu, c'était l'instant de toute les vérités. T'ai-je aimer ? M'as-tu aimer ? Je ne sais pas. Mais je sais juste que je ressentais une attirance constante pour toi, et que tous les jours qui passèrent, on s'échangea des regards, sans se parler, mais on pouvait communiquer rien qu'en se regardant. Sais-tu ce que j'ai ressenti le jour où je ne t'ai pas vu ? Je pensais que tu reviendrais le lendemain, mais tu n'es pas venu. J'attendais le surlendemain, tu n'étais pas venu non plus. Alors je contiunais d'attendre, encore et encore, et j'ai compris que plus jamais on ne se reverrait. Donc je dois l'avouer, l'amour je ne sais pas ce que c'est, je n'ai pas eu le temps de le vivre avec toi.
Je me souviens de tellement de chose. Oui les souvenirs font toujours mal. Je suis complement perdue. Tu m'avais promis ciel et terre et du jour au lendemain je t'ai vue me laisser. Oui completement seule avec mes souvenirs. Tu étais tout à mes yeux. Mais il faut savoir tirer un trait pour de bon. Non je ne chercherais pas à tout oublié comme la plupart des personnes. Je me rappellerais s'en cesse de tout de nous. De notre passé qu'on c'était créer. De tout ce bonheur passé à tes cotés.
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On dit que les jours défilent et ne se ressemblent pas. Mais qu'en est-il de nos soirs ? Les soirs que vous passez allongé dans votre lit sans pouvoir trouver le sommeil. Ces soirs sont tous les mêmes. Ces soirs où vos yeux fixent le vide, où votre tête voit défiler tous les souvenirs qui remontent. C'est à ce moment que vous ne pouvez plus lutter contre ce que vous essayez d'enfouir au plus profond de vous. Le passé, le souvenir, la nostalgie, le manque, le regret, le remord. Tant de choses qui vous bousculent de l'intérieur, qui cherchent à sortir mais qui n'arrivent pas. Ces soirs qui nous font mal parce qu'il nous confrontent à notre conscience. C'est un peu comme le bilan de la journée, du mois. Le petit bilan de notre vie. Ces soirs qui nous prouvent que nous ne pouvons rien oublier. Certains moments ressurgissent alors qu'on les croyais enterrés. Sûrement le signe que nous ne tirons un trait sur rien, en réalité. Ces soirs où une larme vient couler le long de notre joue. Elle a un gout amer, comme si elle revenait de loin. Comme si elle transportait tous nos souvenirs. Il est parfois agréable de la laisser courir sur notre visage, on a l'impression de ressentir ces moments passés. Certains font sourire, d'autres entrainent d'autres larmes. Mais ils sont la preuve qu'on peut continuer à se souvenir. Il est bon de se remémorer ce qu'on a vécu, nous n'avons pas envie d'oublier certains instants, certains souvenirs. Ceux qui nous rappellent qui nous sommes, pourquoi nous en sommes là et pourquoi nous continuons de nous battre. Ceux qui font réapparaitre quelques minutes le visage d'un être aimé, le son d'un rire, l'odeur d'un lieu. Puis le soir passe lentement, laissant place à nos rêves. Ne tardons pas trop, demain nous avons d'autres instants inoubliables à vivre.
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On a souvent tendance à croire que le passé est passé. Qu'on ne le reverra plus jamais. Comme s'il était inscrit sur une ardoise magique et qu'on avait effacé. On croit aussi qu'avec les années,on a passé à la trappe ses erreurs de jeunesse, ses amours de pacotille, ses échecs, ses lâchetés, ses mensonges, ses petits arrangements, ses forfaitures. On se dit qu'on a bien tout balayé. Bien tout fait glisser sous le tapis. On se dit que le passé porte bien son nom : passé. Passé de mode, passé d'actualité, dépassé. Enterré. On a commencé une nouvelle page. Une nouvelle page qui porte le beau nom d'avenir. Une vie qu'on revendique, dont on est fier, une vie qu'on a choisie. Alors que, dans le passé, on ne choisissait pas toujours. On subissait, on était influencé, on ne savait pas quoi penser, on se cherchait, on disait oui, on disait non, on disait chiche sans savoir pourquoi. C'est pour cela qu'on a inventé le mot "passé" : pour y glisser tout ce qui nous gênait, nous faisait rougir ou trembler. Et puis un jour, il revient. Il emboutit le présent. S'installe. Pollue. Et finit même par obscurcir le futur.
