SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
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    le 24/10/2010 à 20:22

    Présentation
    Modifié le 13/03/2011

    Pour toutes celles qui ont un seul rêve:

    Devenir écrivain, écrire des histoire pour enfants, ados ou adultes :)

     

    Un poème de Celyane :

    J'apprendrais
    A lire ton âme et tes yeux et tes larmes
    J'apprendrais
    Pour toi les secrets de la lune du soleil des étoiles
    J'oublierais
    Famille, amis et rangs,
    Pour te posséder,
    Ethique, morale et principes
    J'avancerais
    Dans les nuits éternelles
    De nos amours secrets
    Je poserais
    Mes lèvres sur tes lèvres empressées
    Mes mains sur ta douce peau métissée
    Et au bout de quelques années,
    Je réapprendrais
    La douleur de tes trahisons et
    Le poids de mes tromperies
    J'avancerais
    A tâtons dans le marécage de mes erreurs
    Je te désire sans t'aimer,
    Je t'oublierais sans regrets
    Alors viens dans mes bras et tais-toi,
    Enfonçons-nous ensemble dans nos jeux interdits
    "Un mariage raté vaut mieux qu'un enterrement réussi", il paraît.

    Un poème de AkaiYoru :

    Noir vide
    -Sentiment solitaire-

    Luisant comme luirait la lune sur l'étang miroir,
    Oubliée des hommes et des femmes la connaissant,
    Une ancienne âme saine esseulée et pleurant,
    Île perdue au milieu des mers de pensées noires,
    Soleil sans véritable lumière pour les uns,
    Et ténèbres profondes pour les autres, en vain.

    Les belles et divines profondeurs viennent la frapper,
    Abandonnée, elle chute sans aucune liberté.

    Sans sol, ni plafond, aucun mur et sans personne,
    On ne voit que la nuit, aucun son ne résonne,
    Les odeurs ne flottent plus, le goût n'est pas,
    Il ne reste que la peur de ce qui suit nos pas.
    Tellement absent et pourtant si suffocant,
    Atmosphère lourde et sans aucune vibration,
    Image qui la belle folie l'appelant,
    Remémorant bel et bien ce beau sentiment,
    Énigme fascinante qu'est vraiment le néant

     

    Merci à vous les filles de vous êtres inscrites ! Rigolant

     

     

    La première idée de concour:

    Inventez une histoire à partir d'une image :)

    Voici donc la première ipmage tant attendue !! :)

    Dont la gagnante est Sode !! :D


     

    Donc essayer d'imaginer une petite nouvelle entre 1 et 5 pages en Time new roman et en taille 12 :D Oui, c'est plutot court mais c'est un début !

    Les nouvelles des participantes seront misent sur la description du club et plusieurs sailors (pas obligatoirement inscrites au club) voteront.

    Il y a quand même un prix ! ^^ Oui, il faut de la motivation ;)

    Le prix sera 10 +1 pour la gagnante et un petit lot de consolation pour les autres !

     

    Les deux histoires :

     

    Vaniila :

     

                                                          LA FIN DU MONDE

     

     

    Nous sommes le 17 avril 6025. Cela fait maintenant 4000 ans que les hommes ont détruits la terre à cause des guerres, de la polution et du manque d'attention, 4000 ans que toutes formes de vie à disparue. Moi et ma famille faisons tout ce que nous pouvons pour survivre, mais  nous n'avons rien. Plus de nourriture, plus d'électricité, plus de chauffage ! Rien. Nous n'avions pas de maison, nous dormions à même le sol, Pour survivre, nous nous nourrissons de ce que nous trouvons, des lièvres sauvages qui passent par là, des petits oiseaux égarés. Bref, la vie est vraiment difficile.

