

Informations
- Présidente :
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- Date de création :
- le 25/04/2020 à 13:05
Présentation
Idol Academy
Explications
La Idol Academy est une prestigieuse [école] situé dans le Sud de la Corée, plus précisément à Séoul. Elle est connue pour avoir formé nombreuses des étoiles montantes que l'on connaît aujourd'hui, que ce soit dans l'industrie de la pop musique coréenne, du mannequinat, du drama et autres... Son créateur, Ayden Smith, cet homme de la cinquantaine, est à la hauteur de sa réputation. Il a bâti [A.S Entertainment] où il a fait briller ses précieuses perles rares. C'est une personne qu'on dit qui ne fait jamais d'erreur et qui peut répérer le talent pure à des milliers de kilomètres. Il s'avère que ces deux choses sont véridiques puisque jusque là, toutes les personnes qui ont débuté au sein de son agence sont reconnus mondialement, de même que les heureux élus qui ont le privilège d'accéder à son académie |
[A propos de l'académie] Pour commencer, il y a au total cinq années à l'académie. A retenir que ceux qui terminent leur 5e année ne débutent pas obligatoirement à [A.S], de même que les premières années peuvent débuter sans pour autant monter en classe. Il suffit que le directeur te considère prêt. Mais pour cela, il faudrait vraiment l'impressionner, chose extrêment difficile. Dans l'académie, il y a trois choix de parcours. ~ [Le parcours IDOL] Nous savons tous que la corée du Sud est un pays très compétitif et qu'elle exige la perfection sur tous les points. Cette perfection ne met pas de côté les stars KPOP, qui sont souvent les plus touchés. Que ce soit de l'apparence physique au moral, tout est contrôlé. La stabilité de la voix, les pas de danses à éxécuter, la présence sur scène, vous apprendrez tout avec Kim TaeYeon ![]() et Lee ChaeRin, ![]() vos professeurs de chant/rap (au choix) ; Kim JongIn votre professeur de danse. Pour les cours pour le visuel, ce seront des cours partagés avec le parcours mannequin. ~ [Le parcous de mannequin] Les icônes de la mode, les défilés en masse, les apparitions dans les magasines, c'est ça la vie de mannequin. Mais qui a dit qu'il suffisait de savoir défilé sur un podium pour être mannequin ? Le monde du mannequinat se base d'abord sur le physique, qui requiert une taille grande et fine, ainsi qu'un visage unique. Il faut aussi quelques acquis tels que la rapidité à passer d'un vêtement à un autre, de choisir quoi porter en l'assortissant à ses accessoires. Egalement sur le podium, serez-vous capable de défiler du haut de talons de talons de vingt centimètres avec une tenue de plus de quinze kilos ? Ou tout le contraire, une tenue des plus légères mais également révélatrice ? Le seul professeur dont vous bénéficierai est noir, magnifique et se nomme Naomi Campbell. ![]() Non, je plaisante. Le professeur en mannequinat est Im Yoona, la seule et unique. ![]() ~ [Le parcours d'acteur] On est tous toujours impatient de regarder le prochain épisode de ce drama, qu'on sache si le jeune seigneur est vraiment mort, si avec ce complot orchestré il y aura une nouvelle guerre, pour lequel des deux la magnifique Bella tombera, s'ils réussiront enfin à vivre heureux ensemble. Mais vous ne vous êtes jamais demandé le travail derrière tout cet empilement de sensations fortes que vous ressentez en regardant ce film ? Le monde des acteurs est tellement cruel. L'histoire tourne autour des personnages principaux à un tel point que les autres sont partiellement effacés, alors que le rôle principal est tellement difficile à obtenir. Il faut que vous colliez au personnage, que vous interprétez parfaitement ses émotions, et les scènes de tristesse sont souvent difficiles à réaliser. Peut-on vraiment pleurer sur