SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Présidente :
    Junnee
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    Date de création :
    le 19/11/2017 à 13:34

    Présentation
    Modifié le 19/06/2019

    PERSONNAGE DE JUNNE


    https://prnt.sc/o43bok


    Minami Junko | 19 ans | Policière


    Junko, c'est une jeune fille très banale aux premiers abords. Une jeune fille n'ayant rien vécu d'extraordinaire, une jeune fille ayant grandi avec ses deux parents, une mère, un père. Junko a toujours été une enfant très terre à terre, ne croyant pas aux contes de fées, au père noël, à la petite souris, et autres histoires débiles racontées aux enfants, qui y croyaient. Junko, elle, n'a jamais vu autre chose que la violence de la vie. Déjà petite, elle les voyait ; les pick-pockets, les braqueurs de banque, les voleurs du dimanche. Déjà petite, Junko était si perspicace, qu'elle était la seule à pouvoir prédire que cet homme, ou que celui-ci, allait voler quelque chose dans le supermarché où elle faisait les courses avec sa mère. Elle était la seule à pouvoir prédire qu'il ne fallait pas entrer dans cette banque, parce que les mimiques de certains hommes ne trompait pas l'oeil de Junko, qui pouvait deviner leurs intentions. Junko n'a jamais vu autre chose que la violence de la vie.


    Fille de bonne famille, son père était un lépidoptériste, un spécialiste des papillons, qui les étudiait. Sa mère était plutôt celle qui capturait ces papillons, une sorte d'aventurière, une exploratrice n'ayant peur de rien. Ils avaient toujours été partenaires, et c'était en travaillant ensemble qu'ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre. Junko ne pouvait pas se plaindre de rien. Elle avait le droit de pratiquer n'importe quelle activité. Elle prenait des cours en combat rapproché, et son oncle, policier, lui apprenait même à tirer. Elle avait le droit de faire d'excellentes études. Junko était un génie, qui aimait résoudre les équations, et les énigmes. Elle avait le droit à un grand avenir, et ce qui l'intéressait, c'était la psychologie. Mais le jour de ses 16 ans, tout bascula. 


    Cette nuit-là, Junko était rentré du lycée. Il pleuvait, l'orage grondait, les éclairs éclaircissaient brièvement le ciel avant d'éclater en tonnerre. Cette nuit-là, en rentrant, Junko trouva ses parents décédés sur le canapé, l'un à côté de l'autre, sa mère posant sa tête sur l'épaule de son mari. La police désigna cela comme un suicide collectif, et ne remarqua aucun signe d'effraction, rien qui puisse traduire cette scène en meurtre. Pourtant, Junko, en était persuadée. Il s'agissait d'un meurtre déguisé en suicide. Elle remarqua que certaines variétés de papillons que son père avait étudié, avaient disparus. Et l'expression angoissée de ses parents morts démontraient qu'il s'était bien passé quelque chose. Pourtant, il n'y avait du sang nulle part, aucune arme, aucune trace. Frustrée, Junko avait décidé de son avenir. Elle voulait résoudre cette énigme. Elle voulait mettre fin à la violence de ce monde. Elle voulait que justice règne, elle voulait empêcher d'autres familles de se faire détruire, elle voulait arrêter les pourritures de ce monde, elle voulait résonner les malades, les fous, et elle prit la décision de travailler dans la police.


    PERSONNAGE DE BLACKWIDOW



    Kurt Shell | Âge inconnu | Occupation inconnue


    Kurt Shell. Ça ne vous dit rien? Normal. Personne ne le connaît. En tout cas, pas sous ce nom là. Son visage vous dit peut-être quelque chose. Vous l’avez peut-être déjà vu dans la rue. Peut-être même était-il votre agresseur? Estimez-vous heureux d’être encore en vie si c’était le cas. Kurt, ou plutôt “Adam”, n’a pas pour habitude de jouer dans la douceur. Si votre misérable vie n’a pas encore touchée à sa fin, c’est que vous n’en valiez sûrement pas la peine. Ce jeune homme, depuis sa plus tendre enfance, baigne dans la drogue et dans l’alcool. Enfin, prononcer le mot tendre pour parler de son enfance, c’est peut-être de l’ironie. Certains diront que si son comportement est tel quel, c’est à cause de sa jeunesse perturbée. Mais lui, il sait que non. Il sait que son dépravé de père n’y est pour rien. Il sait que son alcoolique de mère n’y est pour rien non plus. De toute façon, ils ne sont plus là aujourd’hui pour en parler. Et tant mieux. Ça faisait deux personnes de moins dans sa vie. D’ailleurs, il n’avait personne dans sa vie. Et c’était mieux ainsi. Le jeune homme s’épanouissait dans le crime comme une fleur dans un champ. Sauf que lui, personne ne l’arracherait pour le contempler. C’était lui qui arrachait la vie des autres pour contempler les œuvres qu’il ferait avec leur sang. Morbide, ça l’était. Il aimait ressentir cette bouffée de chaleur qui lui montait dans la poitrine dès qu’il explosait le crâne d’un gars un peu trop capricieux, et dont la vie n’avait aucune importance. Il aimait ce stress qui l’envahissait dès qu’il entendait les sirènes des voitures de flics résonner dans toute la ville. Dès qu’on toquait à sa porte, son cœur faisait un bon. Il arborait chaque jour ce sourire vicieux, qui pouvait vous faire frissonner dès que vous le croisiez. Vous ne pouviez vous empêcher de détourner vos yeux de ce visage malsain. C’était comme ça. Il intimidait en un seul regard. 


    Kurt, n’a pas toujours ce gars qui voulait massacrer ses voisins, et dont sa seule envie était de voir couler le sang. Enfin si. Mais c’était son sang qu’il voulait voir. Je sais ce que vous vous dites en ce moment même. “Non, il n’a pas fait ça. Impossible”. Et bien si. La mutilation, s’était son truc à lui. Il n’était en rien dépressif. Tout ce qu’il avait envie de ressentir à ce moment là de sa vie, c’était la douleur. Cette sensation que la lame métallique laissait sur sa peau l’excitait. Ses parents ne s’en étaient jamais rendus compte, à son plus grand bonheur. Mais pour lui, ce moment est révolu. Seules les traces que sa lame a laissée peut encore témoigner de cette période de sa vie. Sur les avants bras, elles étaient plutôt nombreuses et profondes. Mais il n’était pas stupide. Il les cachaient. Que diraient-ils, les gars des rues, s’ils le voyait avec ces cicatrices assimilées aux dépressifs? Sa crédibilité, il la perdrait. Et ça n’était absolument pas ce qu’il voulait. Vraiment pas.


    En tout cas, ce soir, c’était le soir qui déterminerait sa vie toute entière. Il ferait de sa jeune victime une oeuvre particulièrement réussie. Et tout ça, ça se jouait ce soir. Il avait tout prévu. Il allait attrister une famille entière, qui pensait que leur belle jeune fille allait passer une soirée entre copines, non loin de chez eux. Ils découvriront ensuite sa mort par les autorités. Il en était excité d’avance. Encore une fois, c’était une merveilleuse soirée qui allait s’annoncer. En attendant, il s’autorisa un dernier verre de whisky avant de jouer au boucher. “Excusez-moi, mademoiselle, vous avez un très beau visage. Me permettez-vous de figer votre jeunesse pour l’éternité?”

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