SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
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    BlackWidow
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    le 04/01/2018 à 12:51

    Présentation
    Modifié le 06/01/2018

              
    Présentation

     COUCHSURFING





    Le couchSurfing, c'est quelque chose qui vous avait toujours intrigué. Visiter un pays, découvrir ses traditions et ses cultures... Voyager, c'était votre rêve. Le seul problème, c'était l'argent : les logements étaient chers, le transport était cher aussi... Mais depuis que vous vous êtes intéressé à ce principe que l'on nomme CouchSurfing, ce rêve devenait subitement plus accessible. Le principe, c'était d'aller vivre momentanément chez un habitant du pays dans lequel vous vouliez vous rendre. En somme, ça pouvait vous permettre d'être logé gratuitement, avec en plus un habitant qui pourrait vous donner des bon plans, vous faire découvrir sa culture... Vous n'aviez aucune raison de ne pas tenter votre chance. 
    Vous vous êtes donc, un beau jour, rendu sur ce site. Vous avez cherché parmi tous les profils qui proposaient un hébergement. Il y en avait pas mal, mais, pour une raison qui vous échappait, vous avez décidé de contacter cette personne. Ce profil qui n'avait pas de notes, celui qui n'avait pas non plus de commentaires... C'était risqué. Mais c'était aussi un profil récent. Après tout, tout le monde avait le droit à sa chance ?
    Vous avez regardé en détail les photos de la maison... Parce que oui, lui, il proposait une maison, et pas un petit appartement comme la plupart. Cependant, il indiquait aussi qu'il était logé assez loin de la ville. Peu importe, c'était aussi ce qui faisait le charme de son offre après tout.

    Ce choix, vous l'avez fait il y a quelques semaines de ça. Vous aviez reçu une réponse positive. Vous êtes en ce moment même dans l'avion, prêt à passer plusieurs mois chez un parfait inconnu. Vous vous sentez un peu stressé. Était-ce une bonne idée ? Est-ce que tout allait bien se passer ? 
    En tout cas, une chose était sûre : c'était trop tard pour reculer.

    Règles



    Christophe de Bourmont - Surnommé Chris - 21 ans



    Un truc de pauvre. Il était en train de faire ça. Il n'en revenait pas, en même temps, si c'était l'unique moyen, il était capable de devenir un prolétaire se noyant dans le fleuve de la pauvreté. La preuve, il était en train de le faire. Ses amis n'en reviendraient pas... enfin, "ses amis". Ses connaissances intéressées par son charisme, son pouvoir et son argent. Lui même qui était intéressé uniquement par une intelligence, un visage ou une autre puissance monétaire. Au moins, l'accord tacite silencieux était réciproque. Ainsi, sans attentes particulières, on ne pouvait pas être déçu. C'est sans doute ce qu'il recherchait, ne plus souffrir inutilement pour le commun des mortels.

    Pourtant, après un paragraphe descriptif parfois déprimant, on pourrait s'attendre à un jeune homme tout aussi mortifiant. Mais non, au contraire. Ses défauts son plus dans sa trop grande confiance en lui, son manque de sentiments profonds, son attitude de pourri gâté ou encore sa franchise désarmante. Non, c'est un homme ivre de la vie et ses plaisirs, croquant dans la force et l'énergie, il ne vit que de passion et d'eau fraîche. Ses buts, il fait tout pour les atteindre, dès lors où il se les ai fixé. Il est prêt à tout : dépenser l'argent de papa et maman, manipuler les plus faibles que lui, ou encore menacer les petites faiblesses des forts. Tout le monde à un point faible de toute manière. Il estime qu'à par lui même, tout est apte à être modifié et plié à sa guise et ses bonnes volontés. C'est pourquoi, quand on lui résiste, il n'a pas l'habitude. Il s'oppose. Mais aussi, il cherche à comprendre. Intelligent et curieux, rencontrer des gens nouveaux et des personnalités atypiques lui plaît grandement. Sauf quand c'est au point où il n'a du contrôle sur rien. Ne pas influer sur sa propre destinée l'effraie grandement.

    Néanmoins, revenons en au sujet principal ! Car oui, en un simple clic, sa vie venait de basculer. Son futur qui avait commencé à lui échapper des mains venait de revenir au fond de son sac à dos, déjà prêt collé contre la porte de sa chambre de 65m². Dedans, il y avait juste de quoi partir à la recherche de l'inconnu. Sur le sol, découpé avec un manque de soin imprécis, ses nombreuses cartes bleues en morceaux jonchaient le sol. Il avait tout de même pris des petites coupures, il ne souhaitait pas revenir à l'état sauvage hein. Juste fuir ce château de cristal où les épines gelées avaient commencé à lui percer la gorge. La raison en était simple : Ses parents. Son oncle. Et son frère. Voilà les gens qu'ils devaient fuir. Pourquoi ? Une question de tromperie, d'héritage ou de violence ? Mystère. Jamais il ne parlerait de ce qui s'était produit dans cet endroit qui de l'extérieur semblait sorti de je ne sais quel livre pour enfant à la con.

