SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    maggii
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    le 18/11/2017 à 17:51

    Présentation
    Modifié le 27/01/2018

     

    LA JOIE DE LA VERDURE.

     Si t'es pas Mio' t'as rien à foutre ici.


    Contexte


    Quartier du Red Light à Montréal, en 1956.
    Les bars et commerces illicites font fureur dans la métropole qui ne semble jamais dormir. Dès la nuit tombé, la ville se transforme complètement pour devenir un univers burlesque où seul les ouverts d'esprits sont acceptés.
    Le bar « Purple » [nom fictif un peu nul] sur la rue Sainte-Catherine est un des plus populaires, où la file peut atteindre 3 heures d'attentes juste pour pouvoir expérimenter l'endroit. Un jour, vous décidiez d'y aller pour x raisons et rencontrer une personne bien particulière, qui vous fera entrer dans l'univers du Red Light.


    Persos


     

    Hugo Laurier
    24 ans
    Le gars du Red Light
    Hugo n'est pas quelqu'un de bien méchant. Même si il a un petit côté baveux et chiant, c'est uniquement pour attirer l'attention. Bon, ce n'est pas la meilleure des idées, mais il aime bien avoir le rôle du gars méprisant. Le jeune homme est un peu manipulateur avec tout le monde, principalement avec les gens qu'il trouve de son goût. C'est un plaisir coupable, c'est vrai, mais il ne peut pas s'en empêcher tout comme le fait d'être énervant.
    Ce qui est étrange avec Hugo, c'est qu'il peut changer d'humeur en un claquement de doigt. Pas qu'il soit bipolaire ou quoique ce soit, c'est juste un petit défaut qu'il a. Il peut être gentil et affectueux tout comme il peut devenir distant et agressif. Il utilise cette capacité à changer d'humeur pour en quelque sorte se protéger. De quoi? Aucune idée. Peut-être des humains en général, mais Hugo doute un peu là-dessus. Il préfère se dire qu'il est naturellement comme ça, peu importe avec qui il parle.
    Hugo est un accident. Né d'une prostituée et d'un soldat ontarien, disons que ce n'était pas la vie de rêve. Sa mère ne cesse de répéter que Hugo à complétement gâcher sa vie. Il avait à peine 5 ans que déjà le jeune garçon se sentait inutile. Après tout, qui voulait d'un hyperactif incontrôlable... 
    Hugo n'est pas quelqu'un de très éduqué. Il à à peine finit son primaire et encore là il a pas mal tout oublier. Le jeune homme à tenter plusieurs fois de reprendre l'école pour au moins avoir des bases dans la vie, mais sa mère l'en empêchait. Elle n'arrêtait pas de prétendre qu'elle avait besoin de lui, alors qu'il était considéré comme un moins que rien. C'était assez hypocrite de la part de sa mère, mais Hugo ne pouvait pas tourner le dos à celle qui lui a donné la vie. Il aurait bien aimé pouvoir le faire, mais le fait de se sentir mal après, il ne pouvait pas supporter ce sentiment.
    Hugo a tenter plusieurs fois de mettre fin à sa vie. Par n'importe quel moyen, le jeune homme voulait mourir. Sa vie n'en valait pas la peine, qu'il se répétait... Seulement, il est toujours en vie dû à la peur qui lui prenait lorsqu'il se mettait la corde au cou. Ce n'était pas très 'courageux' de sa part, mais à chaque fois il essayait de se convaincre qu'il avait toujours de l'espoir pour changer de vie.
    Ce fut plutôt une bonne chose d'attendre, car à 18 ans il découvrit l'univers du Red Light. Cet endroit burlesque qui l'envoûta aussitôt, le convaincant de quitter sa vie pour ce quartier. Il n'a jamais revu sa mère depuis et il en est très content.
    Depuis, Hugo gagne sa vie en s'adonnant aux activités peu catholique du Red Light. Parier ici et là, offrant quelque verres de temps en temps aux hommes qui semblent intéressant. Oui, Hugo est gay ce qui est parfois utile sachant qu'il peut monter très vite ses tarifs. Il couche avec pas mal n'importe qui, surtout lorsqu'on est prêt à lui offrir beaucoup d'argent...

