SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    elsanchan
    Activité :
    0 connectée(s)
    20 membres
    109 messages postés
    Date de création :
    le 12/05/2012 à 21:12

    Présentation
    Modifié le 15/07/2012

                                               si toi aussi tu adore les kimono ,alors ce club et pour toi !!!!!


    qu'elle que images ^_^ : 

     

    JOMON/YAMATO (3e – 6e siècle)

    Dans le Gishi wajinden, une chronique chinoise se rapportant au japon, il est dit que les Nippons de l’Antiquité «  se drapaient dans des rectangles de tissu qu’ils nouaient simplement sur le devant ou dans des robes qui ressemblaient à de longs poncho »

    Pendant la période Jomon, avant le 3ème siècle, les vêtements étaient en chanvre, ample et attachés de manière lâche. Il n’y avait alors aucune différence entre les vétêments masculins et féminins.
    À partir du 4e siècle, le Japon étant alors sous influence chinoise, la période du Yamato se caractérisa par un nouveau code vestimentaire, inspiré des costumes chinois mais aussi ceux venus des royaumes de Corée. Les deux sexes portent des vestes aux longues manches étroites. Les hommes poraient avec unhakama (sorte de pantalon large) resserré en dessous du genou. Et les femmes quant à elle portait une longue jupe plissée du nom de mo. On pense qu’il existait également des variantes dues aux rangs sociaux. A cette époque les vers à soie sont introduits au Japon par les colons chinois. N’ayant pas de teintures adapté, la soie reste alors blanche.

    ASUKA/NARA ( 552-710 et 710-794)

    De 552 à 794 environs, les ères Asuka et Nara prouvent l’influence toujours persistantes de la culture chinoise. La noblesse Japonaise adopte alors de longues robes de cour qui ressemblent de plus en plus au kimono, ce qui nous fait penser qu’elles sont leur ancêtre direct. Le statut social est définitivement démontré par les couleurs de l’habillement : le violet, le bleu, le rouge, le jaune, le noir et le blanc. Les vêtements sont divisé en trois groupes : les habits formels, de cour, et les uniformes.

    En 701 est inauguré un bureau impérial des Teintures. Il était spécifié dans la loi que les deux pans du vêtement devaient se croiser sur le devant avec le côté gauche par dessus le côté droite, selon une coutume d’origine chinoise. Les codes vestimentaires étaient alors très stricts. La mode masculine et la mode féminine commencent à diverger pendant l’aire Nara.

    HEIAN (714-1192)

    L’ère Heian marqua un tournant dans la culture japonaise, en effet, les relations avec la Chine s’interrompirent, laissant place au jaillissement d’un style proprement japonais. La cour devient un lieu de plaisirs : littérature, poésie, peinture, mais aussi du plaisirs. Le palais se remplit de courtisans et de courtisanes qui se doivent de montrer leurs goûts et leur sens de l’esthétisme, les tenues s’accordant à la saison ou l’âge, leurs réputations étaient en jeu. Dès le milieu de cette période les vêtements masculins et féminins se caractérisent par des manches largement ouvertes, les longues robes des femmes avaient des traînes, elles dissimulaient entièrement leurs corps et plusieurs épaisseurs se superposaient. Ces superpositions faisaient ressortir la minceur du visage, ainsi que la fragilité du corps ainsi caché aux regards. Les robes étaient faites de tissus de soie damassée aux motifs conventionnels.

    Les vêtements masculins sont toujours très inspirés des costumes chinois, bien qu’ayant été modifié légèrement pour plus d’aisance de mouvement. Des tenues moins prestigieuses comme le kariginu ou le nôshi étaient portées lors des activités quotidiennes.
    Pour confectionner ces costumes riches et ces longues robes à traînes, il fallait trois à quatre fois plus de tissus qu’avant. L’opulence était accentué par les extrêmement longues manches et les culottes bouffantes que les hommes portaient sous leurs robes

    Les techniques de teintures devinrent de plus en plus performantes, et les robes teintes remplacèrent les robes tissées. On peut à présent parler de réelle existence du kimono dans sa forme presque actuelle. Contrairement à la cour, les gens du peuple continuent à s’habiller de manière plus simple et de tradition purement japonaise.

    KAMAKURA (1185-1333)

    Un gouvernement militaire et autoritaire délaissa les décadences de la cour. Les vêtements se simplifièrent, la superpositions des robes et l’ampleurs des manches et des pantalons furent abandonnés pour des tenues plus sobres. Les hommes s’inspirèrent des tenues de chasse de l’ère Heian dont le haut des manches n’étaient pas cousu. Les militaires portaient des tenues très traditionnelles de la période Heian. Les costumes masculin changent énormément, ils portent un hitatare c’est-à-dire une sorte de veste de kimono, rentré à l’intérieur d’un hakama.