    C'était un nouveau départ. Un nouveau pays. Une nouvelle vie. Est ce que le petit Prince était pourtant prêt à se confronter à la réalité ? Oui. Il en était certain. Il saurait travailler pour bâtir une vie qui serait digne de lui. Sa confiance et sa détermination était la clef. Son charisme et ses talents d'orateur ses alliés. Son culot et son sourire, ses bagages. Et puis, qui serait capable de pourrir son voyage ? On ne pouvait pas le blesser. Les autres étaient en dessous de lui, il ne comptait pas donner une miette de sentiment agréable à quiconque, à part éventuellement de la curiosité. Jamais il n'apporterait son aide de façon désintéressée. Et ceux qui disent il ne faut jamais dire jamais sont juste des idiots qui n'ont pas de réels principes. Lui qui se voit comme honnête et en accord avec lui même, ça ne risque clairement pas de lui arriver.


     
    Infos


    Mém


    Eden Artèmes, 21 ans

     

    Eden, un prénom qui désigne la prospérité. Ça aurait pu coller avec son visage d’ange. Oui, ça aurait pu. Si seulement Eden n’avait pas été bipolaire. Et ce terme là, n’est pas utilisé à tort dans son cas. Sa maladie, qu’il n’a jamais voulu considérer comme telle, lui aura causé beaucoup trop de problèmes alors qu’il était encore très jeune. Certes, jeune, il l’est encore. Mais à ce stade-là, il préfère se voir comme un vrai adulte. Il s’est toujours senti plus mature que la plupart des autres. Il ne néglige personne. Il ne rabaisse personne. Il est toujours souriant, il accepte d’aider son prochain, même si ça doit l’affecter lui… Mais tout ça, c’est seulement lorsque sa phase d’euphorie fait surface, après la phase dépressive évidemment. Et généralement, elle dure moins bien longtemps que la dépression. Dans ce cas de dépression, Eden devient presque l’opposé de tout ce qui pourrait habituellement le caractériser. Il s’énerve pour tout et pour rien, il devient violent, il insulte… Ses crises sont si fortes émotionnellement qu’il en devient dangereux aussi bien pour lui-même que pour les autres. D’ailleurs, ses cicatrices sur son visage sont bien là pour témoigner de cette violence... 
    Le problème, c’est que ses parents n’ont pas su détecter sa maladie à temps. Ils pensaient juste qu’Eden était un enfant turbulent, mais pas malade. D’ailleurs, lui-même n’y croyait pas… Et encore maintenant, il a du mal à y croire. La seule chose qui lui fait penser à sa bipolarité, ce sont ses médicaments.  
    Ses parents, au bout d'un certain temps, se sont lassé de lutter contre les crises impulsives de leur fils. La seule chose qu'ils souhaitaient, c'était de se débarrasser de leur fils. C'est désormais chose faite. Eden, cet être régnant dans un chaos ordonné et constitué de phases, a dû parcourir maintes et maintes écoles, toutes comportant un internat, sous l'ordre de ses parents. Cependant, maintenant que ses études supérieures nécessitent d’avoir un appartement, ou un quelconque logement, ses parents, ont décidé de lui acheter une vieille maison qui était bradée. Pour cause, cette maison se trouve à une bonne trentaine de minutes du village le plus proche de ce vieux logement. Aucun des deux ne voulait le revoir. Ils avaient réussi. Ils ne le reverraient plus. Il appartenait désormais au passé pour eux. Mais pour Eden, la chute était plus pénible encore, sans aucun support, sans personne pour l’aider moralement. Et à chaque fois, il se relevait, pour retomber, une fois de plus, dans les méandres de sa maladie.

    Eden, à cause de sa bipolarité, a beaucoup de mal à se faire ne serait-ce qu’un seul ami. Ainsi, pour espérer avoir un minimum de compagnie, il a décidé d'accueillir des gens en voyage. C’est pour ça qu’il s’est créé, il y a très peu de temps, un profil sur un site de Couch Surfing. Il ne sait toujours pas si c’était une bonne idée, mais dans tous les cas, c’était trop tard...