     Je m'appelle Elodie, j'ai 14 ans et mon plus grand rêve serait que la terre redevienne ce qu'elle a toujours été ! Enfin, je dis ça, mais moi, je n'ai jamais connue le monde d'avant ! C'est ma mère qui ma raconté. Tout ce qu'elle dit paraît si beau, si merveilleux, si loin de notre désolant quotidien.

     Il y a quelques mois, j'ai eu un petit frère, il s'appelle Antoine. J'étais heureuse car j'avais un frère mignon comme tout, mais aussi malheureuse car comme moi, il ne grandira pas dans un monde tranquille.

    Les lueurs de l'aube apparurent, me faisant mal aux yeux. J'essayais de rabattre la capuche d'une vieille veste que j'avais trouvé, mais elle était tellement petite que lorsque que je  baissais la capuche pour la mettre sur mes yeux, le bas de la veste remontait, du coup, j'avais froid au dos.

    Finalement, je finie par me lever. Je fis quelques mètre et m'assis au bord du lac. Nous étions le matin, pourtant, le ciel était encore étoilé. La lune était belle et grosse, pourtant, elle me faisait peur, elle se rapprochait de plus en plus de la terre. Mon père disait que dans quelques année, la lune et la terre se percuteraient et elles exploseraient, et nous avec. Je soupirai puis me levais pour marcher un peu.

    Au bout d'un demi kilomètre, je me retournai pour voir si je ne m'étais pas trop éloignée lorsque que j'entendis un froissement de feuille. Prise d'une soudaine panique, je me retournai vivement vers le buisson d'où le bruit provenait.

    -Qui est-là ? Demandai-je

    Soudain, un garçon sortit de derrière le buisson. Il était jeune, blond et avait de magnifique yeux bleu. Il n'avait pas l'air d'avoir peur de moi, il me regardait en fronçant les sourcils d'un air méfiant :

    -Qui es-tu ? Demanda t-il d'une voix grave

    -Je...je m'appelle Elodie !! Je vis pas loin de là, avec mes parents !

    Il s'avança vers moi pour mieux me regarder :

    -Excuse moi, dit-il, je ne voulais pas te faire peur, je m'appelle Jonathan, et je vis seul depuis la mort de mes parents.

    -Oh...ce n'est pas grave...euh, contente de te connaître !

    Il me sourit et je ne sais pas comment décrire ce sentiment, mais d'un seul coup, je me suis sentis bien, vraiment bien même.

    -Tu veux qu'on marche un peu, me proposa t-il, histoire de faire un peu plus connaissance ?

    -J'en serais ravie !

    Nous marchâmes le long du lac durant je ne sais combien de temps, mais ce temps suffit à me faire comprendre que je me sentais bien avec lui, je me sentais protéger et heureuse. Je ne sais pas si c'est    une coïncidence ou le destin qui nous a fait nous rencontrer, mais je sus à partir du moment où nous nous étions vue pour la première fois que je voulais passer le reste de ma vie avec lui.

    -Comment sont mort tes parents ? Lui demandai-je

    -La maladie, ils étaient très malade depuis environ deux jours, puis il sont morts hier matin, alors j'ai décidé de voyager pour trouver un endroit où je pourrais vivre !

    -Je vois...

    Nous nous asseyâmes sur l'herbe. Il me pris la main et nous continuâmes à parler de nous. Mais ce rêve de dura que quelques instants et tourna vite en cauchemar :

    -Je sens comme une odeur de brûlé ! Dit Jonathan, pas toi ?

    Je me relevai vivement, prise d'une soudaine panique. Je me retournai et vis, l'endroit où mes parents et mon frère dormaient, un gigantesque incendie.

    Je lachai la main de Jonathan et partis en courant vers eux.

    -PAPA !! MAMAN !! ANTOINE !! criai-je

    J'allais me précipiter dans le feu pour essayer de les sauver mes une main attrapa mon bras et me tira en arrière.

    -Ne fais pas ça !! dit-il, c'est trop tard, tu ne pourras pas les sauver.

