SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    Andestria
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    Date de création :
    le 04/05/2016 à 11:41

    Présentation
    Modifié le 14/07/2018

     
    Bad idea 







    Vous êtes le genre de fille adorable et sans histoire,
    un peu naïve, et qui croit encore au prince charmant. Pendant de nombreuses années, vous avez côtoyé ce que certains pourraient appeler votre "âme soeur", quelqu'un avec qui vous vous entendiez parfaitement. Au delà de l'amour ou de l'amitié, vous étiez inséparables, comme les doigts d'une même main.

    Malheureusement, vous avez dû être séparé après que vos parents n'aient été mutés loin de votre ville natale.  Les années ont passés, vous avez finis par perdre contact avec votre ami d'enfance, sans toutefois jamais oublier les merveilleux moments passés à ses côtés. Désormais, en dernière année d'Université, vous êtes de retour dans votre ville natale où vous renouez rapidement avec vos amis d'enfance, restés les mêmes même après toutes ces années. Cependant, les rumeurs sur votre ami finissent par arriver à votre oreille : on le dit métamorphosé, plus rien à voir avec l'adolescent pétillant que vous avez connus. Et s'il était devenu totalement innaccessible ? Un être destructeur auquel vous ne devriez pas vous accrocher. Et pourtant... 
     







        

               


     

    Les personnages


    Louise Klein est le genre de jeune femme à toujours voir malgré tout le bon côté des choses. Du haut de ses 23 ans, elle a vraiment du mal parfois à e voir que le négatif envers quelque chose, et cela malgré elle. Pourtant, on aura beau lui dire qu’une personne n’est faite que de défauts, elle ne pourra pas s’empêcher d’aller trouver chez cette personne des qualités.
    Du coup, son côté optimiste fait d’elle une personne assez compréhensive, et ouverte d’esprit. Mais comme tout le monde elle a des défauts elle aussi : premièrement, elle est beaucoup trop tactile avec les gens, c’est quelque chose qu’on arrête pas de lui reprocher, mais son manque d’affection fait qu’elle est toujours à la recherche de proximité avec les gens, en particulier ses plus proches amis. Deuxièmement, elle a trop peu de tact : elle a vraiment du mal à dire ce qu’elle pense réellement de peur de blesser les personnes à qui elle s’adresse, elle fera toujours tout pour ne vexer personne, ses amies lui reproche du coup de ne pas être assez directe, même une personne qu’elle n’aime pas, elle ne réussira jamais à lui dire clairement ce qu’elle pense d’elle, parce que elle se met toujours à la place de la personne censé recevoir ce genre de sentiment pas très appréciés.
    En somme, la jeune femme est quelqu’un de plutôt banal si on réfléchit bien, et elle n’est absolument pas du genre à se mettre en avant, et à vouloir se faire entendre et à vouloir qu’on la remarque surtout.
    Depuis qu’elle a quitté la ville à cause du déménagement de ses parents, à la fin du lycée, elle n’est restée en contact qu’avec sa meilleure amie, Lily, avec qui elle entretient toujours la même relation, en revanche, elle a perdu contact avec son meilleur ami, la distance en était sûrement pour quelque chose à l’époque, même si pourtant avec Lily il en était autrement. À présent, elle est de retour dans son ancienne ville car il n’y a que dans l’université présente ici qu’elle pouvait faire le cursus qu’elle a choisit. 

