SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
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    BlackWidow
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    le 22/05/2019 à 20:00

    Présentation
    Modifié le 04/06/2019


     

      
      
      
     
         
          Plume Gessie

               Oli Tarin        Carmen Horst      Céleste De Lazar  
     


    Plume Gessie

    Mon nom est Plume. C'est nul, oui, je sais, on me l'a déjà dit. Surtout que quand on me regarde, on ne pense pas à une plume, légère, gracieuse, qui s'envolerait grâce à une douce brise durant à la rosée du matin. Non, non, ce n'est pas ça. On pense plutôt à une fille légèrement trop formée, qui est plutôt du genre à taper dans un ballon et à rire un peu trop fort. Je suis un paradoxe à moi même, je ne remercie pas mes parents. Quoique s'ils m'avaient appelé Coquelicot, cela ne m'aurait pas plus non plus. Parce que je deviens rouge à la moindre émotion. Et rouge rouge, comme une tomate, ou comme quand j'ai mes règles, mais en général j'évite cette comparaison, paraît qu'elle déplait aux gens. Enfin bref, Coquelicot c'est ma soeur. Je me dis souvent que nos parents n'ont vraiment pas fait d'efforts pour choisir des prénoms normaux à leur progéniture.
    Et dire que ça fait 18 ans que je me tape ce nom stupide. 
    D'ailleurs, je croyais qu'à mes 18 ans, le monde allait changer. Mon monde à moi, du moins. Mais pas du tout. Je sors en boîte de nuit depuis mes 16 ans, alors ça ne me change pas d'y entrer avec ma vraie carte d'identité qu'avec ma fausse. (Qui est très bien faîtes d'ailleurs! ) J'ai eu ma première cuite à 16 ans aussi, mon premier petit (fumier) copain à 15 ans, alors en fait, ça ne change rien. Mis à part le fait que je suis toujours vierge et que je sais que ça peut faire fuir les mecs, encore plus qu'avant, je me sens totalement pareille. Je bosse depuis quelques mois dans une école spéciale dans le design, mais je ne sais pas encore quoi choisir comme spécialité. 
    En tout cas, j'ai toujours été très "famille", c'est la prunelle de mes yeux, je donnerai ma vie pour eux. Et c'est ce que j'ai fait. 
    J'étais chez moi, avec ma famille qui ne vient qu'une fois par an, on va plus chez eux qu'eux ne viennent chez nous. Bref, on jouait au ballon, et mon cousin à envoyer le ballon trop fort, qui est allé sur la route. Mon petit cousin, de 7 ans, lui a couru après. J'ai à peine eu le temps de réaliser qu'une voiture arrivait que j'ai poussé de toutes mes forces mon bout de chou jusqu'au trottoir d'en face. 
    Et là, ça a été le noir complet.







    Oli Tarin.

