SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    AshleyHayley
    Activité :
    0 connectée(s)
    2 membres
    93 messages postés
    Date de création :
    le 02/08/2017 à 21:36

    Présentation
    Modifié le 02/08/2017

    Fourre-tout, bordel, bazar NE PAS ENTRER 

    Nouvelles membres


    Discussions

    Anwwwwwww c'est trop chou ça <3
    à 19:55 le 06/07/2018
    Bha après toi tu sais, peut importe ton style je trouverai ça trop bien parce que c'est écrit par maman Ash que j'aime fort. <3
    à 19:48 le 06/07/2018
    Mmmh je vais essayer de faire plus de dialogues et quand ça sera bien entamé je te redemanderais merci Chloé <3
    à 19:43 le 06/07/2018
    Bhaaaaa, les deux styles sont bien. <3 aorès chaud aussi de comparer la première et la troisième personne, parce que c'est deux type ou on peut faire plein de truc différent, et puis ça dépend des gouts, certain préfère un point de vue omniscient ou externe plutôt qu'un point de vue interne. o:
    à 19:37 le 06/07/2018
    Nooon mais dans le style d'ékritur :'(
    à 18:57 le 06/07/2018
    C'est dur de comparer un message quasi rempli de dialogue à un message sans dialogue hin
    à 18:52 le 06/07/2018
    Compare les deux derniers messages et dis-moi lequel est mieux écrit que je vois si mon niveau a baissé stp
    à 18:30 le 06/07/2018
    Depuis mon enfance, je n’ai jamais manqué de rien. J’ai un père qui m’a élevée seule sans trop se plaindre après que ma mère se soit enfuie avec le jardinier, une chambre pour moi toute seule, une grande et belle maison avec jardin, de l’argent de poche, des vêtements que JE choisis, de la nourriture etc. Non vraiment, je n’ai pas à me plaindre sur le plan matériel j’ai toujours été et je reste comblée. Pourtant, il me manque bien une chose depuis mon enfance : un père. Alors en contrepartie, j’ai une sorte de frère. Jacob est le fils de notre femme de ménage, il a le même âge que moi et je le connais depuis mes huit ans puisqu’il habite à la maison depuis cette époque. C’est la mère de Jacob qui nous a élevés. Mon père n’est jamais à la maison, et ma mère a divorcé pour mener une vie complètement folle avec notre jardinier de l’époque à mes cinq ans alors c’était comme une deuxième mère pour moi. Ma relation avec Jack’ est loin d’être conventionnelle mais c’est la meilleure de ma vie.
    J’ai 17 ans, je suis en dernière année et c’est censé être la meilleure de ma vie, pourtant je pense que mes plus belles années seront lorsque j’aurais au moins la vingtaine et que je m’en irais. Non pas que je manque de quoi que ce soit comme je l’ai expliqué précédemment ce n’est pas le cas, j’inspire simplement à d’autres choses. Je ne suis pas particulièrement populaire mais pas impopulaire non plus, pas spécialement jolie mais pas particulièrement moche non plus, je suis au milieu, je me fonds dans cette masse informe de lycéens tous les jours en attendant la fin du lycée pour m’en extirper.
    Je vais au lycée en bus, parfois Jacob m’accompagne sur sa moto mais je n’aime pas lui demander, je le fais seulement si c’est nécessaire.
    à 18:29 le 06/07/2018
    Elizabeth venait de sortir de la salle, son carnet à dessins sous le bras. C'était la pause alors elle avait le temps de trouver quelque chose à dessiner. Elle marchait dans un couloir, en regardant autour d'elle à la recherche de quelque chose d'intéressant à dessiner lorsque soudain, elle senti son regard sur elle, et elle entendait ses pas derrière elle.
    Non, il ne faut pas avoir peur. Il ne faut pas paniquer. Pas toi Liz', tu vaux mieux que ça. Mais il était déjà trop tard. Au détour d'un couloir, elle senti son bras être agrippé puis elle fût violemment tirée vers lui avant qu'il ne la plaque tout aussi violemment contre le mur. Si fort, qu'elle en avait mal au dos.
    Elle sentait son odeur, elle sentait son regard perçant, elle sentait son cœur s'accélérer par la peur.
    Et pourtant, Liz n'avait pas peur facilement. Elle n'avait pas peur des serpents, des esprits, des voyous... Même Hiro, le dictateur du lycée qui effrayait une bonne partie des élèves ne lui faisait pas peur.
    Mais lui, non, c'était au-dessus de ses forces.

