T e x t e s .

Les "je t'adore" et les "je t'aime" sont superficiels, ils ne valent rien du tout. Ce qui compte, c'est le temps, c'est les souvenirs. C'est toutes les emmerdes, tous les sourires; toutes les engueulades, tous les rires. Tous les moments à ne rien faire, toutes les soirées, toutes les larmes, toutes les conneries, tous les jeux, toutes les blagues pourries, toutes les vacheries, toutes les réussites, tous les succès, toutes les chutes, tous les échecs, tous les gribouillages, toutes les photos, toutes les musiques, tous les films, tous les mauvais choix, toutes les rencontres, tous les délires, tout le temps perdu et tout le temps gagné, toutes les étreintes, toutes les entraides, tous les moments ou l'on s'est perdu, et tous ceux où on s'est retrouvé. Tout ce bric à brac, c'est ça qui compte. Garder toutes ces images, toutes ces odeurs, dans une petite boîte à souvenir qui s'appelle la mémoire. Les garder bien précieusement, et tout fermer à clé. Car c'est tout ce qui tient de debout, pour toujours.

Parfois il faut être capable de s'éloigner, de prendre du recul, de partir longtemps, pour comprendre certaines choses. Il suffit parfois d'une distance et du temps pour enfin voir clair et réaliser qui sera toujours là pour toi et sur qui tu ne peux pas compter. Qui est important et qui ne l'est pas. Te rendre compte qui sont les gens qui resteront dans ta vie malgré tout, et ceux pour qui tu n'es qu'une option..

Toutes les filles devraient refuser les règles du jeu stupide qu'on nous impose et qu'on s'impose à nous même. Il ne faut pas être trop grosse, ni trop maigre. Il ne fait pas avoir la peau trop claire, ni trop foncée, il ne faut pas être trop délurée, ni trop coincée, pas être trop intelligente, ni trop bête. Il faut être soi-même mais tu as intérêt à être dans la norme.

Je pense que tout le monde se ressemble. On veut tous une vie qui ait un certain but. Et un jour tu te retournes, et tu te rends compte que tu as trouvé ce qui rend ta vie spéciale. Tu as des amis qui te font sourire. Des amis qui t'aiment et qui peuvent te faire oublier tes souffrances par leur simple présence. Parce que l'amitié est peut-être encore le seul sentiment pur qui puisse exister.

Quand tu commences à parler de lui, de vous deux et de l'époque où vous étiez ensemble, je le vois bien dans tes yeux que pour toi ce n'est pas fini. Tu es toujours là pour le défendre contre ceux qui en disent du mal, même si au fond, tu sais qu'ils ont raison. Quand tu racontes vos souvenirs, ton petit sourire et ton regard vague trahissent tes sentiments: il te manque. Tu ne prends même plus la peine de le cacher, il te manque beaucoup. Je ne sais pas si tu es encore amoureuse, mais tu ne pourras pas me cacher que tu l'aimes encore.

Avant de juger une personne, de juger sa vie, son comportement et son caractère; revenez en arrière, mettez vous sur sa route, parcourez sont chemin, vivez ses erreurs, ses regrets, ses doutes, ses faux sourire, ses moments difficiles, ses faiblesses et ses blessures. Essayez de la comprendre, de traduire ces nombreux silences. Reparcourez sa vie, son passé, trébuchez la ou elle a trébuché, relevez vous fort comme elle l'a fais. Et seulement après sa vous pourrez la juger.

Parfois je me demande ce que je serais si ils ne s'étaient pas trouvés sur mon chemin. Serais-je la même si je n'avais pas rencontré tous ces visages, si je n'avais pas reçu tous ses sourires, si je n'avais pas entendu toutes ces voix, si je n'avais pas croisé tous ces yeux ? Il y a ces gens qui débarquent, qu'on aime, puis qui finissent par partir. Il y a ceux qui sont là depuis toujours, et sans doute (on le sait au fond de nous) pour toujours. Il y a ceux qui se ramènent et emménagent pour un temps très long, pour notre plus grand bonheur. Il y a ceux à qui on s'attache mais qui finalement nous font trop de mal, mais qu'on ne veut pourtant pas laisser partir. Il y a ceux qui ont été là pour nous, qu'on a perdu, qui ne sont plus essentiels mais qu'on oublie pas pour autant. Et puis un jour, on rencontre les essentiels, ceux qui nous donnent des crampes au ventre, parce que l'idée de s'éloigner d'eux un jour fait beaucoup trop mal..