    Je me mis à pleurer, je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps, toutes celles que je n'avais pas versés depuis plus de 8 ans !

    Jonathan me pris dans ses bras, et nous nous éloignâmes du feu.

    Quelques heures plus tard, l'incendie finit par s'éteindre. J'étais toujours dans les bras de Jonathan, là où je me sentais bien. Je pensais à mes parents et à mon petit frère. Tout cela c'était passé si vite.

    -Nous allons tout recommencer, me dit Jonathan, nous allons reconstruire ce monde, et cette fois, tout va changer !!

    Soudain, un cri aigue me fis lever la tête, et je vis, volant gracieusement dans le ciel un oiseau majestueus, royal !! Je souris :

    -Oui, tout va changer...

     

    Sode :

    Lune de sang


    La lune. Une lune merveilleuse, parfaite. Magnifique. J'attends. Je la regarde et j'attends. J'attends le moment fatal où je deviendrais louve. Le moment où je renoncerais à la civilisation, à l'humanité pour devenir un animal libre. Un tressaillement dans mon ventre me tira de mes pensés. Ca commence. Le tressaillement devient écho, de plus en plus brutal. L'onde se répercuta dans mes os et ma tête pour devenir souffrance.
    Le monde était souffrance.
    Des poils d'un blanc pur poussèrent sur la moindre partie de mon corps.
    Le monde était souffrance.
    Mon nez s'allongea et se moula à ma bouche. Ma vision s'obscurcit pour ne former qu'un tableau en noir et blanc.
    Le monde était souffrance.
    Mes os rétrécirent, se formèrent selon ma nouvelle forme.
    Le monde était odeur.
    Le monde était sons.
    Le monde était beauté.
    Un loup hurlait à la lune et un autre le rejoignit dans ce choeur improvisé.
    Entendant ces cris fraternels, je me mis en marche. Mes pattes piétinaient la neige immaculée sans aucun remord, ne laissant que quelques traces que les flocons recouvriraient vite. J'allongea mes foulées pour arriver au rendez-vous avant l'aube. Enfin au sommet de la colline, je distinguais les loups qui m'attendaient. Back, Aaron et Nillem. Ma meute, mon clan et ma vie nocturne à la fois. La nuit j' oubliais la douleur humaine pour devenir moi. Entièrement moi, sans aucun artifice ni aucun remords. Moi. La louve que j'étais aimait cet état. Ils reprirent leurs chant à la lune et mon hurlement se mêlèrent aux leurs. Je hurlais à me fendre les poumons, je chantais à la lune qui me libérait chaque nuit de l'emprise des hommes. Je la remerciais de toute mon âme une dernière fois avant de me retourner et partir dans la forêt. C'était comme ça toutes les nuits. On se transformait chacun de son côté avant de se rejoindre sur la colline du vent où on faisait un hommage à la lune. Ensuite, nous faisions à notre envie. Nous sommes libres après tout. Les loups sont toujours libres.
    Nillem me suivit et je ralentis pour qu'on puissent courir cotes à cotes. J'adorais courir, sentir le vent sur mon museau, voir le chemin défiler devant et derrière moi... tout cela me procurais une exquise sensation. Une odeur me chatouilla les narines. Un homme. Non, plusieurs, armés. Je jeta un coup d'oeil à Nill, museau pointé vers le ciel, il avait sentit lui aussi cette odeur. Loup noir, mon parfait complément par rapport à mon pelage blanc comme neige. Neige. Si les hommes nous chassaient, je pourrais me camoufler mais mon compagnon était une cible facile dans cet univers blanc. Ridicule. Les hommes ne nous prenaient pas en chasse. On était protégés par la loi. Pourtant... Un ordre inaudible étant humaine, étant presque criés à mes oreilles étant louve, me fit changer d'avis:
    "Trouvez-les! Ces monstres ne doivent pas être loin! Je les ai entendu beugler vers la colline du vent! Allons-y!"
