SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Présidente :
    kimi62
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    Date de création :
    le 08/11/2011 à 20:17

    Présentation
    Modifié le 09/11/2011

    bienvenu
     
     
     
     
     
     
     
    ce club est pour les personnes qui aime lir des poèmes. j ai rassemblé plusieurs poème triste et quelques un amusant
     
     
     
     
      
     
     
     
     
     maman
    je suis aller a une soirée,
    maman
    et je me suis souvenu de ce que tu m avait dit de ne pa boire
    maman
    alor je n ai pa bu avant de conduire
    maman
    meme si les autres m ont incitée je crois que j ai fait la bonne chose
    maman
    je sais que tu as toujours raison mantenant la fête est presque terminée
    maman
    j ai su que je rentrerais a la maison en vie car je t avais écouté
    maman
    je n ai pa bu jai commencé a conduire
    maman
    et comme je sortais pour prendre la route l autre auto ne m a pa vu
    maman
    et elle m a frappé je suis étendue sur le pavé
    maman
    j ai entendu le policier dire que l autre garçon étais saoul
    maman
    et mantenan je celle qui paye! je suis couchée ici en train de mourir
    mamanj espère que tu arriveras bientot comment ceci pouvait m arriver a moi
    maman
    ma vie vient d éclater comme un ballon je baigne dans mon sang
    maman
    j entent les embulencier parler
    maman
    et je vais mourir dans peu de temp je voulais simplement te dire
    maman
    je te jure que je n ai pa bu c etait les autre
    maman
    les autres n ont pa réfléchi ce garçon était surement à la meme soirée que moi la seul différence
    maman
    c est qu il a bu et que c est moi qui vais mourir...je sens bcq de douleure mantenent
    le garçon qui ma frapé marche
    maman
    et je ne croi pa que ce soit juste je suis étendue ici en train de mourir
    maman
    et il me regarde en me fixent... dis a mon frère de ne pa pleurer
    maman
    dis a papa d etre brave
    maman
    tu écrira :
    la fille a papa sur ma pierre tonbale quelqun aurait du lui dire
    maman
    de ne conduire s il avait bu si seulement quelqu un lui avait dit
    maman
    je serais encore en vivente ma respiration devient de plus en plus courte
    maman
    et j ai peure s il te plait ne pleure pa
    maman
    quand j avais besoin de toi tu étais toujour la
    maman
    j ai une derniere questionavant de te dire adieu
    maman
    je n ais pa bu avant de conduire
    maman
    ALORE POURQUOI JE SUIS CELLE QUI MEURRE ?
     
     
    l'école
    -Nous ne copions jamais mais nous vérifions nos doutes.

    - On n'écrit pas sur les tables mais on les décore et on révise notre cours d'art plastique par la même occasion.

    - On n'insulte pas les profs mais on leur rappelle juste ce qu'ils sont (La vérité sort de la bouche des étudiants).

    - On ne flemmarde pas mais on étudie les mouches et le silence.

    - On ne lit pas de magazines inutiles mais on s'informe.

    - On ne se fait pas passer de mots mais on étudie un moyen de communication.

    - On ne dort pas en classe mais on réfléchit très fort c'est pour ça qu'on ferme les yeux.

    - On ne bavarde pas mais on échange des expressions et on révise notre cours de français.

    - On ne mâche pas de chewing-gum mais on stimule nos muscles.

    - On ne lance pas de projectiles mais on étudie la loi de la gravité.

    - On ne s'amuse pas en classe, mais on est heureux de vivre.

    -ON EST PAS INSOLANT ON EST DES ETUDIENS !!!
     
    un amour fort
    Il aimait la mort et ses sombres promesses,
    Avenir incertain d'un garçon en détresse,
    Il voilait mourir laisser partir sa peine,
    Oublier tous ces jours à la même rengaine.

    Elle aimait la vie, heureuse d'exister,
    Voulait aider les gens et puis grandir en paix,
    C'était un don du ciel, toujours souriante,
    Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente.

    Mais un jour la chute commença,
    Ils tombèrent amoureux mauvais choix,
    Elle aimait la vie et il aimait la mort
    Qui d'entre les deux allait être le plus fort?

    Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifiés
    Amis et familles, capable de tout renier,
    Tous donner pour s'aimer tel était leur or,
    Mais elle aimait la vie et il aimait la mort.

