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- le 25/03/2019 à 21:17
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c
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Andestria
{Hey, je suppose que tu n'es plus active pour RP ? :)]
à 11:32 le 18/09/2020
Nevra avait récidivé, il avait encore fumé, dans la cour du lycée.
Bien sûr, quelqu’un avait cafté, encore un de ses attardés.
Tout le long, il avait conservé son air détaché. Les heures de colle, il en faisait collection. Lorsque le pion lui ordonna d’éteindre sa cigarette, il se permit de souffler une nouvelle bouffée, comme si rien n’avait d’importance. C’est qu’il était encore jeune… ll aurait tout le temps de penser au futur...Plus tard. Lorsque le pion s’approcha, il jeta la cigarettes sur le sol, la piétina, puis s’avança. Le pion était habitué à son petit jeu, mais il ne savait toujours pas comment s’y prendre avec lui, avec cette lueur de défi, qu’il arborait constamment. Mais il l’avait suivi sans faire de vauges, pour cette fois. C’est qu’il avait fini de faire son show. Ses amis riaient aux éclats, un peu plus loin. L’un d’eux avaient encore sa cigarette entre ses doigts, pas encore allumé. Le pion l’avait sermonné, mais ça les avait fait encore plus rigoler. “C’est bon je la jette, vous voyez ?” qu’il lui dit. Saleté de gamins pourris.
Et Nevra derrière lui, continue d’avancer, mains dans les poches, terriblement calme.
Mais lorsqu’il tourne son visage vers les autres lycéens, il ne peut pas s’empêcher de les détester. Tout ces regards vers lui. Certains lèvent les yeux au ciel, d’autres refusent de s’approcher. Comme si le seul fait de le toucher, pouvait les condamner.
Et puis, il y a les fortes têtes, ceux qui ne se démontent pas, qui continue de le regarder. Kurstin, qu’elle s’appelle. Cette fille à la vie parfaite, peau parfaite, vêtements parfaits, démarches parfaites. Putain, c’qu’il aurait aimé lui ressembler.
Mais faut croire qu’il était pas né du bon côté. Ou qu’il avait pas jeté les bons dés.
Mais c’était plus facile de rejeter la faute sur le destin. Maudit destin.
- Qu’est ce que t’as, à me regarder comme ça ?
Cette fois, ses sourcils se froncent, alors qu’elle continue de l’observer.
Il sait très bien ce qu’elle pense, ce qu’ils pensent.
Mais il continue d’avancer, sans se retourner.
Le passage chez le Proviseur, où il entends toujours le même refrain, passe à la vitesse de l’éclair. Bientôt, il retourne dans les couloirs, erre pendant quelques minutes.
Il ouvre son casier, change ses livres pour ceux d’histoire et de géographie.
Y’a une parti de lui qui était prête à écouter, par ce qu’il aimait bien le professeur, par ce qu’il aimait bien la matière. Petit, il s’était vu archéologue. Mais dès qu’il est rentré, qu’il a rejoint sa place au fond de la classe, place de privilégié, il reçoit les rires et les sourires de ses amis. Et bientôt, tout est finis. Adieu résolutions, vive la procrastination. Parce que demain, est un autre jour.
Bien sûr, quelqu’un avait cafté, encore un de ses attardés.
Tout le long, il avait conservé son air détaché. Les heures de colle, il en faisait collection. Lorsque le pion lui ordonna d’éteindre sa cigarette, il se permit de souffler une nouvelle bouffée, comme si rien n’avait d’importance. C’est qu’il était encore jeune… ll aurait tout le temps de penser au futur...Plus tard. Lorsque le pion s’approcha, il jeta la cigarettes sur le sol, la piétina, puis s’avança. Le pion était habitué à son petit jeu, mais il ne savait toujours pas comment s’y prendre avec lui, avec cette lueur de défi, qu’il arborait constamment. Mais il l’avait suivi sans faire de vauges, pour cette fois. C’est qu’il avait fini de faire son show. Ses amis riaient aux éclats, un peu plus loin. L’un d’eux avaient encore sa cigarette entre ses doigts, pas encore allumé. Le pion l’avait sermonné, mais ça les avait fait encore plus rigoler. “C’est bon je la jette, vous voyez ?” qu’il lui dit. Saleté de gamins pourris.
Et Nevra derrière lui, continue d’avancer, mains dans les poches, terriblement calme.
Mais lorsqu’il tourne son visage vers les autres lycéens, il ne peut pas s’empêcher de les détester. Tout ces regards vers lui. Certains lèvent les yeux au ciel, d’autres refusent de s’approcher. Comme si le seul fait de le toucher, pouvait les condamner.
Et puis, il y a les fortes têtes, ceux qui ne se démontent pas, qui continue de le regarder. Kurstin, qu’elle s’appelle. Cette fille à la vie parfaite, peau parfaite, vêtements parfaits, démarches parfaites. Putain, c’qu’il aurait aimé lui ressembler.
