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- le 22/10/2011 à 21:58
Présentation
Vous pensez avoir du talent ? Alors partagez le grâce à ce club !
J'ai créé ce club pour vous montrer mon roman mais aussi pour montrer les romans des autres, s'il y a des écrivains en herbes (d'où le nom du club) qui veulent avoir un avis de leur(s) oeuvre(s) littéraires.
N'HESITEZ PAS A M'ENVOYER VOS TEXTES ET QUE JE LES PUBLIENT !
J'ai préféré supprimer mon roman parce que depuis j'ai changé ma façon d'écrire et j'ai refais un nouveau roman x) M'en voulez pas trop si vous voulez "Nii", demandez moi en MP parce que je l'ai toujours sur mon ordinateur :D
J'ai l'honneur de vous présenter le roman de MlleMélodie !
[Toutes les critiques acceptées :D]
Silent for the soul
C'était une froide fin de journée d'hiver. Tout ce qu'il savait ,c'était qu'elle avait disparu. Le jour de grâce,il y a deux ans jour pour jour. Ce jour là aussi,il neigeait. Et ce jour marqua à tout jamais l'esprit du jeune adolescent. Oui, Alexandre a vu sa vie basculer la soirée où s'ensuivit la mystérieuse disparition de sa meilleure amie Elizabeth.
Un dernier regard,un souffle d'adieu.
Sous un ciel eneigé.
Chapter I:une brise d'angoisse
Seize heures. La cloche du lycée sonna la fin du cours,et l'heure de libération pour certains élèves. Tous prirent leur temps pour ranger leurs affaires, tous sauf un:notre jeune héros. Il avait bien plus important à faire que de s'amuser et, sans cette main ferme qui le retint soudainement, il serait déjà dehors. Alexandre se retourna, effaré et vit un garçon aux cheveux blonds soyeux, armé d'un grand sourire. Il se retint de sursauter: ces cheveux clairs et cendrés, les mêmes que la disparue possédait. Quoi de plus évident car il se trouve que Ludovic n'est autre que le cousin d'Elizabeth, et malgré cela, lui aussi comme tous les autres, il l'avait déjà oublié.
"-Hey Alex, qu'est ce qui te prend ? Tu es pressé ?
-Non pas vraiment, répondit laconiquement Alexandre.
-Alors te faufile pas comme ça !!"
Et sur ce il l'entraina vers le reste de la soi-disant bande.
...
Voici, pour votre plus grand plaisir un autre roman signé xSKY !
[...]
My Sweet Love
Je n’ai jamais vraiment pu t’oublier, et tout ça me fait du mal. Tu n’aurais pas dû, si tu savais à quel point je souffre loin de toi? Eliade ? Cette-fois es-tu vraiment partie ? Où joues-tu encore avec mes sentiments, Eliade… Pardonne-moi. Je ne t’ai jamais dit ce que je ressentais. »
En se levant de sa chaise, le jeune homme aux cheveux brun et à la silhouette frêle soupira un long moment, avant de regarder le ciel. Celui-ci était d’un bleu azur, parsemé de quelques nuages ; Où quelques rayons éclairaient les bâtiments tout autour. Tout en admirant ce somptueux spectacle, le jeune homme pris appui sur le rebord de la fenêtre. Et comme si, quelqu’un lui faisait face, il se retourna, puis dans un léger sourire, s’exclama :
- Te souviens-tu, quand nous étions encore que des enfants, nous passions des heures à contempler le ciel, tu disais vouloir lui ressembler, pour qu’alors aucun malheur ne m’arrive. . .
Lourdement, il se dirigea vers la porte, il entendait au loin les hurlements de son capitaine. Rien n’avait changé, depuis la dernière guerre, du moins presque rien. Sa main fragile, ouvrit la porte, puis avant d’hésiter à partir, il se retourna une dernière fois, et laissa échapper quelques mots :
- Je te remercie d’être entrée dans ma vie, Eliade.
