RPG-Privé

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Présidente :: Feath
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Date de création :: le 29/01/2016 à 13:26

Présentation
Modifié le 16/04/2016

Story

Au XIVème siècle après J.C, l'Europe est ravagée par une épidémie connue sous le nom de la Peste Noire. Le roi étant mourrant a besoin d'un successeur afin de gouverner ces terres, sachant que ces fils sont morts à la guerre, il ne lui reste ni femmes, ni enfants et n'a plus de familles.

Les Nobles complottent. Le roi est souffrant, au bord de la mort et il faut trouver un successeur digne de leurs attentes. Leurs pouvoirs ont besoin d'augmenter, il en va de leurs richesses aussi.

Cependant, une nouvelle fut annoncée. La decouverte d'un enfant illégitime de sa Majesté. Une bâtarde abandonnée par une ancienne domestique, dont celle-ci a été exilée par la reine car l'amour que lui portait le roi était bien trop fort. Prise d'une vague de jalousie, Elizabeth trouva le moyen de la faire fuir le pays avec son enfant.

Un voyage en France, dit-on, sans retour. Et pourtant, sa beauté et ces traits ne leurs sont pas méconnaissables, Scarlett a un air de royauté qu'elle ne peut cacher. Soupçonnée d'être la batarde, la jeune femme s'enfuit de France pour revenir sur ces terres. Proche de ces ennemies ne la mettrait pas plus en dangers que d'être livrée par les Français aux Nobles.

Il est temps de la tuer. Le roi n'en a pour pas longtemps. On envoit un assassin se charger de lui, un homme capable de tuer à même un fantôme afin d'accomplir sa mission avec succès.

Un village est hanté par la mort, une femme ressemble au portrait craché d'un tableau representant la maitresse du roi. La bâtarde est mourrante, le travail est accompli...Mais une soif de pouvoirs le rend incapable de la laisser dans les mains de la faucheuse. Qu'elle aille au diable, car il deviendra un homme de pouvoirs. La Peste rend la jeune femme amnésique, elle devient sa poupée. Manipulée, elle ne se rend pas compte que son mari n'est autre que l'assassin envoyé pour l'éliminer, elle, la batarde du roi et la seule pouvant monter sur le trône.

Son monde sera bouleversé lorsqu'elle se rappellera. L'homme devant elle n'est autre son tueur pour qui elle aura développer des sentiments, coincée sous des responsabilités qu'elle n'avait jamais voulu, Scarlett tombera dans un néant où seule sa force l'en sortira. Que deviendra leur relation ? Que se passe t-il lorsqu'elle recouvrira sa mémoire ? Comment pourrait-elle diriger un royaume alors qu'elle n'est pas plus qu'un pion sur l'échiquier d'un homme redoutable ?

Suivez le destin d'une reine bâtarde, amnésique et contrainte, suivis d'un assassin stratège et rusé, assoifé de pouvoirs.

Scarlett

Scarlett est une jeune femme qui mène une vie dissolue. Le danger ne l'effraie pas, contre toute attente, elle est plutôt excitée face à des situations dangereuses. Etant donné qu'elle est la batarde du roi et aussi la seule qui peut devenir son successeur, Scarlett a un quotidien mouvementé. Il suffit qu'elle ne se mêle pas des affaires des autres pour qu'elle s'en sorte indemne, mais que faire quand la jeune femme est une justiciaire ? Avoir un franc-parlé, qui peut souvent choqué, l'enfonce dans de sacrés problèmes. Aussi fière et têtue qu'une mule, elle ne se laissera jamais soumettre par une quelconque décision qui ne lui plairait pas. Elle est perfectionniste et aime faire les choses à sa manière, un tantinet maligne, elle devient une très fine observatrice quand il le faut. Gagnant son pain en volant la fortune de nobles simple d'esprit, elle use de sa rhétorique afin d'avoir ce qu'elle veut.
L'amour, pour elle, rime avec la haine, aucuns sentiments dévastateurs dans sa vie, ce qui lui vaut des années paisibles. Elle a parfois la main sur le coeur et aide souvent les plus opprimés, surtout depuis qu'une épidémie s'est propagée, elle s'efforce de venir en aide aux villageois.

Sachant qu'elle a vécu quelques années en mers, afin de se sauver d'assassins venus la tuer délibérement à cause de son lien de parenté avec le roi, Scarlett a beaucoups de contacts au delà des mers. Un accoutrement qui montre une libertine avec des valeurs moraux qui lui ont été inculquées, elle est parfois coquette et ne se prive pas pour le montrer. La jeune femme ne mettra pas de corset à en étouffer, des bijoux afin de pouvoir les montrer, tout ce qui est agréable à porter et à son gout seront dans sa pile de vêtements préférée.