    Ho non! Back et Aaron adorent rester devant la lune jusqu'au matin! Un choix s'imposait à moi. Allez les sauver, et risquer de nous tuer tous ou fuir, mon amour et moi, en sécurité, tandis que nos deux amis serons massacrés. Je ferma les paupières, les ouvrit sur Nill. Il me regardait intensément, comme il en avait le secret, et dont j'étais la seule privilégiée. Il disait, allons y, nous le regretterons toute notre vie sinon. Je referma les paupières. Autant tenter le diable, les humains sont impitoyables, je suis bien placée pour le savoir. Je me décida à l'instant. Il fallait les aider, n'étions-nous pas une meute unie? Je m'élança vers la colline. Il fallait les prévenirs, du moins, essayer. Nill me suivis et pris la tête, il était beaucoup plus rapide que moi. "Fonce!" pensais-je. Nous arrivâmes en un éclair, Nillem avec plus de cinq minutes d'avances sur moi. Je le vis en premier, assis. Le poitrail en avant, regardant l'infini. Son pelage noir luisait doucement sur la lumière du soleil levant. Le soleil. Il se levait, pour bientôt nous rendre nos corps originaux. La transformation en homme est beaucoup moins douloureuse que son contraire. Je m'allongea près de lui, attendant le moment où il pourrait me parler et me dire où étaient passés Back et Aaron. Quand l'astre se réveilla entièrement, nous nous transformâmes, en même temps en douceur. Ses poils noirs se rétractèrent, ses bras s'allongèrent, sa tête s'aplatit pour que je puisse voir ses yeux noirs et son visage parfait à l'exception d'une fine cicatrice barrant son sourcil. Il pris l'une des longues mèches rousses qui encadraient mon visage et joua avec. Je n'étais plus la louve blanche mais Luna, une femme de 24 ans. Nous étions tous deux nus mais nous nous en préoccupions pas, nous étions trop unis avec la nature pour penser à ce genre de chose maintenant.
    -Luna, ce que je vais te dire ne va pas te plaire mais tu sais que les fils de la lune ne sont pas du genre à mentir.
    J'attendis la suite qui ne vient qu'un long moment plus tard.
    -Ton père les a tués.
    Mon coeur s'arrêta de battre... Mon père... Lui... Je n'étais guerre étonnée, mon père détestait notre race, ce qui me choquais le plus c'est que Aaron et Bink pouvaient mourir. Ils étaient forts, grands et je ne comptais plus les fois où ils m'ont aidés. Ils avaient le coeur sur la main, ils étaient gentils bon. Le culte qu'ils rendaient à la lune était sincère et je les aimaient. Je parle d'eux comme une seule personne, et c'est vrai, ils sont presque inséparable. Quand on parle d'un on parle... parlait de l'autre. C'est trop triste qu'ils puissent partir...
    Comme si il avait lu dans mes pensées, Nillem reprit:
    -Ils sont morts ensembles, c'est ce qu'ils voulaient. Je n'avais jamais vu une amitié aussi profonde et sincère. Ils me manquent moi aussi. Tu sais, aujourd'hui, j'ai appris quelque chose. La vie est courte est dangereuse, surtout pour nous. Les hommes nous détestent à cause de notre différence, ou peut être qu'ils haïssent notre coté animal. Quoi qu'il en soit, il nous oppriment, quand ils savent de quoi ils parlent, ils nous ont fait une démonstration ce soir. Mais... Je ne voulais pas te faire pleurer, mon amour.
    -Je ne pleu... Il cueillit une larme qui roulait sur ma joue et l'embrassa.
    -Je pleure parce que c'est la vérité... Je t'aime. Il faut le dire avant qu'il soit trop tard, je t'aime, je t'aime je t'aime...
    -Moi aussi, je t'aime.
    Nous nous embrassions comme jamais nous ne l'avions fait. Passionnément, avec fougue. Nous avions oublié la tendresse, nos dents s'entrechoquaient, mais on s'en fichait. Notre passion avait quelque chose d'animal, de sauvage. L'instant présent était tout. Il se rapprocha encore plus et je fis de même, dans la mesure du possible. Nous étions tellement collés, l'un à l'autre que je sentais le moindre muscle, le moindre mouvement qui faisait pour m'embrasser. Peau contre peau, lèvres contre lèvres. Dans cette nuit où se mêlait la crainte et le désespoir, nous avons formé une bulle où la seule loi était celle de l'amour. Cette nuit là, où mon seul et véritable amour était en moi, je compris que la haine qui nous entourait ne nous laissera pas indemnes.