Il ferma, la porte et partit à la rencontre de son capitaine, c’est décidé cette fois-ci il ne pensera plus à elle, il savait à quel point cela allez lui être dur, mais après tout il avait beaucoup d’amis autour de lui qui le comprenait, et qui le soutiendrai plus qu’il n’en faudrait.
...
Encore un inédit ! Voici le "roman" de Violette_Jolie !!
[...]
Le journal de Lucie
Mon journal
Le 21 août.
Aujourd'hui, dans ma maison, j'ai décidé de devenir cow-boy ! Je trouve le nom «Cow-boy» super nul, pourquoi des garçons vaches?? ET puis ça existe pas «Cow-girl»? Enfin...mon but est Cow-boy? Non, Cow-....hum girl ! Peut-être que les filles rêvent d'avoir des chevaux, poneys...tout ça mais moi non! Même si je n'ai pas de chevaux, ni poney, même ils sont mignons et tout doux et que j'aimerai en avoir, ce n'est pas pour ça que je vais le faire devenir mon rêve...
Moi je veux devenir cow-boy enfin version fille: COW-GIRL!!!!
Olala! Je deviens folle... Excusez-moi! Enfin je suis loin d'une fille courageuse et qui vous cris dessus quand quelqu'un croit que mon rêve c'est les chevaux ; enfin c'est ce que je viens de faire.... mais si vous me voyez ainsi, ne croyait pas que je suis une grosse brute. J'y suis bien loin, très loin...
Quand j'ai annoncé ça à mes parents, ils ont fait les yeux tout ronds: mes parents préfèrent que je sois euh.. «fifille». Peut-être, j'aime le rose, les poupées, les robes, jupes et que je suis fifille... mais cela ne m'interdis pas de devenir cow-boy, si ? Comprenez, j'ai riposté en posant mes mains sur mes hanches tout en hochant la tête. Ils m'ont sourient, ils ont l'habitude de mes petites distractions, je suis montée dans ma chambre. Pour le reste de la journée, calme plat. Je n'ai plus touché un seul mot. Ce soir, il a plu des cordes, c'est tellement bizarre «pleuvoir des cordes» autant pleuvoir un lasso ; ça me servirai si je deviendrai VRAIMENT une cow-girl.
Olala! Faut vraiment que j'arrête !
26 aout
Aujourd'hui, c'est moi qui me charge des corvées.
Ce matin, il est 9:02.
Je suis au puits du village de «Cocoya».
Je m'apprêtais à revenir avec des sceaux aux mains quand tout à coup trois garçon foncent sur moi.
L'impact est fatal pour moi. Je suis toute mouillée.
Les garçons, eux, n'ont rien et court à toute vitesse et en pouffant.
Je l'ai connais bien ces garçons, ils m'embêtent parce que je suis rousse!
Enfin d'après eux "une poile de carotte".
Ça m'étonne pas j'en mange trop de carotte, faudra que j'arrête...
Ce n'est pas ma faute si je suis rousse. En attendant, je vais encore me faire gronder.
Non seulement je ne rapporte pas d'eau, en plus je retourne toute sale.
27 aout
Je suis encore vivante, je ne me suis pas fait mitrailler par mon père.
Je suis juste consigner dans ma chambre jusqu'à nouvel ordre : je m'en sort plutôt bien.
Par contre, pendant une semaine je dois faire les corvées.
J'espère que les garçons ne vont pas recommencer ou sinon c'est finit pour ma carrière de cow-girl.
De plus, j'ai bien réfléchi et pour devenir cow-girl il faut:
Un cheval
Savoir monter à cheval
S'occuper d'un cheval
Alors il faudra que j'attende d'avoir un cheval, et pour l'instant je pense pas que papa sois d'accord...
Ça m'enchante, et j'espère que papa aussi...
Mais mon rêve reste COW-GIRL est surtout pas les chevaux (même si je devrais en avoir un).
Olala! Stop! Maman! Un doliprane! Je deviens folle! Une fausse brute....
...
Le roman de Jul ne se trouve pas ici mais sur son blog :
Roulement de tambour : Voici le roman de Shemsee !
