SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    raining-tears
    Activité :
    0 connectée(s)
    5 membres
    84 messages postés
    Date de création :
    le 28/06/2020 à 22:07

    Présentation
    Modifié le 28/06/2023

    SI TU FAIS PARTIE DU JEU LOUP-GAROU TU ES PRIÉ.E DE QUITTER CE CLUB IMMÉDIATEMENT È.É


    SI TU FAIS PARTIE DU JEU LOUP-GAROU TU ES PRIÉ.E DE QUITTER CE CLUB IMMÉDIATEMENT È.É





    Synopsis Acteurs Saisonss Critiques Scénariste






    Te voici sur un club où nous parlerons, en long et en large, de la série "La Casa de Papel", que tu connaîs sûrement déjà (sinon tu rates clairement quelque chose !). Tu peux cliquer sur les différents boutons ci-dessus afin de naviguer dans cette présentation. À tout instant, pour revenir à la page d'accueil, clique sur le titre de la catégorie où tu te trouves. ATTENTION ! Si tu n'as pas regardé la série, je tâcherai de mettre des spoiler alerts représentés par cette icone : , donc à toi de garder l'oeil ouvert pour éviter de lire des infos en trop  ! J'espère que ce club te plaira et n'hésite surtout pas si tu as des questions !





    Dans la série La Casa de Papel, un homme mystérieux, surnommé Le Professeur, planifie le meilleur braquage jamais réalisé. Pour exécuter son plan, il recrute huit des meilleurs malfaiteurs en Espagne, des gens qui n'ont rien à perdre. Peu connaissent les vrais noms des autres. Ils utilisent tous un nom de ville: Tokyo, Berlin, Rio, Nairobi, Helsinki, Denver, Moscou et Oslo...

    Le but est de voler la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre à Madrid sans voler l'argent du contribuable, et surtout : sans tuer. Il s'agit d'infiltrer la Fabrique afin d'imprimer des centaines de millions d'euros, cela en moins de onze jours, sans victimes. Au terme de cette virée bucolique entre gangsters plus ou moins énervés, ils prennent d'assaut le bâtiment et s'enferment à l'intérieur avec les visiteurs et le personnel, qui deviennent des otages mais surtout de la main d'oeuvre.

    La joyeuse équipe d'écorchés vifs ont un seul but : rester le plus longtemps à l'intérieur, pour imprimer le plus de billets possible. C'est Tokyo qui nous raconte l'histoire.







     Spoiler Alert: Tu pourrais en apprendre beaucoup plus que tu ne le souhaites sur certains personnages. Je te suggère d'ignorer cette section si tu n'as pas vu la série ! 


    Surnommé "Le Professeur", il est le cerveau de l’opération et chef de la bande de voleurs à la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre. Introverti et très intelligent, il est le demi-frère de Berlin, l'un des braqueurs. Le plan du vol à la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre est fortement inspiré de ce que lui racontait son père, mort dans un braquage. Une de ses tactiques pour le vol à effectuer sera de maintenir un contact direct avec la police. Pour ce faire, il se lie d'amitié avec l'inspecteur de police Raquel Murillo et tombe peu à peu amoureux d'elle ; il prendra une fausse identité sous le nom de "Salvador".


    Surnommée « Tokyo », elle a été embauchée par le Professeur pour faire partie de la bande de braqueurs de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre. Elle est recherchée pour différentes agressions et vols et est entrée dans le monde du crime à l'âge de 14 ans avec son petit ami de 28 ans. Ce dernier est décédé durant l'assaut d'une camionnette Prosegur. C’est une jeune femme impulsive, avec un manque apparent d'empathie. Tokyo est en couple avec Rio. Initialement en froid avec Nairobi, elle se lie d’amitié avec elle lorsque cette dernière lui fait des confidences sur sa vie de maman.