    9 mois plus tard

    Je tenais mon bébé dans mes bras. Notre bébé, à Nill et à moi. Qu'elle était belle! Ses grands yeux bleus me regardaient avec grande curiosité pendant que la petite bouche s'activait à téter. Elle s'appelait Nelly. En souvenir de son père, c'était le prénom féminin le plus proche que j'ai trouvé. Après que mon propre père l'ai tué, il y a 4 mois, je m'étais jurée de lui parler de lui chaque jour. Je voulais qu'elle se souvienne de lui même si elle ne l'avais jamais connue. Je lui parlerais de ses mots doux comme le miel et tellement sincères, de ses yeux noirs qui riaient en permanence, ses cheveux corbeaux, où il passait la main pour ne pas avoir l'air trop guindé, de son rire, enjoué... Je voulais qu'elle le connaisse aussi bien que moi. Elle sera comme nous, c'est certain. Je lui apprendrais à se méfier des hommes, bien sûr. Mais pas maintenant, elle a le droit de vivre son enfance normalement, même si elle est tout sauf normale, c'est une fille de la lune.

    FIN 

     

     

     

    Un Nouveau concours ! :D

    Cette fois ci, le thème est Noël ! ^^ Evidemment, vu que l'on s'en approche ! :)

    Et il sera différent que le dernier, pour un peu plus d'autonomie et d'imagination ! ^^

    Donc il n'y a pas de limite de pages (Même si j'aimerai pas trop que la description du club soie surchagée :p Et vous pouvez écrire ce que vous voulez ! En gros, il doit y avoir un lien avec cette fête que nous attendons toutes, il faudra une petite image pour accompagner, une histoire qui est en lien avec votre texte bien sur, et c'est tout ! x)

    Vous avez le temps, jusqu'au 18 décembre pour rendre une histoire (par mail : noisette.1@hotmail.fr )

    Si vous avez d'autres questions, il faudra me les poser par com' !

    De Akai !  (2 Votes !)

     Noël. La pire fête de ma vie. Comment les gens peuvent l'aimer? Cette "fête" a causée la mort de mes parents! Parce que, c'est bien connu, quand les gens sont sont saouls, ils ont le droit de tous faire! N'est-ce pas? Ces deux bourrés n'ont même pas été jugés pour le meurtre de mes parents!

     Un an. Cela va faire un an depuis leur mort. Dans 2 jours. J'ai décidé de ne plus fêter Noël maintenant. Plus de décorations, plus de cadeaux, plus rien. Ma maison sera vide, tout comme mon coeur. Quant à mon esprit, il errera, dans les nuages, qui se seront plus jamais de ce blanc immaculé que ma mère aimait tant. 