    J'avais 19 ans. 19 ans. 19 ans. Ces mots résonnent encore et encore dans ma tête, comme les vestiges d'un lointain souvenir. 19 ans, c'est mon âge. C'était mon âge. C'était en 1942. J'approche des 100 ans, maintenant. D'après les ressentes âmes, nous sommes en 2019. Cela va faire 77 ans. 77 années que j'attends. C'est peu, j'en convient. Certains d'entres nous sont ici depuis des millénaires. Les plus chanceux sont ceux qui accèdent à ce que nous autres appelons Le Renouveau. C'est un endroit qui semble merveilleux, surtout de notre place. Les âmes qui y accèdent ont droits à un prolongement savoureux de leurs vies d'âmes. Pour les chrétiens, je suppose que cela ressemble au paradis. Pour moi, ce n'est qu'un endroit inaccessible. Il existe aussi La Répétition. C'est l'endroit où les âmes en peine vont. Celles qui ont commis trop de pêchés pour être acceptées au Renouveau, ou bien la où je suis. 
    Dans la zone de l'Attente. La zone noire, inexpressive, où nous attendons. Nous attendons qu'une âme nouvelle se présente à nous et demande notre aide. Mais nombreuses sont celles qui n'en demandent pas. 
    19 ans. 19 ans. 19 ans. Ces mots sont de retour dans mon esprit vide. Vide de sens, vide d'émotions, vide de vie et d'espoir. Lorsque j'avais cet âge, j'étais dans le maquis français. Je devais rejoindre ma famille dans les Pyrénées. Belles montagnes de mon enfance. Je me cachais depuis des années, particulièrement depuis le 17 juin 1940. Depuis l'Armistice. Je n'étais pas Juif, mais je n'ai jamais voulu collaborer avec les Allemands. L'injustice a toujours été un supplice pour moi. Enfin, avant que ma mort devienne le véritable supplice. Je m'en rappelle encore, grâce à ma bonne vielle mémoire. J'étais seul. Je courrais dans le maquis. Des villageois nous avez dénoncé. Je ne peux leur en vouloir. Personne ne voulait risquer sa peau. Seulement, tandis que les résistants avec qui je vivais depuis quelques temps partaient vers le Nord, j'ai fais diversion vers le Sud. La dernière image du monde humain dans lequel j'avais vécu 19 ans était du sang, mon sang, se glissant aux pieds de soldats nazis. 
    19 ans. 19 ans. 19 ans. C'est comme un refrain narguant ma pauvre existence. Je ne suis pas une âme en peine, j'ai trop d'espoir en moi. Je suppose aussi que mes actes ont aidés des gens, puisque je n'ai toujours pas vu certains de mes compatriotes. J'attends que quelqu'un vienne me chercher. Qu'il veuille mon aide, que je le guide vers la vie. Alors, je pourrai l'accompagner. Je reverrai le monde, le parfum des fleurs, la couleur des arbres, le soleil chaud réchauffant ma peau. Je sentirai les gouttes de pluies contre mon corps, l'odeur de l'air pur, le son des oiseaux gazouillants. 
    Alors j'attends, depuis mes 19 ans. J'attends l'heure de mon retour sur terre, pour venger ma mort et celles de mes amis, et revoir le pays que j'aime tant.







    Carmen Horst

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    Céleste De Lazar

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    Discussions

    [les bugs ne m'avaient pas manqué!! ]

    Carmen - Oli

    Oli était ravi que Carmen sache lui répondre. Elle avait l'air intelligente. Il se demandait bien comment il allait réussir à la mener en bateau. paris, c'était loin de chez lui. Et il avait besoin d'y retourner. Vite. Très vite. Ca lui manquait énormément. La vengeance... La vengeance n'était plus très loin. Il était en vie. Il n'avait plus qu'à retrouver les descendants des horribles créatures qui avaient engendrées tant de mort.

    Oli était rusé et intelligent. On lui avait souvent répété, dans l'Attente, que les nazis croyaient faire le bien. Et en voulant se venger, il voulait aussi faire le bien. Il se doutait que se n'était pas une bonne solution que de tuer. Mais la haine enfouit au fond de lui reprenait le contrôle. Tuer, c'était dans le cycle de la vie. Non, la vie, c'était la mort. Donc, après tout, c'était normal.

    Il enfourcha le vélo que lui proposait Carmen et lui rendit seulement son sourire. Il pédala, retrouva rapidement son équilibre et suivit la jeune femme dans ses rues. Après tout, il pouvait la kidnapper, se serait plus rapide. Cependant, elle ne l'aiderai guère. Mais, puisqu'elle était allemande, elle l'aiderai peu dans tous les cas. Ou alors, il devait la faire tomber amoureuse de lui. Non, beurk, cette idée était répugnante. Beurk. Elle? Une allemande? Brrrr, il en avait presque des frissons. Et dire que son avenir était lié au sien.

    Cela le répugnait. Mais, elle était gentille, aussi. Donc bon. Il fallait relativiser. Il songea que ce monde manquait rudement d'action. De bagarres, de coup de feu, de hurlements stridents. Cela lui manquait presque. Quoiqu'il s'était habitué au calme en 77 ans. Mais...Il ne savait pas pourquoi, à ce moment donné, il aurai voulu frapper quelqu'un avec toute sa force.

    _______


    Plume - Céleste

    Plume était ravi que sa cuisine modeste plaise à Céleste. Après tout, elle se définissait comme moyenne. En tout. En cours, dans ses loisirs, dans ses passions, dans son caractère... Elle savait que les gens ne parlait que peu de ce qui était moyen. Et cela l'arrangeait. Pourtant, tout le monde 'laimait bien. Elle ne comprenait pas pourquoi. Peut etre parce qu'elle parlait beaucoup. Et qu'elle était compréhensive. C'était tout.