    Si différent et pourtant plus proche que tout,
    Se comprendre pour protéger un amour fou,
    L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler,
    L'autre d'une vie avec lui loin des atrocités

    Fin de l'histoire obligés de se séparer
    Ils s'étaient promit leur éternelle fidélité,
    Aujourd'hui le garçon vit torturé pour elle
    Puisque la fille, pour lui, a coupé ses ailes.

    Il aimait la mort, elle aimait la vie,
    Il vivait pour elle, elle est morte pour lui
     
     
    cher journal
    Je suis sur un lit d'hopital, le docteur dit que c'est une opération très
    difficile et je ne pourrai peut-être pas la faire. Il me faut un nouveau coeur...
    J'ai besoin de soutien mais mon copain n'est toujours pas arrivé.

    *cher journal*

    L'opération est finie, les docteurs disent que tout s'est bien passé...
    mais j'ai besoin de soutien et il n'est toujours pas arrivé.

    *cher journal*

    Une semaine est passé, je suis sortie de l'hopital, je vais bien
    mais mon copain n'est toujours pas venu,
    a présent je vais aller chez lui, ça me préoccupe beaucoup

    *cher journal*

    Je suis aller chez lui, j'ai frappélonguement, mais il n'y avait personne.
    Je suis entrée, la porteétait ouvert, et sur la table il y avait un mot qui disait :

    °mon amour, pardonne moi de ne pas t'avoir apporté le soutien dont tu avais besoin,
    jai voulu te faire un cadeau, mon coeur ne bat plus en moi mais
    mais je suis heureux de te l'avoir donné à toi,
    il continue de vivre à travers toi...
    Je t'aime...°
     
     
     
    une fille seule
    Quelques personnes sont assises tout près d'elle, et soudain, elle se sent observée! Oui, encore une fois... Chaque jour, c'est la même chose, des paroles méchantes la blessent.
    « N'essaie pas de peigner tes cheveux! De la laine d'acier, ça ne se brosse pas ! »

    Elle se retourne puis croise le regard de ce même imbécile qui, chaque jour, s'amuse à la dévaloriser. Un sanglot lui noue alors la gorge, elle détourne les yeux, voyant tout danser autour d'elle, dans la lueur de ses larmes. Elle essuie ensuite discrètement les gouttes de peine qui coulent le long de ses joues. Elle veut sortir... sortir de ce lieu où tous les étudiants semblent la pointer du doigt. Elle se sent si seule dans cette grande école qui, selon elle, ne veut pas d'une rien du tout. Car, en fait, les étudiants ont réussi à l'abaisser totalement. Elle ne vit plus, elle se sent de trop, elle n'ose même plus dire un mot de peur d'être rejetée. D'un pas lourd, elle se lève et voit les gens la dévisager... Elle sait qu'il y aura quelqu'un qui la blessera avec des paroles déchirantes. C'est alors que le même idiot lui dit:

    « Ah! Comme tu as un joli corps... On dirait une grosse montgolfière! »

    Des rires venant de tous les coins de la classe crèvent son coeur. Maintenant, plus que jamais, tout est noir autour d'elle, elle ne pense qu'à une chose: disparaître pour ne plus avoir cette affreuse douleur qui lui perce l'âme.

    «C'est inhumain de détruire une personne à ce point! C'est ça qu'ils veulent, que je disparaisse, alors c'est ce que je ferai!» pensa t-elle, un soir, en revenant de l'école, avec une tristesse incroyable marquée sur son visage gonflé. »

    En arrivant chez elle, elle monte les escaliers sans faire de bruit, en pleurant toute les larmes de son corps. Chaque marche lui semble comme une étape de sa vie. En touchant la dernière, elle sait que sa vie se termine ce soir-là. Dans sa chambre, étendue sur son lit, elle écrit:
    « Jamais je n'aurais cru mourir assassinée par des paroles! » elle dépose ensuite la feuille froissée sur sa table de chevet... Quelques instants plus tard, un coup de fusil se fait entendre... C'est fini. Elle ne souffre plus.
     
     
    ce poème est long mais lisez le il fait réfléchir
     

     