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Je passe tous les jours à penser à ces jours passés. A regretter ce que j'ai vécu. A vouloir revivre tout cela absolument. Je passe toutes les nuits à pleureur en écoutant de la musique déprimante, mais aussi à sourire et même à rigoler en repensant à tous ces merveilleux souvenirs. Sachez que jamais je ne les oublierais. Ils seront toujorus ancrés dans ma mémoire, d'une façon ou d'une autre, bien au fond pour que je puisse toujours m'y raccrocher quand ça ira mal. Les moments que j'ai passé avec vous étaient magiques, mais malheuresement tout a une fin et je crois bien que la notre ne soit déjà arrivée trop tôt. Je pleure, encore et encore, mais sachez que ce sont ces larmes qui me font vivre, car elles me rappellent tous ces merveilleux moments avec vous.
On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.
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J'crois même que j'ai rêvé de toi. Tu étais là, assis par terre en train d'attendre. Attendre quoi ? Je ne sais pas. Et moi, j'avançais, je ne pouvais t'ignorer. Je te regardais, et toi tu souriais. Je ne sais pas à qui ou à quoi tu pensais, mais tu avais l'air heureux, assis là. Alors j'ai décidé de m'approcher, pour venir te parler, te toucher, t'embrasser. Et plus je marchais, plus tu reculais, plus je tendais la main, plus toi tu partais. Tu restais assis, et c'était maintenant moi que tu regardais. j'ai crié. Je t'ai appelé, réclamé, je me suis mise à pleurer pour te voir réapparaître. Mais encore tu t'éloignais. Je suis tombée à genoux, je t'implorais, j'étais torturée par l'idée de te perdre à jamais. Tu souriais toujours, tu ne voyais même pas que moi je me désintégrais. Te souvenais tu, au moins, de nos moments passés ? C'est à croire que non, car pour toi je n'existais plus. Ton image devenait floue, lointaine, inconnue. Tu disparaissais, loin, vite, sans un mot.
Et je me suis réveillée.
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Tu te rappelles,je t'avais dis que les rêves pouvaient parfois te rendre malade. Te rendre accro à eux. Que,à force de rêver, tu ne croirais même plus au monde qui t'entoure. Tu croirais que toutes les personnes qui t'entoure sont que des hologrammes. Tu m'as alors répondu que les rêves ne se contrôlent pas. Malheureusement,oui. Mais si tu te forces à rêver, ton rêve n'est plus un rêve. Cela devient un rêve artificielle dont tu ne peux plus t'en passer. C'est si bon de rêver, oui. Les rêves ne sont pas fait pour être raisonnable. Mais, il ne faut pas en abuser jusqu'à s'obliger à rêver, sinon tu risques d'être prisonnier et les limbes te rattraperont avec un mâlin plaisir.
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Je suis une rêveuse. Une grande rêveuse. De jour comme de nuit. Mais je hais rêver. Car rêver, c'est illusionner, faire croire à quelqu'un que la vie est parfaite, alors que ce n'est pas le cas. Et le réveil est bien souvent brutal. L'pire c'est quand on s'souvient de ses rêves. Et qu'on se demande pourquoi ce n'était qu'un rêve, et pas la réalité. J'aime croire en ma bonne étoile, mais pas en mes rêves. Car ils sont le reflets de ce que je rejette au plus profond de moi, au plus profond de mon coeur et de mon âme. "Rêve pas ta vie, vis tes rêves!''. Ce sont des cauchemars déguisés, juste pour nous énerver. Un film, tellement bien réalisé par notre subconscient. J'ai beau connaître la part de vérité dans ma réalité, j'ignore toujours la part de réalité dans mes rêves. Et pourtant j'essaye. On essaye tous. En faisant des films, ou des chansons, pour comprendre. Mais, ça ne marche jamais. L'être humain est une machine qui a bien des vices.