     
    J -2

     
     Une rue bondée, pleine de lumières et de paillettes. Les gens rient, dansent, chantent à tue-tête les chants de base. 
    "Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver!"
     Quelle bêtise. S'il aiment tant le vent, qu'ils aillent au bord de la mer, on les entendra plus! Je vais rentrer. Je n'en peux plus. Je... Oups! Que-
     "Pardon. Je ne vous ai pas fait mal au moins?
    - Non c'est bon. Merci de vous en inquiéter. Vous faites vos achats de Noël?
    - En fait, oui et non. Je n'ai pas vraiment de personne avec qui le souhaiter.
    - On est dans le même cas alors. Je ne veux pas vraiment le souhaiter non plus, pour tous vous dire."
     Nous avons continuer à parler comme ça pendant une petite heure, dans le froid de l'hiver. Thomas. Il s'appelle Thomas. Il a le même âge que moi, il a aussi perdu ses parents, mais il fête Noël quand même. Il est... courageux. Je ne pense pas pouvoir. Je ne pourrais pas faire comme lui.

     
    J -1

     
     Je veux le revoir. Il est le seul avec qui je peux parler sans honte de mon problème avec Noël. Je vais l'appeler. On s'est échangé nos numéros hier. Je ... veux l'appeler. Je ne peux pas. J'ai peur. Pas de lui, mais de... moi, en quelque sorte. J'ai peur de ce que je vais dire. Je ne veux pas qu'il me déteste. Ce sentiment... Je voulais l'enterrer à jamais avec les dépouilles de mes parents, mais le voilà de retour. L'Amour... Sentiment frénétique qui mène au bonheur suprême ou à l'auto-destruction de son âme, de son être.
     Je ne lui parlerai pas. Mon esprit ne le supporterait pas. J'attendrai, patiemment, que ce sentiment disparaisse. Je ne veux plus souffrir, pour n'importe quelle raison. Désolée, Thomas... Je ne peux pas.

     
    Jour J

     
     Et voilà. Joyeux... Non ! C'est Noël... seule. Tiens? Mon portable... C'est Thomas!
    "Joyeux Noël,Princesse!
    - Joyeux Noël...
    - Houlà, ça va pas! Je t'appelle au bon moment, on dirait!
    - Qu'est-ce que tu veux?
    -Viens au 30, rue de la boutonnière, c'est chez moi, et tu verras!
    - D'accord, j'arrive."
    Allons-y! Je prend des habits classes, quand même, et c'est parti. 30, rue de la boutonnière, c'est ... ici. C'est gigantesque! 
    TOC, TOC, TOC...
    " Oui, j'arrive!
    -Bonjour, Thomas..."
    Je sens la chaleur me monter aux joues. Je l'aime... C'est sûr et certain maintenant.
    " Je ... Thomas, je...
    - Chut..."
    Que- Une chaleur intense envahit mon corps tout-à-coup... Thomas... répond à mes sentiments...  Merci.

     

     
    Père, Mère, je sais que c'est grâce à vous. Je le savais, mais... il a fallu que Thomas vienne dans ma vie pour que je le remarque. Ce que vous voulez, c'est que je sois heureuse. Ne vous inquiétez plus, je le suis. 
    Reposez en paix.
     