[Toutes critiques acceptées]
Sins of Love
Chapitre 1
Famille
Mes parents les avaient entendus, ils m’avaient dit de me cacher derrière la porte de ma chambre ...
Je savait se qui allait se passer ...
Mais je n’y pouvait rien...
_ Je veux ce que tu me dois ! Cria un inconnu en défonçant la porte
_ Tous se que je te dois c’est une bonne éducation, murmura tranquillement mon père
Derrière ma porte usée, aux points d’avoirs des petits trous, je pouvais distinguer deux autres silhouettes qui était là attendre, là a monter la garde en cas de problèmes. Quand soudain un mouvement du premier homme m’interpela, il allait dégainer son revolver, alors que mon père ne lui prêtait pas attention, il allait mourir. Je ne le comprenais pas, je ne le reconnaissais pas, jamais il n’aurait réagis comme sa, aussi calmement, aussi inopinément...
J’ai attendue la balle partir en direction dans sa direction et je n’étais pas la seule. Ma mère ! Qui elle avait courut pour recevoir cette balle. J’avait vu sa poitrine se fendre, son sang coulé sur le sol et elle avachit. A ce moment là mon père regarda le sol, avec les larmes aux yeux.
_ Je t’avais dit non ! Criait t’il, je t’avais dit non !
Moi, je ne pouvais me retenir de pleurer, les larmes coulaient sur mes joues glacée, mes mains tremblaient, j’avais des frissons, je ne pouvais la regarder, pas m’imaginer qu’elle était morte.
Mon père sortit un revolver de sa hanche, mais c’était trop tard l’homme devant lui avait déjà tiré sur la gâchette. Mon père se retrouva à son tour sur le sol
Là s’en était trop : mes deux parents morts devant moi. Je mettais ma main devant ma bouche pour m’empêcher de crier, et moi aussi y laisser ma vie, je suffoquais, je sentais la mort proche, et l’envie de me jeter sur mes parents en criant de toutes mes forces était immense ...
_ Mais t’est trop con ! Dit le premier homme de l’ombre
_ Que du muscle pas de cerveau ! Murmura le deuxième
_ Tu n’y comprends rien à rien ! On va le trouver où le code maintenant ? Hein tu peux me le dire !
Le premier homme de l’ombre entra dans la pièce et scruta les deux corps avec dédain, il devait être le chef de bande, le « sans pitié »...
_ Fouiller moi sa ! Murmura amèrement ce dernier
Et il ne le répéta pas deux fois, les deux hommes balançaient les coussins avec une tel violence que l’on pouvait voir des plume, vidant les tiroirs et les placards.
Mon cœur battait, j’étais dans la merde, ils allaient venir dans ma chambre et fouiller c’est sur. Et habitant dans un vieil immeuble délabré je ne pouvais, sauter de ma fenêtre.
Tout d’un coup une sirène de police retentit. J’étais sauvé, les trois hommes lâchèrent tout se qu’ils avaient dans les mains, poussèrent des jurons, et partirent en courant.
De ma fenêtre, j’observais cette voiture qui pouvait faire déguerpir plus d’un. Même si cette voiture, ne mettais pas destiner, qui ne faisait que le tour de mon immeuble
J’ouvris doucement la porte de ma chambre, pour regarder les cadavres de mes parents, je m’agenouillai doucement prés d’eux et cria tout se que j’avais sur le cœur.
La bande avait parlé d’un code, quel code ? Qui sert à quoi ? Dans quoi est-ce que ma famille s’était fourrée ??
Tout d’un coup mon oncle débarqua.
_ Oh mon dieu ! Vient vite Sins ! Dépêche-toi !
_ Mais on va où, faire quoi ?
Mon oncle me tira le bras, et me donna un revolver. Je savais m’en servir, mon père me l’avait appris.
_ On va chez moi, vient vite ! Tu as déjà des affaires là bas, allez avant qu’il revienne !