    Anthsem BELAMY, 23 ans.
    Dans les souvenirs de chacun, Anthsem était un enfant et un adolescent plein de vie, débordant d’énergie et de positivité. Il ne voyait le mal partout et semblait chaque jour plus amusé que la veille, la simple vue du soleil lui donnant le courage nécessaire pour passer les épreuves de la vie.
    Bien sûr, chacun était au courant de l’éducation stricte que ses parents lui imposait, mais seuls quelques-uns avaient eu l’occasion de voir au-delà : son père était tyrannique, violent et médisant. Alors qu’il tenait à ce qu’Anthsem suive ses pas pour reprendre l’entreprise familiale, ce dernier ne rêvait que de devenir un grand dessinateur, voyageant au bout du monde auprès de ses amis.
    Rêves d’enfant pour une âme d’enfant. Ainsi, à chaque fois qu’il passait le pas de sa porte, son sourire devenait toujours plus lumineux. Rien ne semblait l’atteindre, pas même la pluie, ni les orages.
    Sauf le départ de Louise, plus qu’une amie ou qu’une sœur, elle avait partagé sa vie depuis qu’il était tout petit. Elle était pour lui. S’il se levait le matin, c’était pour elle, s’il n’avait pas fui loin d’ici tant qu’il le pouvait, c’était pour elle. Alors, lorsqu’elle était partie vivre loin de lui, il avait tenté de rester le même, rester fort. Mais ses sourires s’étaient taris, semblaient peint sur son visage encore enfantin. Il avait pleuré, puis ses yeux s’étaient asséchés.
    Et sous les assauts toujours plus incursifs de son père, il était devenu adulte avant l’heure.
    Aujourd’hui âgé de 23 ans, il dirige d’une main de fer l’entreprise de son père, désormais mourant.
    Il n’a plus peur de lui, tout simplement par ce qu’il était devenu lui : un être froid et calculateur, attiré par le profit. Pragmatique en tout point, il avait fait le choix de ne plus entretenir aucune forme de lien sentimental avec quiconque. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il avait arrêté d’envoyer ses lettres quotidiennes à Louise. Enfermé dans son monde de finance et de spéculation, il ne prend guère le temps de s’occuper de lui et de son bien-être et n’a pas eu de vrais repas depuis des semaines. Ses seuls contacts sont entièrement liés à son réseau professionnel.
    Anthsem est devenu tout ce qu’il détestait : cynique et froid, même ses yeux bleu océan semblent s’être glacés au fil des années. Il côtoie un nouveau monde ou chaque geste doit être étudié à la perfection. Pourtant, lorsque Louise réapparait dans sa vie, Anthsem croît perdre tous ses repères.
    Qui pourrait croire que, au fond de son armoire, cet être froid et sans coeur renferme encore tous ses souvenirs d’antan, enfermé dans une boite vieillis par le temps ?





    RPG by Andestria, no plagiat. 

    Nouvelles membres


    Discussions

    [Hey ! J'ai réussi à me relancer pendant un petit moment et la motivation est partie de nouveau ! J'ai commencé un RPG de groupe pour pouvoir me rebooster donc si ça te dis toujours on pourra rp ensemble, faudra seulement attendre que je sois optimale :') ]
    à 22:01 le 24/05/2020
    [ Coucou, j'espère que tu te portes bien :)
    Pour ma part le confinement me fait revenir haha x) dis moi si c'est toujours ok ou non pour le rp :) ]
    à 10:18 le 06/05/2020
    [Coucou ! Je n'ai pas réussi à répondre avant, moi aussi j'étais pas mal occupée, ah ah!
    Mais je vais très bien, j'espère que toi aussi, vu que ça fait un petit moment ! :) ]

    Anthsem ne savait plus comment se comporter, alors pourtant qu’il était un homme de société. S’il avait s’agit de n’importe quelle autre femme, une autre de ses filles à la cuillère dorée, il aurait sû s’adapter. Il aurait tout fait pour leur convenir, arriver à l’heure et fleur au bout des doigts. Il pourrait les cajoler, même s’il était froid. Parce qu’il y avait quelque chose à gagner. Argent et contrat. C’était sa tasse de thé.
    Mais Louise, elle, qui était elle ? Plus une amie, plus comme avant, mais pas une de ses filles. Et il était perdu. Et il s’était perdu. S’il était arrivé à l’heure...Non. Il aurait fait une autre erreur. Parce qu’il ne sait pas comment se comporter. Devant celle qu’il a aimé. Pas cette amour que vous pensez. Pas celui qu’il observe parfois, entre un homme et une femme, qu'il savait que cela finissait toujours par disparaître.
    Cet amour qu’il lui a donné, c’était celui de l'honnêteté.
    Oui, bien sur qu’il l’avait aimé. Ils étaient des enfants, mais même à l’époque il aurait voulu ne rien lui cacher. Rester avec elle pour l’éternité. Cette petite fille aux yeux ambrés. Mais il avait fallu se séparer, et cet amour, il l’avait oublié.
    Remplacé. Par ce raisonnement froid. Qui pouvait faire trembler d’effroi.
    Lorsque ses yeux glacés observèrent Louise s’éloigner, il avait arrêté de respirer.
    Que devait-il faire ? La suivre ou s’enfuir ? Que voulait-elle ?
    Lorsqu’il était avec d’autres femmes, il savait exactement ce qu’elle attendait.
    C’était presque un contrat qu’ils signaient. Mais le contrat d’amitié qui l’avait lié à Louise, c’était lui même qui l’avait déchiré. Sans préavis. Sans compromis. Il l’avait juste rayé de sa vie. Il pourrait toujours tout mettre sur le dos de son père… Mais la vérité, c’est qu’il était seul responsable. Parce qu’il avait choisi sa voie. Par ce qu’il était trop tard pour se retourner. Mais avait-il la force d’avancer ?