Mais faut croire qu’il était pas né du bon côté. Ou qu’il avait pas jeté les bons dés.
Mais c’était plus facile de rejeter la faute sur le destin. Maudit destin.
- Qu’est ce que t’as, à me regarder comme ça ?
Cette fois, ses sourcils se froncent, alors qu’elle continue de l’observer.
Il sait très bien ce qu’elle pense, ce qu’ils pensent.
Mais il continue d’avancer, sans se retourner.
Le passage chez le Proviseur, où il entends toujours le même refrain, passe à la vitesse de l’éclair. Bientôt, il retourne dans les couloirs, erre pendant quelques minutes.
Il ouvre son casier, change ses livres pour ceux d’histoire et de géographie.
Y’a une parti de lui qui était prête à écouter, par ce qu’il aimait bien le professeur, par ce qu’il aimait bien la matière. Petit, il s’était vu archéologue. Mais dès qu’il est rentré, qu’il a rejoint sa place au fond de la classe, place de privilégié, il reçoit les rires et les sourires de ses amis. Et bientôt, tout est finis. Adieu résolutions, vive la procrastination. Parce que demain, est un autre jour.
à 20:19 le 28/04/2019
[J'AI ENFIN REUSSI A COMMENCER LES INTRO !
Je poste le premier, je fais le suivant dès maintenant! ]
Alex, de son véritable prénom Alexandra, se leva, comme chaque matin, après que la sonnerie du portable est retentit trois fois. A la dernière sonnerie, son corps se dirigea naturellement vers la salle de bain. Le reflet qu’elle voyait dans la glace, elle ne le regarda pas. Elle se contenta, comme à chaque fois, de prendre le ciseau posé sur le côté droit. Couper les mèches qui venait à dépassé. Rien ne devait changer.
Cela faisait déjà quelques années qu’elle avait arrêté de laisser ses cheveux pousser.
Ensuite, il fallait bander. Bander cette poitrine qui la gênait, même si elle n’était pas forcément très développé. Au départ, c’était plutôt douloureux, maintenant, c’était juste quelque chose de banal. Ensuite, il suffisait de mettre ses vêtements noirs, la plupart du temps des sweet. L’avantage, c’est qu’on ne la remarquerait pas.
D’ailleurs, lorsqu’elle descendit les escaliers, ses parents, déjà installés autour de la table de la cuisine. Silence pesant, regards pesants. ça faisait deux ans. Qu’elle avait changé. Elle ne s’en était jamais expliqué, et eux, ils n’avaient jamais cherché.
Juste étonné, puis démoralisé. Crise d’adolescence, qu’ils devaient penser.
- Je suis en retard, à ce soir…
Elle voit les sourcils de sa mère se froncer, par ce qu’encore une fois, elle ne prend pas son petit déjeuner. Peut être qu’elle attendait juste qu’elle la ratrappe. Qu’elle l’implore, de lui expliquer, ce qui c’était passé. Pourquoi Adrian ne venait plus à la maison, pourquoi ses autres amis, n’étaient plus ici. Pourquoi elle semblait si seule. Pourquoi elle avait décidée de se cacher. Mais pas besoin de se retourner pour comprendre qu’il était retournée à l’observation de leurs mares de café.
Une fois dans le bus, toujours la même chanson, écouteurs dans les oreilles, pas un regard pour ceux qu’elle côtoie. Le lycée n’a pas changé, c’est juste elle qui s’est métamorphosée. Au moins, ils ont fini par oubliés, l’oublier. Lorsqu’elle rejoignit son lycée, elle n’avait plus peur d’être humilier. Fallait seulement attendre la fin de la journée, subir les cours d’anglais, la cour de récré, la cantine bondée. Pas besoin de baisser la tête, suffisait de mettre sa casquette. C’est seulement lorsqu’elle est sorti, qu’elle a rejoint ses vrais amis. “Vrais amis” à qui elle mentait pourtant constamment. Parce qu’elle n’était pas comme eux, parce qu’elle aurait voulu ne pas avoir à se cacher, pouvoir être libérée. Mais y’avait toujours cette peur d’être dévoilée. Pourtant, cela ne l’empêchait pas de se sentir libérée, alors qu’elle s’avançait vers l’autre lycée du quartier. A la personne qu’elle avait bousculée [ERWAN], elle n’offrit guère qu’un visage contrit, alors qu’elle sautait pratiquement au cou de sa bande d’amis. Ils ne savaient pas qu’elle était une fille. Ou peut être qu’ils le savaient, mais qu’ils n’en avaient jamais rien dit. En tous cas, elle appréciait ces moments là.
- Salut les gars, alors ce ciné, on se le fait ?!
