Informations
- Présidente :
- Rushi
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- Date de création :
- le 03/03/2012 à 00:52
Présentation
Le Piano
La création du piano moderne :
Au cours des années 1820, les firmes Erard et Pleyel (Paris - 1807), développèrent l'instrument et se firent une concurrence stimulante. On sait que Chopin et Liszt, utilisaient leurs pianos. La firme Érard apporta certainement les innovations les plus importantes surtout du point de vue de la mécanique de l'instrument ; plusieurs centaines de brevets qu'elle a déposés en France et en Angleterre décrivant des améliorations importantes en témoignent. Ignace Pleyel, musicien, puis son fils, Camille, surent, quant à eux, s'entourer de chercheurs acousticiens et de scientifiques (Gustave Lyon, Auguste Wolff) pour développer de façon importante la sonorité, ils furent en effet les premiers en France à adopter le croisement des cordes et le cadre métallique d'une seule pièce, donnant à l'instrument plus de puissance tout en permettant l'utilisation de cordes plus longues. Pleyel fit par ailleurs construire à Paris la célèbre salle de concert portant son nom et implanta la première usine électrifiée, préfigurant les méthodes de production modernes.
Le Piano moderne:
Le clavier :
Le clavier du piano moderne est composé le plus souvent de 88 touches. Les 52 touches blanches correspondent aux sept notes de la gamme diatonique, et les 36 touches noires aux cinq notes restantes de la gamme chromatique.
Les touches du piano sont généralement faites en épicéa ou en tilleul, bois choisis pour leur légèreté ; sur les pianos de bonne qualité, l'épicéa est généralement préféré. Historiquement, les touches noires étaient recouvertes d'ébène et les touches blanches d'ivoire, la disponibilité de cette dernière matière ayant drastiquement chuté depuis la mise en place de programmes de sauvegarde à destination des éléphants, des matières synthétiques ont dû être créées pour la remplacer. Des facteurs de piano sont même allés jusqu'à proposer des matières plastiques imitant la sensation et/ou l'aspect de l'ivoire aux pianistes désireux de jouer sur un instrument plus authentique ; on notera aussi qu'en guise d'ersatz de l'os ou de l'ivoire fossile sont parfois employés.
Certains claviers peuvent atteindre ou dépasser les huit octaves comme par exemple le Bösendorfer Imperial et ses 97 touches, conçu selon une suggestion de Busoni. Ces touches supplémentaires peuvent être cachées sous un petit couvercle afin de ne pas troubler les pianistes habitués à la disposition à 88 touches. Une autre solution proposée pour éviter d'être désorienté est de colorer ces touches supplémentaires de manière inversée. Seul un très petit nombre de pièces utilisent ces notes, essentiellement des transcriptions d'orgue.
D'autres pianos, dits d'étude, peuvent quant à eux ne disposer que de 5 ou 6 octaves. L'immense majorité des partitions écrites pour le piano suppose l'utilisation d'un piano à 88 touches, bien que peu de pièces fassent usage de l'intégralité de cet ambitus.
Le piano jouet, quant à lui, ne comporte généralement qu'une octave de Do5 à Do6 ou de Do4 à Do5. Certains modèles de la marque Michelsonne possèdent 2 ou 3 octaves.
Le pédalier :
À droite, la pédale forte sert à prolonger le son et à augmenter la résonance en relevant l'intégralité des étouffoirs, laissant les cordes vibrer librement.
À gauche, la pédale douce, elle permet de déplacer le clavier d'un piano à queue et les marteaux de manière à ce qu'il n'y ait plus que deux des trois cordes attribuées à chaque note qui soient frappées ou, sur certains dispositifs, que les trois cordes soient frappées avec la partie moins tassée des marteaux. Sur un piano droit, cette pédale rapproche les marteaux des cordes, ce qui diminue la vitesse de frappe et allège le toucher. Dans les deux cas, le volume sonore est diminué et dans celui du piano à queue, le timbre de l'instrument subit aussi des changements car le mode vibratoire des cordes est différent suivant que deux ou trois d'entre elles soient frappées. Sur les pianos Stuart and Sons, les deux différents mécanismes de la pédale douce sont présents, ces pianos possèdent donc quatre pédales en lieu et place des trois habituelles.
Sur certains pianos, la pédale du milieu est une pédale de soutien aussi dénommée sostenuto ou tonale qui permet de tenir une ou plusieurs notes déjà jouées et en train de résonner au moment où cette pédale est enfoncée. Cette pédale est bien plus souvent présente sur les pianos de concert que sur les pianos d'étude, et le répertoire pianistique n'en fait qu'un usage limité
Le symbole solfégique :
Dans le solfège, la note de musique est littéralement « notée » sur une partition a fin d'être lue par le musicien interprète. On lui attribue quatre caractéristiques principales : durée, hauteur, intensité et timbre. La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale)
Les trois figures de clefs
Il y a 3 Figure de Clefs : il y a la clef de sol qui concerne les sons aigus, la clef de fa qui concerne les sons graves et la Clef d'ut qui concerne les sons du médium
Note de musique sur une partition
Site de partition :
http://thibauud.free.fr/index2.htm
http://www.boiteachansons.net/
http://www.tapartoche.com/
http://tsubasanime.leforum.eu/t761-Toutes-les-partitions.htm <= des partition de manga
et plein autre