SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    DouceMangue
    Activité :
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    1203 messages postés
    Date de création :
    le 06/11/2016 à 20:30

    Présentation
    Modifié le 10/11/2016

     

    ◊ Sweet as Death 

     

     

    /!\Attention/!\

    Ceci est un rpg autour d'une affaire de meurtre.  Âmes sensibles s'abstenir.

     (de lire, puisqu'il est privé)

     

     

     

      Histoire 


    Depuis quelque temps, une série de meurtres afflige votre ville. 

    L'enquête piétine et les citoyens évacuent les rues de plus en plus tôt. En tant que policier, vous n'en pouvez plus. Le tueur ne laisse jamais de traces et n'utilise que des outils qu'il trouve dans le lieu où il commet ses crimes. Les victimes sont toutes différentes, hommes ou femmes, de toutes classes sociales, mais jamais d'enfant. Le meurtrier à l'air de vouloir faire de ses victimes des "oeuvres d'arts", car les scènes de crimes sont toutes plus horriquement détaillées les unes que les autres. Ceci est sa marque principale ainsi que le clouage du coeur de la victime sur un mur. Comme dis plus tôt, le meurtrier ne laisse aucunes traces, que ce soit empreinte ou une traces de pas. Alors... Déprimé, vous vous laissez un peu aller et buvez quelques coups le soir après le travail, sans savoir que celui que vous recherchez vous sert vos pintes de bières.

     

    • Formulaires •


    Paragraphe avec :

    Nom&prénom,

    Âge 

    Caractère et histoire (non obligatoire, mais important quand même.).

    Image

     

     

     

     

     

     

     

    • Personnages •

     

     

     

     

    Je suis l'agent Matsuoka Soon, je travaille au service de police depuis mes 18 ans. Aujourd hui, j'ai 28 ans et je suis dans ce bar, ou je suis juste soon. Je suis agent de rien de rien du tout dans ce bar. juste un pauvre mec qui boit pour oublier ce boulot de chien. Je vais ici tout les soirs enfin directement en sortant du boulot... 
    Au début j'y aller juste pour oublier que je ne suis que le mec qui s'occupe des archives. Je discutais un peu de tout avec le barman après avoir bu quelques verres.

    - Je pourrais passer des heures ici.....° Je m'ennuis au boulot, mon mon vieux qui me harcèle comme un dingue parce que je passe mon temps aux archives au lieu d'être sur le terrain alors que je cite "l'arrache-cœur" rode encore.° Mais je m'en fiche de tout ça....° Tout ce que je voulais c’était ouvrir une librairie....°

    Je ne faisais que lui parler de mon ennui au boulot, mon envie de tout plaquer et de partir à l'aventure. Puis je suis revenu le lendemain et je l'ai regardé plus attentivement... il est pas trop mal au moins lui ne me prends pas pour un steapteaser sous prétexte que je viens en uniforme dans un bar gay. Et puis... ça façon dont il prépare les cocktails en faisant valser les verres, les shakers et les bouteilles.... ça me fascinait et me faisait sourire.
    Je propose de lui offrir à boire... mais rien à faire il respecte le règlement . Aaaah... bon sang. A partir de ce jour, je ne revenais plus par ennuis, mais pour lui faire la court. Je fais souvent rire mes gens que je drague. Je suis un grand romantique mais j'ai tendance à trop surprendre les gens. Ce jour là je suis arrivé en avance pour passer le plus de temps avec lui. Je n'ai répondu à aucun serveur lorsque l'on me demande ma commande. Je lui souris en le voyant arriver. Je lui souris gentiment et lui tends une bouteille de cocktail de fruits sans alcool dans un bel emballage avec un ruban.

    - Je me suis dis que peut être cette fois on pourrais inverser les rôles. Je vous sers le meilleurs cocktail de chez casino et je pourrais vous écouter cette fois. Et peut être que dans quelques jours, semaines ou mois, je pourrais vous emmener dans un restaurant et on continuait à discuter.

    J'étais un peu tendu... mais au final je l'ai vu rire avant de prendre deux verres et me laisser le servir en me demandant ce que je voulais boire. C'est comme ça que je l'ai rencontré. C'est peut être le début de notre histoire. Je verrai ça avec le temps.

    "Je m'appelle Abel. J'ai environ 1000 ans, et je suis donc au quart de ma vie... Je suis un géant des glaces et..."
    J'entends des rires dans la salle. C'est vrai que je ne suis pas vraiment un géant par rapport aux autres membres de mon espèce. C'est ce qui fait une de mes singularités. Les géants des glaces sont bleus avec des yeux rouges, font entre cinq à neuf mètres et ont un corps extrèmement puissant. La très grande majorité d'entre eux sont des guerriers... Je fait 1 mètre 80, j'ai des cornes et des runes sur le corps, et j'ai été désigné comme magicien. Ce qui a fait de moi une certaine "tare" dans notre communauté, qui se se meurs de plus en plus, et n'a donc pas besoin "d'erreurs" comme moi.
    "...Et je suis magicien. Même si on ne m'a pas appris beaucoup de sorts."
    Encore des rires. Je me retiens de soupirer.
    "Merci de votre gentillesse."
    D'autre rire. Je m'incline en essayant de ne pas me faire trop mal à cause des chaînes. On m'entraîne à côté des autres "objets".
    Je soupire une fois arriver là. J'ai toujours détesté les enchères. C'est toujours la même chose mais ça m'atteint toujours autant. Cette manière que les sponsors ont de nous rabaisser...
    J'ai été vendu très tôt. Vers mes 50 ans, lorsque je n'était encore qu'un enfant... Mon père avant tellement honte de m'avoir mit au monde qu'il m'a simplement abandonné. Depuis ce jour, je suis passé de mains en mains... La plupart des personnes me laissant dans une cage à cause de la peur qu'ils ont par rapport à notre espèce. Mais il y en avait certains qui voulaient s'amuser. Et au final, c'est sûrement tout ce que j'ai appris de mes 950 ans en tant qu'esclaves. Les aider à s'amuser. J'ai appris des sorts aussi... Surtout des sorts de défense.
    Pourtant, malgré cette longue période enfermé, personne n'a réussis à me briser. Même si je leur fait croire que je suis soumis, à l'intérieur, j'ai réussis à me construire une barrière afin que plus rien ne m'affecte.