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Je ne sais pas quoi dire à propos du rêve. C'est un mystère du corps humain. On rêve pour espérer le revivre plus tard. Ou on rêve en espérant que ce rêve ne se produira jamais. On rêve en se disant que rêve est vrai. Puis une fois qu'on est réveillé, on regrette que ce rêve ne soit pas réel, ou alors on est content qu'il soit vite fini. Le rêve c'est quelque chose de tellement mystérieux. On rêve d'avoir quelque chose, mais on rêve aussi en étant insconcient. Alors je demande "mais qu'est-ce que le rêve ?" La réponse est toute simple. Le rêve est un tas de choses, mais c'est avant une façon d'avoir une vie meilleure.
J'aime bien t'aimer, savoir que t'es là pour moi à n'importe quel heure, n'importe quel moment, savoir que tu m'appartiens, j'aime bien ce sentiment de bien être quand je suis à tes côtés, j'aime bien te savoir en sécurité quand je ne suis pas avec toi, j'aime rire, pleurer, sourire, parler, m'engueuler avec toi, n'importe quels moment avec toi, tant que je peux te voir ça me suffit, savoir que toi et moi c'est pour toujours savoir que je suis importante pour toi, savoir que tu es importante pour moi, je pourrais te décrocher la lune, mais les étoiles font partie de tes yeux, j'aime énormémént t'avoir dans mes bras, j'aime aussi te consoler, et t'appeller quand tu as besoin, parler de n'import quoi, rire n'importe quand, crier n'importe où. Ce savoir libre et en sécurité à tes côtès.
Ma meilleure amie.
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Tu sais, tu me manques malgré tout le mal que tu m'a fait. Me demande pas pourquoi, je me pose tout le temps la question, mais la réponse ne veut pas faire son apparition. J'ai juste passé les plus beaux moments avec toi. Je m'imagine encore , mains dans la mains, toujours en train de rigoler..ça me manque, mais tellement.. mais , je me force à t'oublier,à te détester, à t'insulter, parce que tout simplement je n'ai pas envie de revivre l'enfer que tu m'as fait endurer.mais je te cache pas que j'ai passer des moments parfait, tellement parfait.. tu étais la seule à me comprendre, à m'écouter quand ça allait mal, et ça allait souvent mal.. la seule qui voyait que j'allais mal même si j'avais le sourire,on sait toujours ce qu'on perd, mais jamais ce qu'on gagne si on ne prend pas la peine d'essayer. On a beau dire "J'vais t'oublier" sachant que c'est impossible, parce qu'on ne peut jamais vraiment oublier. Ca fait mal d'apprendre à quitter ceux qui nous quitte, d'apprendre à les aimer en silence, le dos tourné, les yeux baissés apprendre à pleurer en souriant.
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Ils sont mes souvenirs, ma nostalgie. Ils sont mon sourire, mon envie. Ils sont mes pleurs, mon bonheur. Ils sont mon ame, mon coeur. Ils sont mes pensées, mes faiblesses. Ils sont mon savoir, mes promesses. Ils sont mes inoubliables, mon refrain. Ils sont ma mélodie, mon chagrin. Il sont mes moments, ma passion. Ils sont mon regard, mes chansons. Ils sont mes minutes, mes secondes. Ils sont mon ame soeur, mon monde. Ils sont mes organes, mes sens. Ils sont ma raison, mon essence. Ils sont mon manque, ma complicité. Ils sont mes modèles, mon identité. Ils sont ma possessivité, ma jalousie. Ils sont ma lumière, ma folie. Ils sont mes croyances, ma religion. Ils sont mon asile, ma maison. Ils sont mes larmes, mes rires. Ils sont mes peurs, mes délires. Ils sont mes cris, mes poèmes. Ils sont mon être, mes voyages. Ils sont ma phobie, mon courage. Ils sont mon aide, mon évasion. Ils sont mes ambitions, mes relations. Ils sont mes coutumes, ma persévérance. Ils sont mon éternel, ma souffrance. Ils sont mon oxygène, mon conte de fée. Ils sont ma chance, mon passé. Ils sont mon présent, mon avenir. Ils sont mes conneries, mes désirs. Ils sont mes soirées, mes instants. Ils sont mes émotions, mes sentiments. Ils sont mon silence, mon admiration. Ils sont mes habitudes, mes questions. Ils sont mon tout.