    Cependant, lors d’événements particulièrement importants, le port des robes à manches larges (hirosode) et à col rond, vestiges de la période de Heian, restait en vigueur.

    Les femmes de haut rang portaient quant à elles de simple robes blanche en soie avec un hakama rouge. Leurs obis ne sont alors que de simples ceintures étroites ou des cordelettes. Pour les cérémonies officiels elles portent parfois un manteau plus richement orné par dessus leur robes.
    Le kosode, cette robe blanche, qui a la forme du kimono, devient alors le vêtement populaire par excellence, le peuple le porte comme sous-vêtement ou comme vêtement d’intérieur. Sa forme s’adapte bien sûr aux saisons.

    MUROMACHI (1392-1573)

    Sous les shôgun Ashikaga, l’habillement masculin est devenue plus simple, ils continuaient à porter ces hitatare, mais la soie était remplacée par du lin ou du drap, moins onéreux.

    Les femmes de haut rang abandonnèrent le hakama et commencèrent à porter un kimono plus long qui se para de couleurs vives et de brocarts. La ceinture duhakama permettant jusque-là de maintenir le kosode en place, il fallut y trouver un substitut. Le obi rempli ce rôle à la perfection. Il n’était encore qu’une étroite ceinture de quelques centimètres de large. C’est ainsi que la mode féminine s’élabora ainsi peu à peu.

    Le kosode devint un vêtement d’extérieur à part entière et son aspect évolua considérablement. On lui appliqua les techniques de teintures des vêtements d’apparat de la cour. La forme originale du kosode actuel, porté comme vêtement d’usage courant ou exceptionnel apparut donc à ce moment.
    À l’époque de Muromachi, les guerres continuelles mirent l’industrie et les productions familiales en déclin. Les plus belles étoffes furent alors importées de Chine. Les impressions à la feuille d’or et les tissages de fils d’or apparurent à ce mloment, dans le but d’imiter l’art chinois. La broderie vint compléter le savoir faire japonais.

     

    MOMOYAMA (1582-1603)

    Cette période est considérée comme une des plus brillantes et une des plus productives du Japon. Le quartier des tisserands de Nishijin à Kyôto constituait le centre de la production textile. Le style évolua, on choisit un style libre, assymétrique pour caractériser les décors nippon. Le commerce avec la Chine reprend, apportant la soie de satin damassée, tissée de motifs grecs et des fleurs stylisées.
    On commença aussi à utiliser des procédés de teinture continentaux qui permirent la création des somptueux kosode de l’époque Azuchi-Momoyama : couleurs vives, tissus précieux brocardés et broderie caractéristiques.

     

    EDO (1603-1867)

    Le kimono de la période d’Edo représente l’apogée de l’histoire du costume japonais et des textiles associés.
    Dans la vie ordinaire, hommes et femmes portaient le kosode et le hakama. Pourtant, même les habits de tous les jours devinrent graduellement plus coquets avec l’apparition de matériaux teints et de motifs raffinés qui sont encore reproduits sur les kimonos contemporains.

    Les kosode non doublés en coton, lin ou ramie tissés à l’aide de fils torsadés à la main et décorés de motifs teints à l’indigo ou de broderies, étaient portés en été par les élégantes aristocrates.
    À l’opposé de la soie coûteuse et raffinée utilisée par les classes de l’élite, des matières solides et plus grossières issues de fibres végétales (lin, ramie, mûrier, coton, glycine) furent aussi à la base des vêtements du peuple.

    n'est ce pas magnifique ?Rigolant

    /!\ DIVERS - Fille de manga en kimono

    DEUXIEME MOITIE DE LA PÉRIODE D’EDO 

     De 1750 à 1850, le kimono se simplifia suite au contexte économique et à la promulgation des lois somptuaires. À la fin du 18e siècle, les kimonos éblouissants furent délaissés. Les brocarts d’or, les broderies, certains procédés de teinture etc. furent interdits. Il en résulta un grand changement dans la mode et les techniques d’ornementation.

    Les motifs et peintures inspirés de la nature et de la littérature laissa place à des décors géométriques. Une mode apparut, consistant à laisser apparaître des sous-kimonos plus clairs, sur le devant et par l’ouverture des manches, donnant alors une image plus sensuelles à la femme.
    On laissa apparaître des sous-kimonos plus clairs par l’ouverture des manches et sur le devant, traduisant ainsi une certaine image érotique de la femme.

    /!\ DIVERS - Fille de manga en kimono

                                                                     !!!!!concours !!!!!

     1er prix : si vous me ramener 8 membres vous gagnerez un cadeau d'une valeur de 100 a 120 sf 

    2eme prix : si vous me ramenez 4ou3 membres vous gagnerez un cadeau d'une valeur de 50 a 60 sf

     

    3eme prix si vous me ramenez 2 ou 3 membres vous gagnerez 5 votes et voir plus 

    Discussions