    Elle est l'inspectrice de police qui doit résoudre le braquage de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre. C’est une femme à fort caractère, calme et intelligente, chargée de négocier avec le Professeur dont elle va tomber amoureuse sans savoir qu’il est le « cerveau » du cambriolage. Divorcée d'un mari violent, Alberto Vicuña, Raquel vit avec sa fille Paula et sa mère Mariví Fuentes, atteinte de la maladie d'Alzheimer. Le cambriolage de la Fabrique la met dans tous ses états, mais à sa grande surprise, lui apportera plus que ce qu'il ne lui enlèvera. Elle travaille main dans la main avec le sous-inspecteur Ángel Rubio, son ami et collègue depuis quinze ans avec qui elle a eu une aventure il y a 8 ans. Après le braquage de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre et après être tombé amoureuse du Professeur, elle rejoindra l'équipe de braqueurs et sera surnommée « Lisbonne ».
    Appelé « Berlin », il est considéré comme le leader du groupe de braqueurs. Notamment connu pour des casses de bijouteries, de maisons de vente aux enchères et de fourgons blindés, il réalise son plus gros coup aux Champs-Élysées où il vole 434 diamants. Ce personnage est misogyne, fait preuve d'une absence totale d'empathie et ne fait pas la différence entre le mal et le bien. Il est en phase terminale d'une maladie dégénérative rare, la myopathie de Helmer, maladie de fiction s'apparentant à la myopathie mitochondriale. Il est abattu, dans la fabrique nationale de la monnaie et du timbre, après l'assaut des forces spéciales. Il fera quelques apparitions en Flash-back dans les parties 3 et 4.


    Surnommée « Nairobi », elle est une vraie combattante. Très charismatique, elle s’entend avec tout le monde excepté Berlin, avec qui elle tombe fréquemment en désaccord. Elle est spécialisée dans la fabrique de faux billets. Après avoir passé quelque temps en prison, elle perd la garde de son fils âgé de trois ans. Après le braquage de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre, elle espère, grâce à l’argent dérobé, retrouver son fils. Elle est tuée par balle, à la fin de la partie 4, abattue par Cesar Gandia, le chef de la sécurité du Gouverneur d'Espagne.
    Appelé « Rio », il est le hacker du groupe, il programme les ordinateurs et gère les explosifs ainsi que leur placement stratégique. Il se met rapidement en couple avec Tokyo et leur relation complique assez vite le bon déroulement du braquage. C’est le personnage le plus faible, le rêveur du groupe. Contrairement aux autres, il a beaucoup à perdre étant donné qu’il a gardé contact avec sa famille. Avec ce cambriolage, il veut prouver de quoi il est capable.


    Surnommé « Denver » (aussi appelé Ricardo), il est le fils de Moscou. Il a testé toutes les drogues et est réputé pour être celui se battant le plus. Élevé par son père, il pense que sa mère les a abandonnés à cause de sa grande consommation de drogue. Il se dispute violemment avec son père dès qu’il apprend que c’est lui qui l’a laissée seule sur le bord de la route. Malgré son caractère explosif, il a un grand cœur et ferait tout pour ceux qu'il aime. Pendant le cambriolage, il rencontre Mónica Gaztambide, secrétaire de la Fabrique et otage. Alors que celle-ci veut avorter, il lui demande d'y renoncer, mais doit la tuer sur ordre de Berlin après que celle-ci ait volé un téléphone. Il se contentera de la blesser, la soigne, et en tombe amoureux. Il la demande en mariage et ils finiront par s'échapper ensemble de la Fabrique. Lors de la partie 4, il retrouve Julia, sa cousine transgenre, qui est infiltrée parmi les otages dans le but de mater une éventuelle rébellion en transmettant toutes informations qu'elle entend dans les conversations. Par ailleurs, Denver a menti sur son identité, disant s'appeler Ricardo, bien qu'il soit identifié par la police comme Daniel Ramos.