    Lorsque Louise était sorti des toilettes, Anthsem était déjà installé, sur le côté du bar. Un verre au bout des doigts, qu’il faisait tournoyer. Lorsqu’il avait fini par relever les yeux, pour croiser ceux de la jeune femme. Un sourire à peine voilé, même s’il sentait sa colère vibrer. C’est qu’elle avait encore une goutte d’eau au coin du nez.
    Lorsqu’il se releva pour la rejoindre, qu’il passa le bout de sa chemise sur son visage, il ne se départit, pas de son sourire. Parce que dans ses souvenirs, elle ne restait jamais très longtemps contrariée, encore moins lorsqu’on lui permettait de manger.

    - Je t’ai dit que j’étais désolé, pendant encore combien de temps vas-tu bouder ?

    C’est qu’ils en avaient, du temps, à rattraper.
    à 21:07 le 28/04/2019
    Louise était effectivement certaine de ne plus vouloir y retourner.
    Ni vouloir revoir l'expression désolée et gênée du serveur.

    "Louise, ne l'écoute pas !" lui souffla sa conscience.

    Elle cessa de claquer des talons, et sans rien ajouter, elle se dirigea d'un pas décidé vers le bar en question. Qu'il la suive ou pas, tant pis, ce soir, elle n'allait être la femme qui courra après lui, aucunement. Qu'il aille se faire voir.

    Elle poussa difficilement la porte du bar, et dès qu'elle y entra, une bouffé de fraîcheur vint s'abattre contre son visage. L'ambiance de l'endroit n'allait pas du tout avec son état d'esprit. C'était frais, ça avait l'air confortable, et chaleureux.

    Elle s'approcha du comptoir et demanda où se trouvait les toilettes.


    Après s'être soulager, elle regarda son reflet dans le miroir. Elle avait passé de l'eau froide sur son visage aux traits fins, sur sa peau laiteuse, ses joues rosies et ses fines lèvres. Comment en était-ils arrivés là ? Pourquoi fallait-il qu'il soit devenu un être si indifférent ? Pourtant, Louise avait bien vu tout à l'heure, Anthsem était vraiment désolé. Mais elle aussi elle était désolée ! Désolée d'être partie, désolée de l'avoir quitté, désolée de l'avoir laissé seul, et pourtant, ça n'avait pas réparé les choses. Certes, il semblait plus "apprivoisable", mais il en fallait plus à Louise.