Pomme = vitamines ; Vitamines = force : Force = travail ; Travail = argent ; Argent = femme ; Femme = stress ; Stress = cancer ; Cancer = mort... Une pomme ?

J'aimerais que ma vie entière soit filmée pour pouvoir revoir les meilleurs moments que j'ai vécu. Pour pouvoir ressentir la même chose que j'ai ressenti à ces moments précis. Je sais que c'est impossible, c'est pourquoi j'essaie de me souvenir le plus possible de chaque détail qui a rendu ces moments si uniques. Je me dis que si je m'en souviens, alors je pourrai les revivre quand je le veux, seulement en fermant les yeux et en imaginant. Mais, je sens que je perds quelques détails un peu chaque jour et ça me fais peur. J'ai peur d'oublier tout ces moments. J'ai seulement peur de t'oublier peu à peu..

Etre fort, c'est rayonner de bonheur quand on est malheureux. Etre fort, c'est essayer de pardonner à quelqu'un qui ne mérite pas le pardon. Etre fort c'est montrer de la joie quand on ne le ressent pas. Etre fort, c'est rester calme en plein desespoir. Etre fort, c'est être joyeux lorsqu'on ne l'est pas. Etre fort, c'est sourire quand on a envie de pleurer. Etre fort, c'est consoler quand on besoin dêtre consolé soi-même. Etre fort, c'est croire en ceux qui ne croient pas. Donc, même avec la dure réalité et la difficulté de la vie telles qu'elles peuvent nous sembler, il faut aimer et être fort.

Tu dois me promettre que rien ne changera jamais entre nous. Même après dix ans et milles kilomètres de distance, je veux qu'on se retrouve exactement comme on est maintenant. Qu'on puisse toujours se comprendre par un regard, tout interpréter par un sourire. J'ai besoin de cette certitude, même si je sais que c'est impossible. Je sais que le temps va de nouveau nous arnaquer et nous transformer, mais je veux croire qu'on on aura raison de lui. Qu'on est différents.

Je m'en vais. Oh, pas de quoi s'inquiéter. Je reviendrais, c'est promis. C'est pas le fait de vouloir rester là bas qui m'inquiète, ça, je sais que ça n'arrivera pas. Ce qui m'inquiète, c'est de ne pas savoir qui sera encore là, à qui je vais manquer, qui pensera à moi, qui aura oublié mon nom. C'est ça, qui fait peur..

J'ai juste peur d'oublier ce qu'il ne faut pas oublier, perdre de vue ce qui est vraiment important, ne plus me souvenir de ce que je ressentais quand j'étais heureuse, de ne plus comprendre pourquoi j'étais heureuse, perdre mes souvenirs. J'ai peur que tous les gens que je rencontre s'effacent, s'oublient. J'ai peur du temps qui passe, j'appréhende les adieux, j'ai peur de ce qui se passe après, après avoir dit au revoir, quand on se retrouve seul, sans repères.

La vie est un dessin. Il faut la colorier pour la rendre belle. Il y a des parties plus sombres, et d'autres plus colorées. C'est ce qui crée toute sa beauté. Et peu importe ce qui va arriver, il faut continuer de dessiner, et sans effacer, pour ne pas détruire tous ces beaux moments passés.

Tu crois que je suis heureuse parce que je te dis que je vais bien, parce que tu me vois sourire , parce que tu me vois rire, parce que mes yeux brillent. Mais si je te dis que je vais bien c'est seulement pour essayer de m'en convaincre moi même. Et si tu me vois rire et sourire c'est seulement pour ne pas pleurer. Et si tu vois mes yeux briller c'est seulement mes larmes qui essaient de ne pas couler.

Plus les jours passent, plus je confond le rêve et la réalité. Je ne sais plus si c'est la folie qui s'empare de moi, ou si c'est moi qui veut tomber dans cette folie, pour oublier. Je ne sais plus si tu es réelle, ou si tu es factice. Est-ce moi qui rêve d'une autre vie, ou est-ce ma vie qui rêve d'être une autre ? Je ne pleure plus, parce que je ne me souviens plus d'où provient ma tristesse. Mes yeux se tournent vers toi, en te suppliant de m'aider, mais tu ne remarque pas ma détresse. Pour toi, je resterais toujours cette petite fille qui jouait à la poupée, alors qu'aujourd'hui, c'est moi qui suis devenu poupée ...