    Dit « Moscou », figure paternelle, il est le braqueur le plus gentil. Il est chargé de faire le tunnel qui permettra aux braqueurs de s'échapper de l'établissement. À l'intérieur de la fabrique, Moscou essaie de garder tout le monde concentré, sans dévier du plan en soutenant son fils Denver. Il mourra par balle dans la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre. Il fera quelques apparitions en Flash-back dans les parties 3 et 4.


    Surnommé « Helsinki », et également connu sous le nom de Yashin Dasáyev, il est un membre de la bande des braqueurs de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre. Avec Oslo, son cousin, c'est la force brute de l'équipe mais on ne sait pas grand-chose de lui ; seulement son passé violent dans la guerre. Il ne parle pas beaucoup, obéit toujours à Berlin, a une très bonne relation avec Nairobi et aime rendre Arturo nerveux, notamment en l'appelant « Arturito ». Il est un de ceux qui sortent avec l'argent et part avec Nairobi. Dans la partie 4, Helsinki se lie avec Palerme. Les deux hommes se parlent notamment après la mort de Nairobi, et se révèlent leurs vraies identités. Helsinki précise également être originaire de Belgrade.


    Secrétaire de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre et maîtresse d'Arturo Román (de qui elle apprend qu'elle est enceinte), elle fait partie des otages . Elle est une femme bien éduquée, gentille et patiente qui cherche à se construire un bon futur. Lors de la prise d’otages, elle est sous les ordres de Berlin et arrive à gagner en partie la confiance des braqueurs en obéissant aux ordres. Elle tombe d’ailleurs amoureuse de l’un deux, Denver. Mónica finit par devenir une alliée véritable lorsqu'elle empêche Arturo de tuer Denver. Elle entre dans la bande sous le nom de « Stockholm », en référence au syndrome du même nom. C'est la seule otage qui quitte la Fabrique du côté des braqueurs, renonçant à Arturo pour vivre avec Denver, futur père adoptif de son enfant.


    Directeur de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre, parfois surnommé Arturito (« Petit Arturo »), il y travaille depuis vingt ans, se considère comme un bon patron, un bon mari, un bon père et, surtout, un bon amant. Son caractère ne fait pas l’unanimité. Il mène une vie heureuse, grâce à son aventure amoureuse avec sa secrétaire, Mónica Gaztambide. Quand elle lui annonce qu'elle est enceinte, il ne peut pas le croire et refuse de l'accepter, ce qu’il regrettera. Pendant le cambriolage, Arturo concocte des scénarios plus fous les uns que les autres qui mettent en danger sa vie et celle des autres otages. Dès le début, il ne s’entend pas avec Denver ce qui s’amplifie lorsqu'il constate que Mónica a des sentiments pour lui. Il va faire face à Denver et tente sans succès de le tuer. Il fomente également une évasion, qui aboutit à la fuite de onze otages et à la mort d'Oslo. Helsinki, furieux, finit par lui scotcher des explosifs sur le torse. Dans les parties 3 et 4, on apprend qu'il a écrit un livre, devenu un best-seller. Il entre dans la Banque d'Espagne quand Rio rejoint la bande afin de retrouver Stockholm. Il viole Amanda, une otage, après lui avoir donné des cachets. Il est finalement neutralisé par Manille.


    Surnommé « Palerme », il est l'ancien meilleur ami de Berlin. Au moment du nouveau braquage, il est retrouvé par le Professeur. C'est un personnage homosexuel, mégalomane et misogyne. Éconduit de la bande par Tokyo, il trahit la bande en aidant Gandia à se libérer. Il entretient une forte relation amicale avec Helsinki.


    « Bogota » apparaît dans la partie 3. Calme, gentil et affable, il est soudeur de profession. On apprend qu'il faisait partie de la bande de Berlin. S'entendant bien avec Nairobi, il souhaite vivre avec celle-ci, mais elle est tuée par Gandia. On sait notamment qu'il travaille avec Matias Cano comme collègue et qu'il est père de sept enfants.


