SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Présidente :
    gracelove
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    Date de création :
    le 28/07/2018 à 01:03

    Présentation
    Modifié le 31/07/2018

    Clémence

    Jeong Clémence, 20 ans

    Étudiante en Droit International

    Franco-coréenne

     

    Haru

    Haru Misaki, 21 ans

    Étudiant en cinématographie

    Franco-japonais

     


    Nouvelles membres


    Discussions

    [ Ça me va.

    Non, aucune. Chaque pays me va. Ça peut être des pays européens comme asiatiques comme américains. Et toi ? ]
    à 21:56 le 10/04/2019
    [ Vu que j'ai fait beaucoup de garçons, je veux bien faire une jeune femme qui s'est faite larguée.

    Tu as des préférences, niveau pays/ exposition ?]
    à 21:25 le 10/04/2019
    [ Originale comme histoire. Ça me va !
    Qui veux-tu faire en sachant que n’importe lequel de ses rôles me va. ]
    à 20:29 le 10/04/2019
    [ Du coup, j'y ai repensé et mon concept n'était pas ouf x) Du coup vite fait, ma nouvelle idée :

    Deux jeunes adultes. L'un vient de loin pour ses études/ boulot, l'autre vient de perdre l'amour de sa vie et en est dévasté(e). Lors d'une journée dans une exposition, ils se rencontrent, plus tard, ils se rendent comptent qu'ils se connaissaient. L'un est de la famille de l'ex de l'autre.

    Ca te va ? ]
    à 18:03 le 10/04/2019
    [ Aucun souci. Oui, pourquoi pas ? Dis-moi tout. ]
    à 15:13 le 05/04/2019
    [ Oh, salut ! Vraiment désolée >< Je t'avais répondu mai j'avais pas capté que mon message ne s'était pas envoyé. Je pensais que c'était ton tour T-T Du coup, si tu veux toujours Rp avec moi, je pense à faire un autre contexte plus original. Ça te dis ?]
    à 20:22 le 04/04/2019
    [ Salut. Serais-tu revenue ? ]
    à 20:12 le 04/04/2019
    - Je ne le fais pas que pour toi. Ta sœur doit avoir besoin de toi. De toute façon, je ne te laisse pas le choix. Alors attrape de nouveaux vêtements et go.

    Clémence était tellement déterminée que ses yeux brillaient d’une certaine lueur. Elle ne lui laissait pas d’autres choix que de se résigner. C’étaient ses affaires si elle ratait les cours, pas les siennes. Et puis, elle n’aurait jamais pris une telle décision de manière si inconsciente. Elle s’était arrangée avec son amie pour lui passer les cours et pour lui raconter ce qu’elle avait loupé. Donc, niveau cours, elle n’avait pas de soucis à se faire.

    Pendant que son voisin allait mettre de nouveaux vêtements, la jeune femme se baissa pour regarder le chaton. Elle ignorait qu’il avait un animal de compagnie. Elle laissa le chat sentir sa main afin qu’il se laisse apprivoiser puis le caressa doucement, souriant en entendant ses ronrons.

    Quand le jeune homme revint tout beau tout propre, Clémence dit au revoir au chaton puis descendit en prenant l’ascenseur afin de sortir de l’immeuble. Une fois dehors, la partie commençait. Se déplaçant alors dans les rues de la ville, les deux voisins faisaient le tour des hôpitaux. La matinée passa à une vitesse incroyable et toujours aucune nouvelle de cette Kana Misaki, à croire qu’elle avait disparu. Tant bien que mal, Clémence tentait d’encourager son voisin à ne pas perdre espoir. Ils n’avaient pas encore vu tous les hôpitaux.

    Alors, sautant le repas du midi, la jeune femme et Haru continuèrent leur recherche. Recherche qui finirent par payer. En effet, vers trois heures de l’après midi alors qu’ils avaient presque fait tous les hôpitaux et centres pour personnes ayant tenté de se suicider, un établissement leur donnait enfin une réponse favorable.

    - Oui, nous avons bien une patiente de son nom dans notre service. Êtes-vous de la famille ?
    à 13:53 le 09/08/2018
    Deux heures du matin. Il lui fallait une boisson énergisante pour pouvoir tenir plus que ça mais Haru se voyait mal farfouiller dans les placards de sa voisine de plus qu'il aurait peut-être trouvé des objets... personnels. Il avait donc du se faire à l'idée, c'était impossible d'en venir à bout de plus qu'il était maintenant seul. Il s'était malaxé les paupières, sentant la fatigue l'envenimer de plus en plus.