Je poste le premier, je fais le suivant dès maintenant! ]
Alex, de son véritable prénom Alexandra, se leva, comme chaque matin, après que la sonnerie du portable est retentit trois fois. A la dernière sonnerie, son corps se dirigea naturellement vers la salle de bain. Le reflet qu’elle voyait dans la glace, elle ne le regarda pas. Elle se contenta, comme à chaque fois, de prendre le ciseau posé sur le côté droit. Couper les mèches qui venait à dépassé. Rien ne devait changer.
Cela faisait déjà quelques années qu’elle avait arrêté de laisser ses cheveux pousser.
Ensuite, il fallait bander. Bander cette poitrine qui la gênait, même si elle n’était pas forcément très développé. Au départ, c’était plutôt douloureux, maintenant, c’était juste quelque chose de banal. Ensuite, il suffisait de mettre ses vêtements noirs, la plupart du temps des sweet. L’avantage, c’est qu’on ne la remarquerait pas.
D’ailleurs, lorsqu’elle descendit les escaliers, ses parents, déjà installés autour de la table de la cuisine. Silence pesant, regards pesants. ça faisait deux ans. Qu’elle avait changé. Elle ne s’en était jamais expliqué, et eux, ils n’avaient jamais cherché.
Juste étonné, puis démoralisé. Crise d’adolescence, qu’ils devaient penser.
- Je suis en retard, à ce soir…
Elle voit les sourcils de sa mère se froncer, par ce qu’encore une fois, elle ne prend pas son petit déjeuner. Peut être qu’elle attendait juste qu’elle la ratrappe. Qu’elle l’implore, de lui expliquer, ce qui c’était passé. Pourquoi Adrian ne venait plus à la maison, pourquoi ses autres amis, n’étaient plus ici. Pourquoi elle semblait si seule. Pourquoi elle avait décidée de se cacher. Mais pas besoin de se retourner pour comprendre qu’il était retournée à l’observation de leurs mares de café.
Une fois dans le bus, toujours la même chanson, écouteurs dans les oreilles, pas un regard pour ceux qu’elle côtoie. Le lycée n’a pas changé, c’est juste elle qui s’est métamorphosée. Au moins, ils ont fini par oubliés, l’oublier. Lorsqu’elle rejoignit son lycée, elle n’avait plus peur d’être humilier. Fallait seulement attendre la fin de la journée, subir les cours d’anglais, la cour de récré, la cantine bondée. Pas besoin de baisser la tête, suffisait de mettre sa casquette. C’est seulement lorsqu’elle est sorti, qu’elle a rejoint ses vrais amis. “Vrais amis” à qui elle mentait pourtant constamment. Parce qu’elle n’était pas comme eux, parce qu’elle aurait voulu ne pas avoir à se cacher, pouvoir être libérée. Mais y’avait toujours cette peur d’être dévoilée. Pourtant, cela ne l’empêchait pas de se sentir libérée, alors qu’elle s’avançait vers l’autre lycée du quartier. A la personne qu’elle avait bousculée [ERWAN], elle n’offrit guère qu’un visage contrit, alors qu’elle sautait pratiquement au cou de sa bande d’amis. Ils ne savaient pas qu’elle était une fille. Ou peut être qu’ils le savaient, mais qu’ils n’en avaient jamais rien dit. En tous cas, elle appréciait ces moments là.
- Salut les gars, alors ce ciné, on se le fait ?!
à 19:33 le 28/04/2019
[J'suis désolée, j'ai pas mal de devoirs à faire cette semaine omg
J'ai juste le temps de répondre au RPG public pour pas les mettre en retard !
Mais dès que ça va mieux j'introduis les personnages promis !]
J'ai juste le temps de répondre au RPG public pour pas les mettre en retard !
Mais dès que ça va mieux j'introduis les personnages promis !]
à 12:51 le 14/04/2019
[Je pense qu'on pourrait d'abord mettre en place le quotidien des perso afin de cerner leur vie et caractère, pour le duo Kurstin/Nevra on fait leur vie jusqu'à l'altercation et ils échangent les corps le lendemain de la fameuse phrase prononcée, et pour le duo Erwan/Alex on fait leur vie et ensuite un évènement qui arrive et qui les pousse à prononcer cette phrase!
Dans le film au début on voit leur vie chacun de leur côté, et un moment elle prononce la phrase en mode "J'aimerais être un garçon qui vit à Tokyo" et hop elle est projetée dans le corps de celui ci >.>]
Dans le film au début on voit leur vie chacun de leur côté, et un moment elle prononce la phrase en mode "J'aimerais être un garçon qui vit à Tokyo" et hop elle est projetée dans le corps de celui ci >.>]
à 18:41 le 10/04/2019
[Je fais l'introduction direct au moment où ils échangent leurs corps du coup ?
Dans le film d'animation, ça se passe la nuit ou d'un seul coup ? ]
Dans le film d'animation, ça se passe la nuit ou d'un seul coup ? ]
à 22:27 le 09/04/2019