    En charge de l'affaire, elle apparaît dans la saison 3, en tant que remplaçante de Raquel. Enceinte de 8 mois, elle est présentée comme sadique, énervante et tyrannique. Écartée de l'affaire par Tamayo, elle se venge en accusant la police de violences envers Rio. À la fin de la saison 4, elle tient en joue le Professeur dans sa planque.




     Spoiler Alert : Évidemment, si tu ne souhaites pas connaître le synopsis propre à chaque saison, je te suggère de ne pas lire cette section ! 


    A la tête d’une équipe de huit criminels, un homme énigmatique, connu sous le nom du Professeur, planifie le vol le plus ambitieux de l’Histoire. L’objectif, prendre le contrôle de la Fabrique Nationale de la Monnaie et du Timbre afin d’imprimer 2,4 milliards d’euros en espèces, le tout sans verser une seule goutte de sang. Mais les plans, même les mieux conçus, ne se passent jamais comme prévu. L’équipe de braqueurs devra surmonter de nombreux défis alors que Raquel Murillo, la cheffe des forces de police, tente de les arrêter.


    Le plus grand braquage de l’Histoire est menacé. Les plans du Professeur sont mis à rude épreuve lorsque la police découvre la planque où il a orchestré le casse du siècle avec son équipe. Pendant ce temps, rien ne va plus entre Berlin, Tokyo, Denver et le reste du groupe, où des querelles internes menacent de les séparer. Fatigués et à bout de nerfs, la situation se complique au sein de la Fabrique Nationale de la Monnaie et du Timbre alors que Berlin reprend le contrôle de l’opération. De son côté, Raquel continue son enquête, resserrant l’étau autour de la véritable identité du cerveau de l’opération. Le Professeur et son équipe parviendront-ils à mener à bien leur opération ?


    Après avoir pris la fuite avec un milliard d’euros provenant de la Fabrique Nationale de la Monnaie et du Timbre, le Professeur reçoit un appel : l’un des membres de la bande a été capturé. Le seul moyen de lui venir en aide tout en protégeant la location secrète des autres est de tous les réunir pour réaliser un nouveau braquage, le plus grand casse jamais imaginé.


    Le Professeur pense que Lisbonne a été exécutée, Rio et Tokyo ont fait sauter un char d’assaut et Nairobi est entre la vie et la mort. La bande traverse l’une de ses périodes les plus difficiles, et la découverte d’un ennemi au sein de ses rangs mettra le casse en péril.






    Voici une compilation de quelques critiques faites par la presse. J'ai ai mises des positives et des négatives afin d'avoir une vue d'ensemble "neutre". Cliquez sur le nom de la presse en question pour accéder à la critique complète ! Et vous, qu'avez-vous pensé de la série? L'avez-vous aimée ou non? Dites-moi tout ! En attendant, bonne lecture !

    Saluée à juste titre par la critique, cette fiction est avant tout politique, un hymne au courage et à la nécessité de penser par soi-même.
    —Pierre Sérisier, Le Monde

    Alors, certes, il serait sans doute exagéré de dire que la fiction révolutionne le genre. Mais ce n'est pas son intention et elle ne craint pas de se référer à ses aînés, usant avec habileté de clins d'œil aux grands classiques, de Steven Soderbergh (Ocean's Eleven) à Quentin Tarantino (Reservoir Dogs). (…) Mais si les inspirations sont principalement américaines, La casa de papel conserve son caractère proprement hispanique, ce dont on ne peut que se féliciter. (…) Avec ce casse à la sauce Dalí, on peut donc découvrir ce que l'Espagne fait actuellement de mieux côté sériel.
    —Mélissa Chevreuil, Le Point