    Nouvelles membres


    Discussions

    [Pouet pouet camembert]
    à 11:19 le 23/01/2018
    [Pwet, la réponse ne te plaît pas ? Je peux toujours la refaire si elle ne te convient pas !]
    à 10:57 le 15/01/2018
    [Juste comme je suis une boulette, faudra que tu change dans la présentation, c'est pas sa tante mais son oncle qui est lié aux merdes de sa life de tchoin !]

    Tout commençait mal. Que c'était pénible ! Le voilà, étouffé la par la population dans un pourtant si grand aéroport, à devoir se taper file sur file, vérification sur vérification, et subir une attente infernale. Habituellement, il pouvait jouir de billets VIP, attendre dans une salle spéciale et se voir offrir le meilleur siège et le meilleur champagne. Mais aujourd'hui les choses étaient différentes, et au fond il n'y voyait pas que du mauvais. Ce nouveau départ semblait certes plus chaotique et ennuyant que sa vie d'avant. Sauf que désormais, il prenait vraiment ses propres décisions. Achetait son billet en liquide, liquide qu'il avait obtenu après des heures secrètement travaillée dans un bar après ses cours. Volait vers un pays qu'il avait très envie de découvrir. Là où il serait vraiment lui même, et non l'esclave d'un secret qu'il ne pouvait plus supporter.

    Quand il tendit son billet et son passeport pour la dernière fois à l’hôtesse de l’air, du moins dans son pays natal, un sourire naquit finalement sur ses lèvres. Il était temps pour Chris de devenir quelqu'un aux yeux du monde, quelqu'un dont il aurait lui seul bâti l'image. Son élan d’héroïsme et d'espoir se calma bien soudainement, quand il se retrouva assis à côté d'une mère et son enfant chouineur. Enfin, un masque posé et des bouchons d'oreilles enfoncés, et il était aussi partit au pays des songes dans son allé qu'il espérait sans retour.

    Une charmante jeune femme vint le réveiller ce qui lui semblait une seconde plus tard. Ce n'était pas le cas, car elle l'informa que l'avion allait atterrir. Au lieu de la joie, la déception se lu sur le visage du jeune homme. Il avait manqué la vue du ciel ! Sans doute à cause de ce sale marmot, tout était toujours la faute des gosses de toute manière. N'ayant plus que vu sur la piste d’atterrissage, car en plus l'enfant mettait sa grosse tête devant le hublot, il ravala sa colère pour quelques secondes de doute. Avait-il fait le bon choix ? Quand il sortit de l'appareil pour sentir le vent gelé lui chatouiller le nez, il su que oui. Cet endroit n'attendait plus que lui pour être parfait, un point c'est tout.

    Même le bordel dans l'aéroport lui semblait out à fait tolérable maintenant. Son cœur n'était maintenant plus que gonflé par l'excitation de voir davantage de neige, plus de paysages et l'endroit où il allait vivre, de ses propres yeux. Et son compagnon balafré aussi, qui allait tout de même partagé sa vie sans le sens romantique du terme. Il espérait qu'il serait à sa hauteur, et que Chris n'aurait pas à l'éviter si il se trouvait être barbant.

    Puis la porte s'ouvrit de nouveau, et l'air froid sembla se glisser tout le long de son visage, comme pour une étrange caresse de bienvenue. C'était presque agréable, mais il nota qu'il devait clairement bientôt investir dans un bonnet, où ses oreilles tomberaient. Alors que comme un bon non habitué du froid, il souffla dans ses mains avant d'enfiler ses gants, il croisa le regard d'un jeune homme, à l'air impatient. Au départ il n'avait pas vraiment fait attention à cette figure, avant de sentir que l'homme continuait de le fixer. Reposant son regard sur lui, un sourire apparu quand il reconnu les balafres. Eden ! Sans même hésiter une seconde, il se dirigea vers lui en tirant sa valise. Moment de la première impression, et instant de vérité. Tendant sa main ganté au presque inconnu il le regarda discrètement de haut en bas. A part l'impression enfantine insupportable, il ne voyait pas grand chose.