Chez lui c’était a l’autre bout de la rue, mais pour y arriver c’était une autre histoire : coin lugubre, alcolos, prostituées et tout ce qui va avec...
Heureusement mon oncle était un habitué et passait par la sans soucis. Mais c’était tout autre chose, je me retournais a chaque instant. Les femmes qui fumaient et se vendaient sans complexes, les hommes qui avaient bu un goûte de trop et qui acceptaient joyeusement les corps à moitié dénudés qui s’offraient a eux. Des groupes de jeunes qui passaient et repassaient, en me scrutant et en ricanant.
Arrivé chez mon oncle je m’affalai sur un lit et m’endormis, épuisée par tant d’émotion...
...
ROMAN DE MEWICHIGO ! :[)
[...]
Les cauchemars vivants
Je marche tranquillement dans une ruelle. Je me sens bien, sereine. Tout à coup, j'entends des pas derrière moi. Je continue de marcher, sans m'arrêter. J'aimerais bien me retourner mais je n'y arrive pas. Les pas retentissent derrière moi, et se font plus proche. J'accélère. Les pas ne se font plus entendre. Je m'arrête, me retourne et je continue ma promenade. Soudain, devant moi, dans l'ombre d'un arbre, se tiens quelqu'un. Je ne vois pas le haut de son visage. Il tient un objet brillant dans sa main. Je sens son regard, pesant. Je le vois sourire, et, l'instant d'après, je sens un choc à la poitrine. Je me retrouve par terre avec l'inconnu sur moi. Il a coincé mes mains sous ses jambes. J'ai de la peine pour respirer car sa main enserre ma gorge. Il serre, il serre, et il serre de plus en plus fort. Il sourit. C'est un sourire sadique, satisfait de sa prise. Tout en souriant, il pointe l'objet brillant vers ma poitrine. Il lève le bras. Des petites étoiles dansent devant mes yeux, mais j'arrive quand même à voir ce qu'il tient. Un couteau. J'ouvre grand les yeux, effrayé. Je veux hurler, mais aucun son de sort de ma bouche. Alors, il pousse un grand hurlement, qui ressemble à un rire d'hystérique, et abaisse le bras qui tient le couteau. Je hurle, je hurle. Mais personne n'arrive à temps.
Toutes critiques acceptées
Un roman de plus by Athena2
[N'hésitez pas à critiquer ...]
Et un autre : celui de naila54321
[...]
TITRE ?
Prologue:
Il ya des siecles de cela, des soldats armés jusqu'au dents et de grands magiciens étaient venus sur Terre. Ils avaient tout ravagés, sauf une ville, Ohsta. Cette ville, acueillaient des êtres d'exeptions, comme un mage, Arsene. Les simples mortels dépourvus de pouvoirs magiques ne surent rien de ce qui étaient arrivés à Ohsta. Et 500 ans apres, ce n'est pas maintenant que ça commencer.
Chapitre 1 : Un mysthere fantomatique
J'aime le vent , oh oui j'aime le vent plus que tout. Et je l'attend, apres tout ce qu'il m'a raconté. Moi heroïne de Ohsta, ce monde de legende qui m'avait fait rêvée jadis. On en parlait dans les livres d' histoires, ma prof m'avait racontée que Ohsta avait péri sous les mains des ennemis et avait ensuite etait engloutit par la mer. Mais Alex m'avait raconté que Arsene, grand mage de l'epoque, avait deplace la terre dans une autre dimension, un monde parallele.Maintenant, je l'attend, je m'enfuit de ce monde banal ou je ne suis pas aprecie a ma juste valeur. Et il apparaît, comme par magie, mais que dis-je, c'est de la magie. Je prend sa main, et nous nous en allons. Pendant la traversée, je sens mon cœur s'opressée. A l'arrivée, je suis dans les bras d'Alex. Je l'embrasse et me detache ses levres aux premiere lueures de l'aube.Mes paupiere s'alourdissent lentement, jusqu'à se fermer sur mes yeux bicolores, un marron et un violet. A mon reveil je suis sur de la paille, un crissement me l'indique.