    Hugo Laurier

    24 ans

    Le gars du Red Light


    Hugo n'est pas quelqu'un de bien méchant. Même si il a un petit côté baveux et chiant, c'est uniquement pour attirer l'attention. Bon, ce n'est pas la meilleure des idées, mais il aime bien avoir le rôle du gars méprisant. Le jeune homme est un peu manipulateur avec tout le monde, principalement avec les gens qu'il trouve de son goût. C'est un plaisir coupable, c'est vrai, mais il ne peut pas s'en empêcher tout comme le fait d'être énervant.Ce qui est étrange avec Hugo, c'est qu'il peut changer d'humeur en un claquement de doigt. Pas qu'il soit bipolaire ou quoique ce soit, c'est juste un petit défaut qu'il a. Il peut être gentil et affectueux tout comme il peut devenir distant et agressif. Il utilise cette capacité à changer d'humeur pour en quelque sorte se protéger. De quoi? Aucune idée. Peut-être des humains en général, mais Hugo doute un peu là-dessus. Il préfère se dire qu'il est naturellement comme ça, peu importe avec qui il parle.


    Hugo est un accident. Né d'une prostituée et d'un soldat ontarien, disons que ce n'était pas la vie de rêve. Sa mère ne cesse de répéter que Hugo à complétement gâcher sa vie. Il avait à peine 5 ans que déjà le jeune garçon se sentait inutile. Après tout, qui voulait d'un hyperactif incontrôlable... Hugo n'est pas quelqu'un de très éduqué. Il à à peine finit son primaire et encore là il a pas mal tout oublier. Le jeune homme à tenter plusieurs fois de reprendre l'école pour au moins avoir des bases dans la vie, mais sa mère l'en empêchait. Elle n'arrêtait pas de prétendre qu'elle avait besoin de lui, alors qu'il était considéré comme un moins que rien. C'était assez hypocrite de la part de sa mère, mais Hugo ne pouvait pas tourner le dos à celle qui lui a donné la vie. Il aurait bien aimé pouvoir le faire, mais le fait de se sentir mal après, il ne pouvait pas supporter ce sentiment.Hugo a tenter plusieurs fois de mettre fin à sa vie. Par n'importe quel moyen, le jeune homme voulait mourir. Sa vie n'en valait pas la peine, qu'il se répétait... Seulement, il est toujours en vie dû à la peur qui lui prenait lorsqu'il se mettait la corde au cou. Ce n'était pas très 'courageux' de sa part, mais à chaque fois il essayait de se convaincre qu'il avait toujours de l'espoir pour changer de vie.
    Ce fut plutôt une bonne chose d'attendre, car à 18 ans il découvrit l'univers du Red Light. Cet endroit burlesque qui l'envoûta aussitôt, le convaincant de quitter sa vie pour ce quartier. Il n'a jamais revu sa mère depuis et il en est très content.Depuis, Hugo gagne sa vie en s'adonnant aux activités peu catholique du Red Light. Parier ici et là, offrant quelque verres de temps en temps aux hommes qui semblent intéressant. Oui, Hugo est gay ce qui est parfois utile sachant qu'il peut monter très vite ses tarifs. Il couche avec pas mal n'importe qui, surtout lorsqu'on est prêt à lui offrir beaucoup d'argent...