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Vous savez, je pense que l'amitié est une forme d'amour. Il y a les mots doux, les longs textos le soir, les grands sourires, les larmes, les bisous. Quand quelque chose va mal on n'utilise pas chagrin d'amour, mais peut être que ' chagrin d'amitié ' existe après tout. Si je te dis que tu es la femme ou l'homme de ma vie, tu vas me prendre pour une folle. Parce qu'on dit ça des amoureux, pas des amis d'habitude. Mais si je te dis ça, c'est juste pour que tu prennes conscience que ta présence m'est indispensable. Alors prends moi pour une folle si ça te chante, mais crois moi. Croyez les gens quand ils vous disent qu'ils vous aiment. Prenez le risque de croire en l'amitié, même si croire en l'amour vous occupe déjà beaucoup. Prenez aussi la peine de dire aux gens merveilleux, qu'ils le sont. Parce que ces gens là, vous les aimez d'un amour fraternel. Ces gens là, ils donnent de la couleur à votre vie.
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Je crois que la plus belle chose qui m'est arrivée dans la vie, c'est de les avoir. Sans eux je ne suis rien, ils sont ma vie, ils sont moi-même, ils sont le double de moi. Quand on me demande ce qu'est la définition d'un ami, je réponds "c'est quelqu'un qui serait pret à tout pour toi, pour que tu te sentes bien, qui dira que ta vie est plus importante que la sienne". Ai-je raison ? Ai-je tort ? Je sais juste que je ressens cela auprès de mes amis, les vrais, pas ceux qui ne sont que de passage. Un ami c'est quelqu'un dont tu sais qu'il sera là pour toi toute ta vie, qu'il ne te laisserais jamais tomber, qu'il serait prêt à te souteni peu importe ce qu'il se passe. Vous savez, les amis se comptent sur les doigts d'une main. Ils sont tellement rares et précieux, fais tout pour qu'ils restent auprès de toi à jamais.
J’ai besoin de partir, de voir ailleurs. J’ai besoin de prendre mes distances avec ma vie, de me prouver que les amis c’est bien mais c’est pas éternel. Je vous aime vous comprenez ? Mais je vous aime tellement que je vous donne tout et je ne veux plus, je ne peux littéralement plus. Je vous donne trop, et je suis déçue. J’arrive plus à être heureuse ici. Non, vous inquiétez pas ce n’est pas de votre faute et c’est même loin de l’être. Mais avoir toujours les mêmes problèmes, parler toujours aux mêmes personnes, c’est ennuyant. Et en vous quittant je fais surement la pire connerie de ma vie, je vais perdre tous mes meilleurs amis, ceux qui me font vivre et me donne envie d’exister depuis que je suis née. Et j’ai peur sans vous, mais il faut que j’essaie. Il faut que j’essaie parce qu’un jour vous serez plus la et moi je serai quoi ? Oui par lâcheté et égoïsme je préfère vous perdre aujourd’hui et en prendre moi même la décision plutôt que de laisser le temps nous détruire et continuer une histoire avec des mensonges du type « on se voit vite, tu me manques » alors que non pas du tout, on n’ose juste pas s’dire qu’on s’en fout.
*
Souvent il revient, il est toujours la ce sentiment, je ne sais plus quoi en faire. Il me fait peur, il me fait mal et tu sais pourquoi? Il est la à cause de toi! Oui c'est ta faute, si aujourd'hui je ne passe plus une journée sans pleurer, oui c'est de ta faute si je vais mal, si tout devient noir petit à petit, si je baisse les bras, oui c'est de ta faute si demain je ne suis plus la.. J'aimerai que tu comprennes ce sentiments, cette tristesse que je ressent, tu la vois dans mon regard? J'espère que oui, j'espère que sa te rend aussi triste que moi de me voir dans cet état là. J'ai mal tu comprends? Je suis triste et le pire dans tout ça c'est que cette tristesse et aussi synonyme de désespoirs, de déception.. Oui je te l'avoues, j'y croyais mais je me rend compte avec le temps que ce que je vit et la pire des choses qui puissent m'arriver. Cette douleur qui ne se décrit pas.. Tu comprends? Dis moi que tu comprends? Dis moi que toi aussi tu plonge dans le désespoirs.. Dis le moi ou sinon je me laisserai envahir petit à petit, je me laisserai mourir.. Oh j'en serait désolée, oui désolée que tu ai eu raison de moi, que la tristesse et eu raison de moi. Au revoir...
