Mémo musique

Miku addicted revised / Sharing the world / Nijigen Dream Fever / Two Faced Lovers / Romeo et Cinderella / Weekender Girl / Len-Kun - Kire Flower / Butterfly on your right shoulder ( Rin ) Tsumugiuta ( Rin ) / Rin - Meltdown / Tokyo Teddy Bear

" Je déteste la science. En particulier l'alchimie. - Pourquoi ça ? - Ca me rappelle que je dois me mélanger aux autre. "

" Des fois, je me sens si incomprise que j'en ai envie de mourir. - Peut-être est-ce toi qui ne fais pas d'effort pour compendre les autres. "

" Tout me parait bien trop compliqué dans tête. Hé, penses-tu comme moi ? Pitié, dis-moi que je ne suis plus seule. Mens-moi en me disant que tu seras toujours là pour moi. Mens-moi.. Mais pitié laisse-moi de l'espoir. "

" Je déteste la philosophie. Je préferais ne rien comprendre. C'est trop lourd à porter. Et pourtant.. l'ignorance me fais mal.. Suis-je étrange ? "

" Les différences fondent les hommes qui tentent de les cacher. Pourquoi tenter de cacher qui tu es ? Suicide-toi, cela reviendra au même. Ne vis pas pour être une copie. Ou a qu'une vie. Vis-la en tant que toi, sinon ne la vis pas du tout. "

" Je ne crois pas aux princes charmants sur leur cheval blanc. Je ne crois pas au conte. La magie n'existe pas. Tout comme les belles histoires d'amour, elles n'existent que parce que les jeunes filles ont besoin d'espoir. Ce n'est pas de l'espoir. C'est juste se voiler la face en attendant quelque chose qui n'arrivera jamais. Alors pourquoi est-ce que moi aussi j'attends que ça m'arrive ? "

"La philosophie te fera comprendre que tu ne comprend rien. Les maths que peut importe ce que tu fais, le résultat sera le même, le français que, même si tout pourait être simple, ça ne le sera pas, la musique, que si tu veux te faire entendre, il faudra parfois crier, l'art, que même si tu es un géni, si tu ne plais pas aux gens, tu ne sera rien, le sport, que peut importe ce que tu fais, même si tu te dépasse, tu n'y arrivera jamais aussi qu'un autre, l'histoire que bien des gens ont vécus avant toi, ils sont morts, et sont même oubliés, peut importe comme ils ont marqués l'histoire. Ce ne sont que des phrases. A vous d'y croire. "

" Je suis Alice. Tu l'es aussi. Nous le sommes tous. Sommes nous tous les mêmes ? Ou sommes nous différents dans nos ressemblances ? "

" Pourquoi la musique censée enjouer les coeur ne me fais que réfléchir plus ? Est-ce bon ? Ou me faut-il vivre sans me poser de question ? Faire ce qu'on attend de moi ? "

Elle avançait, courant de toits en toits, comme un chat. Agile, gracieuse. Tellement différente. Tellement solitaire. A la fois admirée et détestée. Elle était bien comme elle était. Elle vivait au jour le jour en se remémorant pourtant ses vieilles batailles. Elle était rapide. Elle était hors du commun. Immortelle. Elle paraissait intouchable. Elle connaissait tout. Elle était recherchée, Traquée. Comme un animal. Comme une simple proie. Réalisez bien chers humains, elle n'était pas la proie, elle était le prétadeur. Vous la craigniez par sa supériorité. Elle était simplement habillée de noir. Une jeune femme, de plus. Contre une armée d'homme entraînés, cachés derrière de lourdes armures. Vous avez cherché à la réduire à ce que vous étiez. Des créatures piégées. Vous aviez deux choix. L'admirer ou la réduire au silence. Vous avez choisi la bonne voie humain. La voie de la lâcheté. Un diable vous a murmuré à l'oreille de la détruire. Un diable jaloux d'une jeune fille fuyant un destin bien lourd. " La jalousie fait des humains de drôles de créatures. La jalousie peut les pousser bien loin. Est-elle une mauvaise chose ? Si Napoléon n'avait pas été jaloux des terres des autres, rien ne serait arrivé. Refléchissez mes amis. Vous aurez tout ce que vous voulez si vous faites ce que je vous dis. Des Terres, ou encore de l'argent. Tout ce dont vous avez toujours rêvé sera à vous. " Les humains, cupides et avides de richesses ont accepté devant un diable souriant. Cela fait maintenant deux siècles qu'un Diable a chuchoté à l'oreille des humains. Cela fait maintenant deux siècles qu'une jeune fille cours et se cache. Elle était au dessus des hommes. Par ses capacités, certes, mais aussi par sa bonté. Les hommes ont pris peur. Au lieu de l'exploiter égoïstement, ils ont préféré l'étouffer et réduire un diamant au statut de pierre. Elle se retrouva obligée de vivre dans l'ombre, pendant deux siècles. Deux siècles d'errance. De souffrance. Elle était immortelle, pour sur, mais vivait chaque jour comme si elle allait mourir demain. Elle se pensait tranquille au bout d'un siècle mais même si un être humain pas physiquement immortel, sa mémoire, elle, vit à jamais. Ses descendants finiront la tâche quoi qu'il arrive, en l'honneur de leurs pères. Mais entendez chers humains : vous pouvez la capturer autant que vous voulez, fâner sa beauté par vos stupides paroles, la réduire à l'état d'esclave, étouffer son cri, elle vous sera toujours supérieure. Même dans la mort un grand esprit reste un grand esprit, par ses ecrits. Connaissez-vous cette jeune fille ? Peut-être l'avait vous déjà vue. Peut-être que non. Qui est-elle ? Une fleur qui a failli plus d'une fois se fâner. Appelez-la comme vous voulez. Elle porte plusieurs noms. A vouloir la rendre inconnue, ils l'ont rendu indispensable. A vouloir la rendre misérable, comme une pierre, ne l'ont-ils pas rendu plus brillante qu'un diamant ? Bien sur que si : elle brillera éternellement. La jeune fille immortelle a fini par périr en donnant sa vie. A l'aube du 21eme siècle. Les hommes avaient réussi, aveuglés par de vieilles rancoeurs, ils avaient fini pas mourir en silence. Heureux qu'elle soit finalement morte. Frustrés qu'elle ne le soit pas par leurs mains. Mais pendant qu'ils la traquaient. Elle. Elle avait aimé. Elle l'avait rencontré. Cette étincelle. Un jour. Celle qui lui avait permis de tenir plus longtemps. Combien de temps avait-elle vécu ? Six siècles de traque. Une longue vie. Pourtant insignifiante. Elle avait beau avoir été exeptionnelle, l'égoïsme et la jalousie l'avait réduite à être une simple fuyarde. N'est-ce pas malheureux ? Pourtant, on se souvient encore d'elle. Son visage était inconnu. Mais on la connaissait. Contrairement à ses poursuivants. Des siècles ont passé, et pourtant, un diable sourit toujours doucement en repensant à elle.