     

    Weel Aiden
    22 ans

    “ Aiden, je t’aime. C’est tout ce qu’il faut savoir. Quand je ne serais plus là, tu te débrouillera comme un grand, d’accord ? Ne m’en veux pas, s’il te plait. Pardonne-moi pour tout ce que j’ai pu mal faire en tant que mère. J’ai été horrible, je le sais. Je suis désolée de toutes les choses que tu as pu endurer par ma faute. J’ai souffert de mon côté aussi. Ne me prend pas en pitié, bien au contraire, je veux juste que tu me comprennes. Ton père n’était pas bien méchant tu sais, il était même d’une gentillesse rare. Il te prenait dans ses grands bras et te serrait contre lui avec tout l’amour qu’un père pouvait avoir pour son fils, je te le jure. Il t’aimait comme il m’aimait. Et je l’aimais comme je t’aimais. Tu resteras toujours pour nous un petit garçon. Notre petit ange à tous les deux. Notre coin de paradis. Tu nous donnais la joie de vivre. Alors pardon. Pardon d’avoir basculé quand il s’est en allé. Ne lui en veux pas. Ce n’était pas de sa faute, d’accord ? Tu sais l’amour peut-être incassable, comme futile. Il peut s’envoler. Même si moi je l'aimais toujours. Tu étais seul, excuse-moi. Tu avais besoin d’un père et d’une mère, et j’ai à peine remplie mon rôle, alors comment compenser son absence ? Je me pose toujours la question. Pardonne-nous. A ton père, car je suis sûre qu’il pense encore à toi là ou il est en ce moment, et à moi, car j’ai fait de ma vie une erreur. Je t’ai entrainé dans ma chute. Tu es fort Aiden. Tu as survécu à tout ça, je suis fière de toi. Je suis contente que tu sois toujours en vie, devenu beau jeune homme. Tu as de réeles capacités, et je ne dis pas ça pour te faire plaisir. Tu accompliras tes rêves et deviendras celui que tu voudras être. Reste un homme bien Aiden.
    Je t’embrasse sur le front, comme autrefois, et aimerais te prendre dans mes bras.
    Ta maman.

    N’essaye pas de me chercher, si la folle envie t’en prend, et vis ta vie, sans te préoccuper de celle qui l’a gâchée.

    Bon anniversaire, j’aurais aimé le passer avec toi mon ange, mais c’est impossible.”


    Cette lettre fut le dernier souvenir de sa mère, le jour de ses dix-huit ans. Aiden comprit malheureusement à ce moment-là que sa mère n’était pas la femme tortionnaire qu’il avait imaginé, et que en son être se cachait un peu de douceur. 
    Il avait toujours été seul. Sans parents depuis ses 5 ans. Il aurait aimé se déclarer orphelin quand il eut l’âge d’en prendre conscience, mais on le lui refusa, il ne l’était pas légalement. Pourtant il vivait seul, faisait tout seul. Sa mère avait oublié son existence, à peine si elle le voyait. Le petit garçon avait mûri trop vite. Dès ses 12 ans il était coupé du monde, plongé dans une réalité obscure que lui présentait cette société disloquée. On ne lui avait pas appris, comme aux autres, à voir les choses positives, bien qu’il y en ai des négatives. Il voyait tout en sombre. Aucune petite couleur. L’arc-en-ciel de sa vie s’était effacé au départ de son père, entrainant la chute de sa mère. 
    Abandonné, le pauvre petit. On le prennait en pitié, ou on avait peur d’un enfant déjà si conscient, plus que certains adultes mêmes, et à l’esprit trop rélféchi. Ca le mettait en rogne. Le pauvre ? Non. Il était seul, et alors ? Il y a plein de gens seuls ! Il ne voulait pas d’amis, et n’avait strictement rien à faire de ses camarades. On le prenait pour un méchant, un petit être violent et mal éduqué. Mais non. C’était seulement le reflet d’un amour détruit et sacagé.
    Il se jura de ne pas aimer. On ne s’attache pas aux autres. Règle n°1 pour sa survie. Car il était conscient que sa vie pouvait basculer. Règle n°2 : se faire tout petit face à sa mère, si elle le voyait ça lui ferait plus de mal qu’autre chose, inconnu qu’il était à ses yeux. Et la règle n°3 était encore à définir.
    Il avait une existence morne. Sombre. Dévastée. Comme sa mère. Détruit. Intelligent. Trop. Trop tout, à cause de ce trop plein d’amour qui avait tout engendré.

     

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