    <<J'ai hâte demain! J'allais souvent avec ma famille à la mer quand j'étais petite! Oh mais j'y pense, c'est locéan et non pas la mer, mais tu vas voir, c'est génial! Il y a de grandeeeeeeees vagues, avec beaucoup d'écumes, et tout plein de bruit à cause du cassement des vagues. Tu vas adoré. >>

    En pausant les assiettes et les couverts dans l'évier, elle se dirigea vers la salle de bain et sortit une brosse à dents neuve. Elle la lui tendit en lui expliquant à quoi cela servait, et se brossa elle aussi les dents. En même temps, elle alluma rapidement son ordinateur en se demandant quel film aimerait-il voir.

    Elle était épuisée, mais lui, il devait s'adapter à ce drole de monde, alors elle ferait bien un effort pour lui.

    _______


    Eve - Jasper


    Eve regarda jasper et soupira. Le sang qu'il avait disparaissait doucement. Par contre, elle, elle venait de se changer pour le faire disparaitre. Doucement. Elle avait mis une combinaison noire, moulante à souhait, cependant sans décolleté. Elle avait une montre en argent, un coup de poing américain et une chaine à son cou. rapide et éfficace. Elle ouvrit un tiroir en écoutant l'abrutit qui était dans le salon et prit un couteau qu'elle mis dans sa chaussure droite, un dissimulé sous sa ceinture, et elle réfléchit. Non, ce soir, aucun révolver. Elle y allait tranquillement.

    <<Ok. Tu sais te servir d'armes? >>

    Elle le regarda et se dit que la réponse était logique. Non, il ne savait pas. Cela se voyait. Sinon, victime comme il était, il s'en servirait. Donc, il était vraiment inutile. Inutile était un faible mot encore.

    <<Ecoute, monsieur la victime. Tu vas me suivre et te faire discret. Si tu fais un pas de travers je vais te faire souffrir, et tu ne sais pas à quel point. >>

    Son regard était glacial, mais son sourire l'était encore plus. On aurai dit que la pièce était gêlée, d'un coup.

    <<Mais rassure toi, je ne te laisserai pas mourir. >>

    Elle le poussa à l'extérieur de la maisonnette et ferma la porte à clef. Elle avait glissé une autre fausse carte d'identité dans son soutif, elle ne se baladait jamais avec la vraie.
    Elle le regarda une dernière fois et souffla:

    <<On y va. >>
    à 13:18 le 01/09/2019
    Carmen - Oli

    Oli était ravi que Carmen sache lui répondre. Elle avait l'air intelligente. Il se demandait bien comment il allait réussir à la mener en bateau. paris, c'était loin de chez lui. Et il avait besoin d'y retourner. Vite. Très vite. Ca lui manquait énormément. La vengeance... La vengeance n'était plus très loin. Il était en vie. Il n'avait plus qu'à retrouver les descendants des horribles créatures qui avaient engendrées tant de mort.

    Oli était rusé et intelligent. On lui avait souvent répété, dans l'Attente, que les nazis croyaient faire le bien. Et en voulant se venger, il voulait aussi faire le bien. Il se doutait que se n'était pas une bonne solution que de tuer. Mais la haine enfouit au fond de lui reprenait le contrôle. Tuer, c'était dans le cycle de lavie. Non, la vie, c'était la mort.
    à 12:57 le 01/09/2019
    [pardon mais ces vacances sont... folles]
    à 12:52 le 01/09/2019
    [DE RETOUR POUR JOUER UN MAUVAIS TOUR LOL ]
    à 12:52 le 01/09/2019
    [Peut-être un jour mdr]
    à 21:48 le 22/08/2019
    [je rep un de ses jours lol :x ]
    à 17:34 le 31/07/2019
    [Honnêtement, tu fais comme tu sens. Il faut que tu sois satisfaite de ta réponse, c'est le plus important!]
    à 23:35 le 08/07/2019
    [si je reponds se sera court, ne m'en veut pas trooop :x ]
    à 23:28 le 08/07/2019
    [Ne te presse pas! Je peux attendre, je te promets! :D]
    à 23:17 le 08/07/2019
    [je reponds demain si je peux! ]
    à 23:08 le 08/07/2019