© By Sol972. ©

J'en ai marre de la vie, j'explose de l'intérieur. Mon cœur est meurtri depuis tellement longtemps que je ne peux me retenir plus longtemps. Les larmes veulent couler à flot. Tout les soirs, je pense au futur. Et je pleure. Peut-être vais-je mourir en me suicidant, d'un accident.. Sa n'as plus beaucoup d'importance pour moi. La mort est une chose bien mystérieuse. J'ose même plus me regarder dans une glace. Putain de réalité. J'aimerai être dans un rêve et que tout se cauchemars s'arrête. Je supplie le monde de me laisser tranquille. Je laisse de côté mes rêves. Ils sont écrasés dans cette fichus vérité qui nous tuera tous un jour.

 Dites lui qu'elle est tout. Qu'elle est ma force, ma raison de vivre, mon bonheur au quotidien. Dites lui que sans elle j'étouffe, que j'ai besoin de sa présence. Dites lui que dès qu'elle n'est pas là il y a un vide dans ma vie. Dites lui qu'il n'y a qu'elle, qu'elle est la seule, l'unique et que le reste je m'en fou. Dites lui qu'elle ma redonnée ce sourire que j'avais perdus depuis bien trop longtemps, que quand je l'ai rencontrée j'étais au plus bas mais que maintenant grâce à elle ça va. Dites lui tout ça. Je veux qu'elle comprenne qu'elle est l'unique raison de mes sourires, l'unique raison pour laquelle je continue ainsi. Dites que pour elle et avec elle je suis prête à tout, que si elle veut on part demain. Dites lui que quoi qu'il arrive je ne pourrais pas l'oublier car quand on aime autant c'est infaisable. Dites lui que chacune des mes pensées lui sont dédiées. J'ai trop souvent été abonné aux histoires d'un soir et à des relations sans avenir. Dites lui qu'avec elle j'arrive à imaginer un futur. Dites lui que je l'aime envers et contre tout. Dites lui seulement que je l'aime plus que tout.

On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.

Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps.



La vie n’est pas un sport qu’on se contente de regarder. Gagner, perdre, ou faire match nul, la partie est en cours, qu’on le veuille ou non. Alors allez-y, discutez avec l’arbitre, changez les règles, trichez un peu. Faites une pause et soignez vos plaies. Mais jouez. Jouez ! Jouez le jeu. Jouez vite. Jouez librement. Jouez comme si il n’y avait pas de lendemain. D’accord, l’important n’est pas de gagner ou de perdre, l’important c’est la manière de jouer. Vous ne croyez pas ?



Je ne supporte plus ton absence. Je ne supporte plus ces silences qui me détruisent les oreilles et un peu plus le cœur. Je ne supporte pas tes non-dits. Je ne supporte plus qu'un autre cœur qui n'est pas le miens puisse s'emparer du tien, maintenant. Je ne supporte plus, ces souvenirs qui tournent dans ma tête en rond à chaque moments de répit que je peux avoir, ils me fatiguent, ils m’usent, me détruisent un peu plus ... Pourquoi ? Tu veux vraiment savoir pourquoi ? Parce que, ces souvenirs j'aurais voulu qu'ile ne soient pas seuls, et qu'ils n'aient pas autant d'importance, qu'ils ne soient plus les seuls, et qu'ils soient doublés par d'autres souvenirs, j'aurais voulu, te dire je t'aime les yeux dans les yeux, pour que tu puisses voir qu'il n'y a que toi et que tu es le centre de mon monde. Quand on aime on ne compte pas «, c'est bien ça ? Je t'aime, plus qu'hier, les sentiments grandissent, je ne cesse de t'aimer, je ne comprends pas ce qu'il se passe, tu pourrais m'expliquer ? Ou simplement me dire que toi aussi, tu ressens ça ?



Écoute, je sais... Je sais que je ne suis en rien le genre de fille que tu aimes, je suis peut-être même l'opposé de ton idéal. Non, laisse moi parler. Je sais que je suis pas cette personne que tu attends. Je n'ai ni de longues jambes, ni une poitrine énorme, ni de beaux yeux bleus. Je ne suis pas une couverture de magasine, ça c'est sûr. Je ne suis pas parfaite. Je ne suis pas cette fille qui a de l'allure et de l'assurance. Je ne suis pas une fille exubérante et tout le temps bien dans sa peau. C'est vrai que je ne prends pas beaucoup de place. Mais je t'aime. Je t'aime vraiment. Et si tu y réfléchis rien qu'un peu, l'amour, finalement, c'est rare. c'est rare que quelqu'un nous prenne tout entier, avec notre paquet de qualités, de défauts et de manies. Alors oui, je sais que aujourd'hui, ces mots ne veulent rien dire pour toi. Mais, s'il te plait, ne les oublie pas. Parce que un jour, tu en auras peut-être besoin..