commande ? Vous pourrez posez toutes vos questions à AngelaBaby ![]() qui sera votre professeur. ![]() Laëllian Smith est le fils aîné de Ayden Smith. Il n'est pas professeur mais plutôt votre seul et unique mentor puisqu'il est professionnel dans les trois parcours. Je pense qu'il y a une différence entre professeur et mentor. Je pense... NB: - Les doubles parcours sont autorisés à partir de la troisième année. - En vrai dans l'académie, il y a beaucoup plus de professeurs mais vu que pour l'instant on n'est pas nombreux, je n'ai présenté que ceux-là. Outre vos professeurs principaux, il y a aussi le professeur de sport pour garder la bonne forme et le chef cuisinier qui vous préparera des plats excellents. Vous rencontrerez bien souvent le photographe pendant vos cours pour le visuel. Et pour terminer cette longue présentation, à l'académie il y a aussi des spectacles et tout le monde est concerné, les premières années également. Souvent, c'est à l'occasion de festivités telles que Noël ou le Nouvel An, mais ça dépend aussi de l'humeur du directeur. S'il dit qu'il y aura un spectacle, alors c'est inévitable qu'il y en aura un. C'est dans ce genre de situation que vous rencontrerez le styliste, qui vous confectionnera les plus beaux vetements. Ayden étant quelqu'un de perfectionniste sur tous les plans, attendez vous à être épatés. |
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Discussions





































Sarah255
[ Thank You !! ]
à 19:02 le 11/07/2020
La mi-Australienne hocha de la tête pour lui donner raison.
- Oui, c'est bien moi.
Elle sourit de plus belle. Ça ne détendait jamais assez de se rappeler un peu de ses origines. Elle connaissait ce sentiment de vouloir garder une part de ce que l'on est, elle le plus que tout autre vu qu'elle avait décidé de garder le prénom Roséanne, comme pour se dire de ne pas oublier.
- Je vous en prie, j'ai toujours l'habitude d'ajouter "san" sur les prénoms de japonais. Ça m'est restée à force de regarder des animés japonais.
Roséanne sourit en se rappelant des longues pendant lesquelles elle privilégiait ses animés de liste à sa vie sociale. Elle en regardait tellement que finalement, elle avait pris leur petit comportement habituel et avait retenu quelques mots qu'ils avaient pour habitude de dire tels "ohayo" "konbawa" ou "arigato". Elle était devenue une fan de la culture japonaise par ces dessins et elle s'assurait complètement. En attendant, qu'en était-il du jeune Japonais ? Lui qui était arrivée dans sa contrée, s'y plaisait-il ? Rencontra t-il des difficultés à parler coréen ou à s'adresser à des gens.
- Alors, vous vous plaise en Corée du Sud ?
- Oui, c'est bien moi.
Elle sourit de plus belle. Ça ne détendait jamais assez de se rappeler un peu de ses origines. Elle connaissait ce sentiment de vouloir garder une part de ce que l'on est, elle le plus que tout autre vu qu'elle avait décidé de garder le prénom Roséanne, comme pour se dire de ne pas oublier.
- Je vous en prie, j'ai toujours l'habitude d'ajouter "san" sur les prénoms de japonais. Ça m'est restée à force de regarder des animés japonais.
Roséanne sourit en se rappelant des longues pendant lesquelles elle privilégiait ses animés de liste à sa vie sociale. Elle en regardait tellement que finalement, elle avait pris leur petit comportement habituel et avait retenu quelques mots qu'ils avaient pour habitude de dire tels "ohayo" "konbawa" ou "arigato". Elle était devenue une fan de la culture japonaise par ces dessins et elle s'assurait complètement. En attendant, qu'en était-il du jeune Japonais ? Lui qui était arrivée dans sa contrée, s'y plaisait-il ? Rencontra t-il des difficultés à parler coréen ou à s'adresser à des gens.
- Alors, vous vous plaise en Corée du Sud ?