    Elle essuya son visage avec la jupe de sa robe, bien qu'elle la mouilla, et sortit des toilettes. Anthsem l'avait-il suivit ? Malgré sa colère, elle espérait que oui.
    à 22:53 le 08/04/2019
    [ Coucou Andes ! ça fait un bail ! je suis enfin en vacances et dans la capacité de pouvoir être un peu plus active et donc de pouvoir de pondre enfin une réponse x)
    Sinon moi je vais plutôt bien, j'ai mon oral blanc de français à la rentrée mais ça va, je ne m'en fais pas trop :3
    ET toi sinon, comment vas-tu ?]
    à 20:16 le 05/04/2019
    [Hello, comment vas-tu ? :)]
    à 15:23 le 27/01/2019
    Il revoyait Louise, franchir la porte du restaurant, son regard brumé, comme si elle s’attendait à ce qu’il ne vienne jamais. Peut être qu’il aurait dû s’y attendre, lui aussi ?
    Peut être qu’il s’y attendait. Justement. Il sentit une vague d’air caresser ses cheveux cendrés, alors que ses yeux ne sourcillait même pas. Aucun frisson. Parfois, il se sentait prisonnier dans un corps déjà mort. Etait-il encore capable de ressentir la moindre chaleur ?
    Ses sourcils froncés ne la rendait pas mauvaise pour autant. Même en colère, Louise continuait d’être une « gentille personne » comme aurait dit le Anthsem de ses souvenirs.
    Mais pourtant, il ressentait en cet instant toutes les années d’errance dans lequel il avait été plongé, après la perte de sa meilleure amie. Et la colère, qui avait pris place dans son cœur. Colère dirigée vers elle, qui n’était plus là. Colère dirigé vers lui, pour être devenu l’agneau docile qui plaisait tant à son père, père qui observait désormais l’horizon dans son fauteuil, en attendant la mort avec une passivité qui lui allait bien. Par ce qu’en réalité, il était sans doute déjà mort depuis longtemps. Comme Anthsem, Marcus n’avait au final été qu’un pantin dans le monde du travail. Il avait accumulé les richesses, oublié son amour de jeunesse. Maintenant, il était seul, assis sur ce fauteuil. Lorsqu’il s’imaginait son père, c’était son propre visage, qu’il voyait. Et cette pensée ne lui arrachait toujours pas un seul petit frisson d’horreur. Seulement un trou béant, dans sa poitrine.
    Lorsque Louise le regardait, qu’est ce qu’elle pouvait bien voir ? Un connard, sans doute.
    Cette fois, s’il ne s’était pas retint, il aurait sans doute rit au éclat.
    Lorsqu’elle regarda sa montre, Anthsem n’avait pas pu s’empêcher de toucher la sienne de ses doigts. S’était réconfortant. « Quoiqu’il arrive, le temps continue de tourner ».
    Il acquiesça silencieusement, en regardant par la vitre du restaurant.
    Elle avait sans doute dû refuser plusieurs fois au serveur l’arrivée des plats, en pensant qu’il finirait par arriver. « Trop tard ». Bien sur que c’était trop tard. Trop tard pour récupérer une amitié déjà perdu. Il lui avait dit de ne pas s’approcher, mais s’il le pensait vraiment, pourquoi avoir couper court à la réunion et s’être ainsi ridiculisé ?
    Le tapotement des talons de Louise le ramena de nouveau à la réalité, comme les aiguilles d’une montre. Elle était certainement agacé, il le comprenait parfaitement.
    Ce n’était pas la première fois qu’il entendait le cliquetis des talons d’une femme.
    Toutes celles qui avaient tentées de tisser un lien avec le jeune homme et qui n’étaient repartis qu’avec le goût amer de l’ennui dans la bouche. Mais Louise. C’était différent.
    Louise, c’était celle qui lui avait permis de ne pas sombrer dans sa jeunesse mortifiée.
    Avec un père comme Marcus, on ne pouvait pas espérer avoir une enfance heureuse.
    Pourtant, il était certain d’avoir éprouver de la joie aux côtés de Louise.
    Mais Anthsem restait silencieux. Elle n’avait pas faim. Bien sur. Il n’en éprouvait pas non plus l’envie. Par ce qui lui aussi, il avait ce goût amer dans la bouche. Il était honteux ?
    Finalement, c’était lui qui avait fait le premier pas en avant, alors que d’autres personnes sortaient du restaurant, rassasiés et souriant, complices. Du bout du bras, il avait légèrement écarté Louise du passage, pour qu’ils se retrouvent tous deux sur le côté, à l’abris des regards. Il avait suffisamment humilié Louise et lui-même.
    Il s’étonna pourtant de la facilité avec laquelle il était capable de « toucher » Louise. Annodin pour certain, Anthsem avait toujours eu des difficultés à être tactile avec autrui, même pour une simple poignée de main. Pourtant, il n’hésitait pas à s’approcher de Louise, alors même qu’elle n’était réapparue que depuis peu.
    Alors qu’il observait les personnes partir, les mains d’Anthsem étaient de nouveaux retournés contre lui. Une tête de plus qu’elle. A peine. Mais il était heureux d’avoir conservé de la hauteur sur elle, par ce que pendant un temps elle s’était tenu à la même hauteur que lui, alors qu’ils étaient enfant, et elle avait même juré qu’elle finirait par le dépassé.
    C’était enfantin, mais il était heureux d’être finalement plus grand qu’elle.
    Au final, peut être qu’Anthsem était toujours un enfant.

    - Je suis navrée, Louise.

    Bien sur qu’il ne savait pas comment réagir. Qui plus est, Louise ne semblait pas tenir en place et Anthsem trouvait cela de plus en plus étrange. Elle avait même finis par se pincer la lèvre et observer du coin de l’œil le bout de la rue. Tilt.