    -"Eden n'est ce pas ? Je suis Christophe pour le Surfing truc... Appelle moi Chris !"
    à 11:41 le 06/01/2018
    [ Héhéhé
    Bon alors elle fera l'affaire ! Cheveux longs chez un gars c'est si zhjbfjhefbd ]
    à 22:48 le 05/01/2018
    [Ui j'y ai cru. Déception.
    Sinon, moi j'm'en fiche. déjà il a les cheveux longs et j'suis désolée, mais les cheveux longs chez un gars c'est trop craquant.
    Sinon, c'est selon toi hein!]
    à 22:39 le 05/01/2018
    [Tu vas croire que j'ai rep mais non *amusement*

    Cette image te conviendrait ? https://cdn.discordapp.com/attachments/310421451729666048/398940095782060032/2018-01-05_10.43.56.jpg ]
    à 21:47 le 05/01/2018
    Le jeune homme venait tout juste d’embarquer dans sa vieille volkswagen. Une Golf 2. Un modèle assez ancien. Eden démarra, faisant gronder le moteur comme s’il n’avait pas fonctionné depuis des années. Il était parti pour 1h30 de trajet. C’était aujourd’hui qu’il allait avoir un “partenaire” de logement. En fait, il ne savait pas vraiment comment appeler ça. Et si ça ne se passait pas bien? Et si le courant n’allait pas passer entre eux deux? Au final, Eden ne voyait pas pourquoi il se posait ces questions. Il était heureux. Très heureux même.

    Eden jeta un rapide coup d’œil sur son rétroviseur intérieur. Malgré ses trois balafres pas très discrètes, il arborait un visage rieur. Il allait faire quelque chose qu’il n’avait jamais osé faire auparavant. Il en était tout excité. Il ne tenait même pas en place d’ailleurs. Cette une heure et demie de trajet allait paraître durer une éternité! Alors, pour se débarrasser de l’atmosphère monotone qui régnait dans la voiture, Eden fit jouer un peu de musique aux airs un peu grunge. Ce sourire un peu béat s’agrandissait sur son visage. Sa joie, il la cachait difficilement. De toute façon, on lui disait que ça lui ajoutait du charme. Eden ne se voyait pas comme quelqu’un de charmant, mais il préférait croire ce qu’on lui disait, au risque de paraître un peu bête.

    L’avion devrait atterrir vers 8h30. Ça faisait maintenant près d’une heure qu’il roulait, et il n’y avait vraiment personne sur la route. Les gens devaient ne pas avoir très envie de sortir par ce temps… Ou ils avaient juste peur de rouler avec autant de neige. Pourtant, ils devaient être habitués à plus que ça! Il y avait à peine deux mètres de neige! N’empêche, plus le paysage se déroulait devant ses yeux, plus il se disait qu’il aimait vraiment ce pays. Les sapins enneigés, c’était ce qu’il préférait par-dessus tout!

    Il avait l’impression de redevenir un enfant. De toute façon, il avait un visage enfantin. Enfin. Il pouvait maintenant apercevoir l’aéroport. Çe ne fut d’ailleurs pas compliqué pour se garer… Il avait même réussi à trouver une place juste devant l’énorme bâtiment…

    Pour être franc, il ne savait pas vraiment où il devait attendre, alors il se posta devant la sortie, un peu sur le côté. Il était convenu qu’Eden attende son futur colocataire dans l’aéroport de toute façon. C’est avec le figure de ce dernier en tête que le jeune homme se mit à dévisager tous les passants, gardant cette infatigable joie sur son visage. Il avait vraiment hâte de pouvoir enfin vivre avec quelqu’un à ses côtés!
    à 21:54 le 04/01/2018
    Oui, bah est-ce que tu crois que j'ai vraiment peur des répercussions hein?

    UI JAVOU. Au final, j'sais pas c'que c'est le mieux... Avoir de l'argent et ne rien avoir? Ne pas avoir d'argent et tout avoir? Y'a quelque chose qui ne colle pas.
    Ah ouais mais moi ça m'aurait gêné.
    Genre t'es capable de pas rentrer dans un club juste parce que y'a pas de déco.
    à 21:54 le 04/01/2018
    Merci, parce que le plagiat hors lien familial, c'est très très illégal !

    MAIS WTF QUELLE RICHOU. Moi j'ai tellement pas de sous, mais plein de choses, nananère.
    OUI. t'aurais pu faire une déco sans rapport, ça m'aurait pas gêné, juste la déco de base me fait avoir des crises d’épilepsie !

    COMMENCE. Merveilleux !
    à 20:35 le 04/01/2018
    Oh oui, très joli. Ça, je me permettrai de le reprendre vois-tu. Je te citerai, pas de soucis.

    Ah oui bon eh. moi j'veux bien acheter, j'ai 81 000 Sailorflouz mais y'a rien de disponible. Je suis de bonne fois, j'te jure.
    Ah ouf. En fait, fallait juste enlever les papiers peints moches de départ, c'est ça?

    J'veux bien commencer moi. Sauf si tu VEUX à tout prix commencer.
    à 20:13 le 04/01/2018
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