Admettre l'inévitable, voir la réalité en face. Se souvenir de chaque parole, de chaque promesse et les regarder s'envoler vers le nulle part. Se rendre à l'évidence, l'histoire prend fin. D'ailleurs, je ne t'en veux pas, tu as choisi. Je ne t'embêterais plus avec mes bêtises, je ne te regarderais plus,je ne dirais plus rien et je laisserais tout tomber comme tu l'as fais. C'est la meilleure solution, arrêter de croire à tout ce qu'on vivait et oublier..


Apprend a bien connaitre la personne avant de lui dire '' Je t'aime sincèrement, je veux pas te perdre , tu viens de l'ajouter et tu l'aime déjà pas possible .'' Tu peux complètement te plantée sur la personne et c'est la que l'on va trop vite , laisse le temps faire ne presse rien , si tu presses les choses tu risques de souffrir .


J'aimerais bien, je sais pas si tu veux mais si tu pouvais un peu, peut-être, de temps en temps, quand tu en as envie quand tu n'as rien de mieux à faire, j'avais pensé que tu pourrais, mais je n'exige rien je comprendrais très bien que tu ne veuilles pas, que tu préfère laisser ça à quelqu'un d'autre, mais bon, tu voudrais pas m'aimer ?


La vie n'est sûrement qu'un jeu, certains joueurs passent au niveau suivant et d'autres sont Game Over.


Rien n'est prévisible. Le hasard, la malchance et la destinée font surement partis des seules chose qui ne sont pas notées dans votre agenda. Que ce soit les coups de foudre, les coïncidences ou même la mort...


Détruis-moi jusqu'au dernier de mes sourires, je me fous du monde à présent.


On croit qu'en vieillissant on s'endurcit mais c'est faux : on tombe amoureux tous les jours, au détour d'un regard, au son d'un rire cristallin dont le cœur se souvient. Simplement on se retient parce qu'on sait où cela mène.


Tu as été l'amour de ma vie, mais moi je ne suis qu'un chapitre de la tienne.


J'étais certaine d'une chose, aimer donnait le pouvoir de briser l'autre.


J'ai appris que les adieux feront toujours mal. Que les photos qu'on a ne remplaceront jamais le plaisir d'y avoir été.


« Dis-moi que tu ne m'aimes pas, en me regardant droit dans les yeux. Dis le moi, je t'en supplie, si non j'arriverais jamais à lâcher prise. »


Je veux revenir au temps ou mon seul souci était de savoir de quelle couleur j'allais colorier mon dessin..


Tout le monde par un jour. Certaine personne reviendront peut-être, d'autre jamais.

La photographie, un fragment de temps qui ne reviendra pas.

Toi t'as eu pleins de filles, pleins d’aventures. Moi j'en ai jamais voulu jusqu'à toi. C'est toi. C'est comme une évidence.

Simplement parce que le passé vous tape sur l'épaule, ne veut pas dire que vous avez à regarder en arrière.

Je ne t'aime pas, je t'adore. Je te hais même un peu.

Ce que la voix peut cacher, le regarde le livre.

Aimer c'est bien. Savoir aimer c'est tout.

Bientôt il me fera toucher les étoiles.

On n'oublie pas le passé, tu sais tu m'as énormément fait souffrir. Énormément. J'en pleure en re pensant, à tout ces bons moments passés à tes côtés , et aussi aux mauvais qui ont tout gâché. J'ai la boule au ventre et mal au cœur. Mais j'sais pas pourquoi, je t'aime encore.. & alors?


Se battre le poing levé, avant d'aller rejoindre les étoiles.

C'est fou comme j'arrive pas à t'oublier.

Je suis comme je suis. Je ne changerai jamais pour quelqu'un qui me lâchera un jour.

Si je pouvais revenir dans le temps, j'effacerai toutes mes erreurs.

Le temps va, tout s'en va mais pas l'amour que j'ai pour toi.

Il y a une chose que je ne regretterai jamais. C'est de t'avoir connu.

Pourquoi lui demander de me suivre, il ne le fera pas ; pourquoi lui sourire quand ce ne sera pas réciproque, je me demande si il est toujours comme ça. Ou bien si il fait exprès quand c'est moi. Qu'il m'aime ou pas je m'en moque, c'est juste que quand il est loin de moi, il me manque..