    La casa de papel est loin d'être la série du siècle. Dans la veine de Murder et de la saison 1 de Prison Break, elle bénéficie d'un rythme à l'efficacité redoutable, de quelques personnages attachants et d'un récit qui tient en haleine malgré ses rebondissements à gogos et ses twists insupportables. A défaut d'être une grande série, c'est déjà ça...
    —Alexandre Janowiak, Écran Large

    Dans une Espagne lessivée par les cures d'austérité, le dépouillement d'un espace symbole du pouvoir financier par des gangsters prolétaires rejoue le mythe de Robin des bois une tonalité post-crise financière. Et tant pis si l'argument est un brin populiste, et si les motivations des personnages ne sont pas forcément honorables, ce renversement fictionnel du pouvoir ne manque pas de panache.
    —Alexandre Buyukodabas, Les Inrockuptibles

    Difficile de savoir si La Casa de papel aurait été un tel phénomène sans Netflix. Mais son succès est certainement significatif de l’impact de la plateforme, capable de transformer en carton une œuvre efficace mais pas franchement… révolutionnaire (...) En contemplant le verre à moitié plein, on peut se réjouir de constater qu’une série européenne, venue d’un pays longtemps has been pour les sériephiles, se soit ainsi imposée (...) Cette histoire de braquage à rebondissements semble la recette idéale pour attirer les curieux et créer « le buzz », entre suspense, bons sentiments et esprit contestataire. Un divertissement malin, intrigant mais inégal.
    —Pierre Langlais, Télérama

    La Casa de Papel se prend pour ce qu’elle n’est pas, et développe toute une imagerie classe et clinquante pour alimenter le charisme de personnages trop mal écrits pour offrir une constance dans ce domaine (...) C’est ce que la série passe son temps à faire : surligner sa nervosité, surligner son intelligence, surligner sa classe. Elle n’incarne pas ces traits de caractère, elle les reproduit à la surface. La Casa de Papel est finalement comme la plupart de ses personnages : que de la gueule, rien dans les tripes.
    —Maëlig Bois, aVoir aLire






    Le scénariste, journaliste, producteur créatif et exécutif Àlex Pina a toujours cru que les histoires tristes devaient être racontées à travers la comédie. Il pense également que la comédie est meilleure s'il y a de la douleur en dessous. Suivant cette logique, Pina s'est toujours engagé à livrer des récits plus humains, ainsi que des récits plus ambigus, plus profonds et, au final, plus authentiques. Et ce, avec de très bons résultats. 

    Au cours des dernières années, il a assuré sa place comme l'un des hommes d'idées les plus accomplis dans le théâtre espagnol. Tout d'abord, il a travaillé comme scénariste et producteur exécutif dans la série "Periodistas (Journalists)". Par la suite, sa carrière n'a cessé de croître. Il est le créateur et producteur exécutif de certains des plus grands succès audiovisuels des 15 dernières années: "Los Serrano (The Serranos)", "Los Hombres De Paco (Paco's Men)" ou "El Barco (The Boat)". Ce sont des séries locales mais qui ont toujours atteint une portée mondiale, et qui comprennent un large éventail de genres.

    Depuis 2017, Vancouver Media est l'aventure personnelle la plus audacieuse de Àlex Pina, projet dont un premier hit est déjà né: "La Casa de Papel".


    Personnellement, j'adore cette série. C'est un réel chef-d'oeuvre. Entre les histoires d'amour, les situations stressantes ou encore les moments de joie, on a un beau mélange d'émotions. J'ai même pleuré quelques plusieurs fois!
    Pour celles d'entre vous qui ont vu et aimé Prison Break, on a ici une série dans le même esprit : un plan stratégique où absolument tous les détails ont été pensés... Un réel travail de génie - et je parle autant du professeur que du scénariste en lui-même.  Genius, juste genius!

     Spoiler Alert : images en vue ! Clique sur les images pour les ouvrir dans un nouvel onglet... 