à 16:04 le 31/05/2020
Le japonais avait donc aidé la jeune femme à atteindre le banc, tout en essayant de ne pas lui procurer plus de mal qu’elle en avait déjà. Il avait ensuite de nouveau hoché la tête, en l’entendant le remercier. Mais, d’un côté, n’importe qui aurait fait la même chose, non ? Au Japon, comme en Corée, se disant au même niveau du respect, personne n’aurait laissé la jeune brune tomber par terre ou la blesser davantage. Dans un drama, ça pouvait être différent, mais il fallait bien différencier la réalité de la fiction, tout comme au Japon, où les animés ne sont pas du tout le reflet du pays lui-même. C’était donc naturel pour le jeune homme d’aider les personnes en difficulté.
- Ne me remerciez pas, c’est normal. Avait-il dis, ajouté d’un léger sourire.
Hiroki s’assit alors à ses côtés, sur ce banc sur lequel il avait également été un peu plus tôt avec Laël et Cho. Il posa son regard sur elle, tout comme celle-ci qui avait posé son regard sur lui, tout en essayant de trouver avec quoi commencer une conversation, chose pour laquelle il n’était généralement pas très doué. Mais lorsqu’elle lui posa cette question, il se rendit compte après quelques secondes qu’il l’avait déjà vue auparavant, qu’elle était la jeune femme à qui il avait demandé aide pour trouver son chemin afin de rejoindre la salle de spectacle dans laquelle devait se faire le «discours» du directeur de l’Académie, ainsi que la jeune femme avec qui il avait partagé la scène un peu plus tôt.
- Oui, c’est bien moi. Et tu es bien Roséanne, si je ne m’abuse ?
Ces façons qu’elle avait de bégayer et de s'adresser à lui avec un suffixe japonais la rendait adorable, en plus d’être déjà très jolie. C’était ce qu’il préférait, qu'on s'adresse à lui avec un suffixe japonais, tout comme Cho lorsque Hiroki et elle s'étaient rencontrés.
- Merci de t’être adressée à moi avec -san.
Il avait souris légèrement de nouveau.
- Ne me remerciez pas, c’est normal. Avait-il dis, ajouté d’un léger sourire.
Hiroki s’assit alors à ses côtés, sur ce banc sur lequel il avait également été un peu plus tôt avec Laël et Cho. Il posa son regard sur elle, tout comme celle-ci qui avait posé son regard sur lui, tout en essayant de trouver avec quoi commencer une conversation, chose pour laquelle il n’était généralement pas très doué. Mais lorsqu’elle lui posa cette question, il se rendit compte après quelques secondes qu’il l’avait déjà vue auparavant, qu’elle était la jeune femme à qui il avait demandé aide pour trouver son chemin afin de rejoindre la salle de spectacle dans laquelle devait se faire le «discours» du directeur de l’Académie, ainsi que la jeune femme avec qui il avait partagé la scène un peu plus tôt.
- Oui, c’est bien moi. Et tu es bien Roséanne, si je ne m’abuse ?
Ces façons qu’elle avait de bégayer et de s'adresser à lui avec un suffixe japonais la rendait adorable, en plus d’être déjà très jolie. C’était ce qu’il préférait, qu'on s'adresse à lui avec un suffixe japonais, tout comme Cho lorsque Hiroki et elle s'étaient rencontrés.
- Merci de t’être adressée à moi avec -san.
Il avait souris légèrement de nouveau.
à 15:25 le 31/05/2020
Grâce à l'aide du blond, Roséanne réussit à atteindre le banc et s'y assied. Elle nota aussi l'attention avec laquelle il l'avait amené au banc, celle pour que son mal ne se décuple pas. Elle avait apprécié cette gentillesse alors qu'il ne se connaissait pas vraiment.
- Merci, dit-elle en parlant du fait qu'il s'est inquiété dès le début et l'a aidé à s'asseoir pour guérir de son mal.