    Dans un magasin je me suis retrouvée
    dans l'allée des jouets.
    Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit
    garçon d'environ 5 ans, qui tenait une
    jolie poupée contre lui.
    Il n'arrêtait pas de lui caresser les
    cheveux et de la serrer doucement
    contre lui.
    Je me demandais à qui était destinée la
    poupée.
    Puis, le petit garçon se retourna vers la
    dame près de lui :
    - ' Ma tante, es-tu certaine que je n'ai
    pas assez de sous ? '
    La dame lui répondit avec un peu
    d'impatience :
    ' Tu sais que tu n'as pas assez de sous
    pour l'acheter '.
    Puis sa tante lui demanda de rester là et
    de l'attendre quelques minutes, puis elle
    partit rapidement. Le petit garçon tenait
    toujours la poupée dans ses mains.
    Finalement, je me suis dirigée vers lui et
    lui ai demandé à qui il voulait donner la
    poupée.
    - ' C'est la poupée que ma petite soeur
    désirait plus que tout pour Noël, elle était
    sûre que le Père Noël la lui apporterait '.
    Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui
    apporter, il me répondit tristement:
    - ' Non, le Père Noël ne peut pas aller là
    où ma petite soeur se trouve maintenant...
    Il faut que je donne la poupée à ma maman
    pour qu'elle la lui apporte '.
    Il avait les yeux tellement tristes en
    disant cela.
    - ' Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit
    que maman va aller retrouver Jésus bientôt
    elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait
    prendre la poupée avec elle et la donner à
    ma petite soeur'.
    Mon coeur s'est presque arrêté de battre.
    Le petit garçon a levé les yeux vers moi
    et m'a dit:
    - ' J'ai dit à papa de dire à maman de ne
    pas partir tout de suite. Je lui ai demandé
    d'attendre que je revienne du magasin '.
    Puis il m'a montré une photo de lui, prise
    dans le magasin, sur laquelle il tenait la
    poupée en me disant:
    - 'Je veux que maman apporte aussi cette
    photo avec elle, comme ça, elle ne m'oubliera
    pas .
    J'aime ma maman et j'aimerais qu'elle ne
    me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle
    aille avec ma petite soeur'.
    Puis il baissa la tête et resta silencieux.
    Je fouillais dans mon sac à mains, en sortis
    une liasse de billets et je demandais au petit
    garçon :
    - ' Et si on recomptait tes sous une
    dernière fois pour être sûrs ?
    - ' OK ' , dit-il, ' Il faut que j'en ai assez '.
    Je glissais mon argent avec le sien et nous
    avons commencé à compter. Il y en avait
    amplement pour la poupée et même plus.
    Doucement, le petit garçon murmura :
    - ' Merci Jésus pour m'avoir donné assez
    de sous '.
    Puis il me regarda et dit:
    - 'J'avais demandé à Jésus de s'arranger
    pour que j'ai assez de sous pour acheter
    cette poupée afin que ma maman puisse
    l'apporter à ma petite soeur.
    Il a entendu ma prière. Je voulais aussi
    avoir assez de sous pour acheter une rose
    blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui
    demander.Mais il m'a donné assez de sous pour
    acheter la poupée et la rose blanche.
    Vous savez, ma maman aime tellement les
    roses blanches...'
    Quelques minutes plus tard, sa tante
    revint, et je m'éloignais en poussant mon
    panier.
    Je terminais mon magasinage dans un
    état d'esprit complètement différent de
    celui dans lequel je l'avais commencé.
    Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon.
    Puis, je me suis rappelée un article paru
    dans le journal quelques jours auparavant
    qui parlait d'un conducteur en état d' ivresse
    qui avait frappé une voiture dans laquelle se
    trouvait une jeune femme et sa fille.
    La petite fille était morte sur le coup et la
    mère gravement blessée.
    La famille devait décider s'ils allaient la
    faire débrancher du respirateur.
    Est-ce que c'était la famille de ce petit
    garçon ?
    Deux jours plus tard, je lus dans le journal
    que la jeune femme était morte.
    Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un
    bouquet de roses blanches et de me rendre
    au salon mortuaire où était exposée la jeune
    dame.
    Elle était là, tenant une jolie rose blanche
    dans sa main, avec la poupée et la photo
    du petit garçon dans le magasin.
    J'ai quitté le salon en pleurant sentant que
    ma vie changerait pour toujours.
    L'amour que ce petit garçon éprouvait pour
    sa maman et sa soeur était tellement grand,
    tellement incroyable et en une fraction de
    seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé

     

     

     

     

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