    De : Vaniila (2 Votes !)
         LE VAMPIRE DE NOËL       Je marchais dans Central Park, que la neige avait entièrement enseveli. J'entendais les enfants rire joyeusement à l'idée d'ouvrir leurs cadeaux demain matin. J'entendais aussi les chorales d'enfants et d'adultes sonner de porte en porte pour chanter leurs chants de noël à qui veuille bien les entendre. J'entendais les enfants jouer dans la neige. Ils étaient tous heureux en cette veille de noël. Mais moi,    je n'avais qu'une seule idée en tête, m'abreuver. Ma gorge me brulait, cela faisait trois jour que je n'avais pas bu, trois jour que je n'avais pas bu de sang. Je marchai à la recherche de la proie parfaite: faible, jeune, et seule. Soudain, je l'entendis. Ses petits pas tambourinaient le sol. Son rire se mêlait aux chants de noël. Un râle sourd s'échappa de mes lèvres. L'incendie qui me brûlait la gorge redoubla d'intensité. Je me mis à courir vers lui, le sang. Je courais à vive allure dans la neige, mais sans aucun bruit. Je me rapprochai de plus en plus de ma proie. Je n'étais pas fatiguée et le pire, c'est que je n'avais pas froid. J'avais beau être dans une tenue légère, je ne ressentais en aucun cas le froid hivernal de ce mois de décembre. Plus je me rapprochai de ce sang et plus l'incendie de ma gorge augmentait. J'avais soif, soif de ce sang si chaud et si pure, soif de ce sang léger mais à la fois intense. Soudain, je la vis. Je ralentis puis m'arrêtai à seulement deux mètres d'elle. Lorsqu'elle m'aperçut, elle me fixa avec ses petits yeux bleus et me pointa du doigt : -Noël ! s'exclama t-elle Je passai ma langue sur mes lèvres. J'allais lui sauter dessus pour boire son sang jeune et chaud mais quelque chose m'en empêcha. J'avais soif, mon corps voulait ce sang, mais au fond de moi, je ne pouvais pas. Cette petite fille... elle devait avoir trois ans. Elle avait de fin cheveux blonds attachés en couette qui allaient magnifiquement bien avec ses yeux bleus océan. Sa peau était pâle mais ses joues avaient une bonne couleur rosâtre. Elle portait une doudoune rose avec des moufles  de la même couleur qui lui allaient à ravir, et elle avait des boots rose qui lui tenaient bien chaud aux pieds. Voyant que je l'observais avec attention, elle me sourit. Elle m'a sourit... Soudain, les souvenirs les plus sombres que j'avais vécu remontèrent à la surface : J'avais trois ans, c'était le soir de la veille de noël. J'étais tellement exitée  à l'idée d'ouvrir mes cadeaux le lendemain que mes parents avaient décidé de m'emmener me promener au parc. Central Park était si beau sous la neige ! On ne distinguait plus l'herbe de la route. L'eau de la rivière qui traversait le parc était complètement gelée et les arbres dépouillés de leurs feuilles étaient recouvert d'un fin voile de neige. Mes parents s'étaient assis sur un banc et m'avaient ordonné de ne pas trop m'éloigner. Je jouais que j'étais un ours blanc sur la banquise qui cherchait de quoi se nourrir. Mais soudain, je sentis qu'on m'observait. Je me retournai et vis une personne qui me fixait. Je lui fis coucou de la main mais il restait de marbre, à me fixer de ses yeux cruels et sadiques. J'appelai mais parents mais je ne les vis nuls part. Alors, la personne, une jeune fille au cheveux noirs cendres s'avança vers moi. Je me mis à pleurer. Elle me prit dans ses bras et déposa ses lèvres sur mon cou. Et à partir de ce moment là, je devins le monstre que je suis, un maudit buveur de sang, un vampire ! Je soupirai puis regardai le ciel noir de la nuit, il commençait à neiger. Je regardai à nouveau la fille et lui souris. -Mélanie ! Cria une voix de femme Avec une vitesse surprenante, je me faufilai derrière un arbre et continuais d'observer la scène : -Mélanie ma chérie, dit la femme, je t'avais dit de ne pas t'éloigner ! L'enfant se retourna pour voir si j'étais encore là et fit la moue lorsqu'elle vit que j'avais disparu. -Allez viens Mélanie, on rentre, pressa sa mère. Elle la prit dans ses bras et ils partirent. Je souris : -Joyeux noël... murmurai-je    
     
     Alors les filles ! Encore un nouveau concours ! ^^
    Le thème : La musique et/ou le printemps.
    C'est plutôt joyeux, il va faire un peu plus beau le 21 Mars ! Profitons-en ! :)
    Donc écrivez une histoire sur le thème choisi.
    Il n'y a pas de limite de pages non plus . Vous avez le temps, jusqu'au mois d'avril, je ne sais pas trop quand,  pour rendre une histoire (par mail : noisette.1@hotmail.fr )

    BONNE CHANCE !

     

     

    ~ By Lovebestfriend ~

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