Informations
- Présidente :
- Eliath
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- 5 messages postés
- Date de création :
- le 07/05/2012 à 18:08
Présentation
Salut.
Je sais que tu ne lira peut-être pas ça avant ta rentrée. Tout façon, je t'ai pas vu de la journée. Enfin "vu", c'est un bien grand mot.
En fait, je crois que tu m'obsèdes.
Ou du moins, tu hantes toutes mes nuits et mes pensées, et sérieusement, c'est flippant.
Et j'emmerde ceux qui peuvent lire ça.
Et je t'aime.
Beaucoup.
Un peu trop même.
Et tu es loin.
Beaucoup trop loin.
Je veux dire, à la seconde où le train a démarré, j'étais juste... Seule.
Mais vraiment seule.
Pas comme quand je suis seule en cours, ou dans ma chambre.
Seule et vide.
J'avais l'impression de sortir d'un rêve,d 'une transe qui paraissait bien trop réelle.
Et merde.
Merde, parce que j'ai passé le meilleur moment de ma courte vie médiocre avec toi.
Avec toi, contre toi, dans tes bras.
Dans de l'eau, sous les regards, à moitié nue. -faut dire ce qui est-
Je ne sais pas ce que tu vas penser.
Peut-être vas-tu te dire que je suis une vraie détraquée.
Que ça en valait pas le coup.
Que ça c'est pas passé comme ça.
Que c'était rien.
Mais actuellement, j'ai ce souvenir, ce goût en bouche, et je peux le modifier dans mon esprit pour qu'il soit parfait.
Bien que ça ne servirait à rien.
Après tout, il est déjà parfait.
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Tu vas bientôt rentrer. Tes parents vont te serrer dans leurs bras, te dire que tu leur as manqué, ou ils ne vont rien faire de tout ça. Tu marchera en terrain connu, jusqu'à la voiture, jusqu'à chez toi, jusqu'à ta chambre, jusqu'à ton grenier. Peut-être que tu pleurera cette nuit ? Moi j'ai pleuré. J'ai pleuré en voyant le cintre où était accroché ta veste en jean. J'ai pleuré en voyant ma couette qui portait encore la trace de nos deux corps. J'ai pleuré en voyant le piano. J'ai pleuré en regardant là où tu étais assise dans la voiture. Et j'ai pleuré là où étaient entrelacé nos doigts. J'ai profité. J'ai profité trop tard. Je n'ai pas assez profité. Et je m'en veux. Je m'en veux de ne pas t'avoir dit que je t'aimais. Je m'en veux, de ne pas t'avoir appellé "Jolie blonde". Je m'en veux, de ne pas t'avoir ordonné de rester en vie. Je m'en veux, de ne pas pouvoir voir ton sourire mi-amusé mi-gêné quand je me lèche les lèvres.
Au fait, ne laisse personne te dire que tu embrasses mal.
(et je m'en veux aussi -je viens de m'en rendre compte- de t'avoir fait louper ton mois)
« Oh oui, je me souviens de cette fille. Une étrange demoiselle. Tantôt charmeuse, tantôt mystérieuse, tantôt amoureuse. Et ses yeux… De si jolis yeux. Ils n’étaient pas d’un bleu électrique, pas d’un gris pluvieux, pas d’un brun terreux. Ils étaient tout à la fois. Vert feuille. Orange flamboyant. Noir ténébreux. Indigo abyssal. Elle riait. Si peu. Jamais. Comme si cette seule pensée était classée aberration. Comme si c’était bannissable. Elle regardait la lumière vacillée, soufflant de temps à autre sur la flamme de la bougie. Un léger souffle. Jamais violent. Jamais brutal. Toujours doux et mesuré. Juste assez pour la faire danser, mais trop peu pour l’éteindre. Stoïque, immobile, attachée à ce lieu, à cette place, à cette chandelle, elle ne bougeait pas. Ne se levait pas. Ne parlait pas. Elle n’en avait pas besoin. Elle n’en a jamais eu besoin. »
Elle était si belle. Des traits fins, un regard envoutant, un sourire maladroit.
Si élégante. Marchant légèrement comme si le sol allait se dérober sous elle.
C'était peut-être sa plus grande peur.
Perdre pied.
Elle est belle la fille derrière son écran. Aspirant à une vie meilleure, à un corps moins honteux. Elle aimerait avoir le courage, la sensation d'ivresse qui nous prend lorsque l'on tente l'improbable. Juste une once de provocation en plus. De supériorité, peut-être. Pouvoir exprimer un jour les recoins les plus sombres de ses pensées. Avoué ses préférences aux autres ? Impossible. Bloquée par sa seule volonté, elle est recluse au loin, sur une plage où seules les vagues déferlantes et violentes l'accompagnent dans sa folie. Une folie si tentatrice, si tortionnaire. Elle est... Toxique. Telle une fleur aux pétales traversés par un poison invisible. Son regard pourrait vous ensorceler d'un seul clignement, telle la plus puissante des gorgones. Un si somptueux brin de fille.. Si majestueux, qu'il en est dangereux.
