Présentation
SYNOPSIS
La dernière année de lycée. La terminale. La plus tumulteuse pour tout adolescent. En même temps, avec le bac, que faut-il espérer de plus? Comme si l'adolescence en elle-même n'était pas suffisement compliquée, il fallait en plus ajouter à tout ça cet examen final tant redouté par les étudiants. Cette année paraît cependant, le bac en plus, comme toutes les autres. Comme celle de seconde et de première. Mêmes élèves. Même bâtiment. En apparence, rien ne vient changer les petites habitudes qui ont pu se créer, les liens d'amitié qui sont déjà bien fort après deux ans à se cotoyer... Mais si, votre meilleur ami, pourtant parti à l'aube de l'adolescence, refaisait surface, pour cette ultime et dernière année de lycée? Est-ce qu'après toutes ces années sans se parler, le temps aura réussi à avoir raison de votre ancienne amitié? Est-ce qu'il faudrait définitivement tirer une croix sur ce lien qui était pourtant fort autrefois? Ou, au contraire, le temps n'aurait-il pas renforcé ce lien? Dans tous les cas, une chose est sûr, vos vies risquent d'être troublées après ça. Reste à savoir si cela sera positif ou négatif.
RLa ègles June Miller | 17 ans
June est... marquante. Soit elle plait soit pas du tout. Mais elle ne laisse personne indiférent. Issue d'une famille riche, voire très riche, elle a été pourrie-gatée dans son enfance. Et pourtant elle n'est jamais devenu comme les gamines riches de séried ou des film. Pas de caractère ego centrique, de vantartise et de sale coup. June etait une petite fille adorable et polie. Mais tout a changé a l'arrivée de l'adolecence. Là elle a commencé a souffrir de la pression mise par ses parents. Meilleures notes, apparence parfaite, caractère doux et obéissante. Et là elle a décidé de se rebeller. Musique, idéologies, look, June n'a plus jamais correspondu a se que ses parents attendait d'elle. A l'entré au collège June était la gamine emo. Et les emo on aime les faire chier. Au problèmes familliaux c'est greffé le harcèlement. Et avec le départ pour l'étranger de son meilleur ami, on peut dire que l'adolecence de la jeune femme n'a pas été rose. En grandissant, elle a.fi ir par se relever et désormais au portes de l'universitée, elle n'a plus grand chose de la June de 12ans.
À maintenant 17 ans, elle a affirmé une personalité forte, qui peut s'avérer cassante. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et dit se qu'elle pense et tant pis si elle vexe ou blesse. On peut lui trouver une certaine vulgarité, dans ses parole, ou parfois ses vêtements. Le style de la jeune fille est assumé, peut importe sa tenue du jour. Pour baucoup June est une jeune femme en roue libre et qui finira mal. Elle connais tout le gratin de New-York et ses déboires.Soirée, drogue et alcool sont chose communes pour elle il est vrais. Elle passe ses nuit de week-end et souvent de semaine dehirs avec ses amis, a fumer des clopes et boire, pour oublier qu'elle ne se voit pas de future parfait, que la vie est une pute et que sa génération est brisé. Ses autre soir de semaine elle les passe dans sa chambre, a dessiner avec son lecteur vinyle diffusant de vieux morceau de rock. Et ses Jeudis soir elle les offre a ses cours de danse.
Mém
M Leart Curtis | 18 ans
“Non, non je ne veux pas aller là-bas! Laissez-moi avec ça!”