Je ne t'oublierai jamais, jamais, jamais. Parce que je n'en ai pas envie.

Tu es mon rêve, il n'y a pas une chose que je ne ferai, je donnerai toute ma vie pour toi parce que tu es mon rêve.

I want to tell you so much i love you.

Ça va être dur de trouver mieux que toi. C'est malin je ne peux plus sourire en ta présence, j'ai plus le goût de rien et tu ne peux pas savoir comme je t'aime.

Mais j'y peux quoi moi si y'a que tes yeux qui me fascinent? Je me force tu sais à regarder ailleurs. Mais à quoi bon continuer, c'est un combat perdu d'avance. je ne devrai pas te dire ça mais t'as tout gagné, je suis à toi, rien qu'à toi. Tu es ma première, ma dernière seule pensée, chaque jour. J'ai essayé de penser à autre chose qu'à toi, de parler d'autre chose que de toi, d'écrire autre chose que ton prénom, de rêver de quelqu'un d'autre que toi. Mais c'est plus fort que moi, je n'y arrive pas.

Ce qui me bouleverse, ce n'est pas que tu m'ais menti, c'est que désormais je ne pourrai plus te croire.

J'aimerais être celle qui te fait sourire, celle que tu prends et câlines, celle que tu ne veux pas perdre, celle avec qui tu passes beaucoup de temps, celle qui compte le plus pour toi, celle qui a volé ton cœur. Tout simplement celle que tu aimes.

On n'oublie pas le passé, tout ce qui s'est passé je m'en souviendrai jusqu'à la fin.

J'aurai voulu que tu comprennes à quel point je tenais à toi, que tu saches comme ta présence me manquait, et tout ce que j'aurais été capable de faire pour toi. J'aurais voulu te manquer et être celle qui ferait battre ton cœur, celle que tu prendrais dans tes bras en lui murmurant je t'aime. J'aurais voulu être cette fille que tu aimerais par dessus tout, être ta raison de sourire, ton soleil, ta princesse.. En fait tout ce que je voulais c'était toi. Juste toi et rien d'autre. Dommage que tu ne t'en sois pas rendu compte.

C'est comme ça qu'on se veut chaque instant de notre vie, comme ça qu'on s'imagine chaque jour où on s’ennuie.

Ce qui m'encourage à aller au delà, à ne pas me laisser abattre par tout ceux qui essayent, c'est toi, c'est bien toi.

Les gens pensent que comme nous sommes jeunes, nous ne sommes pas complexés, mais ce n'est pas vrai. On se bat avec la vie et l'amour et les peines de cœur de la même façon qu'une femme un peu plus âgée.

J'aurais dû avoir deux cœurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux.

Le bonheur c'est d'être heureuse, pas de faire croire aux gens que tu l'es..

On ne fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie. Parfois, au lieu de décider, on subit.


Quand la faiblesse physique devient une force mentale, quand c'est le plus vulnérable qui sait où, quand, pourquoi et comment. Quand l'envie de sourire redevient un instinct vital. Quand on comprend que l'énergie ne se lie pas seulement dans le mouvement. Parfois la vie nous teste et met à l'épreuve notre capacité d'adaptation. Les 5 sens des handicapés sont touchés mais c'est un 6ème qui les délivre. Bien au-delà de la volonté, plus fort que tout sans restriction, ce 6ème sens qui apparaît, c'est simplement l'envie de vivre.

L'inquiétude, c'est stupide : c'est comme si on marchait dans la rue avec un parapluie ouvert en attendant qu'il pleuve.


Je me demande combien de temps encore ces images vont rester nettes, limpides, avant de se déformer, puis de se brouiller, puis de s'effacer ; avant que je ne les oublie. J'aimerais les serrer contre moi, comme on serre contre soi un corps aimé, de toutes ses forces, pour le retenir. Mais je sais bien que, de la même manière qu'on ne peut retenir un amour, on ne retient rien de son passé, il s'échappe lentement, chaque jour davantage, et on ne choisit pas ce qu'on en garde.


Je ne sais plus si j'ai mal, ou si c'est l'habitude. D'être toujours celle qui chiale et qui se prend tous les murs. Je ne sais plus si j'ai froid ou si c'est le vide qui me glace. Je ne sais plus si je t'attends ou si je fais juste semblant. En fait je ne sais plus si je cicatrise, ou si je pisse encore le sang.