Scarlett su à la mort de sa mère, dans sa plus tendre jeunesse, qu'elle n'était qu'une batarde et une femmme rejetée de la société du à sa position. Certains prétendent qu'elle a souillé le sang noble de la royauté en naissant d'une mère paysanne, pourtant la beauté qu'elle a recu en échange prouve bien de sa valeur. La grâce qu'elle a appris en se mêlant à cette haute société lui a donné des moyens efficaces afin d'user d'elle pour pièger certains d'entre eux et les rallier à sa cause.

Cependant, ces alliés ne sont que d'une poignée, le reste veut sa mort et ils utiliseront tous les moyens pour avoir sa tête au bout d'un pique. Elle est décidée à vivre sa vie comme elle l'entend, libre et solitaire, comme elle l'a décidée des années auparavant à cause de sa position. Une chose qu'elle garde caché, sa solitude l'etouffe parfois et même si ces sentiments qu'elle dit futiles l'effrait et l'écoeure à la fois, elle aimerait, incosnciemment, être touché par une flèche de cupidon. Un chemin périlleux pour une jeune femme âgée seulement de vingt quatre ans. Une ambition qui peut lui couter la vie à tout moment, elle sait que ce sera difficile d'atteindre son but, qui plus est, est de mettre en place une justice égale pour les deux camps, qu'importe la fortune ou la pauvreté, le coupable recevra sa peine, l'innocent en sera récompensé.

"Le guerrier, qui cultive son esprit, polit ces armes."

Aldaric

Aldaric est un homme de 28 ans, dont la réputation n'est plus à faire.

Autrefois rejeté et appauvris pour la traitrise de son paternel, qui avait comploté auprès des Grands, les Nobles lesplus influents, pour renverser l'Ordre établis jusqu'à aujourd'hui par la famille royal, le complot avait finalement été déjoué au travers d'exaction et de corruption. Il avait fallu un coupable, et son père avait été désigné comme bouc émissaire. Et tandis que les Nobles continuaient de festoyer, dans le nid d'intrigues qu'est la Cour royal, son père déposseder de toute sa fortune et de toute sa gloire passée sombrait définitivement dans l'acoolisme, sa mère quand à elle décidant de finir ses jours, son cadavre flottant dans le caniveau voisin. Quand bien même son père n'était plus qu'un ivrogne violent et élucubrateur, parfois pris d'hallucinations le plongeant dans une terrible folie, il inculqua à son jeune fils l'attrait du pouvoir et surtout l'impératif de la malice. Nul homme ne pourrait s'élever par sa propre foi, alors fallait-il encore avoir recours à des mets plus lugubre. Il lui appris aussi la haine de la noblesse, la haine de tout ceux qui pourraient se dresser devant lui. Sous ses conseils avisés, l'enfant devenu un jeune homme tua son père sans une once d'hésitation. Il était bien trop fou, et l'empêchait d'aller plus haut.

Même s'il n'avait ni fortune, ni titre, sa montée fût fulgurante. Son sens du dicdate et ses prouesses dans le milieu de l'assassinat lui permire de traiter avec les plus Grands, ceux là même qui avait conduit sa famille à ramper dans les ruelles sombre et malfammées, luttant dans un monde ou la traitrise est mère de pouvoir. Il s'apparenta à ses confrères, leur promettant une mort lente et douloureuse pour l'ennemi conjuré, en échange d'une coquette somme, de biens et de titre. Et c'est sous le signe de la Noblesse, pourtant caste privilégiée, qu'Adlaric parvînt à s'élever. Quand bien même il n'en avait pas les traits, la majorité ayant un teinte pâle et un ventre bedonnant, Adalric portait les signes énonciateurs d'un homme de pouvoir, d'un homme de lutte, d'un homme d'envie. Une mâchoire ferme et carré, des yeux gris glaçants et une stature imposante malgré son âge encore marqué par les traits de la jeunesse. Mais il n'avait plus rien d'un enfant, on lui avait retiré cette possibilité. S'il avait pu être un homme plein de sagesse et de gentillesse, il ne portait désormais plus que les traits du loup noir. De l'engeance.

Certains ne voyait pas du bon oeil la montée du traitre, puisque le même sang que son père coulait dans ses veines. Mais Adalric était fait d'un autre moule. Pour chaque tentative, il parvenait à renverser la situation. Les pots de vins, les promesses, tout n'était que ruse pour monter toujours plus haut, toujours plus loin. Par ce qu'Adalric n'a aucune limite pour parvenir à ses fins. Le roi mourrant, son entreprise n'en est que plus facile, d'autant plus lorsque la batarde du roi apparaît comme une proie facile, laissé à sa merci. N'allez pas croire qu'il est agit par compassion, par ce qu' "il" n'a revêtis que les traits du démon.

Et pourtant, même si ses sentiments semblent enfuis, ils existent pourtant réellement. Mais comment mettre un terme à une vie de mensonge, alors que le masque porté subsiste pour sa propre sécurité ? Dans un monde aussi sordide, Adalric saura-il retrouver son humanité perdu ? Au risque d'y perdre tout ce pour quoi il s'est battu, tout les sacrifices, tout les morts qui le hantent la nuit. Mais le pouvoir est si ennivrant et attrayant...

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