     

    ~


     

     

    - "Je suis gay." Quand mes parents ont entendu ça, je crois qu'ils ont failli faire une crise cardiaque... Ils m'ont immédiatement mis à la porte et déshérité après s'être lamenté pendant plus d'une heure. Mais je n'y pouvais rien... Je n'ai demandé ça à personne, et pourtant, depuis le début de mon adolescence, je n'ai jamais été intéressé par les filles. Alors, lorsque mes parents m'ont dit que j'étais en âge de me marier, j'ai craqué... Eh oui, très chers parents, moi, Alan Tailor, votre propre fils, suis homosexuel... Enfin bref... J'ai reussis à me débrouiller et maintenant, je vis ici, juste au dessus du bar... D'ailleurs, maintenant que j'y pense, ça vas faire tout juste cinq ans...

    Eh oui. J'ai 25 ans. Le temps passe vite... Et voilà que je blablate avec un inspecteur de police ( qui me fait la cour ) en lui déballant ma vie. Ça doit être une métaphore de quelque chose vu ce que je suis... Depuis quelques temps, il vient souvent dans ce bar, me parler de sa vie qu'il trouve ennuyeuse au possible. Cela me fait bien rire. Surtout, qu'apparemment, son père veut qu'il participe à l'enquête de "L'arrache coeur". Je trouve ce surnom très peu saillant, même très vulgaire. En fait, il prouve encore une fois que personne ne comprend vraiment mes actes. Parce que oui, c'est moi "L'arrache coeur"... Mais le coeur cloué n'est que ma signature. Ce qui est important dans ce que je fais, c'est là scène que je créer à partir du corps de la matière originale... Toutes ces personnes étaient mariées. Cela doit être le seul point commun qu'elles partagent avec le fait qu'elles sont tous adultes. Ce sont des éléments nécessaires pour le tableau... Mais bon, ce n'est pas comme si j'allais raconter tout cela à cet agent immature... Non, il est bien trop égocentrique pour comprendre mon art et il ne fait que fixer mon derrière lorsque je le sers. Mais... D'une certaine manière, je l'aime bien. Peut être qu'il pourrait faire un bon tableau. Dommage qu'il ne soit pas marier... 

    Je boit tranquillement le verre qu'il m'a offert pendant ma pause, comme ça, l'air de rien, tout à fait normalement. Je pense que c'est ça que j'aime bien chez lui. Sa désinvolture malgré le fait qu'il n'aime pas la vie. Il ne se gêne pas pour me parler de sa vie ou me demander de lui parler de la mienne... Même si cela se voit bien qu'il est influencer par son espèce de cou de coeur pour moi. Enfin, si il m'aime bien, cela doit compter comme une autre preuve que mon jeu extérieur doit bien marcher. Je suis gentil et serviable, ainsi que très sérieux au travail. Je ris beaucoup et est à l'écoute de tout le monde, que ce soit client ou employé. Tout le monde m'aime bien, même dans un cercle plus étendu comme mes voisins ou les gens du marché d'à côté... Et ce n'est pas la première fois qu'un client me demande un rendez-vous. Donc, je suis très fier de mon jeu. Puisque, je suis beaucoup plus dur en réalité, assez calculateur même. J'aime bien manipuler les gens... Et puis, j'aime beaucoup les contrôler. Je n'ai jamais garder quelqu'un chez moi, tout simplement parce que je suis prudent et que je ne veux pas me faire attraper, mais j'en ai toujours eu envie... Par exemple, là, en train de rire devant le petit policier qui me fixe comme si j'étais le Saint Graal, je me demande bien quel serait sa réaction si il apprenait qui j'étais... J'aimerai beaucoup voir son visage se décomposé devant cette réalisation... Mais bon, je ne peux pas m'en prendre à quelqu'un que je connais, même de loin. Surtout un policier... Je me ferai arrêter en moins de deux et ce n'est pas mon but. 

    Mais... Il y a autre chose chez lui, que ce désire de l'ajouter à mes oeuvres malgré le fait qu'il ne remplis pas les critères et qu'il soit policier... C'est la première fois que je raconte mon histoire depuis ces cinq ans... Et ça, c'est quelque chose qui, je pense, m'intrigue chez mon nouvel "ami". Juste pour ça, j'ai bien envie de sortir avec lui. En plus, je pourrai essayer de me tenir au fait sur les agissements de la police. Mais il vaut mieux que je réfléchisse. C'est un mouvement dangereux si je veux continuer ce que je fais. Et puis... C'est là fin de la pause.

    - Bon, je retourne travailler. Merci beaucoup pour le verre.

     

     

     

     

     

     

     


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