Roséanne posa sa guitare à côté d'elle en laissant de la place à Hiroki pour pouvoir s'asseoir également. Ses prunelles noirs corbeaux se posèrent sur le joli blond à côté de lui. Elle crut reconnaître celui qui lui avait demandé de le conduire à salle de spectacle pour le "discours" de début d'année académique, le même avait qui elle s'était amusée sur scène lors de ce même "discours" en compagnie de plusieurs autres.
- On se connaît non ? Tu es bien, F-Fugi..wara H-Hirok-ki-san ?
C'était devenu une habitude à présent d'ajouter "san" au quelconque nom ou prénom japonais qu'elle entendait. Elle aimait les suffixes japonais, les reconnaissant comme les marques de politesse japonaise. Même si en Corée c'était plutôt "oppa" ou "unnie", "hyung" ou encore "noona", de toute façon elle se plaisait dans les deux. De plus, avec sa façon de dire le " san", elle, paraissait comme la personne des plus adorables et innocentes au monde, sans pour autant exagérer.
- Merci, dit-elle en parlant du fait qu'il s'est inquiété dès le début et l'a aidé à s'asseoir pour guérir de son mal.
Roséanne posa sa guitare à côté d'elle en laissant de la place à Hiroki pour pouvoir s'asseoir également. Ses prunelles noirs corbeaux se posèrent sur le joli blond à côté de lui. Elle crut reconnaître celui qui lui avait demandé de le conduire à salle de spectacle pour le "discours" de début d'année académique, le même avait qui elle s'était amusée sur scène lors de ce même "discours" en compagnie de plusieurs autres.
- On se connaît non ? Tu es bien, F-Fugi..wara H-Hirok-ki-san ?
C'était devenu une habitude à présent d'ajouter "san" au quelconque nom ou prénom japonais qu'elle entendait. Elle aimait les suffixes japonais, les reconnaissant comme les marques de politesse japonaise. Même si en Corée c'était plutôt "oppa" ou "unnie", "hyung" ou encore "noona", de toute façon elle se plaisait dans les deux. De plus, avec sa façon de dire le " san", elle, paraissait comme la personne des plus adorables et innocentes au monde, sans pour autant exagérer.
à 13:15 le 31/05/2020
[D'acc~]
Hiroki fut légèrement soulagé lorsque la jolie brune finit par prendre sa main et qu’elle se levait. Le jeune homme ne savait que trop bien qu’il ne fallait pas être trop borné lorsque quelqu’un proposait son aide, caractère qui le correspondait un peu moins désormais, sauf lorsqu’il était à fond dans sa musique. Mais dans le cas de la jeune femme, elle aurait davantage de mal à marcher si elle n’acceptait pas de se faire aider. C’était déjà une chose de faite,
- Je l’espère, alors.
Il regarda lui aussi le banc à proximité d’eux, et entraîna doucement la jeune femme avec lui, faisant vraiment attention de ne pas la blesser plus, en espérant, pour elle, que son mal n’était que passager, car cela serait difficile si elle s’était cassé la cheville, voire pire.
Hiroki fut légèrement soulagé lorsque la jolie brune finit par prendre sa main et qu’elle se levait. Le jeune homme ne savait que trop bien qu’il ne fallait pas être trop borné lorsque quelqu’un proposait son aide, caractère qui le correspondait un peu moins désormais, sauf lorsqu’il était à fond dans sa musique. Mais dans le cas de la jeune femme, elle aurait davantage de mal à marcher si elle n’acceptait pas de se faire aider. C’était déjà une chose de faite,
- Je l’espère, alors.
Il regarda lui aussi le banc à proximité d’eux, et entraîna doucement la jeune femme avec lui, faisant vraiment attention de ne pas la blesser plus, en espérant, pour elle, que son mal n’était que passager, car cela serait difficile si elle s’était cassé la cheville, voire pire.
à 11:10 le 31/05/2020