    Quand il était rentré chez lui, c'était sans surprise qu'il avait trouvé son appartement dans l'état où il l'avait laissé : en pagaille. Trop fatigué pour faire qui que ce soit, il était allé au lit. Pourtant il lui était impossible de fermer l'œil. Les yeux rivés vers un point dans le vide, il imaginait Kana étendue sur un lit d'hôpital immaculé. Des milliers de percutions, étaient plantées dans ses avant-bras pansés et un appareil comptait les battements de son cœur.

    D'un coup, Haru se passa une main sur le visage. Impossible de dormir avec ça dans la tête. Il s'était levé et était allé se prendre une canette de soda glacée quand un miaulement venant de son balcon l'avait surpris. Un chaton essayait d'attirer son attention en grattant sa porte. Haru sourit et s'accroupit.

    — T'es perdu ?

    Le chat miaula et le jeune homme le prit. Sa fourrure noire était tachée de poussière mais ça ne le rendait pas moins mignon. Haru n'avait jamais été superstitieux alors, avoir un chat noir avec lui ne lui porterait pas la poisse. Il approcha un doigt vers lui et quand il obtint son approbation, il le caressa lui provoquant des ronronnements.

    Un bain et une assiette de lait plus tard, le chat semblait être le plus heureux du monde. Haru n'avait jamais eu d'animaux de sa vie parce qu'il a toujours vécu en appartement mais maintenant qu'il était seul et en manque cruel d'assistance, il pensait à l'adopter.

    — T'es une vrai machine à ronron, toi hein ?

    Le chat miaula.

    — Quoi ? Ronron ? Ça te plaît comme mot ?

    Il miaula de nouveau.

    — Alors ce sera ça. Ronron.

    La nuit était passée et Haru avait finit par s'endormir avec son nouvel animal dans les bras. Au réveil, il avait l'impression qu'une troupe d'hippopotames obèses lui avait écrasé la tête et puis il y avait cette foutu sonnette qui n'arrêtait pas de résonner.

    Quand Clémence lui proposa de faire tous les hôpitaux, Haru fut d'abord surpris. Oui, il n'avait ni la tête, ni l'envie d'aller en cours mais elle n'avait pas à faire ça.

    — Hors de question. Tu peux pas rater les cours pour... Moi.

    Un miaulement se fut entendre et Ronron sortit de l'appartement pour s'enrouler à chacune de ses jambes.
    à 23:48 le 07/08/2018
    La proposition faite, son voisin avait l’air motivé pour s’exécuter. Cependant, Clémence avait complètement oublié que l’annuaire qu’elle avait daté de trois ans. Il leur fallait donc un plus récent. C’est là qu’Haru lui mentionna alors l’existence d’un couple homosexuel qui était en possession d’un annuaire datant de 2018. Elle le laissa alors monter jusqu’à leur étage pour le prendre puis une fois redescendu, les recherches pouvaient démarrer. Armés de leurs téléphones, ils avaient dressé une liste des hôpitaux que chacun devait appeler.

    Une heure était passée, le coup de barre apparut chez Clémence. En effet, sa journée commençait à être trop longue. A cette heure-ci, habituellement, la jeune femme était dans son lit, dormant suite au passage du marchand de sable. Voilà pourquoi, elle devait maintenant lutter contre le sommeil, secouant parfois sa tête pour garder les idées claires, baillant pour extérioriser sa fatigue. En plus de ce combat, elle devait lutter contre la perte de motivation. Chaque appel qu’elle avait passé commençait et terminait de la même façon:

    - Bonsoir, ce serait pour un renseignement. Est-ce qu’une certaine patiente répondant au nom de Kana Misaki serait dans votre service ?
    - Toutes nos excuses, mademoiselle mais nous n’avons aucune patiente du nom de Kana Misaki.
    - D’accord, merci, passez une bonne soirée.
    - Merci, à vous aussi.

    C’était décourageant. Et le plus dur était de dire à son voisin que cet appel se soldait une fois de plus par un échec. A force, à force, Clémence perdit la notion du temps et finit par s’endormir, le téléphone à la main.

    Ce n’était que le lendemain qu’elle se rendit compte qu’elle avait atterri dans son lit. Elle s’était donc endormie. Elle s’en voulut beaucoup de ne pas avoir plus aider son voisin. Alors, se préparant en vitesse, elle sortit de chez elle et toqua à la porte de son voisin. Quand il lui ouvrit, elle le regarda dans les yeux.

    - Faisons les hôpitaux de la ville et les centres d’internement pour ce genre de cas. On la trouvera peut-être.

    Clémence avait cours, oui mais elle savait que si elle y allait, elle ne cesserait de penser à cette affaire. De plus, Haru non plus ne devait pas avoir la tête aux études, alors autant qu’ils sèchent.
    à 22:14 le 07/08/2018