    - Louise…

    La bouche pateuse. « Louise, tu veux aller faire pipi ? » n’était sans doute pas la bonne chose à dire. D’ailleurs, peut être qu’ils se trompaient totalement. Mais vu la tête de la jeune femme, il ne pensait pas faire fausse route. Enfin de compte, il avait finis par se rendre compte qu’il n’y avait aucune bonne manière de lui faire comprendre qu’il avait compris.

    - Il y a un bar juste en face, si tu veux aller aux toilettes. Je doute que celui-ci (il pointa de la tête le restaurant haut standing dans lequel il avait abandonné Louise aux regards humiliants des autres clients) accepte. Et tu ne voudras sans doute plus jamais y retourner.

    Bien entendu, il était gêné. Mais sans doute pas assez. Vraiment pas assez.
    à 19:21 le 06/01/2019
    [Coucou ! Ne t'excuse pas, j'ai moi même emménagé dans une nouvelle ville, nouvel appartement, nouvelle Ecole, donc je n'avais pas trop le temps de repasser, mais je vais reprendre ma routine RP' ! Laisse moi juste le temps de relire tout ça pour envoyer ma réponse par contre !

    Pour tes études, ça se passe mieux ? L'internat c'est contraignant mais je trouve que c'est une bonne chose, ça recadre sur les études, j'espère que du coup tu t'en sors ! )
    à 16:55 le 06/01/2019
    [ ALors là, je te dois milles excuses, et des explications.
    Mon trimestre s'est assez mal déroulé, dès que mes parents on vu mes nots, s'en était fini de l'ordi je suis tellement désolée T-T
    ALors, joyeux noël au fait haha
    et je rentre à l'internat du coup à la rentrée, donc ça ne s'arrange pas, je n'aurait plus que les week-end pour me connecter, et ça me semble peu faisable T-T, mais je tenterais de trouver un moyen ! Eheh, joyeuses fêtes ! ]


    Louise avait été un peu surprise. À vrai dire, elle ne s’attendait pas à ce qu’il arrive pile au moment où elle allait partir. Clairement, ce genre de chose est peu probable d’arriver, sauf dans les livres ou les films. Non, dans la réalité, la fille se faisait juste poser un lapin, et dans le meilleur des cas, le garçon l’appellerait le lendemain pour lui donner une excuse à peu près valable, mais j’ai bien dit dans le meilleur des cas. Ce cas-ci, le cas de Louise, était différent.
    Elle était assez en colère, et les sourcils froncés, elle le regardait s’excuser, et s’expliquer. C’était fou comment il réussissait tant à maîtriser l’expression sur son visage. C’était tellement dommage pour lui que sa voix le trahisse. Oups, Louise se moquait là.

    Elle souffla en regardant sa montre, puis releva les yeux vers lui.

    - Je n’ai plus faim.

    Louise était gentille, et autrefois, elle l’aurait sûrement excusé, mais aujourd’hui elle possédait ses limites, et Anthsem n’était, et ne sera pas une exception, du moins elle l’espérait. De plus, son ventre était remplis d’eau, vu les verres d’eau qu’on lui avait servit en l’attendant, tout ce dont elle avait envie là, en cet instant, c’était faire pipi.

    D’ailleurs, peut-être que sans cette envie assez désagréable, elle aurait accepter de lui offrir une chance. Mais regardez là, tapoter du pied et changer de point d’appuis toutes les 10 secondes lui faisait ressembler à une enfant.

    Mais bon, Anthsem l’avait prévenu, il n’allait pas bousculer ses habitudes parce qu’elle était revenue. Mais, à partir du moment où il avait lui-même prit l’initiative de lui donner rendez-vous, il était de son devoir d’en assumer l’entière responsabilité, et elle supposait que c’était ce qu’il ferait. Elle était toujours en colère, et elle ne semblait pas s’apaiser, bien que les secondes et minutes défilaient. Il faut savoir que Louise n’était pas le genre de personne à rester en colère longtemps, et heureusement pour les gens qui l’entourait, mais elle savait quand même se faire désirer.
    à 21:52 le 27/12/2018
    [Hey ! Contente que tu sois de retour parmi nous :) !
    J'attends ta réponse avec impatience, ahah
    Oui, c'est toujours dur au début ... ]
    à 12:54 le 20/10/2018