« Ou suis-je, demandais-je. »
« Elle se reveille, s'ecrierent plusieurs voix de femmes à l'unisson »
J'entendis des pas, qui s'avançait jusqu'à moi, mais alors, plus rien, comme si le temps c'etait arreter. Je reçois un coup comme un eclair dans la poitrine. Je n'ais pas le temps de prononcer un mot que je sombre, sombre. Alinia, Alinia chuchotte une voix familiere. J'entrouvre les yeux pour decouvrir de la brume, j'approfondis mon regard et vois un corp fantomatique.
« Ne crie pas, s'il te plait, me dis le corp en levitation. »
« Qui êtes vous, repondis-le cœur battant la chamade. »
« Je suis ton rêve...et ton cauchemar, dis la voix. »
J'eclate de rire, mon rêve et mon cauchemar, n'importe quoi.
« Je t'avais prevenu, dit-elle en disparaissant. »
« Alinia, crie Alex. »
« Alex ou etait tu, je me suis inquietée, dis-je. »
Je le voie reflechir, il pause la paume se sa main sur mon front :
« Alinia, ou a tu vu cette femme, me dit-il »
Je soupire et lache ma phrase resignée :
« Elle est apparue il y a quelques minutes, je lui est demandee qui elle etait et elle m'a dis qu'elle etait mon reve et mon cauchemar et alors je lui dit n'importe quoi et elle a finit par disparaitre »
« Alinia, tu as beaucoup de chance même si tu ne t'en rend pas compte. »
« Qu'est-ce que tu baragouine encore. »
« Rien, suis moi. »
Chapitre 2 : Premiere approche à la magie.
Il prend ma main et m'entraine magiquement dans un endroit abandonné.
« Ou sommes nous, dis-je en angoissant »
« Regarde ton environnement, avant de poser des questions, me repont-il le ton glaciale. »
« Mais je ne vois rien... »
Je tousse, tellement c'est sale.
« Il y a plein de pousieres, dis-je. »
« Bon je connais une methode, essaye de sortir ton âme pour qu'elle puisse se balader librement, ensuite tu voyage, mais sans tes pieds, me dit il, tu comprends ce que je dis ? »
« Sans vouloir te vêxer...non, repondis-je a sa longue tirade. »
« En plusieurs étapes ça fait 1- Tu ferme tes yeux et te concentre sur ce que tu veut. 2-...
Je l'interromps pour poser une question simple comme bonjour :
« Qu'est-ce que je veut ? »
« D'abbord tu veut que je t'explique, je reprend, alors j'en suis ou... Ah oui, 2- Deplace toi, reprit-il. »
« Normalement ?, dis-je étonnée. »
« Oui, si ton âme est sorti, ça marche, me dit-il en face a face. »
Je ferme les yeux, pense fort, fort car je ressens une etrange sensation dans mon corp.
« Alinia, mais qu'est-ce que tu fait encore, dit-il d'une voix qui me semble lointaine, lointaine... »
Je m'effondre, comme le ferait un corp sans vie. Je suis paralysée, de la tête au pied. Alex me regarde comme si j'était le messie, mais qu'est-ce qui se passe, j'en ai marre de toujour rien savoir.
« Alinia, non pas ça, pas à toi... »
« Quoi ?, rajoutais-je. »
« Regarde toi, dit-il pendant que des larmes comme des perles roulaient sur ses joues. »
« Je te rappelle que je ne peux pas bouger, dis-je sur un ton ironique. »
« Ah oui, pardonne moi, dit-il en pronnonçant cette phrase :
Que la terre, le ciel et la lune me vienne en aide,
C'est pour sauver la prophetie,
Que je prononce cette incantation. »
Un jet vert sort de la paume de sa main, et m'atteint en pleine poitrine. Je bouge un doigt, ça marche. Je me lève et fait quelques pas hésitants, Alex fait apparaître un miroir, je m'approche, je me regarde, horreur, je vois, deux Alinia, deux moi.