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Sais-tu ce que c'est la définition du mot rien ? Si, tu ne la sais pas tu pourras toujours chercher dans le dictionnaire ou alors encore demander à des gens mais je pense que la meilleure définition est la mienne. Non pas parce que je suis la plus forte, la plus intelligente, ou encore la plus talentueuse de nous deux. Non, ce n'est pas ça. C'est juste parce que c'est toi qui m'as fais découvrir la définition, ou plutôt l'a ressentir, alors je pense que tu peux la comprendre mieux que qu'y conque. Alors voilà rien c'est pour moi ce que je suis maintenant, je suis ce mot. Pas qu'un peu de ce mot, non je suis ce mot tout entier. Oui car quand tu me regardes, tu ne vois plus rien, ton regard est vide, si vide qu'on croirais voir le néant. A tes yeux, je suis devenue cette chose sans importance, sans valeur. Et ça me tue, ça me déchire le coeur de voir la façon dont tu me regardes à présent, ça me rend si triste, que je ne te regarde plus, je n'en est plus la force, j'en est si peur de ce vide dans le fond de tes yeux. Oui avant quand tu m'aimais encore, je pouvais y voir ta joie, ton bonheur, ton amour pour moi et c'était tellement beau, que le simple fait de te voir, de plonger mon regard dans le tien me faisais un bien fou. Maintenant, c'est tellement triste de te regarder. Mais le plus dur dans tout ça c'est que ton regard est vide face au mien, mais ton coeur l'est aussi, il ne ressent plus rien, il a peut-être un petit peu le vague souvenir de la façon si forte dont tu m'as aimé, mais tu as tellement réussi à m'oublier que je n'en suis pas sûr. Et à l'heure d'aujourd'hui, tu ne vois pas comment ça me ronge à l'interieur d'étre devenu ce rien, alors que pendant si longtemps j'ai été ce tout. Oui tout et le contraire de rien, tout le monde le sait, c'est banale et commun de savoir ça, mais quand on ressent se tout et qu'on devient ensuite se rien, c'est si fort, si dur, que je n'ai aucun mot qui pourrais définir ce que je ressens. J'aimerais au moins, être à tes yeux un petit peu de quelque chose, quelque chose de bien et d'agréable. Je ne te demande pas de m'aimer encore, non juste de ne plus être ce rien qui m'assailli, qui me hante. Voilà j'ai fini, je crois avoir dis et expliquer tout ce que je savais sur le mot rien. Je pense avoir raconter la pure vérité, mais si tu ne me crois pas, je t'en prie, va voir dans le dictionnaire, tu y verras que la définition de rien, c'est : chose sans importance, néant, un petit peu de. Et là tu verras que j'ai raison.
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La chaleur de l'été, la froideur de l'hiver, le doux parfum du printemps et les belles couleurs de l'automne. Tout a disparu en même temps que toi. Le goût de mon Coca Cola, la couleur de mes lèvres, les couleurs du ciel, la lumière de la lune, les baisers de ma mère, mon pot de Nutella, les étoiles dans le ciel, les décorations de Noël, les bougies sur le gâteau, les cadeaux sous le sapin, le dressage de la table, le sourire de mon père, mon reflet dans le miroir. Plus rien n'est comme avant, pas même moi.
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Une larme coule sur ma joue, elle un gout amer, mais le pire ce n'est pas son goût, c'est ce que cette larme signifie. Elle réprésente mon malheur, ma tristesse infinie, celle que j'ai en pensant à toi. Elle réprésente une douleur méprisable. La tristesse est la pire de toutes les douleurs. Car tu peux dire que tout va bien, alors qu'on fond tu es anéantie, et c'est la pire chose qui puisse arriver. Etre triste c'est ne plus ressentir rien au moment où on l'est, c'est aussi ressentir un trou dans sa poitrine. Mais au fond, on sais tous que la tristesse ne dure pas toute la vie. Il faudra bien qu'à un moment ou à un autre, on se relève, et qu'on oublie tout ça. En fait, si un sentiment était parallèle à la tristesse, ce serait le courage.
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