    Son sourire. Son sourire sadique était figé sur son visage tandis qu'il plaçait ses mains autour d'elle, sur le mur, comme pour l'emprisonner. À travers ses longs cheveux noirs en batailles on pouvait distinguer deux grands yeux bleus glaçant.
    Il lui chuchota, ce sourire sadique toujours collé au visage :
    -Alors Liz'... Comment ça va depuis la dernière fois ?
    Elle deglutit. Il ne faut pas craquer.
    -Dégages.
    -C'est pas très gentil... Ça me ferait mal au cœur de devoir te punir pour tes vilaines paroles, tu sais ?
    -...
    -Tu n'es pas très bavarde aujourd'hui... Quoi que... Je n'aime pas quand tu parles, je préfère quand tu cries.
    Il lui chuchota à l'oreille :
    -Tu te rappelles comme tu criais la dernière fois ?... Quelle douce mélodie...
    Les larmes montèrent aux yeux de Liz.
    Les larmes aux yeux, Elizabeth se retenait de pleurer. Non Liz', ne verse pas de larmes, ça lui ferait trop plaisir et lui faire ce plaisir c'est bien la dernière chose qu'elle souhaitait. Elle reprit ses esprits, et retint ses larmes.
    -T'es vraiment un enfoiré....
    Son grand sourire sadique s'élargit davantage.
    -Moooh... Ça me fait presque de la peine...
    Il lui remonta le menton, pour la regarder dans les yeux et admirer les larmes qu'elle se retenait de verser.
    -Tu as tant envie que ça d'être punie ? Tu n'as qu'à demander tu sais...
    Il s'approcha, toujours son sourire collé aux lèvres pour lui chuchoter doucement :
    -De toute manière, ce soir, tu vas déguster. Je te punirai.
    Elle se mit à trembler. Elle songeait déjà à ce qu'il lui ferait et ça lui faisait peur. Elle savait qu'elle ne pourrait pas se retenir de crier, qu'il pousserait encore plus loin jusqu'à ce qu'elle hurle à la mort. Comme la dernière fois...
    Elle ne voulait pas y repenser, elle voulait chasser ces horribles souvenirs de son esprit... Mais il aimait le lui rappeler et la torturer avec, ça lui plaisait et elle le savait. Et ça la dégoûtait.
    Dans un élan de colère contre lui, elle ferma le poing, prit de l'élan et s'apprêta à lui donner un coup de poing au visage... Mais il était plus fort et rapide qu'elle. Il lui attrapa le poing avant de mettre sa main dans son dos en appuyant bien fort pour lui faire mal.
    Elle se mit à hurler de douleur, un cri puissant et strident... Comme la dernière fois. Mais cette fois ci c'était moins fort.
    -Ah, que ce son est doux... Dit-il en fermant les yeux pour mieux apprécier les cris de Liz'.
    Plus il appuyait, plus elle avait mal et criait de douleur, c'est comme une boîte à musique.
    Il souriait toujours. C'est fou, le simple fait de l'apercevoir le remplissait de bonheur. Il songeait à ce qu'il lui avait infligé, et au doux son de ses cris surtout... Et ça le remplissait de bonheur. Et le meilleur là dedans ? Elle ne pouvait rien dire à personne, et il pouvait recommencer quand bon lui semble.
    Elle se mit à pleurer. Elle n'en pouvait plus, ce monstre la poursuivait, quoi qu'elle dise, quoi qu'elle fasse, il lui pourissait la vie, même au lycée maintenant. Et elle restait son jouet, pour toujours et à jamais. Et elle n'avait plus de répit. Elle n'en pouvait plus, elle craquait psychologiquement. Elle devait garder tout cela pour elle, c'était leur "petit secret".
    Ses cris avaient cessé, remplacés par le son de ses larmes et il lui lâcha le poing. Elle s'écroula de tout son être au sol, tremblante comme une feuille. Et il s'accroupit devant elle. Il souriait davantage. Il lui remonta le menton pour bien la regarder dans les yeux.
    -Mais c'est qu'elle pleure maintenant... C'est dommage, je préfère quand tu hurle à t'en époumonner. Je préfère entendre tous tes cris et tes supplications.. Tes larmes n'ont aucun intérêt.
    Il essuya ses larmes avec son pouce.
    -Ce soir, tu hurlera. Je ferai tout pour.
    Il eût un rire, et il lui lâcha le visage brutalement avant de se relever pour s'en aller, trop heureux de songer à ce qu'il allait lui faire subir, et il la laissa là, recroquevillée contre elle-même dans un couloir et terrifiée.
    à 18:00 le 06/07/2018
    On rigole mais je compte me remettre à écrire pendant les vacances j'espère que mes textes seront émouvants :')
    à 17:34 le 06/07/2018