                  



    Évidemment, toute série qui se respecte comporte son lot de citations toutes plus belles les unes que les autres. Avec une série aussi grandiose, pleine d'émotions et de personnages aux caractères forts et variés, vous vous doutez que la sélection de citations est infinie. J'en ai toutefois déniché quelques unes pour votre plaisir. Dites-moi quelles sont vos favorites ! 
     Spoiler Alert : Évidemment, je te conseille d'éviter de lire cette partie si tu n'as pas vu la série et ne souhaites pas lire les paroles prononcées par les personnages ! 

    Chaque famille de ce pays se posera la même question..."Qu'est-ce qu'ils fabriquent?"
    —Le professeur

    Que l'ère du matriarcat commence !
    —Nairobi

    L’amour, c’est deux personnes sur une balançoire. Quand l’un des deux monte, l’autre descend. L’équilibre est toujours rompu. Par le temps, la monotonie, ou les gens comme moi. La seule manière qu’on connaît de soulager la douleur, c’est de faire souffrir l’autre.
    —Tokyo

    Il est fondamental que la police ne se doute absolument pas de ce que l'on prépare. Mais il faudra faire très attention. Si jamais il y a une seule victime on dit au revoir à notre image de Robins des bois et on redevient simplement une bande de fils de putes.
    —Le professeur

    L’espoir c’est comme les dominos, dès qu’il y en a un qui est tombé, les autres le suivent.
    —Tokyo

    Je me suis comporté comme un sale con toute ma vie. Aujourd’hui j’ai envie de mourir avec dignité.
    —Berlin 

    - Je suis une terre malade. Pire, je suis un putain de bidon d’essence avec une allumette.
    - Super j’aime les feux de joie.
    —Tokyo et Rio

    - Quoi tu trouves que je ne suis pas assez bien pour ton fils ?
    - Pour moi t’es même trop bien parce que tu vis ta vie comme un jeu vidéo. Fusillade, braquage, amant, aventure.
    - C’est comme ça que j’aime vivre.
    - Non, toi ce que t’aimes c’est sauter de pierre en pierre sur des flaques d’eau. Et à chacun de tes pas il y a une pierre qui coule et t’abandonnes tes cadavres sur le bord de la route. C’est comme ça que t’aimes vivre.
    —Tokyo et Moscou

    Qu’est-ce que c’est ? C’est rien du tout, Raquel, c’est que du papier ! C’est du papier, tu vois ? C’est du papier ! Je ne fais que de l’injection de liquidité. Mais pas pour les banques, je le fais ici, dans la véritable économie, avec cette bande de… de losers, si c’est comme ça que tu nous vois, Raquel. Pour échapper à tout ça une fois pour toutes. Tu n’as pas envie de t’échapper ?
    —Le Professeur à Raquel Murillo  

    Après tout, l’amour est une bonne raison pour que tout se passe mal.
    —Tokyo

    Il faut plus de courage pour aimer que pour faire la guerre.
    —Tokyo

    - Je ne suis pas un nazi. Je sais pas si tu te rappelles mais ils m’ont demandé de te descendre !
    - Et qu’est-ce que t’as fait ? Hein ? Tu leur as dit non ? Tu leur as dit « non, pas question » ?! Non tu m’as mis une balle dans la jambe, tu m’as humilié devant tout le monde, tu m’as traîné ici, je suis bouclée, j’ai pas d’air et si jamais je veux faire mes besoins je dois utiliser un sceau ! Alors ouvre un peu les yeux, c’est vrai peut-être que t’es le meilleur des nazis mais tu restes un des leurs.
    —Denver et Mónica Gaztambide

    Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner.
    —Tokyo

    La nostalgie est une séductrice… ça nous coûte de nous débarrasser de ses vestiges parce que nous pensons que ce sont des souvenirs qui nous rappellent certains moments de bonheur mais… c’est faux !
    —Le professeur

    Discussions