Elle virevoltait, si élégante dans sa robe vaporeuse,
Elle faisait naître en nous l'envie,
L'envie de la rejoindre, sous la pluie battante,
Elle nous communiquait sa folie, nous invitant à danser avec elle.
Ces instants à eux-seuls nous redonnait espoir.
Zoclette a mon mot de passe et j'ai le sien. hihihi
Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l’horizon embrassant tout le cercle
Il nous fait un jour noir plus triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l’Espérance, comme une chauve-souris,
S’en va battant les murs de son aile timide,
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D’une vaste prison imite les barreaux,
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
Des cloches tout-à-coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrément.
— Et d’anciens corbillards, sans tambours ni musique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.
Souviens-toi que je t'aime.
C'est tout. C'est court, mais ça suffit amplement à décrire ma pensée.
Je compte. Encore et encore. Tous les jours. Je les compte tous. Au réveil, j'attends patiemment le coucher. A la fin de la semaine, j'attends la fin de la suivante. Et j'attendrais, jusqu'au vacance.
Je te possederais.
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J'aime quand tu es jalouse. J'aime te voir bouder. J'aime te voir rire quand je prends une voix débile. J'aime ton sourire quand je te raconte mes vieilles histoires d'amour d'enfant. J'aime ta façon de raconter le passé, de rêver, de penser. J'aime te regarder. Te regarder pensive, une main sur le menton. Et je t'assure que tu le fais souvent. Je t'aime tout simplement. J'aime l'enveloppe corporelle qui abrite ton âme merveilleuse. Et j'aime ton âme. Ta façon d'être. J'aime aussi, ton air triste. Tout comme ton air de lapin dépravé fier de dire qu'il aime les sushis. Peut-être me regardes-tu à l'instant où j'écris ces mots. Mais je ne crois pas, car sinon tu répèterais inlassablement "Tu écris à quiiiii ?", mais si tu me regardes, tu saurais que je ne rigole pas, que je ne pleure pas, que je souris, mélancoliquement, sérieusement, tristement. Triste, car tu es si proche, et si loin. Pourquoi ne puis-je pas sortir, courir en bas de ma rue et toquer à ta fenêtre ? Pourquoi ne puis-je voir ta silhouette se formé dans l'ombre chaque matin pour aller à l'école ? Pourquoi, je ne sais pas. Mais tu comptes. Beaucoup. Tellement. Et sentir tes mains dans les miennes me manquent, dès l'instant où elles se sont quittés. J'ai fermés les yeux. Et j'ai sentis. J'ai sentis mes yeux se remplirent de larmes.
Douce princesse,
Je te ferais maintes promesses,
Pour revoir encore une fois ton sourire,
Et entendre ton merveilleux rire...
Fût-elle inspirante, cette merveilleuse mélodie... Je pourrais tout écrire, tout.Ce serait, une avalanche de mot et de son. Une avalanche douce et mélodieuse, qui te serait destiné. Pourrais-je bientôt sentir le poids de ton corps sur mes bras, je l'espère, oh je l'espère tellement. J'aimerais pouvoir te porter, te faire tourner, encore et encore, comme si c'était la première fois. Comme si le premier instant n'avait jamais cessé. Et je pourrais te le dire, geste après geste. Je pourrais te dire que je t'aime. Je t'aime comme ce serait inacceptable... Mais je m'en fiche. S'il y a un moment, où tout mes masques de fer peuvent tomber, ce serait face à toi. Ils tomberaient, un à un, laissant un visage marqué de trace rouge, et ruisselant de larmes. Ma belle colombe...
Je me demande ce que je pourrais encore dire. C'est tellement... Tellement adorable quand tu râles contre toi même, que tu maudis ton corps jusqu'au plus profond de ton âme. Je ne devrais pas dire ça, mais c'est la vérité. Je trouve ça fabuleux quand tu me décris comme une personnes merveilleuse, et que toi, tu te rabaisses en continue. Devrais-je faire à nouveau la liste de ce que j'aime chez toi ? J'en doute. Mais sache que tu n'as pas besoin de te plaire à toi pour que je t'aime. Cet air triste et perdu, ô combien te rend-il magnifique. Quand je te vois, ce n'est ni une petite fille blonde, ni une affreuse inconnue que j'ai face à moi, simplement une splendide jeune femme qui mériterait de voler chaque jour. En attendant, je regarderais chaque soir les étoiles en me disant, que quelque part tu es là, les yeux perdu sur le même ciel que moi.
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Ma petite Blondinnette, depuis que je t'ai rencontré je nage en plein bonheur. Ta gentillesse, ta beauté, tout me rends heureuse. Tu es comme un ange venu de nullepart ♥ Mais tu n'es pas n'importe quel ange, tu es mon ange. Tu es la branche à laquelle je m'accroche quand je tombe, tu es la bouée qui vient me sauver quand je coule, tu es la colombe qui vient m'apporter les nouvelles...
Tout ça pour te dire ma Eliath chérie, que je t'aime, je t'aime de tout ce qu'on peut aimer. Tu es tout à la fois, une amie, un ange, une déesse, un amour. Tu es tout ce que j'ai, tu fais parti de moi ♥ I love you ♥ Ich liebe dich ♥ Te amo ♥ Te quiero ♥ Je t'aime ♥
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