« Qu'est-ce qui m'arrive Alex, dis le moi, dis-je completement horrifier. »
« Tu as penser à quoi ? Me demande t-il. »
« A savoir qui j'etais vraiment, dis-je d'une voix faible et impuissante. »
« Alinia, crois moi, tu es quelqu'un d'exeptionnel, me dit-il en caressant mon visage de sa main nimbé de lumiere. »
« Mais qu'est-ce que tu as ? Lui demandais-je. »
« Oh, rien mais je n'ai pas autant de puissance que toi, je suis épuisé, mon energie a beaucoup baissé puisque je t'ai deparalysé et j'ai fait apparaître un miroir, dit-il a mon attention. »
Apres avoir prononcer ces quelques mots, il s'effondre dans bras fragiles.
Je ne sais pas quoi faire, Alex c'est évanouie, j'ai eu une soudaine jumelle.
Que faire ?
http://la-bulle-d-or.blog4ever.com/blog/index-605079.html
Une nouvelle cette fois-ci ! ~ by Shop_me
[La suite bientôt! ;) N'hésitez pas à me laisser des commentaires, des critiques ou des conseils. C'est ce qui nous fait avancer. ^^]
Au bout du fil
Depuis ma tendre enfance, j'avais été élevée comme une enfant ordinaire par mes deux parents, Élisa et Antony de la Roche.
Nous nagions dans le bonheur. Notre appartement n'était, certes, pas le plus grand, pas le plus beau et pas non plus à la pointe de la mode ou de la technologie; pourtant, c'était pour moi un véritable palace.
Nous passions nos soirées à rire en racontant nos journées et lorsqu'une mauvaise nouvelle arrivait, nous nous soutenions et cherchions ensemble les points positifs de la nouvelle. Il nous arrivait même parfois d'en rire.
Nous étions pauvres, mais pas dans la précarité.
Tout a commencé lorsqu'un soir, papa rentra soucieux. Il commença à manger en silence, puis, comme si le poids était trop lourd, ses épaules s'affaissèrent et il se confia à nous: sa femme et sa fille. Il nous confia sa peur, son angoisse.
Il se tint devant nous, la tête dans les mains. Il semblait désespéré.
Il venait de nous annoncer que son patron, Monsieur Edward New-Age, fondateur de la célèbre maison d'édition du même nom partirait à la retraite d'ici deux mois, laissant alors son entreprise aux archives.
En effet, Monsieur New-Age était un homme orgueilleux et l'idée de laisser son œuvre aux mais de quelqu'un d'autre était tout simplement exclue pour lui. Mon père sembla encore plus abattu lorsque le silence s'installa. Aucune idée positive ne nous vint après ce qu'il venait de dire. Aucun rire ne fusa, aucun sourire n'éclaira nos visages et aucune larme ne s'empêcha de rouler sur nos joues.
Nous continuâmes à manger, tout en restant chacun perdu dans nos pensées. Chacun notre tour, nous allâmes nous coucher, un vague "bonne nuit" triste s'échangea puis plus rien.
Lorsque j'entendis que la respiration de mes parents devint plus profonde et régulière, j'enlevai la couette qui me couvrait le visage, étouffant ainsi mes sanglots. D'un rapide revers de manche, je séchai les larmes qui laissaient d'humides trainées sur mes pommettes et le bord de mes joues, commençant à tremper mon oreiller.
La nuit fût longue. Pleurant la tête dans le tissu dans l'oreiller, pour ne pas réveiller papa et maman, je pensai à ce qui allait nous arriver d'ici deux mois. Maman avait déjà été licenciée, et maintenant, seul la paye de papa nous permettait de vivre. Si on nous l'enlevait, comment allions-nous pouvoir payer le loyer de l'appartement, les factures et notre nourriture? Si mes deux parents rester ainsi au chômage plus de quatre mois, toutes nos économies seront utilisées et nous nous retrouverons dehors.
Vos impressions en commentaires ! :)
Soyez nombreux ! x.X
Merci de votre lecture à tous.