Leart se souviendrait toujours de l’agressivité de sa voix lorsqu’il s’était disputé pour la énième et dernière fois avec ses parents. Du haut de ses 12 ans et demi, le petit garçon faisait presque peur à voir. C’était comme s’il était prêt à frapper ses parents. Et, du peu de souvenirs qui lui restait, Leart savait que ce jour là, il aurait pu le faire. Encore maintenant, il était persuadé que sa réaction n’était pas démesurée, mais totalement proportionné aux propos de ses chers et tendres parents. Parce que ces derniers, trouvant leur fils pas forcément très discipliné, dissipé dans son travail scolaire, et peut-être un peu violent, ont eu la brillante idée de l’envoyer dans une école militaire aussi loin que possible du logement familial. Et ça, ça n’avait pas plu à Leart. D’abord parce qu’il ne voulait pas se retrouver dans un endroit où discipline était le maître mot, et ensuite parce qu’il ne pouvait pas accepter de perdre tous les amis qu’il s’était fait jusque là. Et forcément, à son âge, il n’avait pas son mot à dire face à des parents aussi déterminés que les siens. Alors il avait dû tout quitter. Et le plus dur, ça avait été de dire au revoir à sa meilleure amie de l’enfance. Un doux moment de jeunesse, qu’il avait un peu oublié désormais. Le jeune garçon était bien conscient qu’il avait quelques problèmes de discipline, qu’il était un peu trop impulsif et violent… Mais ça avait toujours été comme ça, et même plus, ça serait toujours le cas. Et l’envoyer dans une école militaire, ça n’allait rien changer. Le jeune homme avait même essayé de faire comprendre à ses parents que ça allait être pire. Et il n’avait pas eu tort. Aujourd’hui, à la sortie de cette école, du haut de ses 18 ans, il avait compris qu’il venait littéralement de gâcher toute sa vie. Et d’ailleurs, s’il avait dû partir de cette école, c’était à cause de son comportement au sein de l’établissement. Parce qu’au final, l’environnement dans lequel il avait été obligé d’évoluer avait poussé Leart à devenir plus agressif. Et évidemment, son impulsivité s’était empirée. Si bien que l’école n’a pas voulu le réinscrire pour son année de terminale. Là-bas, il avait été rapidement considéré par les autres inscrits comme la petite terreur. Peur de rien, toujours prêt à participer à un combat, se laissant un peu trop emporter par son impulsivité… Leart était devenu presque incontrôlable. Et le pire se passait toujours lorsqu’il se trouvait à l’internat, accompagné de tous les autres occupants. Il réussissait à emporter tous les autres dans ses projets infernaux. Si bien que les surveillants n’avaient pas d’autorité suffisante pour le contenir. L’année de première fut probablement la pire, puisqu’il avait entraîné toute sa section dans le redoublement. Et le pire, c’est qu’il avait fait tout ça délibérément. Et ça l’avait rendu fier. Fier de savoir qu’un bon nombre de ses camarades le suivrait dans toutes ses conneries. Il était comme le leader d’une petite armée, prête à détruire tout ce qui pourrait leur barrer la route. Une école spécialisée dans les enfants aux comportements difficiles? Leart n’en était pas si sûr. Ils n’avaient pas été capable de le retenir lui. Et il était devenu pire qu’avant. Et ça le rendait heureux. Parce qu’il avait prouvé à ses parents qu’il avait raison depuis le début. Seulement, derrière ce petit jeu, le jeune homme n’arrivait plus à contrôler son impulsivité. En réalité, il n’avait jamais réellement voulu qu’elle atteigne le niveau où il ne pourrait plus du tout la contenir. Et, malheureusement, c’était arrivé. Si bien qu’il avait été forcé à consulter un psychiatre. Ça avait été d’une telle difficulté que le spécialiste lui avait d’abord prescrit du tiapridal. Un médicament censé calmer l’impulsivité et l’agressivité. Et ça avait marché. Les injections s’opéraient de force sur le jeune homme, qui n’avait plus son mot à dire. Seulement, d’autres médicaments vinrent s’ajouter à la liste, d’autres se retiraient… Le jeune homme se voyait prescrire toute sorte de neuroleptiques qui pouvaient calmer son comportement. Au final, il se retrouvait assoupi pendant presque toute la journée. Comme s’il n’était plus vraiment lui-même. On l’avait totalement transformé. Et puisqu’il ne pouvait plus suivre les entraînements, auxquels il excellait pourtant auparavent (c’était peut-être même la seule chose qu’il aimait réellement), la direction avait décidé qu’il était désormais inutile de le garder au sein de l’établissement. Après tout, il n’était plus agressif. Alors on l’avait simplement rendu à ses parents, avec, en cadeau, une liste du psychiatre et un beau stock de boîtes de médicaments en prime. Les grandes vacances avaient été plutôt tumultueuses. Leart avait, à plusieurs reprises, totalement refusé de suivre le traitement qui lui avait été prescrit contre son gré, sauf un médicament. C’était du diazépam. C’était comme s’il sentait qu’il en avait besoin pour vivre. C’était presque infernal. Cette école avait vraiment ruiné sa vie, et sa santé. Et pour ça, il en voulait terriblement à ses parents. Si bien qu’il ne montrait plus aucun signe d’affection, ni même de sympathie. C’était fini. Jamais il ne les pardonnerait. Et honnêtement, c’était tout ce qu’ils avaient mérité. De la haine. Même s’il devait faire son année de terminale, il se jura qu’après ça, il quitterait cette foutue maison. Il ne savait pas où il irait, mais une chose était certaine, il le ferait. Peu importe où, peu importe comment, il le ferait.
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